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Chapitre 4

Je susi enceinte - 1 -

Divers
Avant toute chose, je tiens à remercier ici toutes les personnes qui m’ont envoyé en privé des messages de bienveillance voire de mise en garde sur les dangers de publication de photos intimes sur Internet. Rassurez-vous, nous avons bien retenu la leçon, même si, au final, nous en sortons grandis, enfin je trouve. Ne m’en veuillez pas non plus si je ne vous envoie pas les liens ni les photos, une seule fois suffit.
Chose promise, chose due. Dans les trois épisodes précédents de cette histoire, vous avez découvert à peu près tout de mes (nos) aventures et mésaventures suite à des photos coquines publiées sur un site bien connu pour cela. Vous savez donc que notre dénonciatrice, cette salope mal baisée, est devenue depuis, notre salope adorée, notre petite pute chérie, notre maîtresse, notre femme. Nous partageons désormais à trois notre lit, dans une ferme, un peu en retrait de la ville. Vous savez aussi qu’elle s’est assez vite retrouvée enceinte de mon mari Antoine, pour notre plus grande joie, puisque la nature ne pouvait me faire mère.
Mais voilà, deux mois plus tard, à mon tour et pour notre plus grande surprise, moi aussi je me suis retrouvée enceinte et de jumelles pour couronner le tout. Le hic, enfin... Façon de parler, c’est que j’étais certaine qu’Antoine n’en était pas le géniteur.
Mais alors qui ?
Je vous ai raconté une petite baise « improvisée » à l’issue d’un match un peu tendu, dans les vestiaires du gymnase, entre copains, avec ma copine Manon et son conjoint Gaëtan. Petite baise initialement impromptue. Manon m’avoua par la suite que le couple rêvait en fait de candaulisme depuis un petit bout de temps déjà et que ce fut pour eux l’occasion de franchir le pas, entre copains.
Pour ma part, j’informai mon incartade à mon Antoine, tout en lui expliquant le contexte, un peu honteuse tout de même. Bien qu’il en fût un peu contrarié au départ, il ne ma blâma pas, m’assurant ne pas m’en vouloir, ni aux membres de l’équipe. Nous en discutâmes longtemps, calmement, autour d’un apéro. Il se sentait un peu coupable de ses publications érotiques. Pour lui, cela devenait une évidence, m’exposant ainsi, je ne pouvais qu’attiser la convoitise. Qu’il est mignon mon amour.
Ce qui me surprit le plus dans notre conversation, c’est que mon mari me demanda de lui raconter les faits, encore et encore avec de plus en plus de détails. Comment Manon s’était fait baiser ? Par qui ? Combien de fois ? Et si cela m’avait excitée ? Combien de fois j’avais été prise ? Si j’avais joui ? ... Je finis par comprendre qu’il ne m’en voulait pas du tout, bien au contraire, et qu’il en retirait lui-même un plaisir certain.
Ce soir-là, nous fîmes l’amour intensément, profondément, bestialement, à même le tapis du salon. J’eus droit à peu près à tout. Mon Antoine se déchaîna sur moi, en moi. Lui qui en temps ordinaire faisait montre d’une relative sagesse, trop peut-être, se lâcha, enfin, si j’osai le dire. Il m’insulta, me claqua le cul, me baisa, me sodomisa à de multiples reprises, me fit avaler quantité de sperme. Le temps d’une soirée, je devins sa chose, son objet, son jouet, son esclave sexuelle, sa pute, sa soumise. Il n’y eut que peu d’intermèdes et lorsque sa bite flancha un peu, son imagination perverse prit le relais. Il usa et abusa de mon corps consentant avec mes joujoux intimes dont un gode monstrueux qu’il m’obligea à garder dans la chatte une partie de la nuit, lui s’occupant de ma porte secrète. Ce fût assez dur, mais je dois vous le confesser, j’y ai pris un plaisir incommensurable, je dois vous l’avouer. Loin de me rebeller, je jouis et l’encourageai encore et encore. Nous étions ivres, d’alcool certes, mais de sexe surtout. Une démence, une frénésie sexuelle s’était emparée de nous, probablement refoulée jusqu’à présent, mais pourtant tapie au plus profond de nos sentiments les plus fous.
