Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 281 J'aime
  • 26 Commentaires

Ma mère, asservie.

Chapitre 10

Inceste
Le lendemain, je suis une épave. Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit et quand le réveil a sonné, j’ai bondit de mon lit pour voir si ma mère était levée. Hélas, j’ai attendu jusqu’à la dernière minute, mais cette dernière est restée dans la chambre. L’inquiétude me ronge, si bien que j’attends, caché dans le parking, surveillant le départ de Louis pour pouvoir rentrer. 

Quand enfin je vois sa voiture s’éloigner, je monte les escaliers quatre à quatre et cherche ma mère dans l’appartement. Je la trouve attablée à la cuisine devant son café, le regard perdu dans le vide, le visage pâle et las. 

— Maman est-ce que ça va ? 
— Tobias ! Tu ne peux pas manquer les cours comme ça tous les jours !
— Je m’en fous des cours, Tout ce qui m’importe c’est toi. Qu’est-ce qu’il t’a obligé à faire ?
— Non… dit-elle en détournant les yeux. Tu ne veux pas savoir…
— Maman j’étais là ! Je t’ai vue sur le lit, on aurait dit que tu étais morte.
— Je vais bien, ne t’en fais pas.
— Il t’a violée ?
— Non ! s’écrie-t-elle. J’étais d’accord. Je l’ai fait pour Louis. 
— Mais tu avais dit que tu ne voulais pas !
— Tu ne comprends pas. J’y suis obligée. Je lui suis redevable. Il nous a sauvé.

— Sauvé ? Mais on était bien avant quand même ! Et tu trouves que c’est mieux cette vie ?
— Tu ne sais pas tout, tu étais trop jeune pour comprendre et te rappeler vraiment. Mais il nous a sorti de là et c’est grâce à lui que nous avons tout ça. Retourne en cours maintenant.
— Mais merde ! Enfin comment tu peux dire ça après tout ce qu’il te fait subir ? Regarde ces marques sur tes poignets ! Et je suis sûr qu’il t’en a fait d’autres… Montre-moi ton dos.
— Tobias, dit-elle en se relevant. 
— Viens, suis-moi à la salle de bain. 

Je la prends par la main et la tire jusque devant le miroir où je la déshabille entièrement. Je veux qu’elle voit ces marques, de ses propres yeux. Qu’elle se rende compte que tout ceci n’est pas normal. Et ce que je vois me glace le sang.

— Regarde ton dos… tes cuisses…. Mon dieu… Avec quoi il t’a frappé ? 
— Je ne voulais pas alors il m’a puni avec une badine. Ce sont les marques de ma désobéissance. 
— Tu entends ce que tu dis ? Je t’assure que je pourrais comprendre que tu aimes qu’il te fasse mal, mais tu sais très bien comme moi que ce n’est pas le cas. Tu aimes qu’il te traite mal, qu’il t’avilisse mais tu n’aimes pas avoir mal. 
— Bien sûr que je n’aime pas la douleur. Enfin pas ce genre…
— Je t’en prie, ouvre les yeux ! Qu’est-ce que tu ferais si les rôles étaient inversés ? Si c’était moi qui me faisait battre par ma femme, tu me dirais de rester ?
— Non… hésite-t-elle en se regardant dans le miroir. Mais je le mérite. 
— Tu le mérites ? Mais enfin, tu te rends compte de ce que tu dis ? Tu ne te souviens pas d’hier soir ?
— C’est flou… 

La rage qui me consume depuis hier soir ne cesse de me tourmenter. Les marques sur son corps ne lui suffisent pas à comprendre que c’en est trop ? Il faudrait qu’elle voie elle-même ce qu’il s’est passé…
Mais oui ! La caméra ! Avec un peu de chance, elle a tout filmé. Je me rue dans la chambre pour récupérer l’appareil, sous le regard inquiet de ma mère .

— Qu’est-ce que c’est que ça ? s’écrie-t-elle. Tu as mis une caméra dans ma chambre ?! 
— Oui, et j’ai bien fait . Regarde par toi-même ce qu’ils t’ont fait, peut-être que tu comprendras mieux…

Je branche la caméra sur l’ordinateur dans ma chambre et attire ma mère à moi. Elle s’installe à mes côtés sur le lit, l’angoisse se lisant sur son doux visage. J’ose lui prendre la main et la serre pour lui montrer mon soutien, alors que je lance la maudite vidéo.  

Les secondes défilent sur l’écran et quand enfin les silhouettes de Louis et de son collègue apparaissent dans la chambre, ma mère frissonne et ferme les yeux.

