Elle croise de ses yeux bleus le regard de son mari qui détecte son malaise. Ça va ma puce ? Pas trop, j’ai un peu mal au ventre, je vais aller aux toilettes. Tu me gardes la place ? Oui, bien sûr. Ça va aller ? Tu veux que je vienne avec toi ? Non, non. Ne t’inquiète pas, garde ma place si ça recommence avant que je revienne. Oui, bien sûr.
Elle coupe court, et se glisse entre les fauteuils pour se diriger vers les toilettes. Une multitude d’images lui reviennent en tête. La cagoule, les petits cartons... Par contre, ce soir quand je dirai pendant l’entracte, j’ai un coup de fil à donner, tu me laisseras partir puis tu iras aux toilettes. Si tu m’y rejoins, ce sera pour être baisée... Très profondément. Je dois faire demi-tour, pensa-t-elle, ça ne peut pas être une coïncidence. Si peut-être... Elle s’aperçoit qu’elle tremble, elle a presque froid, elle descend l’escalier de pierre, cherche des yeux les panneaux signalétiques qu’elle trouve rapidement et s’engage dans un nouvel escalier qui descend encore plus bas. Elle croise des gens qui remontent. Qu’est-ce que je fais là ? Je suis idiote, je ne suis pas obligée, se dit-elle tout bas. Elle arrive en bas de l’escalier, un grand couloir donnant sur un grand hall et des portes diverses, peu de monde. Une petite musique classique en fond sonore.Sur la première porte, PRIVE - ENTREE INTERDITEElle progresse, en quelque sorte rassurée que le hall soit vide... La seconde porte aborde le panneau TOILETTES HOMMESLa porte s’ouvre, un jeune garçon sort, après un sursaut, elle le fixe avec de l’appréhension, puis le salut, comme rassurée de ne pas le connaître, mais gênée comme s’il pouvait savoir qu’elle n’avait rien à faire là.En face, TOILETTES FEMMES
Trois autres portes identiques aux premières, en bois massif, ornent la pièce.Elle s’avance pour lire les inscriptions...TOILETTES HANDICAPÉSElle s’approche doucement sans raison lorsqu’elle entend une voix rauque venant de derrière elle. Ne te retourne pas. Ouvre et entre ... Ou retourne t’asseoir près de ton mari. Christelle est pétrifiée. Rester là ? Si des gens arrivent, si c’est quelqu’un qu’elle connaît. Partir ? Elle y pense. Entre si tu veux revivre ce que tu as vécu... Les images se télescopent dans sa tête, elle hésite, pousse la porte et entre, à peine dedans qu’elle l’entend se refermer.Alors qu’elle lui tourne toujours le dos, elle le sent passer autour de son cou un collier, une laisse pend, accrochée. Tu m’as dit que tu voulais être ma petite chienne, je vais te prendre au mot. Laissez-moi, je ne voulais pas venir, il y a méprise... Tourne-toi, dit-il en tenant la laisse au plus court de son cou, et l’obligeant à se retourner. Elle tremble, malheureusement elle croit bien reconnaître la voix, et elle comprend que c’est à cette voix qu’elle s’est offerte quelques heures plus tôt. Des cheveux un peu grisonnants, une veste noire, un visage disgracieux, un regard dur sans compassion, des mains larges et fermes. Elle se retrouve face à Simon, l’invité surprise. On est venu avec Simon, c’est un ami, je n’ai pas eu le temps de prévenir, Michel, ça ne te dérange pas ?Non, t’inquiète Marco, lui avait répondu Michel.Elle avait peu apprécié d’être devant le fait accompli et l’avait vite catalogué. Elle avait dit à son mari qu’elle ne le supportait pas.Et là, elle se retrouve face à lui qui la fixe sans détour.Il descend sa main entre ses cuisses, la glisse doucement dans sa culotte et la caresse. Elle est déjà trempée d’envie, s’ouvre malgré elle, et commence à gémir doucement... Il la fait reculer pour la plaquer contre le mur, tout en continuant à jouer avec son ventre qui ne se dérobe pas. Ton mari a eu la délicatesse de dire à Marco que tu ne voulais pas de moi à la maison... C’est vrai ? C’est-à-dire, je ne te connais pas... Vouvoie-moi quand on est tous