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Chapitre 3

Enfin je la tiens

Avec plusieurs femmes
Je disais que je ne savais pas pourquoi j’avais envie d’offrir à mon mari une nouvelle petite chatte, un petit cul bien serré. Dans la réalité, dans mon for intérieur, je me mentais. Bien que je soupçonnasse mon mari d’adultère avec ses modèles, sans en avoir l’absolue certitude, j’avais moi aussi quelque chose à me faire pardonner, une infidélité « bien involontaire », mais cependant bien réelle.
Mon équipe étant au courant de nos publications, ajouté au fait qu’à peu près tous m’avaient déjà reluquée sous la douche, je ne pus m’empêcher de répondre à une provocation d’Hassad qui clamait haut et fort que puisque je me montrais à poil sur Internet, je pouvais bien prendre ma douche avec eux, mais que visiblement, j’avais la trouille et n’en étais pas capable.
Sur le fond, cela n’était pas faux. Mon côté exhibitionniste l’emportait donc sur la raison et c’est ainsi que ni une, ni deux je les rejoignais dans leur vestiaire, sous les sifflets admiratifs, les cris et les applaudissements de la gent masculine. Dans l’équipe, nous n’étions alors que trois femmes, Manon, Pauline et moi. Manon un peu plus jeune que moi était mariée à Gaëtan, le meneur de nos cinq majeurs de l’époque. Sans complexe, elle m’accompagnait donc dans le vestiaire hommes. Pauline quant à elle, toute jeune adulte, discrète, nous nous demandions même si elle avait déjà vu « le loup », comme disait ma grand-mère, continuait à prendre sa douche chez les femmes, nous traitant de folles et de vicieuses, au passage.
Dès le début, je devais mettre le holà. Ce n’était pas parce que je partageais ces moments de proximité voire d’intimité que j’étais à disposition de ces messieurs et de leurs quéquettes affolées par nos présences. Je devais tout de même reconnaître qu’il y avait quelques beaux spécimens, dont une en particulier, celle d’Hassad, une bite qui me semblait être exceptionnelle.
Celle de mon époux de taille tout à fait ordinaire me suffisait et satisfaisait amplement. Dans certains récits où l’on mentionnait parfois des sexes aux dimensions hors-norme, voire surréalistes, cela ne me faisait pas rêver outre mesure. Mon Antoine avait sa façon à lui de me faire monter au septième ciel et y parvenait très souvent.
Des petits jeux érotiques s’organisèrent autour des deux nanas que nous étions, Manon et moi. Régulièrement, les mecs pratiquaient l’onanisme, nous matant y compris Gaëtan qui lui, jouait un peu plus avec sa femme, n’hésitant pas à la tripoter en public sans qu’elle ne trouvât réellement à y redire, à part quelques molles protestations peu convaincantes du style « Arrête, non, mais tu es infernal... tu ne vas pas me sauter devant les copains quand même ... ». Je n’étais pas dupe, pour ma part je pensais sérieusement que cela ressemblait à une supplique déguisée. Nous trouvions cela amusant, excitant. Je percevais ces masturbations comme des hommages à nos plastiques et dois bien vous le confesser que de les voir juter devant nous me faisait grandement mouiller.
Jamais je ne cédais aux commentaires graveleux du style « regarde comment je bande pour toi... », « tu veux y goûter ? ... » et j’en passe certainement. Bref, rien de vraiment méchant. Une situation qui régalait mon penchant exhibe et voyeuse. Leurs tentatives se répétaient, mais je n’étais pas encore prête à succomber à toutes ces avances déguisées. Par le passé, j’eus des aventures évidemment, je ne fus ni une sainte ni une vierge effarouchée, mais restais fidèle à mon Antoine depuis que nous nous fréquentions, plus de quinze ans quand même, à cette époque.
Comme moi, vous connaissez l’adage « Il ne faut pas dire fontaine je ne boirai point de ton eau » ou « Jamais il ne faut dire Jamais ». C’est à l’issue d’un match extrêmement stressant, à rebondissements que l’accident eut lieu. Les tourtereaux, légèrement éméchés à après le cinquième quart-temps (l’apéro pour les néophytes du basket), se lâchèrent. A force de se tripoter, d’avoir une main ici, une main là, quelques doigts pénétrèrent les orifices qui se présentaient à eux. Manon ne tardait pas à évacuer toute la tension accumulée et soupirant d’aise et en réclamait davantage. Gaëtan ne s’était pas fait prier et la pénétrait sans autre formalité, devant nous tous. Agenouillée sur le banc, lui derrière la besognant dans une levrette « surprise », un régal pour nous, petit spectacle pornographique en live, c’était sympa. L’ambiance devenait soudainement plus électrique. Médusés, scotchés nous assistions à une séance de baise en règle.