Au petit matin, après qu’il m’eut libérée de mes entraves, nous rendîmes les armes et nous endormîmes enlacés dans les bras l’un de l’autre. Pour la première fois, nous nous fîmes porter pâles dans nos emplois respectifs.
La journée ne fût pas de trop pour s’en remettre et mon corps endolori mit quelques jours à récupérer. Jamais nous n’avions connu une telle bourrasque dans nos effusions. Nous refîmes l’amour le soir même. Bien loin de la baise précédente, tendrement s’excusant presque des débordements merveilleux de la veille. Nous discutâmes longtemps pour finalement reconnaître que ce petit coup de canif avait un effet aphrodisiaque sur notre sexualité d’un soir.Je m’avouai et avouai alors seulement à cet instant que l’aventure du vestiaire m’avait beaucoup plu et que j’eus apprécié me faire baiser par monsieur Hassad et sa grosse queue, devant les autres qui plus est. Emportée dans mon exaltation, je lui confessai le désir de recommencer, toutefois à peine anxieuse de sa réponse. Je lui avouai mon envie de goûter à la chatte de ma copine, hurlante de jouissance et souillée de ses saillies successives tout en lui assurant mon amour inconditionnel.
— As-tu vraiment besoin de mon accord ? me dit-il.
Je crus percevoir en ses prunelles légèrement embuées, une certaine mélancolie, une crainte peut-être qui me fit immédiatement regretter ma demande. Mon cœur se serra empreint d’une certaine tristesse.
— Oui, si j’aime le sexe, je t’aime encore plus et je ne veux pas te perdre. Je comprends tout à fait que tu ne veuilles pas et je ne souhaite pas le faire dans ton dos, l’autre fois, c’était un accident, mais j’étais quasi certaine que tu serais d’accord, c’est pour cela que je te l’ai avoué.
Il me regarda goguenard avant de partir dans un immense fou rire.
— D’accord ... mais tu me racontes après et en détail, mieux, tu filmes.— Salaud ! m’écriai-je. Quel comédien tu fais ! J’ai cru que tu allais pleurer.
Nous nous enlaçâmes, nos langues se cherchèrent et partirent dans une farandole endiablée. Nous refîmes ce soir-là quelques galipettes où il me sembla prendre un pied extraordinaire. Le pouvoir de l’imaginaire sans doute, le corps humain n’est que surprise pour moi. Sa langue fit des merveilles aux endroits maltraités la veille, m’emportant vers des extases réparatrices. Je m’offrais à ses feuilles de roses, distendant au possible mes globes musclés, l’encourageant, l’incitant même à une douce pénétration linguale, soupirant d’aise et de bonheur. Je tremblai dans un râle continu, susurrant ma jouissance grandissante avant d’exploser brutalement. A mon tour lentement, je le dégustai, recueillant son liquide préséminal avant de recevoir son offrande, de me repaître de sa liqueur fertile. Nous échangeâmes nos sucs respectifs, parfums âcres, parfois salés tantôt sucrés de nos sécrétions intimes. Il m’honora ainsi à maintes reprises de son glaive brandi, fiché au plus profond de mon être, enveloppé d’une douceur exquise. Nous jouîmes ainsi sans retenue, nous donnant l’un à l’autre. Contraste saisissant des assauts rustres de la veille, des saillies vigoureuses du soudard qu’il fût.

C’est en cette période que je décidai de lui offrir une soumise, celle qui subissait mes courroux, ma vengeance personnelle, cette roulure, cette salope de Marylène qui, bien vite, devint notre amante, notre maîtresse chérie et tant adorée. J’en tombai nul doute moi aussi follement amoureuse, à tel point que nous la fîmes divorcer de son mari, qui se révéla finalement être gay, et de lui proposer de partager notre couche, notre amour.
Les jours passèrent ainsi. Marylène nous avait donc rejoints en notre domicile et après quelques aménagements intégra le lit conjugal. Désormais nous faisions l’amour où baisions à deux, à trois suivant les envies, les humeurs et les disponibilités de chacun. Quelques fois Antoine et elle, ou moi ou tout simplement elle et moi. Nous découvrions ainsi le polyamour. Nos ébats s’accentuèrent en fréquence et en intensité et assez vite nous prîmes l’habitude de vivre nus à la maison, évitant de perdre de temps en d’inutiles effeuillages, bien que parfois cela eut un certain charme. Notre couple trouva une nouvelle libido et tous les prétextes furent bons pour s’offrir les uns aux autres. Mon, notre, Antoine ne chômait pas et quelques fois nous devions l’aider un peu en usant d’artifices manufacturés.
