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Chapitre 5

Je suis enceinte - 2 -

Orgie / Partouze
Je ne saurais dire combien de temps cet intermède dura. Quelques minutes tout au plus. Ayant repris ses esprits, Samia m’entraîna de suite dans la salle de bain et me prodigua quelques ablutions réparatrices de nos égarements éphémères. Je devais être propre pour l’offrande au Roi Hassad, comme elle se plaisait à le dire. Je crois que c’est à cet instant que je pris réellement conscience de ce qui m’attendait. Comme vous le savez, je ne suis pas spécialement prude, au contraire même, puisque j’avoue bien volontiers avoir un côté exhibitionniste. Sur le principe, j’étais plutôt partante pour m’amuser avec Monsieur Hassad. Mais j’aurais préféré cette fois-ci plus en comité restreint. Mais bon, il m’avait déjà prise une fois dans les vestiaires à la vue de tous alors ... je vais me faire « mettre » devant les copains pour son cadeau. Puis je repensai à ma conversation avec mon Antoine.
Samia crut probablement sentir une indécision en moi et tenta de me rassurer.
— T’inquiète, ça va bien se passer. Tu leur en as déjà pas mal montré et offert si j’ai bien tout compris.
D’autorité, elle m’enfila à même la peau, la tenue du basketteur américain. Le maillot, bien trop large, tenait à peine sur mes épaules et à lui seul me faisait une robe. Elle dut serrer au maximum les cordons du short pour qu’il tienne un tant soit peu sur mes hanches. Elle me maquilla, insistant lourdement autour des yeux. J’étais parée. Elle me déroula ensuite le scénario qu’elle avait imaginé pour l’anniversaire surprise.
L’issue était écrite, j’allais être offerte à son mari et nul doute que d’autres tenteraient de profiter à leur tour de la situation. Je lui fis part de mon inquiétude et d’une requête. Elle m’écouta, d’abord surprise, puis acquiesça avant de conclure.
— Ce soir, tu es le cadeau du roi Hassad, sa « Kahba » personnelle, tu n’es qu’à lui. Il n’y a que lui qui décidera s’il désire te prêter ou pas, mais tu devras obéir. C’est compris ? Pour le reste, c’est OK je m’en occupe. Mais je t’en supplie, fais plaisir à mon Roi, tu ne le regretteras pas, je te le promets.
Après avoir éteint la lumière de la pièce, elle m’abandonna quelques instants sous prétexte de préparer mon arrivée.
Je suis convaincue que l’obscurité exacerbe l’ouïe et, de la chambre, j’entendis la fête battre son plein, des rires, des chants, et il me sembla que le volume de la musique aux sonorités orientales augmenta. Puis, d’un coup, ce fut le silence absolu, mon entrée en scène semblant imminente.
La porte de la chambre s’ouvrit sur une pénombre absolue.
— Ça y est, tout le monde est prêt pour la remise du cadeau, me chuchota-t-on, sans que je ne réussisse à reconnaître la voix féminine qui prononça cette phrase, j’hésitai, Pauline ? Étrange.
A ma demande et d’un commun accord, Samia avait confisqué tous les portables des convives et s’était normalement emparé du mien afin d’immortaliser la soirée pour mes amours.
On m’entraîna donc vers le salon où régnait le plus grand silence, une atmosphère pesante s’en dégageait, électrisante, stressante. Je reconnus le contour de quelques silhouettes, mais pas toutes. J’étais au cœur du spectacle à venir, dans la peau soudaine d’une héroïne pornographique. En fait, c’était bien cela, j’allais me transformer pour quelques minutes, enfin c’est ce que je pensai alors, en actrice sur un plateau pour une scène d’un film X.
On me positionna devant un colosse. J’imaginai sans mal que ce fut notre hôte, le mâle à qui j’allais offrir un cadeau d’anniversaire certainement inoubliable et inimaginable pour un grand nombre d’entre vous.