Manon gueulait au possible, demandait à son mari de la « baiser » encore plus fort. Elle criait qu’elle voulait de la bite bien profonde (ce sont ses paroles) qu’elle avait besoin.
Enfin, je ne vais pas tout vous détailler de cet accouplement, ce n’était pas l’objet initial de mon récit (oui je sais je suis une vilaine fille).
Néanmoins, alors que j’étais complètement hypnotisée par le couple en train de forniquer, des doigts s’occupèrent de ma moule humide et pour quelle raison ? Je l’ignore toujours, je laissais faire, mieux, j’écartais les cuisses et m’arc-boutais pour faciliter la caresse.
Ce délicieux tripotage me lubrifiait de mes sécrétions intimes et je commençais moi aussi à monter sérieusement en température. Après quelques minutes, je me retrouvais avec une queue devant, puis d’une petite poussée, dans la chatte. Je n’avais pas besoin de me retourner pour connaître mon baiseur, le diamètre d’un pareil morceau se frayant un passage dans ma féminité, ne pouvait correspondre qu’au saucisson de monsieur Hassad.
Je me cambrais davantage, écartais mes cuisses au possible, prenant appui sur le mur de la douche pour ne pas basculer en avant. J’en avais le souffle coupé et en cet instant, je n’avais plus la force, ni la volonté d’ailleurs, de renoncer à cette union bien involontaire. Je le laissais faire, acceptais cette pénétration. En vrai je crois que peu m’importait qui, j’en avais envie tout bonnement. Je facilitais tant bien que mal l’intromission. Péniblement je reprenais ma respiration un temps coupée pas l’engin qui me pourfendait.

Très vite, je râlais, poussant un cri inhumain, guttural, bestial, surgi du plus profond de mes entrailles. Jamais mes chairs intimes n’avaient été repliées autant sur elles-mêmes, bousculées, repoussées ainsi dans leurs limites. Là, j’étais emplie par un sexe monstrueux, de ceux que je dénonçais comme impossible dans des récits érotiques ou pornographiques. Ses deux battoirs lâchèrent mes hanches pour m’empaumer les seins, qu’il triturait en tous sens. Il les tirait, les malaxait, les pinçait, les tordait et les maltraitait comme personne ne me l’avait encore fait jusqu’à ce jour. Le pire, ces deux salopards qu’étaient mes tétons semblaient vouloir me trahir, appréciaient plus que d’ordinaire ce traitement rustre que l’on m’infligeait. J’étais aux anges, aux portes d’une jouissance méconnue jusqu’ici. Je me pâmais dans un nouveau plaisir.
Jamais je n’avais ressenti une telle de plénitude, un sentiment de bien-être. J’avais le feu dans les entrailles, ma chatte béante réclamant une lance pour l’éteindre. Désolée pour ces égarements linguistiques, mais j’avais une bite conséquente dans la "cramouille" et jamais je n’aurai cru tant aimer cela. Je devenais une furie, une salope qui ne demandait qu’à se faire mettre, réclamant la saillie des mâles en rut. Aussi, quand il se mut, je crus défaillir, m’évanouir, devenir folle. Le ramonage en règle que je subissais me chamboulait dans mes certitudes, mes habitudes de femme fidèle et comblée jusqu’à présent. J’en redemandais et l’encourageais à me baiser de toute sa force. Je le poussais à me posséder, à me remplir. Lui, s’efforçait de me satisfaire et de répondre de sa force herculéenne à toutes mes demandes. Il ahanait, suffoquait tout autant que moi. Silencieux, tout juste il prononçait un :
— Je me doutais que tu étais bonne salope comme toutes les Françaises ...
Suivi d’une phrase en arabe que je ne comprenais pas, évidemment. Il me besognait avec application, attentif à ma propre jouissance. Je ne contrôlais plus rien de mes pensées, de mes désirs, de mon plaisir, de ma jouissance. Je ne saurais dire combien de temps je fus ainsi prise, ni combien de fois l’on me baisa. Manon me raconta bien plus tard que je m’étais mise à gueuler sans discontinuer tout le temps que je subissais les assauts de mes baiseurs, devenue une hystérique du sexe.
Elle parlait bien de mes baiseurs. Ils s’y étaient donc mis à plusieurs. Durant mes accouplements, je tenais des propos incohérents, n’ayant de cesse de réclamer de la « bite ». Je ne me rappelais pas du nombre de partenaires de cette soirée, du nombre d’assauts encaissés. J’eus ce soir-là au moins trois amants, deux à minima cela fût acquis. Hassad ouvrit la voie, si j’osais dire ainsi, à d’autres sexes plus modestes. Manon m’affirma que c’était quatre gars qui me sautèrent m’inondant de leur semence et qu’Hassad y était allé par deux fois. Possible, je ne pouvais contester...
