Cette histoire est purement fictive, elle conte l’aventure de Max et sa mère, Carla. Bonne lecture à toutes et à tous ! — Désolé les gars, le chauffage est cassé, pas d’entraînement ce soir …— Mais coach, on s’en fou, ça ne pose pas de problème pour nous, dis-je en essayant de le persuader.— Max, pas d’entrainement. La salle est trop froide, les sacs de frappe trop durs, et les blessures arrivent trop vite. N’oublie pas ton gala dans deux semaines, tu affrontes le champion d’Ile-de-France.— Je sais coach, je vais rentrer et m’entraîner au poids du corps. — Bonne idée, à demain les gars. Nous repartîmes chacun de notre côté, assez déçu que l’entraînement de ce soir soit annulé. Je décide de rentrer chez moi en courant, il y a approximativement 3kms, je me donne 12 minutes pour y parvenir, sachant que je porte mon sac et mon équipement. Malgré mon gabarit j’ai une bonne endurance et … Désolé, j’ai complètement oublié de me présenter, je m’appelle Max, 20 ans, 1.85m pour 89kg. Grand brun athlétique, je pratique le MMA depuis 5 ans et combat régulièrement. J’étudie l’architecture à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles, en 2ème année. Trêve de présentations, une fois le chronomètre enclenché, j’entame le parcours. Je me sens en bonne forme, malgré le froid de ce mois de janvier, et le poids de mon sac, je termine ma course en 10min36sec. Arrivé devant la maison de mes parents, j’aperçois dans la neige des traces de pas autres que les miennes et celle de ma mère. C’est peut-être mon père qui est rentré plus tôt que prévu de son colloque à Amsterdam, bien que cela fait un peu tôt pour qu’il soit déjà là. Je rentre chez moi et à peine le pas de la porte passé, je perçois des gémissements. Je prends peur, maman est seule à la maison, elle s’est peut-être fait mal et ne peut pas bouger, la personne qui a laissé les empreintes est peut-être un cambrioleur. Mon imagination travaille à plein régime, mais pas de soucis, cela fait 5 années que je m’entraîne sans relâche, que je combats chaque adversaire sans peur. Je suis prêt, s’il faut se battre, battons-nous. Sauf que le combat auquel je vais faire face n’est pas du même registre que ceux que j’ai pour habitude de mener. Les gémissements viennent du salon, j’avance lentement, prenant soin de n’émettre aucun bruit, je crois entendre la voix de maman. Je m’approche encore, cette fois le son est clair, c’est maman qui gémit. La porte du salon est close, je me risque à regarder par la serrure. C’est la douche froide. Maman, ma mère que j’admire tellement, cette mère qui m’a inculqué tant de valeurs, est positionnée sur le canapé à 4 pattes. Un homme légèrement bedonnant dont je ne vois pas le visage est placé derrière elle, son sexe effectue d’amples va-et-vient dans le vagin de maman. Ma mère est métamorphosée, elle ne gémit plus, mais hurle son plaisir : — Ahhh baise-moi vas-y Thierry !! Je baise mieux que ta pute de femme hein ??— Ohhhh ouiii Clara, tu es si bonne, tu es une bonne salope !!— Accélère je vais jouir !! Supplia ma mère à cet homme qui s’avère être notre voisin, Thierry. La vue de cette pute qui se trouve être ma mère me paralyse. On entend distinctement le bruit des couilles de Thierry venir frapper la chatte de maman. Entendre ma mère jouir et parler si crûment me donne une érection incroyable. Je me sens gêné d’avoir une érection dans un moment pareil. Mais maman est tellement belle et la voir faire l’amour m’empêche d’intervenir. J’ai envie d’en voir plus, je veux que le spectacle dur encore. Adolescent, il m’arrivait de me masturber en écoutant mes parents faire l’amour. Les cris de plaisir de maman étaient si excitants que mes branlettes ne duraient pas longtemps. Maman est une très belle femme de 45 ans, son charme espagnole rend fou n’importe quel homme. Ses énormes seins pendent et balancent au rythme des coups de reins de Thierry. Quand tout à coup son corps se raidi, maman part dans un bruyant orgasme.Son amant se retire, lui laissant reprendre ses esprits. Il s’assoit alors sur le canapé et positionne maman sur son sexe épais. Je crois halluciner quand j’entends ma mère qui demande à être prise par le cul. Je vais voir maman se faire sodomiser, je n’en peux plus et sors mon sexe pour me soulager. Une fois positionner sur le gland, le trou de maman absorbe centimètre par centimètre cette queue. Deuxième choque, Thierry ne porte pas de préservatif, ce qui a le don de décupler mon excitation. Les sons qu’émet ma mère ont changé, ce ne sont plus d’aigus gémissements, mais de profonds et graves râles de plaisir. Thierry ne va pas tarder à jouir, il fait rebondir ma mère sur sa queue, tout en lui titillant le clitoris gorgé de sang. Leur orgasme est proche, je n’attends que le moment où il surviendra pour me lâcher à mon tour. Maman s’attrape alors les seins en hurlant son plaisir et c’est le moment que choisi son amant pour éjaculer au fond de son anus. On peut apercevoir son pénis se contracter au rythme des jets venant inondé l’intimité de ma mère. J’ai éjaculé également, souillant mon caleçon d’une épaisse crème blanche. Je suis ramené à la réalité par Thierry : — Il va falloir que j’y aille Carla, Caroline ne va pas tarder à rentrer— D’accord, reviens demain, max aura encore entraînement, et Patrick ne rentre pas avant la semaine prochaine de son voyage. Tu m’as fait jouir comme une grosse salope, c’était super.— Content que tu aies aimé ça, demain ça sera seulement sodomie, tu verras, tu ne pourras plus marcher …
