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A sa merci...

Chapitre 1

Hétéro
La maison s’était vidée d’un coup. Michel avait embarqué nos amis Marc et Rose ainsi que leur ami Simon qui avait débarqué avec eux.Il avait également pris avec lui les deux enfants, laissant Christelle seule à la maison.Christelle, qui espérait un week-end tranquille avec son mari, avait accepté à regret qu’ils débarquent tous chez elle et les voir partir en balade ne lui déplaisait pas. Marc et Rose étaient des amis de Michel, plutôt sympathiques, Simon un ami à eux qui s’était un peu incrusté était plus déplaisant.
J’ai 2 heures devant moi, pour souffler un peu et en profiter pour me détendre, je vais prendre un bain ou une douche et penser un peu à moi, pensa-t-elle.Il était prévu de sortir le soir tous ensemble hormis les enfants, et d’aller au café-théâtre. Elle monte dans sa chambre, se déshabille, puis pose des vêtements de soirée sur le lit. Des dim’up noirs, une robe courte noire également, de petits sous-vêtements en dentelle, de jolis escarpins rouges.
Elle apprécie la tenue posée sur le lit et retourne dans la salle de bain, hésitant toujours entre douche et bain.
Son regard est attiré sur le rebord du lavabo sur lequel repose une carte avec écrit ces mots ; une douche avec ce joli présent que tu garderas en toi ce soir.Le carton reposait en fait sur un joli plug en acier orné d’une décoration ciselée sur la partie visible. A côté, un petit tube de lubrifiant...Cette écriture ? Elle ne la connaît pas. Le plug en lui-même non plus quoiqu’il soit beau. Serait-ce Michel qui aurait fait semblant d’accompagner tout son monde, mais serait resté et serait caché ? Ça lui ressemblerait.Tu es incroyable, pense-t-elle.Elle prend le plug, le porte à sa bouche et lèche sensuellement. Elle prend le tube et enduit le bout de vaseline, se met à quatre pattes par terre et le glisse en elle avec douceur. Son intimité s’ouvre, il glisse, entre entièrement et se loge au plus profond d’elle.Un léger gémissement lui échappe...
— Tu exagères mon chéri... mais c’est agréable de le sentir en moi pour toi. Merci.
Elle parle comme s’il était là, peut-être espère-t-elle qu’il soit là et l’entende.Elle se relève et laisse couler la douche puis se glisse dessous lorsqu’elle est bien chaude. Elle se savonne, puis excitée d’être ainsi possédée, elle laisse aller ses mains à leurs envies qui se portent très rapidement à son ventre puis ses seins.Ses mains caressent son corps, l’une glisse le long du plug comme pour vérifier qu’elle n’ait pas rêvé, l’autre après avoir abandonné son téton durci, glisse dans son ventre trempé d’envie. Elle gémit sans retenue, le seul à la maison est Michel qui a tout organisé pour l’entendre gémir.Elle quitte la douche, regarde par la porte grande ouverte de la salle de bain si elle le voit, s’essuie et retourne dans sa chambre.
Les vêtements sont posés sur le valet et le lit, un autre petit carton manuscrit posé sur quelque chose qu’elle distingue mal.Elle prend fébrilement le carton et le lit.
Ma chérie, je me suis débrouillé pour tenir les invités éloignés pendant deux heures. Nous avons ainsi suffisamment de temps. Regarde ce que je t’offre, ce beau collier et cette jolie laissent pour parfaire le présent que tu as dans tes fesses pour moi. Si tu veux être ma chienne pendant leur absence, passe-le autour de ton cou puis enfile cette jolie cagoule de soie et couche-toi sur la descente de lit. Je me ferai un plaisir de venir lacer ta cagoule de soie. Ainsi seule ta bouche visible, cela décuplera ton plaisir.

Elle L’écriture était soignée et du coup elle n’arrivait pas à la reconnaître, elle fit le tour rapide de la chambre avec la tête pour voir si elle pouvait le débusquer. Puis son regard retomba sur le collier. Elle le prit et l’essaye, elle sent que son excitation ne retombe pas et que sûrement cette mise en scène y participe.
— Tu es fou mon chéri...
Peut-être espérait-elle une réponse. Elle prend la cagoule, une pulsion l’amène à la glisser entre ses cuisses et se frotter avec... Elle s’allonge sur la descente de lit et enfile la cagoule de soie. Elle s’allonge et attend, excitée d’être ainsi aussi docile.Elle entend des pas, puis des mains qui s’affairent derrière sa tête avec les lacets.