L’assistance se mit à entonner le titre universel « Happy Birthday ».

Mais avant même qu’on ne rallume, quelqu’un tira vers le bas le maillot qui tenait à peine, relâcha le cordon du short qui chuta immédiatement à mes pieds. Lorsque la lumière se fût, c’est nue que j’apparus au regard de tous, sous les cris et les applaudissements de l’assistance. Je dus me réadapter quelques instants à la lumière soudaine et quand ce fut fait, je constatai que Monsieur Hassad était bien là devant moi et surprise, lui aussi intégralement nu, le sexe déjà partiellement bandé.
J’appris par la suite que Samira m’avait préparé le terrain avec une bonne branlette à son homme, ce qui expliquait ce laps de temps d’attente et que la pauvre Pauline, notre petite timide et probablement vierge avait voulu fuir, rattrapée de justesse par Manon et Caroline, la compagne d’un membre du club. Elles l’avaient persuadée de rester par je ne sus quel stratagème.
Samia, tout en filmant avec mon Smartphone, s’approcha de moi, me prit la main et la posa sur le vit de son mari tout en lui souhaitant un joyeux anniversaire. Ils s’embrassèrent à pleine bouche, l’épouse m’imprimant déjà le rythme d’une masturbation pour cette bite monstrueuse.
Elle s’écarta, sourire aux lèvres, attentive à mes gestes. Tous reprirent en cœur le cantique immuable et universel pour les anniversaires.On réduisit les éclairages et l’endroit devint soudainement plus chaud, plus sensuel, plus érotique. Comme prévu, nous nous trouvions bien au cœur de toutes les attentions, suspendus à nos moindres gestes. Je commençai un lent mouvement de coulissage, une masturbation lente du sexe empoigné. Je dus finalement mettre les deux mains puisque d’une seule, je ne réussissais pas à l’envelopper. Je le regardai dans les yeux. Il se pencha, s’approcha de mes lèvres. Nous échangeâmes notre premier baiser, d’abord chaste puis de plus en plus fougueux.
Je sentais déjà le désir se profiler, et il me fut alors évident que nous avions envie l’un de l’autre, et je sus que les suppliques de son épouse allaient être exaucées. Peu importait l’auditoire, peu importait les qu’en-dira-t-on, peu m’importait que l’on me baise, je satisferais le Roi Hassad du mieux que je le pourrais, et encore, serait-ce suffisant ? J’avais envie de lui, de son sexe. Brusquement shootée à la dopamine, je me sentis femelle, mieux chienne, prête à subir les outrages du monstre que je branlais. Étrange sensation de ce feu qui vous dévore, vous transforme, vous liquéfie, vous faisant perdre pied en quelques secondes.

Mais ne vous y trompez pas, je ne parle pas d’amour, non, mes amours sont et resteront bien Antoine et Marylène. Je vous parle d’envie, celle qui vous fait chavirer, celle qui vous enivre, vous chauffe au plus profond de vous, celle qui vous fait bander messieurs, celle qui vous fait mouiller mesdames, sans autre raison que celle de forniquer. N’avez-vous jamais ressenti ce besoin, si soudain, si brutal, celui qui vous enflamme, vous embrase, cette envie irrésistible de prendre du plaisir avec votre partenaire du moment, d’un instant. Juste du sexe, encore et encore.