— Ouvre les yeux, il faut que tu vois ça… lui demandé-je doucement 

Elle les rouvre enfin, pour voir son reflet entrer à son tour dans la pièce, le visage baigné de larmes. Ça me fait horriblement mal de la voir ainsi supplier Louis à genoux. On entend distinctement ses plaintes et son refus de se soumettre. Je suis avec elle à ce moment là, je souffre avec elle. Alors que l’image de Louis s’empare de la badine, sur le point de la frapper, je referme l’ordinateur, incapable de lui en faire subir davantage. 

Je vois dans ses yeux une myriade d’émotions contradictoires. Elle est en pleine réflexion, un combat intérieur intense, qui je l’espère sera bénéfique. Des larmes roulent sur ses joues et lorsqu’elle se met à sangloter, je la prends dans mes bras et embrasse ses joues humides. 

— Je sais ce dont tu as besoin et je te jure que je te l’apporterai, sans jamais te faire le moindre mal. On sera heureux tous les deux. Libère-toi de son emprise, il n’y a que toi qui le peut. Barrons-nous d’ici ! 
— Tu es un rêveur Tobias… me chuchote-t-elle tendrement. On ne peut pas partir d’ici, où est-ce qu’on irait ? Je n’ai pas d’argent et tu es encore au lycée. On ne peut pas partir sur un coup de tête non plus. Il nous faut une porte de sortie. 
— Tu comptes partir alors ? dis-je en sentant une bouffée de soulagement me submerger. 
— Oui, nous allons partir. Mais il va me falloir un peu de temps pour retrouver un travail. Une fois que ce sera fait, nous nous en irons et je demanderai le divorce. 
— Si tu savais comme je suis heureux d’entendre ça ! 
— En attendant, il faudra donner le change. Qu’il ne se doute de rien. 
— Tu vas supporter ça encore ?
— Juste quelques semaines. Si c’est le prix à payer pour être enfin libre et heureuse, alors je le paierais.  
— Non. Avec cette vidéo, on peut facilement porter plainte contre lui pour abus de faiblesse ou même viol. Ce sera à lui de dégager. On va aller chez les flics et tu porteras plainte. C’est fini Maman. Pour de bon. 

Son courage et sa détermination me rendent si fier, j’ai une furieuse envie de l’embrasser. Cette fois, je suis délicat, ne voulant pas attiser la douleur de ses cicatrices encore récentes. Je la caresse doucement, le long de son dos, tandis que mon autre main empaume sa joue pour attirer son visage à moi. Nos lèvres s’unissent en un tendre baiser. 

— Merci… murmure-t-elle entre chaque baiser. 
— Tu ne peux pas savoir à quel point…
— Chut… Fais-moi tout oublier. Juste quelques instants.  

Elle m’entraîne sur le lit, entre les draps, sans pour autant rompre le contact de nos lèvres qui se dévorent . Nos corps se fondent l’un contre l’autre. Enfin je peux sentir sa peau contre la mienne, je suis au comble de l’extase ! J’ai envie de dévorer chaque parcelle de cette si belle peau blanche mais je me retiens. Ce moment n’est que tendresse, je ne veux pas mettre le sexe dans la balance. Je ne vaudrais pas mieux que Louis sinon. 

Allongé sur le lit, Rose-Marie nichée au creux de mon épaule, lovée tout contre moi, je regarde dans le vague, l’esprit ailleurs. 

— A quoi tu penses ? me demande-t-elle
— A nous, notre avenir. J’ai hâte de démarrer cette nouvelle vie. Mais pour ça, il faut qu’on aille chez les flics tout de suite. 
— Restons encore un peu. Je me sens si bien là, dans tes bras… Nous irons juste après. 

  *************************************************************************

Septembre.Une nouvelle année scolaire démarre. Je suis entré en fac de psychologie, avec mon pote Max dans une autre ville. Ce dernier était un peu déçu que j’aie refusé sa proposition de colocation mais il a très vite compris quand je lui ai dit que ma mère me suivait là bas.  
C’est bien le seul en qui j’ai confiance et le seul à être au courant pour nous. 

Rose-Marie a repris un job d’infirmière et depuis sa séparation avec Louis, elle est plus rayonnante que jamais. Ce dernier n’a pas été encore écroué mais il a interdiction de s’approcher et notre déménagement a sonné le glas de cette vie d’asservissement.

Ce soir, je rentre de la fac, fatigué mais heureux de retrouver enfin notre appartement et surtout, ma mère. Je sais qu’aujourd’hui elle n’est pas de garde et cela signifie que nous allons passer une très très bonne soirée… 

Un fumet délicieux parvient à mes narines lorsque je passe la porte et je le suis jusqu’à la petite cuisine où ma mère est en train de mitonner un bon repas. Elle me tourne le dos et n’a pas remarqué ma présence. J’en profite pour la contempler, heureux de la savoir enfin libre et comblée. Elle porte une jolie robe en coton vert émeraude. Cette couleur lui va si bien, elle souligne le splendide roux de ses cheveux et la pâleur de sa peau. 