— C’est toi mon chéri ?
Les lacets sont maintenant bien serrés, elle se sent alors tirée par la laisse et amenée sur le lit, à 4 pattes, une première claque sur les fesses lui font comprendre qu’elle doit obéissance, une seconde lui fait comprendre qu’elle doit se cambrer.
— Oui mon chéri, je t’aime, je suis ta petite chienne.
Une main la caresse déjà, entre en elle, la fait gémir. Elle mouille, incroyablement surprise de cette situation, s’offre impudique à la main qui la fouille.La main est experte, elle sent deux aller chercher son point G, puis l’autre main tirer sur son téton gauche, elle défaille, gémit, réclame...
— Oui, oui mon chéri... Je suis ta petite chienne en chaleur, Ouiiiiii hmhmmmm.
Elle perd pied, mais quand elle sent les deux mains de son maître sur ses seins à jouer avec ses tétons tendus, elle comprend, elle ouvre la bouche pour s’offrir. La queue est dure et tendue, il la glisse en elle qui n’attendait plus que ça. Elle le suce sans retenue, goulûment, avec gourmandise, l’aspire... Lui joue avec ses tétons, les fait rouler, les pince.Elle aurait voulu continuer, mais il se retire, abandonne ses seins, il va partir...
— Baise-moi mon chéri, je t’en prie.
Elle essaye d’imaginer ce qu’il fait. Va-t-il sortir en la laissant là, quand elle sent deux mains sur ses fesses, elle imagine la queue tendue qu’elle a sucée si frénétiquement derrière elle puis la sent qui se frotte à son ventre trempé d’envie.Il est là, il va la combler, elle l’espère quand elle le sent entrer en elle. Il vient en elle profondément sans difficulté, tellement elle mouille d’envie.
— Oh mon amour ouiii, prends-moi je suis à toi...
Une claque sur sa fesse droite pour toute réponse lui fait comprendre qu’elle est bien à lui.Elle subit alors deux coups de reins très rapides et crie de plaisir sous ces assauts.
— Oh mon Dieu, oui... Oh, mon chéri, c’est trop bon... Oh Michel, tu es si dur !!! J’adore... Abuse-moi, abuse-moi...
Elle est tellement surprise de le sentir autant qu’elle s’offre complètement, se cambre, s’ouvre pour mieux se faire empaler.Christelle voudrait arracher sa cagoule pour mieux profiter du moment, mais elle accepte, et quand il glisse deux doigts dans sa bouche pour l’obliger à se cambrer plus, elle accepte encore. Il donne de grands coups de reins, très virils, très profonds, lui claque les fesses pour qu’elle comprenne qu’il dispose d’elle, que ça fait partie du jeu...
Elle gémit, crie, quémande, car il ne l’a jamais prise comme ça, avec autant de force, autant d’excitation, autant de virilité.Elle aurait voulu qu’il crie, qu’il jouisse en elle, mais il la baise en silence, sa queue sort et entre avec une telle vigueur qu’elle défaille.Alors qu’elle vient de jouir, il accélère, claque ses fesses, elle sent alors son plug bouger dans son son petit cul. Elle voudrait s’y opposer, mais elle n’y arrive pas, il a pris l’ascendant, il le fait tourner, le sort puis le remet, il glisse de plus en plus facilement. Après avoir voulu s’y opposer, elle se tend, se cambre pour l’aider à jouer avec elle.
Elle se laisse ainsi posséder, savourant les envies de son partenaire. Après l’avoir fait aller et venir, il le ressort complètement, le remet à nouveau puis pose ses mains sur ses hanches et la reprend plus vigoureusement encore. Elle-même, au bout de quelques minutes, jouit violemment une nouvelle fois, perdant complètement pied.
Elle s’aperçoit alors en reprenant ses esprits que lui-même vient de jouir sur son dos... Elle sent le sperme couler le long de ses fesses, le long du plug, puis elle devine sa main l’étaler sans mot dire.
Puis plus rien, où est-il ?Elle comprend alors qu’il lui présente ses doigts pleins de sperme à sucer, elle ouvre la bouche et de petits coups de langue les nettoient un par un, en s’appliquant, en les suçant docilement. Il est là, elle voudrait qu’il lui enlève sa cagoule pour pouvoir le voir et le remercier de l’avoir tant comblée. Elle n’a jamais autant joui.Elle le sent dénouer les lacets, elle est heureuse, mais les lacets dénoués, il lui fait comprendre qu’elle la garde sur elle.Alors que ces pensées la taraudent, elle s’aperçoit qu’il n’y a plus aucun bruit.