Lorsque je reprenais enfin pied, ma caverne béante, dégoulinante témoignait d’une quantité peu commune de sperme ne pouvant effectivement pas être la production d’un seul homme ni même deux. Ma copine me confia qu’elle-même, après son mari, s’était fait bourrer le fion par Jérôme, le coach tout en prodiguant une fellation à deux autres mecs. Pour elle aussi c’était une première. Elle m’avouait que le couple venait de réaliser un fantasme persistant depuis quelque temps, celui de baiser ainsi dans le vestiaire et que son mari rêvait depuis belle lurette déjà de la partager avec d’autres hommes et pas uniquement avec leurs coéquipiers. Jusqu’à ce soir-là, ils n’avaient pas encore osé franchir le pas. Elle admit et même si au début elle avait certaines réticences, y avoir pris grand plaisir tant cela l’avait excitée de se faire baiser devant Gaëtan, cocu volontaire. Cette révélation me soufflait. Jamais je n’aurai imaginé cela d’elle, d’eux.
Enfin bref, j’avais donc des choses à me faire pardonner et je pensais savoir comment j’allais y parvenir tout en me vengeant, enfin, de ma dénonciatrice, car bien entendu de cet accident de parcours, Antoine en ignora tout un bon moment. Je n’étais pas fière ni certaine de vouloir lui avouer ma forfaiture, mon écart de conduite, mais craignais que cela ne lui revienne, un jour, aux oreilles.
Donc je décidai de lui offrir en compensation, ma nouvelle amie, Marylène, ma petite pute à moi, qui au fond ne demandait pas mieux que de se faire oublier et pourquoi pas au passage, de se faire sauter. Aussi, je lui envoyai un texto lui donnant rendez-vous le surlendemain chez moi en fin de journée, avec quelques recommandations vestimentaires.
Une demi-heure avant le rendez-vous, je demandai à Antoine d’aller préparer son studio prétextant lui avoir trouvé un nouveau modèle. Un peu étonné, il tentait de savoir de qui il s’agissait, mais devant mon mutisme, s’exécuta.
A l’heure demandée, on sonna à la porte d’entrée et j’allai ouvrir.Ma petite pute blonde était là, devant moi, radieuse, d’une beauté jusque-là quasi insoupçonnée.Fini le chignon ou la queue-de-cheval lui donnant cet air austère, ce visage pincé de la petite bourgeoise coincée. Libres, ses cheveux semblaient flotter autour d’elle. Comme demandé, elle s’était maquillée, comme une star de ciné, juste ce qu’il fallait pour ourler ses lèvres, souligner ses yeux, affiner ses sourcils. Pour la première fois, je remarquais l’éclat bleu de ses prunelles, l’insolence d’un regard où il me semblait percevoir l’étincelle de la défiance d’une adolescente en rébellion. Troublée un instant, je repris le ton péremptoire que j’adoptais avec elle depuis notre explication au gymnase.
— Bravo ma petite pute, tu es magnifique, je sens que nous allons passer un bon moment.
Comme à l’ordinaire, elle regardait le sol, incapable de soutenir mon regard. Je percevais le feu aux joues qui la gagnait. J’en étais maintenant absolument certaine, en réalité la situation lui convenait et peut-être l’excitait même.
Sur le pas de porte, sans que je n’eusse besoin de lui demander, elle ouvrit son trench-coat. Seul un porte-jarretelles noir de dentelle ceignant sa taille, attaché à de magnifiques bas fantaisie et un redresse seins assorti l’habillaient. Elle me confirma ainsi ce que je soupçonnais lors de notre réunion au comité départemental, qu’elle possédait une poitrine bien plus généreuse que je ne l’avais imaginé lors de notre altercation. Ses aréoles bien larges manifestaient dès maintenant d’un certain émoi, ma petite salope bandait déjà des tétons.
— Retire ton manteau !
Elle releva la tête et je vis en cet instant la panique la gagner.
— Allez obéis, fous-toi à poil, ma salope, il est temps d’expier ton péché.— Mais ... madame ... pas dans la rue ... s’il vous plaît...
Sa supplique me touchait presque, mais je tins bon, je devais la punir, il était temps pour elle d’être châtiée de son infamie. Elle comprit qu’il valait mieux pour elle de filer droit et laissa choir son unique vêtement, baissa à nouveau la tête puis tenta de masquer de ses mains ses fesses de la vue des éventuels passants.
— Enlève tes mains que tout le monde puisse admirer ton beau petit cul. D’ailleurs, montre-le-moi, tourne-toi que je puisse moi aussi le voir.