Je me précipitai dans la salle de bain, pour ne pas me faire repérer par maman et Thierry. Une fois Thierry parti, j’entendis maman s’affaisser sur le canapé en poussant un râle de contentement. Elle s’allume une cigarette qu’elle fume tout en allongeant ses jambes sur la table basse. Je réfléchis alors, ma mère a trompé mon père, ce qui ne semble pas être la première fois. J’ai assez vu et entendu de chose pour la faire chanter, je pourrais faire payer mon silence. J’aime ma mère, je l’aime et j’ai envie de lui faire l’amour à mon tour. J’ai adoré voir cette femme, se comporter comme la plus grosse des salopes. Ma décision est prise, je vais mettre les choses au point avec maman. Je sors de la salle de bain et m’arrête dans l’encadrement de la porte du salon. — Bonsoir maman, tu vas bien ?— Max … dit-elle sans pouvoir ajouter la moindre parole— Oui, c’est moi, je ne te dérange pas j’espère ?— Je… Non, enfin t… tu…. Bégaya-t-elle— Chut n’en dis pas plus, j’ai tout vu, et surtout je t’ai entendu jouir, et demander à être prise par le cul…— Oh mon chéri je suis désolé, pardonne-moi, s’il te plaît ne dis rien à ton père je ferai tout ce que tu voudras !! sanglota-t-elle— Maman, ne pleure pas, je t’aime maman. Jamais je ne te ferai de mal. Tu étais tellement belle tout à l’heure. Te voir jouir était un pur bonheur, j’aimerais te voir jouir encore et encore maman d’amour.— Mais, mon chéri, je suis ta mère, c’est gênant. Tu veux que je couche encore avec Thierry ?— Oui maman, s’il te plaît, je veux assister à vos rencontres, je me cacherai, il ne me verra pas. Je vous observerai, en plus demain ça sera une soirée sodomie et j’ai cru comprendre que tu raffolais de cette pratique. — Je… Oui chéri, j’ai joui intensément tout à l’heure quand il m’a pris par le cul, mais cela me gêne quand même. Tu attends quoi de moi exactement ?— Que tu fasses tout ce que je dis maman, quand papa est absent je veux te voir agir selon mes envies. Et l’envie que j’ai, c’est te voir faire l’amour comme une pute, comme la pute que tu étais tout à l’heure.— Je n’ai pas le choix, mais je suis d’accord chéri, je serai ta pute, j’agirai selon tes règles, je serai tienne. Demande moi ce que tu veux et je m’exécuterai. — Très bien, là tout de suite je veux que tu m’embrasse maman. Ma mère pose sa cigarette, approcha ses lèvre et les posa délicatement sur les miennes. Ses petits baisers se transformèrent en longs et langoureux coups de langue. Elle aspirait mes lèvres, nos langues se caressant mutuellement. J’avais une envie folle de faire l’amour à ma mère, mais pas avant de l’avoir revu avec Thierry. Je décidai donc de la voir se masturber devant moi. Elle enleva sa culotte s’assit juste à côté de moi et écarta ses jambes en en plaçant une sur mes genoux. Elle commença par se caresser le clitoris puis s’introduisit un doigt dans sa chatte. Elle mouillait abondement, les clapotis émanant d’elle me donnèrent une érection incontrôlée. Je sorti mon sexe et me masturbai en regardant ma mère faire de même. J’aperçus le petit trou de maman dégoulinant du sperme de Thierry : — Maman, récupère le sperme qui coule de ton cul, et met le dans ta chatte !— Hummm petit vicieux, ça t’excite voir ta mère se doigter devant toi ? Tiens regarde. Ma mère s’enfonça alors deux doigts dans l’anus, y récupéra le liquide blanc, et les enfonça dans sa chatte, qui devint de plus en plus humide. A mesure que notre masturbation avançait, notre orgasme approchait. Ce fut ma mère qui jouit en premier, son plaisir fini de m’achever, et je me plaçai à l’entrée de son vagin pour éjaculer de longues rasades de sperme. Une partie de ma semence s’insinua en elle, le reste fut étalé par les jolies mains de maman, sur sa magnifique toison brune taillée au millimètre. — Ne te lave pas maman, je veux que tu restes souillée comme la salope que tu es. — Tout ce que tu voudras mon chéri, je suis à toi. Sur ces dernières paroles, nous allâmes nous coucher, dans le lit parental. J’avais réalisé mon fantasme le plus enfoui en moi. Avoir ma mère pour moi, pouvoir jouir de maman selon mon bon vouloir. Cette soirée n’était que le commencement d’aventures encore plus débridées et perverses. Merci à toutes et à tous d’avoir pris le temps de lire mon histoire. N’hésitez pas à mettre des commentaires, que ce soit une critique positive ou négative, cela m’aidera à écrire une suite qui je l’espère satisfera l’ensemble d’entre vous !!!