Je m’approche doucement pour me fondre contre elle, déclenchant chez elle un petit sursaut.

— Oh tu m’as fais peur ! Tu as passé une bonne journée ? 
— Super, surtout depuis que je suis rentré. Ça sent divinement bon !
— J’ai préparé un bourguignon, ce ne sera pas prêt tout de suite.
— Tant mieux, parce que je ne parlais pas de la nourriture, dis-je en enfouissant mon nez dans son cou. 

Ma main se faufile par devant, sous sa robe et je découvre avec surprise qu’elle n’a pas mis de culotte. Mes doigts viennent s’immiscer dans ses replis, découvrent la moiteur de son désir tandis que mes lèvres goûtent à la chair tendre de son cou. Au premier contact de sa peau contre la mienne , elle s’enflamme instantanément, se fondant contre moi pour ne faire plus qu’un. Mon désir est pressant, dans mon jean je suis bien trop à l’étroit maintenant et j’ai une furieuse envie d’elle. Elle me rend fou.

Je remonte sa robe, dévoilant son fessier galbé et le joli tatouage tribal qui l’orne. 

— Tu es si belle… j’ai beaucoup trop envie de toi. 
— Alors, prends-moi.

Je la bascule contre le plan de travail, saisit ses hanches pour bien écarter ses deux lobes de chair si goûteuse. Mon gland se faufile contre son anneau et s’enfonce d’un seul coup, lui faisant échapper un cri de douleur.

— Oh bordel ce que j’aime ton cul… tu veux que j’y aille moins fort ?
— Non, continues… supplie-t-elle 

Il ne faut pas m’en dire plus. Je sais à quel point elle adore que je la malmène de cette façon. Mes coups de reins sont brutaux et deviennent frénétiques. Rose-Marie ne cesse de gémir, en réclame encore plus. Je tire sur sa crinière pour pouvoir voir son visage et l’embrasser à pleine bouche. Nos langues s’enroulent et s’emmêlent pendant que mon membre se fraye un passage dans ses tréfonds. Chaque fois que je cogne au fond, elle pousse un cri de plaisir, qui se perd entre mes lèvres. Je la sens partir : ses jambes tremblantes ne la soutiennent plus et sa bouche s’ouvre en grand, pour laisser s’échapper un long cri de jouissance.  

— Oh oui c’est bon……

Ce que j’aime l’entendre jouir ainsi ! Elle s’abandonne entièrement à moi pour atteindre l’apogée du plaisir. Son corps se contracte, me maintenant prisonnier de sa chair, et moi, je dois faire tout ce que je peux pour me retenir de jouir. Ce que je préfère c’est quand elle avale mon jus, et ça tombe bien, car c’est ce qu’elle aime aussi. 
Une fois son orgasme terminé, je me retire et la laisse se mettre à genoux devant moi. Ses grands yeux verts brillent de gratitude et son visage rayonne encore de l’extase qu’elle vient d’atteindre. 
Malicieuse, elle me prend en bouche et aspire ma queue qui est déjà au bord de l’explosion. Elle me prend les mains, les appose sur sa tête pour m’accorder sa soumission totale. Je me laisse alors aller à cette luxure et investit sa bouche avec autant de fougue que son cul. Bientôt, je sens venir l’orgasme libérateur et décharge ma semence bien profond dans sa gorge. 
C’est si bon, c’en est presque irréel ! 

Elle se lèche les lèvres en me souriant et me propose d’un ton enjôleur : 

— On continue ça sous la douche ?
— Et si on faisait plutôt une petite balade ? Me dit-elle en sortant le collier et la laisse que nous utilisons de temps à autre. -Merveilleuse idée, j’adore ta perversité... 

Et c’est ainsi que nous finissons la soirée dans un parc, proche de chez nous, où deux petits jeunes se sont bien régalés du spectacle que leur a offert ma charmante mère. La prochaine fois, ils auront peut-être droit à quelques faveurs de sa part, si le cœur lui en dit. 

Je n’en reviens toujours pas de la tournure qu’ont pris les choses. Qui aurait cru que je vivrais le parfait amour avec ma mère, le tout en vivant exactement la vie dont je rêvais ? J’ai mes études, mes potes, la boxe et surtout, l’amour. Mais ce qui me rend le plus heureux, c’est de voir ma mère revivre enfin. 
Asservie, elle ne l’est plus que dans mon lit et pour notre plaisir à tous les deux. 
Diffuse en direct !
Regarder son live