Comme une automate, elle se tourna, présenta sa face à la rue, déserte pour son plus grand bonheur probablement. J’admirai son magnifique fessier, rebondi, ferme, musclé, un régal pour les yeux. Je le claquai de quelques tapes appuyées et très vite la fesse rosit.
— Franchement t’es pas mal foutue ma petite salope adorée. Je ne comprends pas que ton mari ne te baise pas plus que ça. Personnellement, j’ai bien envie de te voir te faire sauter par mon mari et mes potes ... je suis certaine qu’ils apprécieraient une petite chienne comme toi. Mais bon, chaque chose en son temps, nous verrons cela plus tard. Pour le moment, tu vas jusqu’à la porte que tu vois à côté du garage et tu attends que l’on vienne t’ouvrir.
Elle me regardait, apeurée, je l’obligeai à faire une dizaine de mètres sur le trottoir, potentiellement à la vue de tous.
— Discute pas, sinon la punition sera plus grande encore et surtout, tu gardes les bras le long du corps.
Elle respecta mes directives, se dirigeant d’un pas pressé vers l’endroit que je venais de lui indiquer. Ses escarpins claquaient sur le bitume, résonnaient dans mon sexe frémissant d’excitation. Je tenais enfin ma vengeance. Je ramassai son manteau, refermai la porte et me dirigeai moi aussi vers le studio, mais par le couloir intérieur. Je la laissai poireauter ainsi quelques minutes, le temps qu’elle aussi boive le calice jusqu’à la lie, que quelques passants et automobilistes puissent admirer cette femme quasiment nue, dans la rue, que moi aussi je me prépare, enfin façon de parler.
Me voyant arriver, Antoine m’accueillit avec son sourire enjôleur. Pour l’occasion, j’avais enfilé ma dernière emplette commandée sur un site très connu évoquant le Paradis et le péché originel, un body vinyle seins nus au string ouvert, fermé autour du cou par collier pour chien et des cuissardes. Je me trouvais dans cette tenue, digne d’une traînée, d’une travailleuse du sexe, enfin très pute si vous préférez.Instantanément, je repérai le regard lubrique de mon époux qui pensait probablement déjà à m’enfiler et me faire subir les derniers outrages.Il vint à moi, me prit par la taille et m’embrassa. Nos langues se cherchèrent et se trouvèrent pour partir dans une farandole endiablée. Ses mains se firent exploratrices et j’eus grand mal moi-même à ne pas succomber au plaisir qui se profilait. Ses doigts visitèrent très vite mon antre et remontèrent humides de mon excitation née. A grande peine, je me dégageai.
— Garde tes forces, je t’ai amené un petit cadeau et je suis persuadée que tu vas bien en profiter.
J’ouvris la porte. Il découvrit alors son présent, Marylène qu’il ne reconnut pas immédiatement.Je la fis entrer. A l’extérieur, un petit attroupement commentait la présence de cette femme nue devant notre domicile, mais je m’en foutais éperdument. Tout le monde dans le quartier connaissait notre histoire, la plupart d’entre eux étant allés surfer sur ce fameux site pour voir de quoi il en retournait exactement. Pour Marylène, ce n’était que la première étape de la honte. Fort heureusement pour elle, personne ne l’avait encore reconnue, tant elle différait de l’image austère qu’elle renvoyait en public.
J’expliquai rapidement à mon mari le scénario que j’envisageais pour cette soirée qui s’annonçait très longue, enfin je le souhaitais. Marylène regardait toujours le sol sans broncher, semblant se concentrer sur le spectacle qu’elle allait devoir donner.Antoine comprit instantanément là où je voulais en arriver. Il demanda à Marylène de bien vouloir s’installer sur le tabouret posté devant le fond noir. Il la guida, la positionna et les flashs commencèrent à crépiter. Après une petite demi-heure de shooting en mode portrait, elle sembla se rasséréner. Attentive aux demandes de mon homme, elle s’exécutait de bonne grâce et le sourire artificiel qu’elle affichait devenait sincère. Une certaine décontraction naissait, semblant lui faire oublier et peut-être apprécier, sa nudité.
Les poses devenaient peu à peu plus suggestives, les plans plus larges ou plus serrés suivant l’objet de son attention. Mon photographe lui demandait de se cambrer, de gonfler les seins, elle le faisait, de s’empaumer, elle s’exécutait sans contester, d’ouvrir ses genoux, elle obéissait. Elle devenait naturelle, anticipait les sollicitations presque comme un modèle expérimenté, offrant son meilleur profil, le meilleur angle. Lorsqu’il lui demanda enfin d’écarter les lèvres de son sexe et de lui montrer son intimité, elle sembla hésiter, mais s’exécuta, rouge de confusion. Sa petite fleur perlait d’une rosée toute fraîche. Elle n’ignorait rien des clichés pris, l’appareil photo relié à un PC, diffusait chaque vue sur un écran de télévision géant fixé au mur, face à elle. Elle se mettait elle-même en scène, jouant avec son corps, sa chevelure. Elle se contemplait, s’admirait, s’aimait ainsi mise en lumière, cela transpirait une certaine libération d’un puritanisme exagéré.
