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A la merci d'un pervers

Chapitre 1

Le jour où j'ai été enlevée

Trash
Tout commença un jeudi soir. Comme toute bonne étudiante, j’étais sortie tard sur une place du centre-ville qui accueillait un bon nombre de bars. Bière-pong, mètre de shooter, et mojitos, la soirée était passée beaucoup trop vite, et les verres s’étaient enchaînés trop facilement. Mes amies et moi étions passées de bar en bar, titubant dans nos jupes et nos robes bien trop courtes pour une soirée si alcoolisée, perchées sur nos talons aiguilles. Me concernant, j’avais opté pour une jupe noire en cuir s’arrêtant juste sous mes fesses. Un bustier blanc qui découvrait mes épaules ainsi que mon tatouage en forme de serpent.
Il était environ deux heures du matin quand je décidai de rentrer sur le Campus. Mes amies, elles, avaient pris la direction d’une nouvelle boîte de nuit qui venait d’ouvrir, mais j’étais trop fatiguée pour les suivre. Ma tête tournait, mes jambes me portaient à peine, et mon estomac commençait à me faire sentir que les nombreux verres de Vodka n’étaient peut-être pas une si bonne idée.
La rue était déserte. Je peinai à mettre un pied devant l’autre, et à garder les yeux ouverts. Mon téléphone vibrait, mais je n’avais pas suffisamment de force et de lucidité pour me concentrer à la fois sur la route, et sur la lecture de mes textos. Je fouillai dans mon sac à la recherche de mon portable quand une silhouette s’avança vers moi.
— T’es perdue, chérie ?— Non, je rentre chez moi, articulais-je. — On va t’aider à rentrer, intervint une deuxième silhouette.— Non...
La première silhouette m’attrapa par le bras, et me plaqua contre son corps qui empestait le tabac froid.
— Viens avec nous bébé, tu ne seras pas déçue, dit-il.
Alors que je rassemblais mes esprits en tentant de me souvenir comment lever mon genou afin qu’il atterrisse dans ses parties génitales, une troisième silhouette s’approcha et hurla quelque chose sur les deux premières. Je ne compris pas un mot de ses paroles, mais le premier homme me lâcha et tous deux s’enfuirent. Ma tête tourna et des tâches noires apparurent devant mes yeux. Je tombai alors lourdement au sol et la dernière chose que je vis fut la troisième et dernière silhouette qui marchait lentement vers moi.
Je sortis peu à peu du brouillard. Mes sens revenaient doucement, un à un. D’abord l’ouïe ; j’entendais un robinet goutter pas très loin de moi et des pas lourds à l’étage du bas. Ensuite l’odorat, plusieurs odeurs se mélangeaient : le tabac, le café, l’humidité, et le parfum d’homme... J’essayai d’ouvrir les yeux, mais rien ne se produisit, mes paupières étaient comme bloquées. C’est là que le toucher est revenu. Mes yeux étaient bandés, et mes mains attachées. J’étais couchée, sûrement sur un matelas où se mélangeaient plusieurs draps. J’avais encore tous mes vêtements et mes chaussures. A l’exception d’un. Le goût me revint... Ma propre culotte était enfoncée dans ma bouche et bloquée par quelque chose qui ressemblait à du scotch.
Je m’agitais comme un asticot, roulais sur le ventre, gémissais sous mon bâillon. Pour être parfaitement honnête avec vous, j’étais terrorisée. Mais la peur est un excellent aphrodisiaque. Plus je me débattais, plus je sentais ma chatte s’humidifier et dégouliner sur les draps. Des pas se firent entendre, quelqu’un montait un escalier, s’approchait. J’entendis une clef tourner dans une serrure et enfin, une porte s’ouvrir, juste avant que la clef ne referme de nouveau la porte. Les pas s’approchaient de moi. Instinctivement, je ramenai mes poignets attachés contre ma poitrine. Le matelas s’affaissa d’un côté, le poids se répartit, quelqu’un se tenait au-dessus de moi. Un homme, à en juger par l’odeur. Il arracha le scotch qui se trouvait sur ma bouche, puis retira la culotte. Toujours aveugle, j’en profitai pour respirer à pleins poumons, mais restai silencieuse. L’homme laissa passer un instant puis glissa son nez dans mes cheveux et inspira à son tour.
— Tu sens tellement bon.
Je déglutis. Il fit glisser son pouce sur mes lèvres pour les caresser, juste avant de l’enfoncer dans ma bouche. Je le suçai immédiatement, terrifiée à l’idée de ce qu’il pourrait me faire, mais également incroyablement excitée par toute cette situation.
J’avais perdu ma virginité sur le tard, peu après mon entrée à la fac, avec mon petit ami. On se connaissait depuis le collège, lui et moi, et avions attendu longtemps pour sauter le pas. Il faut croire que cela ne nous avait pas trop réussi puisque nous n’étions pas restés ensemble plus de six mois après ça. Suite à ma relation avec lui, j’avais connu des hommes, tous plus médiocres les uns que les autres. Si vous voulez mon avis, je lisais trop, j’avais trop d’attentes. J’étais rêveuse, et dans mes littératures, le sexe était décrit comme quelque chose de magique, éveillant en l’être humain quelque chose de puissant et de lumineux. Mais dans "ma" réalité, la magie n’était jamais venue. Toute ma vie, j’avais attendu qu’il m’arrive quelque chose d’extraordinaire, et maintenant que c’était le cas, je devais bien le reconnaitre, la peur me saisissait. Mais peut-être pas suffisamment.
Alors que je suçai son pouce, l’homme avait rajouté son majeur, son index et puis tous ses doigts. Ils étaient gros et avaient le goût du tabac froid, mais je les suçai et les léchai avidement, sans m’arrêter. Mes cuisses, que j’avais jusque-là gardées serrées l’une contre l’autre, s’ouvraient peu à peu, tremblantes à la fois de peur et d’impatience. J’espérai que ces doigts, désormais bien lubrifiés, finiraient en moi et apaiseraient ce feu qui me consumait. Mais il n’en fit rien. L’homme retira ses doigts et les remplaça immédiatement par ma culotte, encore humide. Il la recouvrit d’un scotch et se leva du matelas avant de s’éloigner en lançant :
— Je reviens te chercher pour le dîner.
La clef tourna dans la serrure, la porte s’ouvrit, puis se referma. Les pas s’éloignèrent, descendant l’escalier, tandis que je restai couchée, dans ces draps trempés de ma mouille et de ma bave, encore toute habillée. Mes cuisses étaient grandes ouvertes et révélaient une chatte bien humide, ruisselante... Quand cet homme allait-il revenir ? Qu’allait-il me faire ensuite ?
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