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A sa merci...

Chapitre 5

SM / Fétichisme
Simon les rejoint, l’eau chauffe, le café coule. Tout le monde s’installe autour de la table de la salle à manger. Rose retourne chercher le café, puis la bouilloire elle fait le service.Tout le monde semble en forme sauf Christelle, qui semble perdue dans ses pensées.— Ça va ma belle ? Ça n’a pas l’air, demande Rose en la servant, — Oui, j’ai mal à la tête, je ne me sens toujours pas bien.— Tu as pris quelque chose ma chérie, s’enquiert de demander Michel.— Oui, je te remercie mon amour, ça va passer mais je vais rester à la maison cet après-midi, je n’irai pas me promener avec vous, tu ne m’en veux pas ?— Bien sûr que non, ne t’inquiète pas, tu seras mieux au chaud.— C’est gentil, elle boit une gorgée de son thé vert et croise le regard et le sourire de Simon.Elle ne sait que penser, détourne son regard, repose son bol et se lève.— Je vais me reposer un peu, je vous laisse ranger ? Sans attendre la réponse, elle remonte dans sa chambre.Les autres continuent de discuter, de leur travail, de leurs activités. Simon reste assez discret.  Alors qu’il n’avait pas dit un mot depuis un moment, il intervient s’adressant à Michel.— Qu’a-t-elle Christelle ? Elle semble ne pas aller bien.— Oui, depuis hier elle se sent mal, elle n’a pas de fièvre, comme une baisse de fatigue..— Elle travaille demain ? — Normalement oui, mais je la vois mal aller travailler comme ça.— C’est sûr, ce ne serait pas très prudent. Elle n’aurait pas quelques jours de RTT ou de congés qu’elle pourrait prendre ?— Peut-être. Je vais lui proposer.— Je peux m’occuper d’aller faire des courses et préparer les repas, si tu veux. Je ne te dis pas ça pour que tu m’héberges, mais parce elle semble avoir besoin de repos. Moi, ça ne me gêne pas.— Pourquoi pas Simon. On n’a pas eu le temps d’en rediscuter mais tu peux rester une semaine si tu veux, on verra au bout d’une semaine si on prolonge. J’expliquerai à Christelle. Tu veux t’installer aujourd’hui ?— Non, je n’ai pas mes affaires. Je viendrai demain matin. Je vais vous laisser après le petit déjeuner. Et si il y a besoin demain, je m’occuperai d’elle, ne t’inquiète pas.— Ça marche, je te remercie.— C’est moi qui te remercie Michel. Pour la chambre tu veux combien ? — Comment ça ?— Tu me la proposes à quel prix ?— Non, Simon, c’est gentil, tu n’as rien à payer..
— J’y tiens Michel, sinon je ne viens pas - Alors 20 euros par jour, ça te va ?— Oui, très bien. C’est symbolique mais c’est important les symboles.— Bon ok mais ce n’est pas obligé.Simon sourit en acquiesçant, bois son café et prend congé de tout le monde. La matinée se passe tranquillement, Christelle reste dans la chambre ne sachant pas que Simon est reparti.Quand son mari la rejoint pour savoir si elle vient déjeuner et marcher l’après-midi avec eux, elle pense un moment à la venue de Simon. Elle y pense, peut-être même qu’elle l’espère. Ses pensées ne sont pas très claires. — ça va ma chérie ?— Pas trop mon amour. Je suis désolée. Que doivent-ils penser en bas ?— Ne t’inquiète pas, Simon est parti mais il reviendra demain et restera la semaine. Il s’est proposé d’aller faire des courses et préparer les repas.— Il va rester toute la semaine ? - Je lui demanderai aussi de faire le ménage. Toi, ce serait plus prudent de prévenir le bureau et rester un peu à la maison pour te reposer.— On verra demain, d’accord ?— Oui, bien sûr. Une semaine passera vite. Quand ça ira mieux, je lui demanderai de - partir.— Oui, ça passera vite. Vous allez vous promener ?— Oui je t’embrasse ma chérie.— Merci mon amour.