L’objectif capturait le moindre détail de sa corolle entrouverte, la faisant rougir davantage encore, sans pour autant qu’elle tenta de dissimuler quoi que ce soit, bien au contraire.
Je la rejoignis alors sur la scène de ce théâtre érotique, empreinte moi aussi d’une certaine émotion intime. Nous fîmes alors une série de portraits du couple que nous formions. Très vite, Antoine ne dirigea plus rien, se contentant de saisir nos troubles. Nous échangeâmes rapidement quelques premiers baisers chastes, quelques effleurements imperceptibles. Je baisotais son cou, ses oreilles, ses joues, la couvrais de mille caresses discrètes. Elle s’abandonnait, je découvrais le saphisme, la douceur d’aimer une femme, l’élasticité d’une peau fraîche. Mes mains partirent à la découverte du corps de mon amante offerte, répondant à nos désirs respectifs. Elle émit une première complainte, me suppliant presque de continuer ainsi.
Une fougue déconcertante nous submergeait. Nous partions dans des baisers ravageurs et sonores. D’une dextérité fortuite, je fouillais à présent son intimité dégoulinante d’un nectar odorant. N’y tenant plus, je m’agenouillais devant elle. Pour la première fois de ma vie, je goûtais un fruit jusqu’alors méconnu. D’un naturel qui me surprend encore, je la fouillais de ma langue inexpérimentée et pourtant si habile. Je débusquai son petit bouton d’amour de sous son capuchon. Son éminence ne se faisait pas prier et se dressait fière, un véritable petit sexe. Je m’aventurai un peu plus bas, goûtant pour la première fois un abricot bien frais. J’avais déjà eu un échantillon de son nectar parfumé. Là je pouvais librement m’abreuver à cette source odorante. Je la léchais, la fouillais, sentais ses lèvres intimes s’ouvrir au passage de ma langue curieuse affamée de tant de nouveautés. Elle suintait le bonheur, gémissait sous ma langue.
De maîtresse potentielle, je devenais esclave soumise à cette caverne dont je me repaissais, incapable de m’en détacher. Mylène m’emprisonna brusquement la bouche sur sa chatte lisse enflammée et jouit d’une intensité incroyable.
Je me relevai enfin, barbouillée d’un jus d’amour que je lui fis nettoyer. Un tant soit peu, j’avais failli succomber à cette femme. Il me fallait rétablir l’ordre. D’elle-même elle s’excusait de son audace.
— Pardon Madame pour cet écart.
Je repris le rôle de la méchante après le plaisir que je venais de lui donner.
— Alors ma petite pute, c’était bon ?— Oui madame, merci pour tout cela.— À genoux salope, et fais-moi jouir aussi.
Elle s’exécuta, visiblement de bonne grâce. Je prenais appui sur le tabouret, lui présentais mon postérieur. Elle enfouit son visage dans ma raie culière et la langue de la petite pute vint chatouiller une partie très sensible de mon anatomie, mon anus. La salope savait y faire, se promenant de ma chatte à mon cul. J’avais tout de même beaucoup de mal à croire en son inexpérience en la matière. Elle me prodiguait un anulingus comme jamais Antoine ne m’en avait fait, une caresse savoureuse, extatique. Très vite, la défaillance m’emporta. De ma main droite, je lui plaquai la bouche sur mon puits secret, l’asphyxiant presque tant j’appuyais.
De son côté, Antoine ne perdait pas une miette du spectacle et avait programmé son appareil en mode automatique, prenant ainsi un cliché toutes les dix secondes. Par sécurité, lors des shootings, mon mari filmait également la séance. Une sorte d’assurance sur une éventuelle plainte pour des faits qui ne se seraient jamais déroulés. Les médias relayaient suffisamment d’affaires de harcèlements sexuels, de viols avérés ou imaginaires, pour qu’il prenne quelques précautions. Il en était de même ce soir-là et pour la première fois nous tournions notre propre film porno avec une tierce personne.
Il se dévêtit et vint nous rejoindre, la queue bien relevée. Nous échangeâmes un nouveau baiser, parfumé du musc de ma petite protégée. Il le savourait, s’en délectait. Ses mains partaient à la rencontre de ma poitrine offerte qui reçut enfin toute l’attention qu’elle méritait. J’étais au cœur de toutes convoitises et à mon tour partais dans une ronde de soupirs, de gémissements annonciateurs d’un plaisir proche. Sous ma langue, je sentais mon mari se raidir brusquement. Je me détachais et regardais la petite ingénue qui, tout en me broutant, s’était emparé du sexe, que je trouvais étrangement gonflé, de mon mari, le branlant sans retenue. Il ne m’en fallait pas plus pour partir dans ma première jouissance de cette folle nuit.
