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Méprise liminaire

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Je vais vous raconter comment j’ai involontairement pimenté ma vie sexuelle, et au passage, celle de ma chère et tendre. Je suis en couple depuis quelques années avec Véronica, 32 ans, une petite brune bien proportionnée aux origines méditerranéennes. Comme de nombreux couples, nous connaissions de temps en temps des phases de platitudes sexuelles. La petite perte de libido des jeunes actifs surmenés.
Nous avions coutume dans ces moments-là de nous lancer dans des jeux érotiques. Et les années avançant, nous montions d’un cran à chaque période pour retrouver l’excitation oubliée des premiers instants.
Nous sommes en 2019, au début de l’été, je suis seul dans ma chambre d’hôtel à imaginer quoi inventer pour mettre à l’épreuve Véronica. Je dois rentrer demain soir pour le week-end. Il me faut trouver un scénario acceptable pour ma douce. Comme toutes les femmes, elle a ses limites.
J’échafaude donc mon plan, un brin de risque, une pincée de sadisme, du romantisme et la logistique. J’arrête mon plan, je suis impatient. La simple pensée de mise en œuvre m’excite au plus haut point. J’appelle Véronica et lui annonce que nous sortons, elle est ravie.
Le soir venu, je suis à la maison, je m’apprête tandis que Véronica rentre du travail. Un bisou, elle file dans la salle de bain. Je m’installe sur la terrasse en sirotant une bière bien fraîche. Un bon moment plus tard, elle fait son apparition. Elle est ravissante dans sa petite robe noire qui lui arrive au-dessus des genoux, elle arbore un décolleté sage. Je devine que le push-up est de sortie.
Je la complimente et nous nous mettons en route, direction, un petit restaurant au bord d’un lac à quelques kilomètres de la maison. Nous nous installons en terrasse. Véronica est intriguée par mon sac à dos, je n’en emporte pas habituellement et elle se doute que nous allons jouer. La discussion tourne autour de son contenu, mais je reste muet comme une tombe. Nous sommes desservis par un jeunot pas très séduisant qui reluque copieusement Véronica. Elle le remarque et peste un peu, mais je comprends qu’elle est flattée. Il faut savoir lire entre les lignes.
Alors que nous attendons le dessert, je lance un défi. Elle adore les défis, même si elle a des limites infranchissables. Enfin, disons que nous progressons à chaque aventure.
— Va faire un tour aux toilettes et retire ton soutien-gorge ! Histoire de voir s’il le remarque.— Ca, on l’a déjà fait mon amour, tu manques d’imagination.— Qu’est-ce que tu proposes, alors ?
Elle jette un œil autour de nous, nous sommes presque seuls, un couple de retraités dîne à l’autre bout de la terrasse. Elle commence à se tortiller sur sa chaise entreprenant de retirer le sous-vêtement pour l’extirper par la manche de sa robe.

Moment que choisit notre jeunot pour réapparaître. Il pique un phare. Manifestement, il a aperçu la manœuvre ce que me confirme son regard discrètement posé sur la poitrine de Véronica. Alors qu’il nous sert, je remarque que la situation n’a pas laissé indifférente ma moitié. Ses tétons dardent à travers sa robe, exposant sans l’ombre d’un doute son émoi.
Je décide de pimenter le jeu et mettre à l’épreuve mon intrépide cavalière.
— Jeune homme ?— Oui Monsieur ?— Accepteriez-vous de vous prêter à un petit jeu ?
Il rougit de plus belle. Je n’avais pas prévu ce scénario, mais l’occasion est trop belle.
— En quoi puis-je vous être agréable ?— J’aimerais que vous deviniez la couleur des sous-vêtements de mon épouse...
Il passe du rouge pivoine au blanc, tandis que les joues de Véronica rosissent dangereusement. Elle me jette un regard noir, mais ne proteste pas. C’est l’occasion, je force.
— Commençons par le soutien-gorge qu’elle porte, à votre avis ?
Il reste paralysé sans réaction. Sans doute le choc. J’espère qu’il ne va pas défaillir...
— Allez, jouez le jeu, je vous en prie !
Il marmonne quelques mots incompréhensibles, s’éclaircit la voix, s’étant aperçu que les sons qui sortaient de sa bouche n’étaient pas intelligibles, et dit discrètement :
— Elle n’en a pas.
J’explose de rire. Véronica passe au rouge comprenant à ma réaction qu’elle avait été prise sur le fait lors de sa manœuvre impétueuse.
— Vous êtes très observateur, félicitations. Et maintenant, plus difficile, le bas, mais vous devrez deviner le type de sous vêtement en plus de la couleur.
Véronica reste impassible, comme pour me défier. Tu vas voir ce qui t’attend.
— Je dirais un string noir.— Pour la couleur, je suis presque certain que vous êtes dans le vrai, pour la forme c’est bien possible, je ne sais pas. Alors, mon amour ?
Je vois à son regard que la situation excite Véronica qui, une fois n’est pas coutume, a perdu sa langue. Après quelques secondes interminables, elle se décide à me répondre évitant du regard notre acolyte improvisé.
— Perdu ! lance-t-elle fièrement.— Et comment savoir que tu nous dis la vérité ?— OK.
Elle soulève ses fesses de sa chaise dans un geste éclair tout en passant ses mains sous sa robe. Réassise, me regardant droit dans les yeux elle fait lentement glisser le sous-vêtement sur ses jambes jusqu’à ses chevilles, soulève une à une ses jambes et soulève le bout de tissu jusqu’à atteindre le bord de la table.
— Oh, la vilaine menteuse ! Ne serait-ce pas là un string noir, ma chérie ?
Pour toute réponse, j’obtiens une grimace.
Notre jeunot reste planté là, le plateau devant son bassin. Position opportune qui ne laisse pas beaucoup de doute quant à son état.
— Jeune homme, voudriez-vous emmener cet accessoire au vestiaire de Madame, je vous prie ?
Sans doute par défiance pour ne pas me laisser le plaisir de la voir reculer, elle regarde le jeune homme et lui tend son string en boule. Redressant son plateau à une position opportune pour cacher son émoi, Véronica laisse tomber le bout de tissu sur ce présentoir.
Le jeunot nous quitte pour se diriger dans le restaurant et sans doute rejoindre le vestiaire.
— Tu es en forme ce soir, tu as d’autres choses au programme ?— Bien sûr, mon amour, sinon pourquoi ce sac à dos...
Elle avala sa glace avec tant de sensualité que je restais subjugué par son audace.
Après le café, je décidais qu’il était temps de passer à la suite... nous nous levâmes après avoir réglé l’addition et nous dirigeâmes vers la sortie...
— Monsieur ! Vous oubliez votre vestiaire. Nous lança discrètement notre nouvel ami.— Oh, où avais-je la tête ? Vous voulez bien aider Madame à l’enfiler s’il vous plaît ?
Le jeune homme ne se fit pas prier posant un genou à terre. Véronica surprise n’eut pas le temps de réagir, elle était devant elle avec son string à la main. Machinalement, elle leva une jambe, puis l’autre. Il remonta le string jusqu’à la mi-cuisse. Mais elle l’interrompit en prenant le relais. La fameuse barrière était réapparue inopinément.
Je lui glissais un généreux pourboire et nous filions vers le parking bras-dessus, bras-dessous...
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