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Ma mère, asservie.

Chapitre 9

Inceste
Après cet épisode dans la douche, la veille. J’ai l’impression de flotter sur un petit nuage. Elle accepte enfin ce qu’il y a entre nous ! Je n’ai pas dormi de la nuit à l’idée de retourner m’enfouir entre ses cuisses. Comme d’habitude , je sors vite de l’appartement retrouver mon pote Max, sauf qu’une fois devant le portail du lycée, je rebrousse chemin. Ma mère est seule maintenant, Louis est parti au boulot. Tant pis pour les cours, après tout il ne reste que deux mois. J’ai vraiment trop envie d’elle. Je crois que je ne serais jamais rassasié d’elle…
Je pousse la porte, l’oreille aux aguets et constate que la veste de Louis n’est plus sur le porte-manteau et que l’aspirateur est en marche. Je me dirige au salon et vois ma mère, en tee-shirt et legging, un casque sur les oreilles, se déhanchant pendant qu’elle passe l’aspirateur. Elle paraît si jeune et si insouciante. Cela fait longtemps que je ne l’ai pas vu aussi heureuse et la voir s’agiter dans son petit legging moulant me donne une sacrée trique. Je viens immédiatement me coller à elle, ce qui la fait sursauter. 
— Tobias ! Tu n’es pas en cours ?— Non. Je voulais passer cette journée avec toi. — Voyons ce n’est pas raisonnable…— Tu n’en as pas envie ?— Bien sûr que si… Mais et tes profs ? Et les cours ?— C’est bon, c’est qu’une seule journée. Viens. J’ai envie de toi. Ta peau me manque déjà...— Tobias…
Elle se laisse couler contre moi et je peux mordre son cou, y déposer de légers baisers qui la font frissonner. Je l’emmène jusqu’à sa chambre où je l’allonge sur son lit. Elle me regarde avec envie alors que je fouille dans sa table de nuit pour trouver l’objet que je convoite. Enfin je mets la main sur le god rose fuchsia et lui tend avec un sourire.
— Tiens, fourre-le dans ta chatte pendant que tu me suces la queue. Et interdit de jouir.
Docile, elle dirige l’objet vers son intimité et l’allume pour le frotter entre ses lèvres. Je prends sa crinière dans une main et lui présente ma verge directement dans sa petite bouche. Je n’ai pas envie d’être tendre cette fois. De toute façon, elle préfère ça. Avec ma main rivée sur son crâne, je lui impose un rythme soutenu et elle est obligée de gober presqu’entièrement ma verge, oubliant presque de se toucher. 
Mes doigts se nouent dans ses cheveux et mon sexe force sa gorge, lui assénant de vifs coups de bassin Mon autre main empoigne le god et lui enfile profondément dans sa cavité, la faisant se tortiller sous mes assauts. 
-Oh oui… Suce-moi bien comme ça… C’est bon… 
Je n’en peux plus, je me retire et ôte l’objet, afin d’y prendre sa place. Je me perds entre ses cuisses, m’enfonce dans sa chair alors qu’elle s’agrippe à mes épaules pour mieux encaisser mes coups de reins.
— Oh putain… T’aimes ça hein salope ?— Oh oui vas-y continues … Insulte-moi.— Ma petite chienne… je vais bien te défoncer comme tu l’aimes. Prends ça salope ! Tiens !— Oh oui… Encore… Encore…— Tu es ma pute, dis-le.— Je suis ta pute… Fais-moi tout ce que tu veux…— Tout ? OK.
Il ne faut pas me le dire deux fois. Je crache dans ma main et sort ma queue de sa chatte ruisselante pour venir l’apposer sur son anus serré. Elle se contracte quand elle me sent pousser.
— Tu veux que je t’encule ?— Oh oui, ruine-moi le cul, vas-y… me supplie-t-elle 
Je ne la reconnais plus. Elle est sauvage, animale. Guidée par ses pulsions les plus noires. Elle veut que je la ruine ? Et bien je vais le faire. Mais il va falloir qu’elle me le réclame encore un peu.
— Petite putain, tu veux la sentir dans ton cul ?— Oui… — Et si j’y mettais plutôt le god ?— Non… Je veux ta queue. Prends-moi je t’en prie…
C’est alors que je pousse sur mes appuis, faisant céder le muscle, qui avale alors mon gland. Enserré dans cette si étroite cavité, je me retiens de jouir tant le plaisir est intense. Mon membre se fraye alors un passage dans ses tréfonds, écartant sa chair centimètres par centimètres, jusqu’à venir buter au fond. Je reste immobile un moment, puis ressort presque entièrement pour mieux revenir me planter en elle. Elle pousse un cri où douleurs et plaisir y sont mêlés. Je contemple son visage si beau, ses traits qui se crispent sous mes assauts frénétiques. Je lui martèle le cul à un rythme fou, ivre de cette sensation si irréelle.  
— Putain il est bon ton cul… T’aimes ça ma chienne ?— Oh oui bourre-moi encore… Plus fort…— Salope va. 
J’enfonce mon pieu dans son cul encore plus fort, plus loin, jusqu’à sentir venir l’orgasme. Je sais que je dois sortir pour éjaculer, mais il est trop tard et en un ultime coup de rein, je me vide dans ses tréfonds en de longues saccades. Au contact de mon sperme chaud qui se déverse dans son cul, elle pousse un râle de plaisir et j’écrase mon pouce sur son clitoris pour la faire basculer à mes côtés vers l’extase. Elle me suit alors dans la jouissance, ne retenant pas ses cris de plaisir. 