Marylène ne comptait visiblement pas en rester là et emboucha la verge tendue. Après quelques succions, Antoine lâcha :
— Oh qu’elle est bonne cette petite garce, elle est douée !
Je ressentais tout de même une petite pointe de jalousie à voir mon époux prendre son pied sous la fellation d’une autre femme. Néanmoins, j’avais vu juste. La coincée du cul, la grenouille de bénitier, la bourgeoise orgueilleuse était une salope, une garce de première, une sacrée baiseuse, une refoulée du sexe, une suceuse hors pair qui aimait la bite. Elle voulait du cul, nous allions lui en donner. Pendant les quelques minutes qui suivirent, je me transformai en réalisatrice de film pour adultes. Je déplaçai le chariot de la caméra pour filmer en gros plan la mangeuse de couilles en action. Sur l’écran, Marylène gobait, léchait, tétait, aspirait le sexe turgescent d’Antoine.
N’en pouvant plus, elle supplia Antoine de la baiser. Au comble de son excitation, il s’enfonçait au plus profond de sa gorge, lui imposant dans un rythme endiablé une gorge profonde. Elle encaissait tout de même malgré quelques haut-le-cœur. Les larmes lui coulaient, sa salive l’inondait. Un instant, elle se dégagea.
— S’il vous plaît monsieur, baisez-moi, je n’en peux plus.
Circonspect, mon mari me regarda.
— Puisqu’elle te le demande gentiment, défonce-lui la chatte mon chéri, c’est ton cadeau, je t’expliquerai plus tard.
Il ne se fit pas prier plus longtemps, la releva, la retourna, lui fit prendre appui sur le tabouret et sans autre préliminaire s’enfonça en elle.
— Haaaaaaaaaaa que c’est bon une queue ! T’es bon mon salopard.
La petite se délurait. Il la prenait par les hanches et la besognait sans ménagement, ne s’épargnant aucun effort, trop content de s’offrir une petite chatte toute serrée. Ma petite pute gémissait, bramait et n’avait de cesse de l’encourager, lui demandant toujours plus fort. Ses melons s’agitaient en tous sens, les tétons érigés. De temps à autre, elle s’en saisissait d’un et se le triturait, se le malaxait. Mais les coups de boutoir de mon Antoine lui interdisaient tout déséquilibre sous peine de choir. Il la sautait comme un soudard, répondant à ses attentes. Elle jouit une première fois, mais Antoine semblait retrouver une énergie débordante. Il continuait ainsi quelques instants. Elle eut un second orgasme sous sa queue enfoncée loin dans sa matrice. Elle en voulait encore, telle une furie, rattrapant des années de frustration. Il lui parla à l’oreille sans que je puisse distinguer ce qu’il lui disait, mais elle répondit :
— Oui ! Allez-y Monsieur, remplissez-moi la chatte de votre semence, je le veux votre jus.
Je compris alors qui lui avait demandé si elle prenait une contraception et s’il pouvait jouir en elle.Antoine s’exécuta, s’arc-bouta, pris de soubresauts, grognant, rugissant tel un mâle en rut, se projeta en avant. Je fis un gros plan sur les impulsions de sa verge expulsant en elle le sperme fécondateur, aussi loin qu’il le pouvait.
Après quelques minutes, le calme revint dans le garage studio, chacun semblant retrouver peu à peu ses esprits. J’étais finalement émoustillée d’avoir assisté en direct et pour la première fois à une relation extra-conjugale de mon conjoint avec un de ses modèles, même si dans le cas présent, c’était moi-même qui le lui avais offert.
Ma dénonciatrice nous remercia pour ce moment de folie, de partage. Elle nous avoua n’avoir jamais tant joui pour les quelques fois où quelqu’un avait daigné s’occuper d’elle. La bourgeoise endimanchée devenait une grosse salope emmanchée et semblait vouloir y prendre goût.La nuit ne faisait que commencer et l’endurance d’Antoine risquait d’être mise à rude épreuve. Aussi j’allais chercher quelques accessoires commandés en même temps que ma tenue pour que ses orifices ne connaissent pas de repos, le temps que mon homme recharge ses batteries.Lorsque je revins, Antoine la prenait de nouveau, cette fois dans une position plus conventionnelle, celle du missionnaire. Ils s’embrassaient, se roulaient une galoche des plus tendres, une de celle que l’on se fait lorsque l’on est amoureux. Étrangement, je n’éprouvai aucune jalousie, aucune peine et trouvai le couple très beau emboîté l’un dans l’autre.