— Mon chéri, tu es là ? —...— Michel !!—...— Réponds mon chéri, j’enlève la cagoule sinon.—...
Après quelques minutes interminables, elle finit par l’enlever. La chambre est vide.
— Espèce de salaud, pense-t-elle. J’ai encore envie de toi, c’était si bon.
Elle voit alors un autre carton...Tu t’es comportée comme une véritable petite chienne bien docile.
J’apprécie.
On va bientôt tous revenir, on n’en parle pas. Même en privé, compris. ON EN PARLE PAS. PAS UNE ALLUSION.
Par contre, ce soir quand je dirai pendant l’entracte, j’ai un coup de fil à donner, tu me laisseras partir puis tu iras aux toilettes.
Si tu m’y rejoins, ce sera pour être baisée... Très profondément.
Détruis tous les cartons et douche-toi à nouveau.

Christelle, lit et relit le mot...
— Tu es fou mon chéri, pensa-t-elle, mais j’adore ce nouveau petit jeu, je suis accro, tu m’as fait jouir comme jamais...
Puis elle se laisse retomber sur le lit et s’allonge. Décompresse, et se vide un peu la tête. Un instant et repense à tout ce qui s’est passé.Elle se relève, elle sent le sperme, elle range la chambre, ramasse les cartons, les déchire, et file rapidement sous la douche. Elle s’aperçoit qu’il est tard et qu’ils ne devraient tarder à rentrer. Comment va faire Michel, il va rentrer après ? Avant ?
Tout se bouscule dans sa tête, la maison est en ordre, elle est habillée sexy pour ce soir.Elle allume le four pour le préchauffer, sort du congélateur des petits fours à réchauffer qu’elle pose sur le plan de travail.Elle sort un plateau, y pose des verres, regarde l’heure, ils ne devraient pas tarder.Elle s’assoit un instant, ressent le plug en elle, repense à la scène, se dit qu’il était incroyablement viril et mâle, qu’elle avait encore envie de lui.Elle est dans ses pensées lorsque la porte s’ouvre, Michel et son petit monde entrent, discutant politique. Michel, un paquet de gâteau à la main, complimente sa chérie sur sa tenue, leurs regards se croisent...
— Comment a-t-il fait ? se demande-t-elle.
Marc et Rose sont cachés par un bouquet de fleurs de toutes couleurs.
— C’est pour te remercier de ton accueil.
Tandis qu’elle les remercie, Simon pose une bouteille de champagne sur la table.
— C’est pour boire au retour, il faut la mettre au frais.— Merci, merci à tous, vous allez dans le salon et je vous apporte de quoi faire un apéritif dînatoire, ça vous va ? Mon chéri, tu t’occupes du vin pour tes amis ?— Avec plaisir, tu es si ravissante...— Merci mon amour, et toi si homme...
Contente de son compliment, elle finit de tout préparer tandis que ses invités s‘installent dans le salon et que Michel s’occupe du vin.La soirée se prolonge d’une atmosphère tranquille et détendue. Christelle s’affaire magnifiquement à la tâche, toute séduisante dans sa jolie robe noire. Plusieurs fois, elle aurait bien titillé son mari, mais elle respecte la consigne.Alors que tout le petit monde s’amuse bien, aidé par le vin choisi par Michel, Simon fait remarquer qu’il est l’heure de se préparer.Tandis que Christelle s’affaire à ranger un minimum, aidée de Rose et Marc, Simon va dans sa chambre pour se préparer. Michel ferme les volets. Soirée Théâtre.
A la fin de la partie, le rideau tombe et la lumière se rallume. Christelle se sent fébrile, elle est près de son mari et ne cesse de lui serrer le bras, le regarder, lui sourire. Simon se penche vers lui.
— Sympa cette pièce, Michel. Très bon choix, merci pour cette superbe soirée.— Je t’en prie Simon, ça me fait plaisir.
Cool, vraiment. Je vous laisse quelques minutes, j’ai un coup de téléphone important à donner, je vous retrouve ici pour la seconde partie.Sans un regard, il se lève et quitte son siège.
— A toute, dit Michel, mais il est déjà parti.
Christelle le regarde partir, elle se sent mal à l’aise, un peu perdue.
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