— Oh mon dieu Tobias, je suis désolée… dit-elle une fois notre affaire terminée en se cachant le visage dans ses mains. Je ne voulais pas que tu voies mon côté... vicieux. Comme tu dois avoir honte de moi !— Pourquoi  ? Parce que tu aimes quand on t’insultes et qu’on te malmène ? Moi je trouve pas ça si vicieux… J’adore ça même. Enfin surtout avec toi. — Louis dit que je suis une nympho. Tu sais, avant lui, personne ne m’a jamais traité de la sorte et c’est avec lui que j’ai eu mes premiers vrais orgasmes. Il parvenait à me faire jouir alors que personne n’y arrivait. Il m’a dit que ces choses que j’aimais étaient très mal vues, que personne n’accepterait une femme comme moi, avec ces désirs de violence.— Il t’a dit n’importe quoi. Tu n’es pas malade, tu as juste des désirs différents. Il y a beaucoup de gens qui affectionnent ces pratiques. Décidément ce type est vraiment un connard de première ! Mais quitte-le, un point c’est tout.— Il n’y a pas que ça. Je ne peux pas le quitter. Il a tant fait pour nous…— Ouais pour nous… Enfin surtout pour lui. Et pour son collègue aussi.— Pourquoi tu dis ça ? — C’est juste que je vous ai entendu hier. Il veut te partager ce connard ?— Pire, il veut que je me fasse baisée devant ses yeux, il ne veut même pas participer. Il croit que ça réglera ses problèmes d’érection. — Qu’il arrête la picole un peu, ça ira déjà mieux. — Mais je ne veux pas. Surtout pas avec son collègue. — J’ai peut-être une idée pour ça. Et si c’était moi ce type ?— Tu plaisantes ? Il n’acceptera jamais !— Pas s’il ne sait pas que c’est moi. J’ai déjà tout prévu : Tu lui dis que tu es OK, mais uniquement si tu peux choisir avec lui le mec. On s’arrange pour se retrouver sur un site, je vous contacterai ”anonymement ” et pour la rencontre, je viendrai masqué.— Tu penses que ça va marcher ? — Uniquement si tu lui donnes l’illusion qu’il décide. Il faudra la jouer fine sur ce coup. Ça va le faire. En attendant, profitons de cette journée volée. Tiens, ma queue a besoin d’être nettoyée. 
Ma mère s’approche alors, plus souriante que jamais et vient lècher les restes de nos ébats. 

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Après une journée entière de sexe, je suis l’homme le plus heureux du monde. Jamais je n’aurais imaginé cela possible. Coucher avec ma mère n’avait jamais été un fantasme auparavant. Ça s’est produit, comme une évidence, sans que ni l’un ni l’autre puisse y faire quoique ce soit. Fatalité ou destin, peu importe. L’essentiel, c’est ce sentiment de plénitude et de bonheur qui ne me quitte pas une seconde, même quand je dois m’éclipser de l’appartement avant que Louis ne rentre.
De toute façon, mon entraîneur me ferait la peau si je loupais encore une séance. Avant de partir, je prends quand même le temps de remplacer la caméra par celle que je viens de recevoir, sans que ma mère s’en aperçoive . Elle est plus petite et a plus d’autonomie, j’ai dû y mettre toutes mes dernières économies. Ces trois heures sont les plus longues de ma vie. Je fais n’importe quoi, l’esprit trop ailleurs et Martial, mon entraîneur, ne cesse de me gueuler dessus. Mais je m’en fou. Complètement. Je suis obsédé par l’idée de la retrouver et quand enfin je rentre à l’appartement, je sens tout de suite que quelque chose cloche. 
Louis apparaît alors dans le hall d’entrée, suivi de près par son collègue. Un frisson d’effroi me glace le sang quand je vois les sourires vicieux qu’ils affichent sur leurs visages. Non… Il n’a pas osé ? 
— Merci Louis, on se refait ça vite j’espère ! clame l’homme en serrant la main de mon beau-père.— Oh oui, ne t’inquiète pas pour ça, on se revoit très vite. — Salut gamin, me salue-t-il en passant la porte. A demain Louis. — A demain.
Dès qu’il ferme la porte, la rage prend le dessus sur moi et j’empoigne mon beau-père au col et le plaque au mur.
— Qu’est-ce que tu as fait à ma mère ? — Lâche-moi tout de suite petit merdeux ! — Pas tant que tu ne m’auras pas dit ce que tu lui as fait. — Elle va bien ta petite maman. Elle dort. Je crois que mon pote l’a un peu épuisée. 
J’entends ses paroles mais je n’ai pas envie de les comprendre. Mes oreilles bourdonnent et mon sang frappe contre mes tempes. Je le relâche et me dirige vers la chambre de ma mère, où je la trouve inconsciente sur le lit. Je me retourne, prêt à en coller une à ce salop de Louis. 

— Qu’est-ce que tu lui as fais connard ? Tu l’as droguée ? Vous l’avez violée ? — Pas du tout, elle était consentante comme toujours. Occupe-toi de tes affaires. Quoi ? Tu réalises seulement maintenant que ta petite maman a une vie sexuelle ? Crois-moi c’est une belle salope ta mère.

Je serre les poings. L’envie de lui coller une bonne droite me tiraille. J’ai tellement envie de le massacrer. Seule la petite voix de ma mère dans ma tête, me disant que je ne suis pas ce genre d’homme, m’en a empêché. Je sais que ça ne ferait qu’empirer les choses. Alors je bats en retraite dans ma chambre, attendant qu’elle se réveille enfin.
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