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Ma mère, asservie.

Chapitre 7

Inceste
Afin d’avoir la paix à la maison, j’ai trouvé une technique imparable : un pack de bières fraîches à disposition et Louis est heureux comme un prince, s’enfilant les bouteilles jusqu’à s’écrouler sur le canapé. Trop ivre pour la frapper et abuser d’elle, tous les soirs il s’endort comme une masse, laissant à ma mère un répit bien mérité. Déjà deux semaines depuis le premier pack et aucune ecchymose n’est venue entacher la peau si blanche de ma mère. Pourtant, malgré cette tranquillité inhabituelle, Rose-Marie n’en profite pas pour me rendre des visites nocturnes, à mon grand désespoir.
Un soir, alors que Louis ronflait déjà comme un sonneur à à peine vingt et une heures, je décide de proposer une sortie ciné à ma mère. Cela fait des années que nous n’avons pas remis les pieds dans les salles obscures, pourtant avant, tous les dimanches, c’était notre petit rituel. L’arrivée de Louis a évidemment tout changé. Elle hésite, prête à refuser, si bien que je suis obligé d’insister.
— Allez Man, ça fait une éternité qu’on a pas fait ça tous les deux. — Si Louis se réveille et qu’il voit que je ne suis plus là… — Il ne te fera rien du tout, sinon je lui pète la gueule.— Tobias, reste poli. — Pardon Man. Mais ça me ferait vraiment plaisir de passer ce moment avec toi. — … Tu es incorrigible Tobias. J’imagine que tu ne lâcheras pas l’affaire ?— Tu me connais si bien !— Oui, comme si je t’avais fait, plaisante-t-elle. La séance est à quelle heure ?— Vingt-deux heures. Tu préfères qu’on choisisse sur place comme avant ? — Oui, allons-y, on sera peut être agréablement surpris.— Ou pas… Je me rappelle encore des revenants…— Arrête ! Le pitch était bien, j’aurais pas pu me douter que c’était si lent. Bon je vais me préparer. A moins que tu ne veuilles plus y aller.— Peu importe le navet qu’on verra, l’essentiel c’est de passer ce moment ensemble. -Tu as raison.

Quand elle sort de la salle de bain, vêtue d’une robe portefeuille en voile vert et maquillée légèrement, je crois que je me suis mis à baver. Elle est si belle comme cela ! Quel dommage qu’elle ne prenne plus la peine de mettre des robes, ça lui va si bien…J’ai presque l’air d’un idiot à côté d’elle avec mon jean et mon tee-shirt basique. Nous prenons sa voiture, chose assez rare pour qu’elle soit notée. Elle n’a évidemment pas le droit de conduire, ce macho de Louis lui interdit. Je sais qu’elle se sent fautive de faire ça, aussi j’essaie de la faire rire le plus possible, afin qu’elle pense à autre chose.