Cette montée, je la ressentis en cet instant magique de ce premier long baiser furieux. Sans conteste, ma chatte s’ouvrit d’elle-même, sans stimuli aucun, ma cyprine s’écoula lentement le long de mes jambes pour finalement souiller les tapis du salon. L’assemblée se mit à scander « une pipe » « une pipe ». Je n’avais rien contre bien évidemment, ne leur ayant jamais encore réellement offert ce spectacle. J’étais invitée, encouragée, sommée même d’honorer le fils d’Aphrodite et de Dionysos, Priape en personne. Lentement sous les applaudissements de l’assistance, je me laissais glisser à genoux. Le monstre était là à quelques centimètres de moi. Ils voulaient du porno ? Ils allaient en avoir. J’étais décidée et après cette séance, mon public se prosternerait devant moi, et l’on recommencerait. Pauline, toute proche rouge de honte ou de confusion, cernée par mes copines, paraissait finalement attentive aux moindres de mes gestes, telle l’élève prenant sa leçon auprès de son maestro. Elle, qui il n’y a pas si longtemps encore, refusait de se montrer nue sous la douche et nous traitait de perverses, semblait émue de ce qu’elle voyait. La demoiselle s’ouvrait-elle à de nouvelles perspectives ?
Je fis ce que tout le monde attendait. Bien que je n’en fasse pas le tour, j’empoignai d’une main le gourdin qui m’était offert. L’engin était tout de même impressionnant, mais je ne me dérobai pas, décidée de satisfaire l’auditoire, à honorer ma promesse, je me devais d’être à la hauteur du défi lancé. Mes lèvres s’approchèrent et déposèrent de chastes baisers sur le gland, la couronne, la hampe. De ma main libre, je soupesai la bourse velue pleine. Je sentis l’homme tressaillir lorsque d’un doigt, j’effleurai la corolle de son puits secret. Je baisotai la colonne de chair. Je sentis l’afflux sanguin sous la pulpe de mes doigts caressants. L’assemblée désormais muette, subjuguée, concentrée, sans doute impatiente, guettait le moment fatidique où mes lèvres gourmandes s’ouvriraient pour engloutir cette bite dorée. Je jouai encore quelques instants avec le membre qui me semblait grossir encore puis, lentement, je l’absorbai enfin.
Tout le monde retint son souffle, se demandant probablement si j’en étais capable. Le plus compliqué fut le passage de la couronne qui distendit mes maxillaires aux limites du possible. Je continuai ma progression jusqu’à la base de l’engin qui à présent emplissait ma cavité buccale. J’entendis l’assemblée s’agiter, pousser quelques « Waouh » admiratifs, puis les applaudissements retentirent. Je me retirai lentement, gardai le gland en position et replongeai jusqu’à sa racine. J’accélérai le mouvement, veillai à toujours le lubrifier, retroussai mes lèvres pour ne point l’écorcher. Je me dégageai quelques instants, reprenant mon souffle, cajolant de la joue le membre luisant de mon partenaire. Puis, les deux mains au sol, je l’embouchai à nouveau, plongeant sans retenue sur l’engin turgescent. Telle une furie, je baisai à présent le sexe de Monsieur Hassad. Ma bouche moulée aux dimensions de l’engin, je l’engloutissais à présent jusqu’à ma glotte, le nez enfoui dans sa toison corbeau.
En bonne réalisatrice de film pornographique, Samira enregistra toute la scène, commentant, allant même jusqu’à filmer en gros plan mes parties intimes.
— Regardez sa chatte, ouverte, dégoulinante de jus.
On me palpa, m’écarta les chairs, me doigta. Je me laissai faire, trop occupée à satisfaire le Roi de la soirée.
— Non ! cela est strictement réservé au Roi Hassad pour le moment, si tu es pressé, occupe-toi ailleurs, il y a assez de chattes à disposition ce soir... entendis-je.
Le message était clair, un invité avait vraisemblablement tenté de profiter de la situation pour m’enfiler, ce qui ne m’aurait pas dérangée outre mesure et même avec plaisir, vu le foyer qui me dévorait les entrailles à présent. Mais Samira veillait aux grains et protégeait mes arrières si je puis dire ainsi. Je continuai ainsi ma fellation humide et quelques filets de salive glissaient le long de cette tige toujours plus dure, rendant cette pipe de plus en plus sonore. Je témoignai quelques signes de fatigue et douleurs aux mandibules lorsque je sentis le membre frémir et mon amant d’un soir gémir de plus en plus bruyamment. Il échangea quelques mots en arabe avec son épouse que je ne compris pas, bien entendu. Je captai juste « Kahba », qui, je l’appris bien plus tard, me qualifiait en des termes peu élogieux de pute.
