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Merci qui ?

Chapitre 1

Ma vengeance

Lesbienne
Vengeance
Merci qui ?
L’histoire que je vais vous conter s’est déroulée il y a un peu plus de dix ans et est, en très grande partie vraie. Je me présente tout de même, je m’appelle Hélène, j’avais au moment des faits un peu plus de quarante ans. Je suis une femme que l’on qualifie de plantureuse, autrement dit, j’ai des formes et c’est comme ça. J’ai la chance d’être grande puisque je mesure presque un mètre quatre-vingt, ce qui amoindrit un peu mes rondeurs. Néanmoins j’ai une paire de seins conséquente, un bon cent bonnet D, E suivant la coupe. J’ai des hanches assez larges, sans avoir un « gros cul » et suis musclée, car sportive. Je suis coach d’une équipe de mini-poussins au basket et je joue moi-même dans une équipe mixte dite de « Loisirs ». Je sais que je ne laisse pas indifférents les hommes et certains de l’équipe, essayent de me reluquer, souvent quand je suis sous la douche des vestiaires. Je m’en amuse et les laisse faire car je suis moi-même voyeuse mais surtout un tantinet exhibitionniste, ça, c’est mon mari Antoine qui m’en a fait réellement prendre conscience. Pour terminer, je suis comptable dans une société d’assurance, sponsor de mon club et conseillère municipale, membre de la commission « Sports, culture et jeunesse ».Mon mari Antoine est un beau brun, légèrement plus petit que moi, rieur, blagueur, par contre pas sportif pour un sou, tout juste vient-il m’encourager lors des matchs à domicile. Généralement, il plaît aux femmes et certaines n’hésitent pas à le draguer en ma présence, jusqu’au moment où elles comprennent que je suis son épouse. Cela nous fait bien rire. Lui est informaticien et photographe amateur. Il travaille gratuitement, en collaboration avec des modèles qui ont besoin d’un « book » ou qui veulent se faire plaisir sans forcément avoir les moyens de payer un professionnel. Une passion débordante. Au fil du temps il s’est équipé et c’est notre garage qui a été complètement transformé en studio photo. Antoine est un petit malin, il sait enjôler les nanas, leur parler. La première fois, elles viennent, enfin officiellement, pour des portraits ou des clichés en pied. En vrai, elles finissent souvent, nues devant l’objectif. Rares sont celles qui résistent à ses arguments. Mises en confiance, je peux même vous certifier que certaines reviennent pour poser exclusivement « à poil » et que les photos peuvent être très chaudes, en particulier à l’approche de Noël et de la Saint Valentin. Bien entendu, il signe avec elles un contrat le contraignant à la discrétion et même s’il en garde un double sur ses disques durs, il ne les publiera jamais, c’est le deal.C’est justement, sa passion pour la photographie qui m’a conduite peu à peu à devenir exhibitionniste et qui est à l’origine de notre mésaventure ou aventure selon les points de vue. Pendant des années, j’ai servi de modèle à mon Antoine et pas une partie de mon anatomie n’y a échappé, que ce soit en studio ou en extérieur dans des lieux discrets mais tout de même accessibles aux promeneurs. Au fil du temps, j’ai appris à être à mon aise, puis à aimer cela. Je dois vous avouer que ces séances de poses ont un effet euphorisant sur moi et que très souvent, les derniers clichés ne laissent plus aucun doute sur mon niveau d’excitation. Nous terminons alors notre séance par des galipettes. C’est ainsi que nous avons eu la bonne ou mauvaise idée, à vous de juger, de publier plusieurs séries de photos sur un site connu de beaucoup d’entre nous, à qui l’on dit « Merci ».Naïvement, nous pensions que les gens qui allaient sur ce site regardaient, admiraient, se faisaient plaisir et que si par hasard, ils tombaient sur l’une de leurs connaissances, ils le gardaient pour eux, histoire d’être dans la confidence et de ne pas dire à tout le monde qu’ils consultaient eux-mêmes des sites pornographiques.Hé bien non ! C’est ce qu’il nous est arrivé. Mon amie Emilie dont j’entraîne la fille au basket, m’a rapporté (après être allée elle aussi sur le site) qu’une conseillère municipale, dans la même commission que moi clamait à qui voulait bien l’entendre, que je faisais des photos « de cul » et que je les postais sur internet, allant même jusqu’à envoyer le lien à ceux qui le lui demandaient. On a beau assumer, il y a moment où l’on se sent mal et que l’on regrette son petit côté « pervers » et ses conséquences. Nous pourrions ici avoir un long débat sur la perversité de la situation mais ce n’est pas l’objet de mon récit. Dans un premier temps, avec mon Mari nous avons envisagé de faire jouer un article de loi tout récent à l’époque, de mémoire avant que cela ne soit dans la RGPD, celui du « droit à l’oubli numérique » et de demander au site de retirer les clichés qui, in fine, risquaient de nous porter préjudice dans la vie de tous