les deux, compris ? Oui. Tu lui as dit d’autres petites gentillesses à mon égard à ton mari... alors ton mari, il va me garder un peu à la maison, pour que je puisse éduquer sa femme et en faire une épouse obéissante. Tu comprends ça ?... Vous ne pouvez pas, Simon... S’il vous pl... Son pouce appuie sur son clito, deux doigts en elle la font mouiller plus qu’elle ne voudrait. Tu es trempée, tu t’en rends bien compte, n’est-ce pas... Oi... oui. Alors je vais t’éduquer, on est d’accord maintenant ? Oui. Et là, tu veux que je te baise. Oui. Alors, réclame-le. Oh mon Dieu oui, baise-moi... Ne me tutoie pas quand on est seul, compris ? Ouiiii, excusez-moi... Baisez-moi ... Parfait ma chérie, ton éducation commence... Suce-moi... Elle s’accroupit, ouvre fébrilement son pantalon, elle sent bien qu’il bande déjà très fort. Le lieu, la laisse, ce sexe tendu devant elle... Elle pense à son mari qui doit s’inquiéter pour elle et le prend en bouche avec avidité, le suce, l’aspire, le ressort pour mieux le lécher. Elle ferme parfois les yeux pour évacuer toute culpabilité. Elle sait qu’il peut faire d’elle ce qu’il veut. Elle le reprend en bouche, pourquoi est-elle si avide, si gourmande... Pourquoi mouille-t-elle tant...Lui gémit doucement : Hmmm, tu vas devenir ma bonne petite chienne. Tu vas devoir persuader ton mari de m’héberger pendant 15 jours pour que je puisse parfaire ton éducation. Hmmm oui, tu suces bien ma salope... Ce soir, débrouille-toi pour te coucher après lui. Je viendrais te rejoindre dans la salle de bain ou dans la cuisine... Il la prend par les cheveux et la remonte, elle laisse échapper sa queue de sa bouche et se relève, il la fixe... Compris ? Ouiiii. Sans rien dire de plus, il la retourne, écarte sa culotte toute trempée et l’enfile sans aucune difficulté, deux doigts dans la bouche, l’autre main sur son sein les doigts qui tirent son téton tout dur...Elle lâche un gémissement qu’elle ne peut contenir, car elle ressent ce qu’elle a ressenti quelques heures avant, une queue dure, puissante, virile. Une queue qui l’a baisée comme on ne l’a jamais baisée avant, qui l’emplit. Dis-moi que tu veux être éduquée, que tu es à moi. Elle gémit, pleure un peu en fait. Elle reçoit alors une claque sur la fesse, et un grand coup de reins qui comme dans l’après-midi la fait défaillir... Je n’entends pas... Oh oui, éduquez-moi, je suis à vous... Une seconde claque tombe, un second coup de reins, puissant profond, puis il va et vient, l’ouvre, l’achève de plaisir... La suite salope. A vous, je suis votre salope, je vous appartiens. Ton mari doit t’attendre... Trop tard, c’est aussi sa faute. Baisez sa femme, baisez-la, elle est à vous. Elle a perdu pied, elle parle sans retenue, des larmes coulent sur ses joues. C’est bien ma chérie, je vais te remplir et tu retourneras le voir, bien remplie. Il prend à nouveau la laisse, la tire en arrière. D’accord ? Ouiii, remplissez-moi. Elle le sent alors jouir en elle, puissamment, et jouit à son tour, elle tremble de tout son corps. Il l’amène alors s’asseoir sur les toilettes, s’approche d’elle pour qu’elle puisse le nettoyer. Elle comprend alors ce qu’il attend d’elle, sans hésitation, elle le prend à nouveau en bouche pour lui obéir. Elle s’applique à bien le nettoyer tandis qu’il lui enlève sa laisse qu’il met dans sa poche. Il finit de se rhabiller, elle le regarde faire. Il se regarde dans la glace, se recoiffe malgré le peu de cheveux, puis la fixe à nouveau. Elle le regarde, se relève, sent qu’il s’écoule en elle, remet sa culotte pour empêcher qu’il s’écoule trop. Il l’embrasse et sort des toilettes, la laissant seule. Tout a été si vite...Elle se sent un peu perdue, elle referme le verrou puis revient sur le bord du lavabo.Elle se regarde dans la glace...
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