— Le Roi est très content de toi, me dit Samira, maintenant il va te saillir, c’est un honneur qu’il te fait tu sais.
Quel baratin, il va me sauter point barre. Je ne compris pas tout de l’aspect cérémonial que cela représentait pour eux. Était-ce une façon de se déculpabiliser pour une partie de jambes en l’air extraconjugale ? Moi ce que j’en retenais, c’est qu’il allait enfin me la mettre, me baiser et que ma petite chatte allait avoir sa récompense, bien méritée, je le pensai.
Il se dégagea, me retourna et me fit allonger avec un coussin sous le bas-ventre. Je me trouvai ainsi le postérieur surélevé, le cul offert, prêt pour l’intromission. Samira s’approcha toujours dans son rôle de cameraman. Je remarquai seulement alors qu’elle aussi était nue. Sans doute l’était-elle depuis le début. Je réalisai qu’effectivement, je ne l’avais pas vue revêtir de moindre vêtement avant de sortir de la chambre après qu’elle m’eut préparée, cela ne m’avait même pas tourmentée.
Tout autour de nous, des couples s’étaient formés, légitimes ou non, d’autres invités se contentant, peut-être pour le moment, d’être de simples spectateurs. Néanmoins, je constatai que nous étions un peu moins nombreux qu’en début de soirée. La soirée dérapait en orgie, ma première vraie partouze.
Manon, déjà plus qu’en soutif, était en train de se faire brouter la moule par Jérôme le coach tout en prodiguant une pipe à un gars que je ne reconnus pas sur le moment. Lætitia, la conjointe de Jules, un des ailiers remplaçants, une petite brune bien ronde et aux gros nichons, allongée sur le dos, se faisait prendre par Gaëtan et visiblement, à l’entendre, elle y prenait plaisir. Pierre, l’autre ailier, avait simplement troussé sa copine Caroline, descendu sa culotte et la prenait en levrette alors que Louis se branlait au-dessus d’elle. J’entendis d’autres ébats, mais sans que je pus voire, ni dire de qui il s’agissait. Et surprise de taille, Pauline s’occupait du sexe de Mourad, le frère de notre hôte. Je retrouvai dans ses gestes, la leçon que je venais probablement de lui donner.
On m’écarta le fessier que je tendis dans un pur réflexe d’impatience et d’offrande. Un gland se présenta à l’entrée de ma grotte secrète. Je paniquai un court instant, à l’idée d’être déchirée par le monstre, certaine de pouvoir accueillir l’engin qui s’y présentait. Je n’eus pas le temps de réfléchir autrement, le sexe descendit, s’humidifia de ma mouille abondante et d’une poussée, une seule et lente progression, s’engouffra au plus profond de ma caverne trempée.
Je hurlai au passage du monstre qui s’introduisit, bousculant, refoulant mes chairs intimes, troussant sans complaisance mon sexe de femme nullipare, s’enfonçant d’un trait jusqu’à la garde.Puis il s’arrêta, là fiché au fond de ma matrice, m’emplissant de sa chair gonflée. Nos sexes s’unissaient enfin, s’épousaient, nos pubis s’embrassaient. Et miracle de l’anatomie, de ce corps si mystérieux, mon sexe se gaina autour de son bourreau, mon pourfendeur. L’incendie m’embrasa et sans même qu’il ne bougeât, je jouis de plénitude, hurlant mon plaisir de femme emplie.
Samira semblait aux anges de cette union et embrassa amoureusement son mari. Ils échangèrent encore une fois quelques mots arabes dont je ne compris toujours rien. Puis elle s’approcha de moi pour me murmurer.