les jours mais surtout professionnelle. Nous demeurons dans une petite ville de campagne, où tout le monde se connaît, enfin presque, où les mentalités évoluent lentement, où les gens sont finalement encore au stade « Pipi – Caca ». Pourtant, quand ma grand-mère me racontait ses souvenirs de jeunesse … et ce qui se passait à la ferme ou dans les champs … où ma grande tante dans les salons Parisiens … bref j’ai parfois l’impression que nous reculons. Alors oui, cette histoire a fait le tour du boulot de mon mari, du mien également mais, contre toute attente, si évidemment des gens se sont détournés de nous, nous avons reçu quelques soutiens inattendus de collègues, d’un instituteur (mais pas celui du directeur de l’école), d’amis qui nous ont dit que cela était courageux et que les photos étaient très sympas. Ne parlons pas des gars (surtout) de mon équipe qui eux, me mataient sous la douche et qui se régalaient déjà de mon anatomie. J’appris d’ailleurs par la suite que certains avaient pris quelques clichés en douce avec leur portable. Après réflexion, nous avons décidé de ne rien faire et de laisser tel quel. Après tout, qu’avons-nous fait de mal ? Nous avons tout de même joué la carte de l’apaisement et attendus presque une année avant de publier une nouvelle série. Je crois que maintenant nous avons constitué un mini « fans club » autour de nous. Cala pourrait faire l’objet d’un nouveau récit, enfin si cela vous intéresse bien entendu.Néanmoins cette petite histoire n’a pas été sans laisser des traces, puisque l’on sent bien les gens discuter dans votre dos et monsieur le maire m’a signifié son embarras à ce sujet et m’a, gentiment, demandé de ne pas me représenter lors des élections à venir, en tout cas pas sur sa liste, tout en m’assurant de son soutien et du fait que chacun devrait pouvoir faire ce qu’il a envie sans que cela soit commenté « et Patati et Patata ». Balivernes tout cela, faux derche comme les autres. Aussi me suis-je promise de régler mes comptes avec Marylène, ma dénonciatrice, dès que l’occasion s’en présenterait.Ce fût le cas quelques mois plus tard, alors que la commune organisait son traditionnel forum des associations, pour vanter son dynamisme au niveau sportif et culturel. Dans les faits, la municipalité n’y est pas pour grand-chose, la plupart des associations naissent à l’initiative de citoyens, la mairie se contentant de leur apporter (ou pas) une aide logistique et/ou financière, ce qui est plutôt bien, il faut le reconnaître.Donc lors de ce forum, je suis présente en qualité de coach pour le club de basket et Marylène, pour une association d’aide au plus démunis, née après-guerre, d’un ancien aumônier de prisonniers, je vous laisse deviner laquelle … Je dois avouer que c’est une femme pas mal foutue, assez mince, blonde avec les cheveux souvent attachés en queue de cheval, une poitrine peu généreuse, je dirais un bonnet B, C grand max, plus petite et surtout plus jeune que moi, d’une dizaine d’années, je pense Si personnellement j’opte assez souvent pour une tenue de sport, elle au contraire, est quasi en permanence « tirée à quatre épingles » apprêtée comme si elle se rendait à un mariage tous les jours. Elle a été surnommée Barby, on comprend pourquoi. Attention, je peux être moi aussi très femme quand cela est nécessaire (comme au travail par exemple) Jupe, chemisier etc mais elle, n’apparaît jamais en tenue décontractée. Si j’étais un mec, je crois que j’aurai bien envie de me la faire, la retourner et la prendre sur la première table venue.Ce jour-là, inopinément, nous nous croisons dans les toilettes pour femmes du gymnase ouvert mais désert, les associations étant à l’extérieur, dans le parc communal. Instantanément, dans son regard furtif, je devine une panique subite, une terreur soudaine. Elle sait, que je sais … quelqu’un lui a-t-il dit qu’il valait mieux pour elle de ne pas me croiser ? Ni une, ni deux, sans qu’elle n’ait le moindre geste pour esquiver, dans un réflexe presque incontrôlé, en proie à une haine soudaine, attisée par tant de frustration, je l’attrape par les cheveux, la tire en arrière et d’une béquille derrière un genoux, la fait tomber au sol pour lui administrer une paire de gifles magistrales.— Alors salope, ça te plaît de baver sur les gens ? ça te fait quoi que je montre ma chatte et mes nibards, t’es jalouse ? Tu veux voir de près ?Sans attendre sa réponse d’une main je baisse mon pantalon de jogging, embarque ma petite culotte dans le même geste et lui dévoile le fruit défendu, mon abricot tout propre.La surprise et la première douleur dues au tirage de cheveux passées, elle tente de réagir, de se défendre, crie sa souffrance mais je la tiens fermement et tire d’avantage sa tête en arrière.— Pardon Hélène, je ne voulais pas …Elle n’arrive pas à terminer sa phrase tant la souffrance que je lui impose est grande.