La journée se passe, le soir Marc et Rose rentrent chez eux, et Michel s’attèle à remettre un peu d’ordre dans la maison. Quand il se couche, il trouve Christelle déjà endormie. Il s’allonge près d’elle et lit avant de s’endormir lui aussi.Au matin, Il se lève, se douche comme à son habitude. Il revient après avoir pris son café dans la chambre, Christelle dort encore. Il dépose un baiser sur sa joue et lui murmure de passer une belle journée. Il entend un petit merci qui lui fait dire qu’elle est réveillée.— Tu vas appeler le bureau pour rester à la maison cette semaine ?— Je me sens fatiguée mais ça va aller mieux. Je crois que je vais aller travailler.— Je préfère que tu restes là au moins aujourd’hui. D’accord ? — Si tu veux mais demain, j’irai.— On verra ce soir, si tu veux, si tu es fatiguée en journée, tu peux t’allonger dans le canapé.— D’accord, merci mon amour. Tu m’appelles dans la journée.— ça marche, repose-toi, je file, Simon ne devrait pas tarder, tu lui ouvriras.— OuiIl l’embrasse rapidement et quitte la chambreIl va pour sortir quand il entend frapper à la porte. Il ouvre, c’est Simon.— Bonjour Michel, dit Simon en lui tendant la main. Comment va Christelle ? Demande-t-il en entrant.— Elle est fatiguée, rester un peu à la maison lui fera du bien.— Elle est restée couchée ? — Oui mais elle va se lever. J’ai laissé tes draps dans la chambre que tu avais, tu peux t’y installer, ça te va ?— Si elle est faible, il est plus prudent qu’elle reste au lit. Je vais aller la saluer et prendre son pouls. Tu nous fais un café s’il te plait, je prends son pouls et je redescends le boire avec toi.Il y a une certaine autorité dans ses propos qui surprend Michel qui acquiesce sans discuter. Il pose son manteau sur le dossier du fauteuil du salon et monte laissant Michel accepter sa demande. Il frappe un coup à la porte de la chambre et sans attendre de réponse, entre. Christelle est surprise de le voir entrer et le regarde. — Bonjour Christelle, comment vas-tu ? — Bonjour Simon puis plus bas… Que faites-vous là ? Michel est parti ? — Ton mari me prépare un café, je suis juste monté pendre ton pouls.Il s’approche pour lui faire la bise. Elle le regarde s’approcher, se demandant si la veille était un rêve. Elle porte juste une nuisette, sans sous-vêtement.A sa surprise, il prend son poignet et prend son pouls. Ses gestes sont lents, il compte sans bruit en regardant la trotteuse de sa montre. Alors qu’elle le regarde faire, elle sent sa main entre ses cuisses commencer à la caresser. Elle ne peut retenir un petit gémissement de surprise.— Simon, non s’il vous plaît...— Ne gémis pas trop, sinon ton mari va monter.— S’il vous plaît, non… Elle sent ses doigts entrer en elle, elle se sent sans défense.Alors qu’il fixe son regard, il joue avec son ventre, il la couche sur le dos, son pouce branle son clitoris tout érigé.Il sort ses seins de la nuisette, pince ses tétons tout en allant et venant dans son ventre déjà tout humide.Elle se mord les lèvres pour ne pas gémir tellement le plaisir monte. Lui, sors un collier et une laisse de sa poche qu’il pose sur le lit.— Quand il sera parti, je te veux habillée que de ça.Il sort alors ses doigts, lui offre à sucer.Elle prend sa main dans les siennes sans quitter son regard et s’applique à lécher ses doigts et son jus.— tu as compris ce que j’attends de toi ?— Oui, Simon.— Très bien, je reviens.
Il va pour quitter la chambre quand il entend les bruits de pas dans l’escalier. Il ouvre la porte.— Repose-toi Christelle, c’est faible. Je passerai à la pharmacie pour prendre ce qu’il faut.Il referme la porte.— Je descends Michel. Son pouls est bas, ça ressemble à un gros coup de fatigue.— Ton café est servi, Docteur Simon.— Merci Michel dit Simon en souriant et en le suivant jusqu’à la cuisine.— Ce n’est pas très grave mais elle a besoin de repos. Aujourd’hui, je n’ai pas un emploi du temps très chargé. Je vais aller chercher ce qu’il faut en pharmacie.— Je te remercie vraiment, je serai bien resté aussi mais c’est compliqué cette semaine.— Ne t’inquiète pas. File et on s’appelle si tu veux. Je te paierai la chambre ce soir, je dois aller retirer de l’argent.— Ce n’est vraiment pas nécessaire.— Si, c’est important pour moi— Comme tu veux, mais tu n’es pas obligé.— File— OK, Merci Simon.Tandis que Michel s’en va, il finit tranquillement son café puis place les deux tasses dans l’évier.Il sort à son tour, va à sa voiture et revient avec sa valise. Il l’ouvre dans le salon, en sort une cravache et retourne dans la chambre. Elle est là. Assise sur le lit. Elle porte le collier noir et accroché au collier la laisse de même couleur. Elle l’a entendu monter ce qui fait qu’elle sent son regard sur elle dès son entrée. Il s’approche, prend la laisse en main, lui fait comprendre qu’il la veut à quatre pattes ce qu’elle comprend très vite.Il lui assène un coup de cravache sec sur la fesse.