— Le Roi te trouve très bonne. Il se sent très bien dans ta chatte de salope. Tu es une parfaite petite chienne française comme il en a rarement baisé. Il va te fourrer comme jamais tu ne l’auras probablement été et je sais que tu en redemanderas. Il va te remplir et peut-être même qu’il t’ouvrira ta petite porte serrée, à moins qu’il ne laisse Mourad le faire. Tu verras, sa bite est beaucoup moins grosse, mais bien plus longue. Tu vas, comme moi, l’adorer. Mais pour le moment, il est bien occupé, lui aussi a le don pour repérer les petites salopes et je crois qu’il vient d’en dénicher une.

Et de fait, le frangin était en train de limer de notre jouvencelle. De ma place, je ne pouvais savoir quelle voie il avait empruntée. Le jean descendu à mi-cuisse, à genoux, la poitrine engoncée dans les poufs, dans un brame continu, elle subissait les assauts de Mourad qui visiblement, s’en donnait à cœur joie.
Peu à peu, je repris mes esprits. Les mains enserrant ma taille, Monsieur Hassad, le Roi, se mit alors en mouvement, entamant un long travail de sape. D’abord précautionneux, il m’assena rapidement ses coups de boutoir, me transperçant littéralement le vagin en feu, détrempé d’un jus que je ne me connaissais pas. Je sentis de nouveau une vague incontrôlable monter de mes entrailles enflammées. Mes seins ballottaient en tous sens, mes tétons érigés, irrités, agacés par les effleurements des tissus m’électrisaient le corps déjà sensible. Hassad, inépuisable, me besognait au rythme régulier d’un métronome invisible. Il sortait à présent son sexe, de mon antre brûlant, dégoulinant de mon élixir d’amour avant d’y replonger d’une facilité déconcertante. Il me chevauchait maintenant bruyamment, ahanait tel un bûcheron dans l’effort. A chaque retrait, j’entendais nettement ma chatte réclamer le retour de son bienfaiteur qui replongeait immédiatement dans un effroyable bruit d’air chassé, telle une pompe à vélo. Mes orgasmes s’enchaînèrent, je ne fus plus que complaintes, râles, cris, d’appels au sexe, à la saillie. J’en voulais encore et encore, insatiable d’un plaisir extrême. Je jouis deux autres fois avant que mon baiseur infatigable ne s’immobilise. Très nettement, je ressentis l’afflux sanguin dans son braquemart. D’un dernier réflexe ancestral, mon bassin s’empala du mieux qu’il put sur ce pieu de chair et fiché au plus profond de moi, il m’inonda de sa semence féconde. Je partis alors dans un délire coprolalique suivi d’une syncope extatique.
Je me réveillai quelques instants plus tard, allongée sur le dos, sous les caresses bienveillantes de Samira qui me chevauchait en me souriant, frottant sa vulve humide sur ma poitrine.
— Tu as été merveilleuse petite « Kahba », me souffla-t-elle. Mon Roi est heureux. Mais la soirée ne fait que commencer, tu sais.
Nous n’étions plus très nombreux dans le salon et des soupirs s’élevaient d’autres pièces sans que je ne sache réellement de qui il s’agissait. On m’attira alors par les cuisses et avant même que je ne vis qui allait me prendre, je sus immédiatement qu’il s’agissait du roi de la soirée qui, sans coup férir, m’enfila de nouveau jusqu’à la garde, prenant appui sur les épaules de son épouse.
Sous les entraves de celle-ci, ainsi dominée, je ne pouvais que subir les assauts du colosse qui se régalait de mon offrande. Il se déchaîna en moi, m’arrachant des gémissements de douleur mêlés au plaisir. Je fus ainsi accouplée, pénétrée, saillie, emplie, ensemencée de nombreuses fois au cours de cette mémorable fête d’anniversaire, pour mon plus grand plaisir. Jamais je n’avais autant reçu, joui, hurlé mon bonheur, crié aussi librement mon épicurisme. J’étais désormais une hédoniste assumée.