De mon côté, les attouchements sous les douches du gymnase continuèrent un bon moment. Tous les gars eurent droit au moins une fois à mon attention, d’une façon ou d’une autre. Je ne voulais surtout pas créer de jalousie et des tensions au sein du groupe. En toute honnêteté, je dois vous préciser que tous n’étaient pas non plus demandeurs. Globalement les gars me, nous, respectaient et n’abusaient pas de la situation. Souvent je les branlais simplement, les laissant jouir dans ma main, mes fesses ou ma poitrine. D’ailleurs, Manon m’imita et leur accorda à peu près les mêmes privilèges à une ou deux exceptions où, avec la complicité de Gaëtan son mari, leur offrit une fellation magistrale. C’était la récompense suprême après une victoire âprement disputée.

Dans notre nouvelle famille, Marylène était enceinte et tout se passait pour le mieux. Antoine le futur papa et moi la future tata, étions aux anges d’accueillir un petit être au sein de notre foyer. Inutile de vous dire que nous étions l’un et l’autre aux petits soins pour la future maman. Fini la petite pute, la salope soumise, l’esclave volontaire que nous avions à portée de mains. Enfin, pas tout à fait quand même. Être enceinte n’étant pas une maladie, elle a continué à vivre nue en notre maison et nous avons toujours abusé d’elle pour sa plus grande joie, tout en étant prudents tout de même. Je crois que c’est à cette période que mon, notre, homme l’a le plus souvent sodomisée. J’étais heureuse pour elle bien entendu, mais comme j’aurai aimé être à sa place. Comme moi aussi j’aurais voulu voir mon ventre s’arrondir, comme moi aussi j’aurai aimé sentir en moi la vie. Mais c’était ainsi, pour une raison inconnue, la nature en avait décidé autrement.
Quelques semaines après que nous ayons appris la future maternité de notre chérie, Monsieur Hassad avait organisé pour son anniversaire une petite fête chez lui, un soir, après l’entraînement. Presque toute l’équipe était présente, y compris Pauline notre petite sauvageonne et probable pucelle. Pour l’occasion, nous nous étions tous cotisés pour lui offrir la tenue officielle des « Lakers », celle de Kobe Bryan plus précisément dont il était fan à l’époque. La fête se passa à merveille et tout le monde s’amusait.
Nous découvrîmes son univers personnel, une charmante petite maison, à la décoration occidentale très épurée. Nous le savions non pratiquant, nous l’ayant déjà montré en de multiples occasions, ne serait-ce qu’en partageant nos célèbres verres de l’amitié. Seul le salon témoignait des origines musulmanes de nos hôtes, par la présence de nombreux tapis, que je supposais orientaux et une myriade de coussins aux couleurs chatoyantes, posés à même le sol autour d’une table basse ronde. Monsieur Hassad nous expliqua que c’était son coin, celui où il suivait la nuit les matchs de la NBA en compagnie de son frère Mourad qu’il nous présenta par ailleurs. Quant à sa femme Samia, elle nous rejoignit très tard dans la soirée, étant cheffe d’unité dans une société de surveillance et de gardiennage industriel.
Je ne vous ai jamais présenté Hassad enfin, Monsieur Hassad pour moi tant il m’a toujours intimidé pour une raison que je ne saurai toujours pas expliquer. Il s’agit d’un beau bébé qui approche le double mètre, doit friser les cent vingt kilos, musclé, très musclé même. Il n’y a pas beaucoup de gras sur le bonhomme, je vous l’assure. Le crâne rasé, il arbore une fine barbichette entretenue. Si lui n’ignore rien de ma plastique, il en est de même pour moi tant nous avons joué à touche pipi sous les douches et même plus une fois.