— Vous ne vous faites pas chier quand même, vous auriez pu attendre un peu que je sois là.
Mon mari s’excusa presque.
— Désolé, mon amour, j’ai rebandé rien qu’à voir mon sperme s’écouler de sa chatte, j’avais trop envie de lui en remettre un coup.— Non, mais je blaguais, baise-la mon cœur, je crois que nous avons notre petite pute, hein Marylène que t’es notre pute maintenant ?
Il fut un temps pas si lointain où il fallait répéter voire la menacer pour qu’elle réponde. Désormais cela venait tout seul.
— Oui madame, je suis à vous ainsi qu’à monsieur, faites de moi vote esclave sexuelle, c’est trop bon. Monsieur me fait jouir et vous êtes si bonne Madame.— Tu vois mon chéri, je suis même certaine que tu vas pouvoir l’enculer sous peu.
La dame commençait à gémir sérieusement, proche d’un nouvel orgasme, mais réussit tout de même à souffler.
— Je n’ai jamais fait ça jusqu’à présent, c’est sale ...— T’inquiète ma chérie, mon Antoine va te déflorer le fion et tu en redemanderas.
Sur ces paroles, ils jouirent de concert. Lorsque mon époux se retira de ce vagin enflammé, je me précipitai sur sa bite et mis un point d’honneur à nettoyer leurs souillures mêlées. Je n’avais pas toujours aimé le goût âcre du sperme, mais maintenant j’en raffolais.La nuit passa ainsi de léchouilles, de gamelles, d’embrassades, de tétées, de broutage, de pénétrations, un coup elle, un coup moi, de jouissances, de soupirs, de plaisirs. Antoine se montra particulièrement performant et nous honora plus que je ne l’aurais cru capable.
Nous jouions de temps à autre avec des artifices et je la pris même avec un gode ceinture de très belle taille, tout neuf. Je ne la ménageai pas, m’enfonçant en elle assez sauvagement, lui arrachant souvent des cris de douleurs mêlés de plaisir et aussi incroyables que cela pouvait paraître, elle en redemandait toujours plus. Je tenais enfin ma vengeance. Je savais que maintenant elle était mienne et qu’elle m’appartenait. J’aurais aimé lui défoncer son petit trou vierge avec ce monstre que j’arborais fièrement, heureuse d’être la dominante, celle qui saillit. Antoine me retint de peur que je ne la blesse tant j’exultais de violence. Oui, en cet instant je me revendiquais barbare, prête à assouvir ma soif de représailles et d’humiliations. Puis, après un dernier assaut sévère, Marylène éjaculait son plaisir foudroyant. Bizarrement, d’un coup je me sentis apaisée, regrettant ma sauvagerie.
Un peu plus tard, je la sodomisai pour la première fois avec un modeste plug. Elle n’en ressentit pas de plaisir particulier, mais pas de douleur non plus. Seul l’aspect psychologique d’avoir une relation sexuelle par l’anus la rebutait, elle qui maîtrisait si bien l’anulingus. Pour la convaincre, nous lui montrâmes un film porno, un des nôtres, où Antoine m’encule joyeusement et où je jouis comme une folle. Après de fortes stimulations, elle accepta tout de même de tenter l’expérience et c’est ainsi qu’elle passa la nuit avec un jouet dans le fondement. Ce jour-là elle resta chez nous jusqu’à tard dans la matinée du lendemain.
Lorsqu’elle rentra chez elle, elle apprit à son mari qu’il était cocu puisque lui dédaignait s’occuper de sa chatte qui réclamait un peu d’attention. Elle décréta que d’autres s’en occuperaient puisque lui ne le faisait pas. De ce qu’elle nous en a dit, la pilule avait été dure à avaler pour son époux, mais il avait tout de même accepté les reproches, reconnaissant de fait ne pas être réellement intéressé par les femmes, ce qu’elle soupçonnait depuis quelque temps.
De mon côté, j’avouai à Antoine, quelques jours plus tard, non sans une certaine appréhension, la raison de mon cadeau et mon infidélité involontaire dans les vestiaires du gymnase. Il n’en prit pas ombrage et me dit même qu’il aurait bien voulu voir ça. Il se doutait bien que nos publications auraient des conséquences sur notre vie de couple et que tout le monde ne pouvait pas faire le distinguo entre s’exhiber et s’offrir à qui le voulait bien. Contrairement à ce que je pensais, il me jura ne jamais tenter une quelconque approche avec ses modèles, m’invitant même à visionner tous les enregistrements de ses shootings. J’en étais confuse et presque déçue. Il reconnaissait que cela n’était pas toujours facile et que certaines filles, femmes, se trouvaient dans le même état que moi à l’issue d’une séance un peu hot, mais que jamais il ne les touchait. Certaines se faisant jouir sans honte devant l’objectif, lui, se contentant de photographier ou de filmer suivant les demandes.