Une fois au cinéma, alors que nous nous asseyons dans une salle presque vide, elle semble bien plus détendue et un air rêveur flotte sur son visage. Nous avons choisi un bon film bien ardu, polonais en version sous-titrée, qui ne m’intéresse pas le moins du monde. Tout ce qui m’importe en ce moment, c’est ma main qui frôle la sienne à chaque fois que je plonge dans le paquet de pop-corn. Si bien qu’au bout d’à peine la moitié du film, le paquet est vide et je n’ai plus aucune excuse pour la toucher. Mon regard erre sur son corps et dans cette semi-obscurité, j’aperçois la blancheur de ses cuisses qui m’hypnotise. Alors que je cherche un moyen d’entrer en contact physique avec elle, ma mère pose sa main sur l’accoudoir entre nous. J’y vois comme un signe et y dépose la mienne. Nos doigts se lient alors, se nouent pour la première fois sans crainte, encouragés par cette intimité peu coutumière.
Je me sépare à regret de ses doigts mais c’est pour mieux aller découvrir la fraîcheur de sa peau. Ma main se pose sur son genou puis tout doucement, remonte jusqu’à la lisière de sa robe. Ma mère soupire et écarte les cuisses pour m’autoriser à aller plus loin. Sa peau est si tendre, elle glisse sous la pulpe de mes doigts qui soudain rencontre une surface particulièrement humide. Sa culotte est déjà trempée et sa vulve toute gonflée. Je la sens à travers le tissu alors que j’y passe mon doigt. Elle frémit et ouvre un peu plus les jambes, fermant les yeux pour savourer mes caresses. Je joue un peu avec elle, son bourgeon palpite sous le tissu. J’ai terriblement envie d’aller y plonger ma langue, mais ce serait abuser, alors je me contente de mes doigts qui se glissent derrière l’élastique, pour enfin sentir sa peau.
Bientôt, j’immisce une phalange dans sa caverne si humide, appuyant sur son bouton en même temps. Entre mes mains, elle semble fondre, se couchant presque dans son siège pour faciliter mes mouvements. Un regard autour de nous m’apprend que les seuls spectateurs présents n’ont rien remarqué de notre petit manège. Bien, espérons qu’elle ne crie pas trop fort au moment de jouir. Elle laisse échapper un soupir de déception quand je quitte son entrecuisse un instant, juste le temps de changer de main. Mais c’est pour mieux revenir à l’assaut de sa si douce matrice, dans laquelle j’y plonge deux doigts et effectue des mouvements de plus en plus rapides, mon pouce s’occupant de maltraiter son clitoris gonflé d’excitations. Elle gémit de plus en plus fort, alors que mes doigts la liquéfient littéralement. Je porte mon autre main, encore pleine de sa cyprine enivrante, jusqu’à ma bouche et goûte enfin à sa divine liqueur. C’est si bon… J’ai envie de m’abreuver à la source, la boire, laper cet exquis breuvage directement sur ses lèvres…Je la sens partir. Elle s’accroche aux accoudoirs et soupire :
— Oh Tobias je vais… — Vas-y, jouis.
Mes paroles, combinées à mes mouvements frénétiques, la font basculer et elle renverse la tête en arrière en fermant les yeux pour savourer la vague qui la submerge alors. Entre mes doigts, je sens son plaisir couler, allant jusqu’à tremper le siège. Les spasmes de son orgasme enserrent ma main si fort que je les ressens presque dans ma bite, au bord de l’explosion.
Il suffirait que je me touche à peine pour jouir, tellement ce moment m’a excité. Au lieu de cela, je préfère la contempler, un sourire béat sur le visage. Même dans cette semi-obscurité, je peux voir qu’elle rougit, mais elle me sourit quand même, baissant vite les yeux pour éviter mon regard. Elle se replonge alors dans ce film, dont nous avons manqué déjà un sacré bout.
Une fois le film terminé, nous nous retrouvons dans la voiture, sur le parking du cinéma. Ma mère reste silencieusement assise au volant, sans démarrer. On dirait qu’une lutte intérieure se déroule en ce moment dans sa tête. Elle jette un œil à mon entrejambe qui me démange encore, et paraît comme hypnotisée. Je palpe ma verge pour la remettre en place et vois une lueur s’allumer dans ses yeux. C’est ce qui me décide à ouvrir ma braguette et sortir ma queue pour me branler, devant son regard attentif.
— Elle te plaît ?
Elle hoche la tête.
— Tu la veux ?
Nouveau hochement de tête.
— Suce-moi alors.
Il ne lui en faut pas plus pour venir s’emparer de ma queue, que je vois disparaître entre ses lèvres. Elle me pompe avec ardeur tandis que je glisse ma main sur son crâne pour lui donner la cadence. Bien vite, je sens la sève monter et dans un grand râle, je me répand dans sa gorge en de brusques saccades, soulageant cette tension qui me tiraillait depuis tout à l’heure. Elle se relève et recueille les restes de mon orgasme qui coulent sur son menton, avant de les porter à sa bouche et de s’en régaler.
Je me remets doucement et lance un long soupir de satisfaction.
— Putain c’était trop bon !— Tobias, c’est mal ce que l’on fait. — Pas si on s’aime. Et tu sais que je t’aime.— Moi aussi, évidemment. Tu es mon fils. C’est bien là le problème. — Mais on ne fait de mal à personne ! — Tobias, tu ne comprends pas à quel point c’est grave.— Non, tout ce que je comprends c’est que j’ai sans arrêt envie de toi. Je ne peux pas m’en empêcher, c’est viscéral. Et j’aurais rien tenté si je n’avais pas remarqué que toi aussi tu le ressens ce truc.— Tu es fou.— Ah oui ? Ce n’est pas ce que tu disais tout à l’heure entre mes doigts. Ni quand tu me pompais la bite. Tu as adoré ça, avoue !— Oui. Oui j’ai adoré ça mais ce n’est pas la question.— C’est le regard des autres qui te gêne ? — Tobias, toi et moi c’est voué à l’échec. On ne peut même pas faire plus que des préliminaires ! — Je sais que c’est frustrant, mais je peux m’en contenter. — Ne dis pas de bêtises, tu es jeune.— Toi aussi, tu es jeune. Tu n’as pas à rester coincée avec ce type toute ta vie. — On en revient encore à Louis. Je ne le quitterai pas Tobias. Je ne peux pas. — Alors je resterai avec toi. Jusqu’à ce que tu ouvres enfin les yeux.
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