— Pardon de quoi ? tu ne voulais pas quoi ???Je ne me reconnais pas moi-même tant je pète les plombs. Elle ne tente même pas d’appeler à l’aide, de toute façon, nous sommes vraiment seules. Sans lâcher sa tignasse, je l’entraîne dans la pièce d’à côté, le vestiaire des arbitres, qui sépare les toilettes femmes de celles des hommes. Ma démarche est difficile, entravée que je suis par mon jogging et mon slip restés à mi-cuisses. Mais la différence de gabarit et ma rage font qu’elle n’a d’autres choix que de se traîner au sol pour me suivre tel un gentil petit toutou. Je pense qu’à cet instant elle a compris qu’elle n’était pas de taille à se battre avec moi et qu’il valait mieux filer droit si elle ne voulait pas se faire démolir sa petite face de pute, qu’elle était devenue pour moi.Je referme la porte du vestiaire et lui intime l’ordre de venir s’agenouiller devant moi, ce qu’elle fait.— Demande-moi pardon salope !— Pardon Hélène.— Non, pas Hélène pour toi, MADAME !— Pardon MADAME.
Elle baisse un temps les yeux mais s’exécute gentiment.— Pourquoi tu as fait ça ?— Je ne sais pas …— Je ne sais pas qui ???— Je ne sais pas Hélène.Vlan une claque. Là elle renifle un peu, sans doute pour éviter de chialer. Elle me ferait presque pitié, si je n’étais pas aussi fâchée.— NON ! je gueule, MADAME !— Je ne sais pas MADAME.— T’es jalouse de mes photos ? T’es une frustrée de la cramouille ?— Non … Je ne sais pas … Alors que je lève la main pour lui rappeler la politesse, elle ajoute — …Madame …Je suis ivre de rage et j’ai envie de lui coller le pif sur ma fente à l’air libre.— Elle n’est pas belle ma chatte ?Elle a les yeux rivés dessus et semble hypnotisée par ma moule qui suinte d’une nouvelle excitation, inconnue jusqu’à ce jour. Aurais-je un penchant jusqu’alors ignoré pour le SM aussi ? Suis-je dominatrice qui s’ignore ?Elle semble vouloir me renifler cette cochonne.Comme aimantée, elle s’approche de moi et inhale mon odeur intime.J’hallucine.Son nez vient s’insérer dans ma fente toute lisse. Je la laisse faire, la regarde agir. C’est la première fois qu’une femme me toucher ainsi. Elle desserre enfin les dents. — Elle est très belle votre … enfin… vous voyez ce dont je parle … Madame,— Elle sent bon ?— Oui madame elle sent très bon…— Qu’est-ce qui sent bon ?Je tente de bousculer un peu ses codes de bonne conduite de la petite bourgeoise qu’elle est. Elle hésite, visiblement peu familière à un langage cru.— Votre sexe sent bon …— Il sent quoi ? Cette petite chienne, consciencieuse, me renifle.— La femme, finit-elle par me répondre.— Mieux que ça, je lui dis.Elle se lâche enfin un peu.— Il sent la femelle, Madame.Je n’en crois pas mes yeux ni mes oreilles. Je suis vicieuse tant ma colère est encore insatiable, décide de pousser un peu plus l’expérience, peut-être pour voir jusqu’à quel point elle est prête à aller.J’avance mon bassin. Nul besoin de lui demander quoi que ce soit, cette conne se prend pour un chaton et me lèche de deux petits coups de langue discrets.Je ne la ménage pas, cette domination improvisée me plaît bien. J’inaugure, j’en veux davantage. Je lui plaque la bouche sur ma vulve.— Oh oui ! Lèche-moi encore salope. Fais mois du bien, fais-moi jouir pour rattraper ta connerie.Elle obéit et commence à me lécher. Je mouille, elle m’humidifie de sa langue. Timide au début, elle s’enhardit.— Mais tu aimes ça en plus ma petite pute, tu me fais mouiller. T’aimes ça ?Pas de réponse, je fais mine de lui en coller une, elle se recroqueville.— Oui— Oui quoi ?— Oui j’aime … madame.— T’aimes quoi ? Allez, dis-le !— J’aime votre chatte madame, elle est bonne. Je l’adore !— T’es de la pelouse ?— Non madame, j’aime les hommes.Elle est visiblement à son affaire et me répond quasi du tac au tac.— Ah ben tu vois quand tu veux.— Tu aimes le sexe ?— Un peu madame,— Un peu … ça ne m’étonne pas. Tu ne serais pas du genre un peu salope quand-même ?— Non madame.— Moi je te dis que si, t’es sûrement une bonne salope !Ses réponses sont entrecoupées d’une léchouille en règle. A mon avis elle ne me dit pas la vérité cette garce. Je suis certaine qu’elle aime se faire mettre mais qu’elle ne doit pas y avoir souvent droit. Je coule de mon jus d’amour dont se délecte tant mon mari.Ah oui mince mon mari, dans l’action je l’avais un temps oublié, je suis en train de le cocufier avec une gonzesse. Enfin cocufier est un grand mot … mais quand-même, si un jour on m’avait dit ça … Je sors mon portable de mon jogging et immortalise Marylène en train de me léchouiller. Je lui relève la tête et lui demande de me regarder que l’on voit bien son visage de petite pute en train de sucer une chatte, la mienne. Là je suis aux anges, fière de moi, j’ai ma petite vengeance. J’ai un beau cliché, digne de ceux de mon mari. Marylène est bien reconnaissable, même si son maquillage de bourgeoise a un peu coulé, il n’y a aucun doute sur la personne et sur ce qu’elle fait.