Bilan de la soirée, un sacré bordel, dans tous les sens du terme. Caroline s’était fait sauter par Pierre, son copain et, en douce, par Louis. Jules avait baisé Lætitia tout en suçant Jérôme qui lui avait juté dans les cheveux. Manon s’était occupée, d’une façon ou d’une autre, de presque tous les mecs présents, ce qui ne me surprit pas outre mesure. Gaëtan avait tout de même réussi à se faire faire une gâterie par Samira avant de lui juter sur les seins. La petite Pauline venait certainement de perdre sa virginité avec Mourad, avant que ce dernier, comme promis, ne m’encule. Il laissa ensuite la place à son frère qui finit par m’ouvrir complètement le cul avec la complicité de sa perverse de femme.
Nous restâmes tous dormir sur place. Le lendemain matin, j’avais les grandes lèvres gonflées et le vagin dégoulinant de sperme. Je puais affreusement la luxure, ce qui n’empêcha pas Monsieur Hassad de m’en remettre une couche dès le réveil, et même si cette dose fût moins conséquente, la coupe était pleine. Samira tint à ce que je reste encore quelques heures encore, pour lui faire plaisir, disait-elle. Nos amis partirent à tour de rôle, pour certains encore endormis, mais tous heureux de cette soirée de débauche. Ils nous baisèrent encore deux ou trois fois, et je suçai même avec délice la chatte de Samira qui me pissa sa jouissance au visage. En début d’après-midi, je dus quand même mettre les holà sous peine de ne plus pouvoir m’asseoir ni marcher et encore moins manger. Les frangins avaient de décidé de concert qu’ils allaient encore user et abuser de nous jusqu’au soir venu, espérant même nous garder pour une nouvelle nuit torride. Je dis nous, car si tout le monde avait déjà rejoint depuis fort longtemps ses pénates, seules Pauline et moi étions restées. Pour un dépucelage, la pauvre était servie, puisqu’à priori, Mourad l’avait initiée de partout. Jusqu’à très tard au petit matin, nous l’entendîmes hurler son bonheur. Dans la matinée, tout comme moi, elle s’offrit aux frères qui nous semblaient insatiables, allant même jusqu’à me rouler une pelle, alors que les hommes nous besognaient en levrette. Quel changement pour la petite vierge effarouchée !

J’avoue que jamais, je ne m’étais jamais sentie aussi femelle, aussi désirée ni désireuse d’accouplements.Trois semaines plus tard, ne voyant toujours pas de signe de mon nouveau cycle menstruel, je fis un test, qui s’avéra, à notre très grande surprise ... positif.
Huit mois et demi plus tard, je donnais naissance à des jumelles, légèrement typées méditerranéennes. Hassad et Samira ne furent pas dupes et comprirent de suite qui était le père de ces magnifiques progénitures. L’épouse sembla, un temps, inquiète de la situation. Ils me demandèrent donc si je souhaitais avorter. Je leur répondis que c’était le plus beau cadeau que la nature puisse m’apporter et que mon adorable Antoine, bien qu’il sache qui était le géniteur, était déjà heureux d’en assumer la paternité, ce qui les rassura visiblement.
Aujourd’hui, nous nous voyons de temps à autre, avec ou sans les jumelles, qui sauront peut-être un jour la vérité sur leur procréation et encore pas certaine. Nous devons y réfléchir.
Aidé par ma petite chérie Marylène, notre Antoine a réussi à s’envoyer en l’air avec Samira durant toute une après-midi, lors d’une séance photo un peu chaude, alors que nous étions en match à l’extérieur. Pas jaloux ni vexé, il a tout de même considéré cela comme une petite vengeance personnelle, une compensation en quelques sortes. Le Roi Hassad ne sait pas encore qu’il est cocu à son insu et ne le saura peut-être jamais, Samira nous ayant fait jurer de ne rien dire. Nous avons bien entendu accepté ... à condition de ... Vive les matchs en déplacement.
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