Je vous ai dit à quel point je me méfie des appendices surdimensionnés des héros vantés dans certains récits et que si mon Antoine est relativement bien pourvu, enfin pour moi en tout cas, je devais bien reconnaître que Monsieur Hassad possédait un engin hors norme, s’il en est une. N’étant pas couturière, je n’ai pas pris le mètre pour le mesurer. J’aimai à dire qu’il ressemblait à un beau saucisson et que malgré tout, ma chatte l’avait bien accueillie, et qu’elle était déjà d’accord pour recommencer.
Je fus désignée, ben voyons, pour lui remettre son cadeau. Il fut décidé que je devais revêtir la tenue et que Monsieur Hassad devait me l’ôter avant de l’enfiler. Le moment venu, en toute discrétion, Samia me guida donc vers leur chambre afin que je puisse me changer. Je quittais ma robe et m’apprêtais à m’habiller avec la tenue 3XL reçue depuis peu des États-Unis, de Los Angeles plus précisément lorsque son épouse m’interrompit.
— Fous-toi à poil ma jolie !

Samia, rentrée depuis peu, était encore en tenue de travail, pantalon treillis, rangers, pull à grosses côtes, gros ceinturon, toute de noir vêtue. Sans complexe elle se déshabilla devant moi. Je découvris la jeune femme en sous-vêtements austères, culotte de coton et soutien-gorge de sport. Visiblement le confort primait sur le côté sexy, peut-être à cause de son boulot. Elle retira le tout, sans aucune fausse pudeur. Je la découvris très musclée, superbe, avec de magnifiques seins ronds, un ventre plat, aux abdominaux dessinés et une toison pubienne rêche quasi glabre. Elle défit son chignon, secoua la tête, ses cheveux volèrent autour d’elle, retombant sur ses épaules. Très belle femme, dans la trentaine certainement.

Me voyant hésitante, elle insista.
— Allez fais pas ta mijaurée tout le monde t’a vue à poil, allez magne !
Sans savoir pourquoi, je l’imitai et me retrouvai moi aussi nue.
— Je sais que mon mari t’a baisée, enchaîna-t-elle, j’espère que tu as apprécié. Mon Roi Hassad ne me cache rien tu sais, d’ailleurs il m’a montré tes photos, plutôt sympa je dois l’avouer. Je les ai montrées à mon équipe et ils aimeraient bien aussi t’en foutre un coup comme ils disent, si un jour ça te dit.
Je fus un peu surprise de la conversation et ne sus que répondre.
— N’aie crainte, je ne vais pas te faire de mal, je ne suis pas jalouse, au contraire, ça m’a fait plaisir.
Lentement, elle s’approcha de moi. J’étais comme tétanisée, n’osai rien dire ni bouger. Ou étais-je subjuguée tout simplement ? Nous n’étions plus qu’à quelques centimètres l’une de l’autre. Sa main vint se poser sur un de mes seins. Une boule se forma au creux de mon estomac sans que je n’eusse la moindre velléité de protestation ou de recul. Je me laissai faire et fermai les yeux. Je sentis alors ses doigts caresser mon mamelon qui me trahit immédiatement en se dressant sous la dextérité de cette femme. Un foyer incandescent s’amorçait en moi. Elle m’empauma à deux mains, me malaxa, m’électrisa, m’arrachant déjà un premier soupir. Ses lèvres s’approchèrent des miennes, je sentis son souffle sur les miennes qui s’entrouvrirent déjà abandonnées au chaste baiser qui se profilait. Mais elle n’en fit rien. Ses doigts agiles me pincèrent, m’attirèrent à elle. Nos corps se rencontrèrent, s’épousèrent. Je sentis la chaleur de son corps de Méditerranéenne m’irradier d’une douce torpeur. Ses seins durcis fusionnaient avec les miens. Nous ne faisions plus qu’une. Une main glissa lentement sur ma hanche, s’immisça entre nous. Je creusai mon ventre pour aider sa progression, tendis mon bassin pour faciliter sa pérégrination. Au terme de son voyage, ignorant mon éminence éveillée, elle atteignit enfin l’entrée de ma grotte déjà humide.
— Hum t’aimes ça ma cochonne, tu es toute mouillée, me susurra-t-elle à l’oreille.
Puis, y enfonçant son majeur autant qu’elle le put, elle poursuivit son monologue.