Note petite salope préférée finit par changer de look, plus sexy que jamais, respectant notre demande, jupe plus courte et libre de tous sous-vêtements. Elle demanda le divorce, son Jean-Pierre n’ayant rien retenu de la leçon, ne mettant aucun entrain à la satisfaire. Par la même occasion, elle se désengagea de son action caritative, non pas qu’elle trouvait sa situation déshonorante, mais l’intolérance de gens qui se disaient chrétiens l’exaspérait. Antoine m’informait de ses visites régulières en mon absence pour qu’il la baise, un peu enfin beaucoup même si j’avais bien compris. Il la sodomisait couramment, le réclamant d’elle-même à tel point que son anus s’était si bien assoupli qu’il pouvait l’enculer sans grande préparation. Comme je l’avais anticipé, elle aimait ça et en redemandait donc.
Personnellement, je ne voyais rien à y redire, bien au contraire, car de mon côté, je continuais désormais ouvertement mes galipettes avec les basketteurs du club, pas seulement sous les douches et avec en particulier avec un certain Hassad.
Après quelques semaines de ces baises désordonnées, nous conclûmes qu’il valait mieux pour Marylène qu’elle s’installa chez nous, au moins le temps qu’elle règle ses histoires matrimoniales. Nous l’accueillîmes dans un premier temps dans la chambre d’amis, avant qu’elle intègre définitivement notre lit conjugal, après que l’on repensa l’agencement de la nôtre pour plus de commodité.
Dans une petite commune comme la nôtre tout se sait. Nul n’ignorait donc que nous formions un trio. Ça jasait pas mal, mais on s’en moquait éperdument. Nous étions heureux et prenions un malin plaisir à nous promener dans le bourg, tous les trois, main dans la main. Je ne pensais pas que cela puisse m’arriver un jour, mais je devais avouer être tombée amoureuse de cette petite salope, notre petite pute chérie tout en aimant toujours autant mon adorable mari. J’étais accro à cette nana, raide dingue de sa chatte de folie, de son cul rebondi, de ses seins adorables, de ses effluves, d’elle-même tout simplement. Il me fallait juste prendre le temps de la découvrir. Je crois que si la loi l’avait permis, je l’aurais épousée.
La nature me privant des joies de la maternité, nous décidâmes tous les trois de fonder une famille. Il ne fallait pas longtemps à Marylène pour se retrouver enceinte d’Antoine qui allait donc être papa et moi... tata, puisque nous décidâmes que la maman devait le rester. Quant à moi, étrangement, ne prenant plus aucune contraception inutile depuis des années, à la surprise générale, je me retrouvai aussi enceinte deux mois plus tard, mais de jumelles. La grande différence étant que j’étais à peu près certaine qu’Antoine n’en était pas le père biologique, mais cela était une autre histoire.
Nous donnâmes donc naissance à deux mois d’intervalles, ma chérie à un petit garçon que l’on prénomma Édouard et moi de deux filles, Salomé et Rebecca. Comme je le pressentais, elles sont assez typées méditerranéennes. Quant à mon Antoine, heureux comme tout de ses paternités, reconnut toutes les progénitures, sous l’œil suspicieux de l’employée de l’état civil.
Marylène devenait une addict du sexe, bien plus que moi ainsi qu’à l’exhibition qu’elle découvrait, ce qui nous amena à partager quelques publications. Depuis, nous avons tout de même demandé à ce que toutes nos contributions soient retirées, au nom du droit à l’oubli numérique, ce qui a été fait.
Voilà maintenant à peu près dix ans que nous vivons tous les sept heureux, Marylène nous ayant donné un second fils. Je suis donc maman et tata deux fois et nos enfants s’y retrouvent parfaitement en tant que frères et sœurs. Ils n’ont pas la même maman, mais officiellement, ils ont le même papa.Pour différentes raisons, j’ai quitté le basket et nous avons déménagé dans une ancienne ferme pour nous épanouir loin de tous les médisants. Antoine partage ainsi son lit avec deux grosses salopes de première classe, affamées de bites. Certes, nous ne sommes pas toujours fidèles, surtout moi, mais débordantes d’amour pour notre homme qui lui, désormais, s’autorise, avec notre accord bien entendu, à baiser ses modèles qui ne demandent que ça et croyez-moi, cela est relativement fréquent. L’adultère ne concerne pas que les hommes, la différence étant dans la finesse de nos cocufiages, nous sommes de bonnes comédiennes.
Alors ? Maintenant on dit « Merci Qui ? »
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