— Allez ma pute, fais-moi jouir avec ta langue de salope.
Je relâche la pression, me détends, la laisse faire. Elle ne cherche même pas à fuir et part dans un cunnilingus des plus doux. Sa langue me fouille, écarte mes petites lèvres et s’insinue dans ma grotte trempée. Elle insère même son majeur dans ma caverne qui n’en demandait pas tant. Hum, elle sait y faire malgré ses dires. Quelle salope celle-là ! Je m’appuie sur la petite table pour ne pas tomber, bascule en arrière, projette mon bassin en avant pour lui faciliter le travail. Elle me doigte, me lèche, suce mon clitoris qui apprécie l’attention. Je l’entends gémir, la regarde, sa main s’agite sous sa jupe, elle se branle la coquine. Il ne m’en faut pas beaucoup plus pour partir dans une lente descente vers le plaisir qui explose d’un coup sans prévenir. Dans les secondes qui suivent, elle me rejoint, crie son bonheur.Je reprends mes esprits.
— Dis donc t’es sacrément douée ma garce. T’es une vraie salope en fait !Elle baisse la tête. Je la relève et la force à me regarder dans les yeux.— T’es lesbienne ou pas ?— Non madame, j’aime les hommes … mais … à l’internat, chez les sœurs, entre filles, il nous arrivait de nous … de nous "gouiner" si vous préférez.— Relève ta jupe !
Elle s’exécute. Je colle mes doigts sur sa culotte en dentelle, une belle lingerie fine qui ne me laisse aucun doute sur le fait qu’elle se soit bien branlée pendant qu’elle me léchait.
— Ça t’a plu ?
Elle baisse de nouveau la tête sans répondre l’effrontée.
— Relève la tête quand je te parle et répond moi !— Oui madame, c’était bon.— Parfait, enlève ta culotte et donne-la moi.D’abord incrédule, sans vraiment contester ma demande, ni protester, peut-être de trouille, elle obéit. Je n’en perds pas une miette et une dizaine de nouvelles photos viendront étayer mes dires si l’idée me venait d’en parler. J’admire son sexe poilu mais à la toison impeccable, elle prend soin d’elle de ce côté-là aussi, cela me plaît.Je sens le sous-vêtement qui renifle à plein nez le sexe. Elle a bonne odeur également. Elle n’en a pas terminé avec moi et je crois qu’elle le sait déjà.
— Bon maintenant tu vas retourner à ton stand, ils vont s’inquiéter. Si tu dis un mot de ce qui vient de se passer, réfléchis-y bien avant, il pourrait y avoir une petite publication dont tu seras l’héroïne c’est compris ? j’ai de quoi et toi aussi tu diras « Merci ».— Oui madame je ne dirai rien. Mais pour ma culotte les autres vont s’en rendre compte …— Et alors ??? Mais non … File te rafraîchir et on en reparlera de tout ça plus tard.Avant de s’éclipser, elle me colle un baiser rapide sur la bouche, je reste interdite, mois qui voulais me venger…
Dans la soirée, après avoir raconté, images à l’appui, mes exploits à mon chéri, comme Marylène est dans mes contacts, je lui envoie un MMS qui la montre en train de se toucher tout en me léchant… des fois qu’elle ne me croirait pas. Quelques minutes plus tard, je reçois son SMS avec un simple mot : « Merci ».
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