— Ce soir, le cadeau du Roi Hassad, c’est toi ma petite chérie. Il va te baiser devant tout le monde cette fois-ci. Ils n’attendent que ça. Toute l’équipe est au courant, y compris la petite Pauline, enfin, tous, sauf toi bien entendu. C’est une super idée de ta grande copine, Manon. Il paraît que tu lui as dit que tu avais adoré sa grosse bite et que tu voulais recommencer. Alors comme je sais que lui aussi a fortement apprécié et qu’il aimerait bien y retourner ... Ce sera mon cadeau d’épouse... une pute soumise pour mon Roi... Ce soir tu es sa pute, "khaba", et tu ne dois rien refuser au Roi Hassad... Tu es d’accord ma chérie ?
Je l’écoutai sans vraiment entendre ce qu’elle me disait tant ses doigts fichés en moi étaient habiles. J’aurais dû être outrée des propos tenus. Je suis peut-être une salope et bien que la frontière paraisse bien mince, je ne suis certainement pas une pute, malgré tout le respect que j’ai pour elles. On ne décide pas non plus pour moi de mes partenaires de jeu, je les choisis éventuellement. L’histoire du vestiaire n’était qu’un accident, agréable certes, mais un accident. Je n’irai pas dire une erreur, une faute, mais un imprévu tout de même. Mais non, aucune réaction de ma part, embrouillée par mes sentiments. Oui, j’ai bien dit à ma copine que j’y avais pris grand plaisir et oui lui ai avoué avoir envie de recommencer. Oui, je n’avais rien contre, qui plus est, à la demande de son épouse. Alors oui, je crois tout simplement que mon silence était un aveu de ma concupiscence et que j’étais prête à m’offrir à la vue de tous. Je me retrouvai anesthésiée par le plaisir montant et il ne fallut plus qu’un ou deux allers-retours appuyés de Samia au centre de ma féminité enflammée et inondée pour m’arracher ma première jouissance de la soirée.
Mon silence était donc une acceptation implicite de ma condition de salope soumise, bonne à baiser. Soumise, oui je m’en rendis compte avec le temps, que j’aimasse être commandée, dirigée, obéir, ne plus décider et de m’offrir. Antoine, bien malgré lui, m’en avait fourni la preuve, récemment.Elle me fit agenouiller d’une simple pression sur les épaules. Je me retrouvai avec sa vulve à portée de bouche. Résignée ou volontaire, déjà esclave, je ne saurai encore le dire aujourd’hui, elle n’eut point besoin de s’exprimer, je savais ce qu’elle désirait, ce que je devais faire. Ma langue d’elle-même débusqua alors son bouton d’amour, tentant de forcer le passage de ses grandes lèvres. Elle s’allongea sur le bord du lit, libéra l’accès encore un temps verrouillé à son antre humide. Étrange contraste de cette peau mate et de ces chairs rosées luisantes. Telle une assoiffée, je me repus à cette source du nectar oriental qu’elle m’offrait et jusqu’alors inconnu pour moi. Mon majeur, à son tour, l’honora d’une visite impromptue avant de rejoindre une rose aux pétales serrés. Mais le mutin ne rencontra guère de résistance et la porte visiblement déverrouillée de longue date céda à l’inquisiteur. Samia geint.
— Oh oui ... que c’est bon ça. Tu sais y faire toi, vas-y ma chérie.
Sans plus attendre, j’entrai en action d’un lent mouvement de piston. L’orifice visiblement très souple, probablement habité à ces caresses, d’une poussée goba le visiteur, bientôt rejoint par un second. Je n’osai aller plus loin dans mon exploration. Sa fontaine coulait de plus belle. Avide, je la dégustai, la pénétrai de mon organe buccal, de mes doigts lubrifiés de ses sucs intimes. Je fus certaine à ce moment que son puits secret aurait accueilli ma main tant il s’ouvrait. Mais en avions-nous le temps ? Très vite, finalement, elle aussi partit vers d’autres cieux, étouffant son bonheur dons l’oreiller qu’elle venait d’emprunter.
Se remettant lentement de cet intermède sexuel, elle conclut :
— Tu vaux le coup effectivement, je crois qu’on y reviendra un peu plus tard ma chérie.
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