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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Ma mère -c

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Robert et au moment de ce que je vais vous raconter j’avais à peine 18 ans.
Un ami nous raccompagnait en voiture ma mère et moi, alors que notre véhicule était en révision. Nous habitions à la campagne dans notre résidence secondaire pour y passer le week end.
Nous vivions seuls depuis la séparation avec mon père il y a trois maintenant. Ma mère brune et un peu enrobé avec grosse poitrine qu’elle mettait des fois en valeur à la maison par des polos assez moulants ou des fois les seins que je devinais lorsqu’en chemise de nuit et en contre jour elle venait me souhaiter bonne nuit et en m’embrassant à l’occasion, à plusieurs reprises son corps s’approchais plus que d’habitude et ses seins à l’air sous cette chemise de nuit venaient taper sur ma poitrine.
Dans la voiture du voisin, il faisait une chaleur torride et je me plaignais de telles conditions quand ma mère me proposa de baisser mon pantalon pour aérer mes jambes. En slip, j’étais mieux et je revivais. Je remarquais qu’à plusieurs reprises elle se tournais légèrement en lorgnant du côté de mon entre jambe. Je ne sais ce qui m’est passé par la tête mais se regard posé au niveau de mon slip me provoqua une bandaison subite et puissante.
Mon slip était déformé et cela plaisait à ma mère. Lorsque l’on arrivas je remontais mon jean sans penser des conséquences de ce que je venais de vivre. Notre chauffeur nous laissais devant notre porte.
Dans la soirée alors que je venais de prendre ma douche et que je m’essuyais, ma mère fit éruption dans ma chambre en me demandant si le coup de chaud n’avait pas laissé de séquelles.
J’étais nu et pétrifié à la fois, alors qu’elle était pas déshabillée. Je n’osais plus bougé face à l’aisance de ma mère. Elle vient s’asseoir en face de moi et me dit que j’avais beaucoup changé, car déjà dans la voiture elle avait remarqué mon érection et put ainsi apprécier cette métamorphose, passage obligé de l’enfant à l’adulte.
Me contrôlant plus je me remis à bander de plus belle et je laissais faire la nature dans cette épreuve pour laquelle je n’étais pas responsable. Je me basculais en arrière en m’appuyant sur mes bras et en ressortant mon bassin pour bien montrer ma verge qui était à la verticale. Devant un hooo ! admiratif elle me complimenta sur la taille de mon sexe fièrement dressé en me disant que maintenant elle voyait un homme et non plus un enfant.
Tu sais depuis que ton père m’a quitté, je n’ai pas eu de relation et sa me pèse un peu. Je comprends maman lui répond y je, mais cette érection n’était intentionnelle et maintenant que tu es là moi aussi, j’ai envie de toi.
La laissant faire, sans un mot elle vient alors entre mes cuisses que j’écartais au maximum et me saisie la hampe pour la décalotter en la titillant de la langue. De son autre main, elle me caressait l’anus et les testicules.
Sa bouche était chaude et sa langue agile et rapide me fis beaucoup d’effets, en quelques secondes ne me retenant plus je giclais en pleine bouche. Cette caresse m’étant encore inconnue m’a procuré beaucoup de plaisir et m’excusant de ce désagrément, ma mère me rassure en me disant qu’à mon âge il n’est pas facile de se contrôler.
Puis elle me dit qu’elle a apprécier et en redemande. Elle me proposa d’aller dans sa chambre pour être plus à l’aise, mais avant d’y arriver elle me demande qu’elle aimerai bien que je lui fasse sa toilette. Ca ne te dérange pas ? Bien sûr que non maman tu plaisantes.
Au contraire, j’étais très excité à l’idée de la dévêtir et surtout de la voir à poil. En soutien gorge et en slip je la regardais de plus près. Je lui retirais délicatement le soutien et ses deux gros seins libérés étaient encore ferme pour ses 42 ans. Elle devait faire du 100 C. Puis c’est au tour du slip, m’agenouillant et m’étant sa main sur ma tête pour ne pas tomber, je lui baissais avec délicatesse. Je pouvais admiré sa touffe très fournie qui me cachait sa fente dont je pouvais sentir son parfum intime. Oh maman que tu es belle.
Je l’aidais à enjamber la baignoire et commençais avec la douche téléphone à la masser avec l’eau en passant bien partout et en écartant les cuisses par en dessous j’ai pu admiré sa fente très rosée et gonflée de plaisir.
En passant mes mains savonneuses, je malaxais ses seins et le bout que je pinçais entre mon pouce et mon index.
Vint au niveau de sa chatte mes doigts s’abandonnait dans son intimité en s’insérant dans ses deux trous.
Dès qu’elle fut séchée, nous allâmes nous étreindre sur son lit. Nos corps enlacés et nos bouches soudées par des baisers fougueux, dont aucune fille pour l’instant ne m’avait procuré cet effet, je m’apercevais que je ne connaissais pas grand chose à l’amour et ma mère serait un parfait professeur.
Elle me demande alors de lui rendre la politesse en lui faisant ce qu’elle m’a fait tout à l’heure. Sur le dos je me redressais et lui pétrissait chaque sein avec mes deux mains. Elle écartait bien les jambes et mit un petit coussin sous les fesses. Son sexe s’était écarté et luisait de mouille. Je durcissais ma langue pour séparer le sillon et je la rentrais dans le vagin. Je goûtais sa cyprine que et je suçais les moindres replis de son connin baveux. De temps en temps je lui léchais aussi le trou du cul.
Elle émettait des petit gémissements en se tortillant le bassin. Ecartant son sexe de mes deux mains, je lui branlais le clito avec la langue. Son jus coulait de sa fente comme une fontaine. N’y tenant plus je décidais de la pénétrer. Surprise par cette poussée soudaine elle poussa un cri étouffé et me dit d’un voix rauque et saccadée oui mon chéri vas y défonce maman, n’est pas peur mon petit amour, je veux sentir ta queue au fond de mon corps.
Prise en levrettre je butais mon pubis sur son cul rebondi. Ses deux coussin de chair que je lorgnais faisaient office d’airbag. J’en profitais pour lui caresser les seins par dessous tandis qu’elle pendant ce temps me triturait les couilles.
Dans une jouissance extraordinaire je jutais sur ses seins. Elle était aux anges, et me demandait maintenant de rester avec elle toutes les nuits. Dans un baiser profond, je l’a remerciais de m’avoir fait autant jouir et que je garderais en mémoire toute ma vie cet instant merveilleux d’une relation d’amour de deux êtres consentants et s’aimant dans tous les sens du terme.
vitacona@caramail.com
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