— Cambre toi et ouvre-toi.Elle lâche un cri sous le pincement du cuir sur sa fesse et s’exécute.Par petites touches successives, il l’oblige à orienter ses fesses vers la porte.— Parfait. Reste comme ça.Il ressort de la chambre, reprend sa valise et va s’installer dans la chambre où il était quelques jours plus tôt.Il prend le temps de défaire ses affaires, de les ranger. Il installe son ordinateur, l’allume et se connecte pour vérifier que tout fonctionne bien.Il ouvre les volets, prend sa cravache et remonte dans la chambre de ses hôtes.Christelle n’a pas bougé, elle est là, ouverte, impudique, offerte à ses yeux.Il s’approche, glisse sa main entre ses fesses pour aller jusqu’à son ventre et caresser ses lèvres humides. Il fait aller ses doigts deux, trois fois jusqu’à la faire gémir.— Bonjour petite chienne tu vas bien ?— o.. ou.. oui— Michel m’a dit que tu ne voulais pas t’arrêter …Sa main s’active un peu plus, ses doigts ouvrent ses lèvres, il la caresse à présent sans retenue. Elle même sait qu’elle s’humidifie sous ses caresses. Elle accepte sans mot dire son traitement. Inconsciemment, elle se cabre sur le lit. Elle sent ses doigts s’enfoncer en elle. Elle mouille. Elle gémit enfin librement sous les doigts de l’homme.— Alors comme ça tu veux me faire croire que tu ne veux plus être éduquée ?Elle ne sait que répondre, elle s’ouvre à lui alors qu’elle le connaît à peine mais l’a caresse si bien.— Réponds moi. Tu veux que je te donne ton éducation pendant toute cette semaine ?  — …— Répond ! La cravache frappe à nouveau sa fesse.— … Ouiii.— C’est pour ça que je suis là, et tu le sais. Ton mari veut que je m’occupe de toi, alors je vais m’occuper de toi. Tu vas devenir ma chienne. Aujourd’hui je vais te baiser et tu vas être très obéissante. En fait je vais commencer ton dressage. Qu’en penses-tu?— Je ne sais pas … Simon… je ne sais pas Il enfonce ses doigts bien profondément en elle.— Mon dieu... Mon dieu... HMmmm— Relève toi que je vois tes seins.Elle s’exécute, ses seins sont tendus, il en pince un assez fortement et la fait crier. — Je vais m’occuper de toi, je vais même commencer par te baiser dans son lit. Mais on va faire les choses dans l’ordre.Il se lève, se place derrière elle et glisse ses doigts devant sa bouche.— Nettoies les ! Sa voix est beaucoup plus autoritaire qu’hier. Elle obéit et s’applique tout en se laissant guider.Sans aucune douceur, il lui ouvre les fesses et la prend sans ménagement. Christelle ne retient plus ses cris, elle crie sous les assauts de son nouveau mâle. Sa queue est dure et épaisse, elle prend possession d’elle. Le plaisir monte. Elle sent alors le doigt de son nouveau maître enduire son petit orifice d’un corps gras en quantité. Il enfonce la crème et l’ouvre, la lubrifie, elle gémit chaque entrée du doigts ou du pouce.Il va et vient en elle sans qu’elle n’ait osé dire non.Il l’ouvre doucement, ajoute du lubrifiant, glisse à nouveau un doigt, puis deux, puis trois. Il ne dit rien, il la prépare, elle sent qu’elle s’ouvre, se dilate. Elle en a honte mais se laisse ouvrir. Alors qu’elle est ouverte, dilatée, elle comprend que ce n’est plus le pouce ou ses doigts qu’il présente mais sa queue dure et tendue.Il l’ouvre et la pénètre doucement.— Simonnnn, je vous en prie. Nonnn… Oh mon dieu...Il ne faut pas...La queue s’enfonce en elle, au plus profond d’elle. Il lui pince un téton, le serre un peu plus et le fait rouler, il joue avec. Elle gémit.— Tu sens le collier à ton cou ?— oui — Et la laisse, tu la sens ?— Ouii — Qui met on en laisse ma chérie ?— Les chiennes… — Oui et dans une semaine, tu seras une petite chienne parfaitement dressée…Il sort doucement d’elle, tire la laisse. — Réclame, demande-moi de t’enculer encore, demande-moi de faire de toi ma chienne.— Simon non s’il vous plait.Cette fois c’est sa main qui la fesse. Puis une seconde— je n’ai pas bien compris et ouvre tes fesses. Offre toiAprès un court instant, elle pose une main sur chaque fesse, les ouvre.— Enculer moi. Faites de moi votre chienne, éduquez moi, dressez moi.Il sourit sans qu’elle le sache, s’enfonce en elle, La cambre en prenant ses seins à pleines mains.— Hmm Parfait, tu apprends vite ma chérie.Alors qu’il va et vient en elle de plus en plus puissamment, elle lâche prise, crie, gémit, accepte se qu’il fait d’elle.
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