Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 113 J'aime
  • 3 Commentaires

Ma mère, cette salope soumise

Chapitre 2

Inceste
Ce matin, le réveil fut long. Je ne savais pas où j’étais ni pourquoi j’avais cette désagréable sensation d’appréhension. Quand j’ouvris les yeux, je ne distinguai pas l’habituel désordre de ma chambre, mais la spacieuse chambre bien rangée de mes parents et … Mes parents, ma mère… Maman, oui ça y est, je me souviens maintenant ! L’entraînement, la neige, le voisin, maman. Ma mère sodomisée, souillée, et notre dérapage de la veille. L’excitation ressentie hier soir avait annihilé toutes mes peurs, et j’avais franchi une ligne, un ravin avec ma génitrice. Dès que cette pensée me vint à l’esprit, une érection incontrôlable se fit sentir sous mon boxer, déformant dangereusement le tissu noir. Que devais-je faire ? Continuer sur ce chemin incestueux, ou alors arrêter pendant qu’il était encore temps, l’irréparable n’ayant pas encore été commit. Je me décidai à sortir du lit où, il faut bien l’avouer, j’avais passé une des meilleures nuits de mon existence. Je descendis dans la cuisine me préparer mon petit déjeuner, blanc d’œuf, poulet et pain de seigle au menu (eh oui tous les événements de la veille n’enlève en rien ma passion du combat, je dois garder une diète exemplaire).
Je passe ma journée à réfléchir et je suis de plus en plus hésitant à poursuivre cette relation avec ma mère. Vers 17h, j’entends la porte d’entrée s’ouvrir et j’aperçois alors maman. Très mal à l’aise, je m’approche d’elle et l’embrasse sur la joue pour la saluer.
— Bonjour mon chéri, me dit-elle comme si rien ne c’était passé— Salut m’man, ça va ? Dis-je légèrement hésitant— Très bien et toi ? Tu as bien dormi ?
Lorsqu’elle prononça ces mots, ma mère me fit un clin d’œil, je ne sus pas comment réagir et c’est elle qui brisa le léger silence qui s’installait.
— Tu n’as pas l’air bien, tu repenses à hier soir ?— Oui un peu …— Tu ne veux plus que je sois ta salope ? Pourtant l’idée me plaisait bien.— Eh bien, euh …— Tu sais quoi ? N’en parlons plus, tu te décideras ce soir après que Thierry soit parti. Mais si tu décides d’arrêter là, je te demanderai de ne pas en parler à ton père, j’aime jouir et lui aime travailler, ce n’est pas vraiment compatible.— Oui oui, ne t’en fais pas m’man.
Je crois que ma mère était déçue, elle essayait de ne pas le montrer mais son visage exprimait de temps à autre une moue légèrement triste. Je ne voulais pas décevoir maman, mais j’avais peur de ce que pouvait avoir comme conséquence une relation incestueuse. J’étais tiraillé entre la morale et l’excitation. La morale l’emporta. A contrecœur, je préparai mes affaires et parti en direction du dojo. Perdu dans mes pensées, j’arrivais seulement au coin de la rue quand j’entendis le bruit d’une porte claquer. Je levai la tête et aperçus Thierry sortant de chez lui, sifflotant et heureux. Il se dirigeait en direction de ma maison. Maman l’attendait, prête à recevoir la semence de ce type, à jouir sous les assauts répétés de son sexe, dilatant son anus … Comme ce matin, la seule pensée de ma mère criant son plaisir suffit à m’exciter. Je ne pouvais pas laisser passer cette occasion. Maman me croyait parti et elle n’en saurait rien, je ne serai pas obligé d’aller jusqu’au bout, je les espionnerai comme hier soir. Oui, voilà, je me cacherai et les observerai, ensuite je quitterai la maison sans bruit, ni vu ni connu. Je fis demi-tour et arrivé à la maison, je passai par le garage pour ne pas me faire voire.
Très discrètement, je m’avançais vers le salon où je pus apercevoir ma mère et son amant s’embrasser. Ils ne perdaient visiblement pas de temps. Maman s’était changée, elle portait une mini-jupe noire lui arrivant très haut sur les cuisses ainsi qu’un chemisier blanc largement décolleté. Ce dernier laissait entrevoir les seins imposants de ma mère. Je reportai mon attention sur le jeu de langue qui se déroulait sous mes yeux. Tels deux serpents, leurs langues s’emmêlaient littéralement, les bruits de succion parvenaient jusqu’à mes oreilles. Thierry soupesa les seins de maman et vint rouler ses tétons entre ses doigts, ce qui eut pour effet d’activer les gémissements que j’avais entendu la veille. Il plaça alors une main sous la jupe de maman, qui se mit à onduler du bassin. J’entendais distinctement les clapotis que faisaient les doigts de Thierry dans la chatte de ma mère. La situation m’excitait énormément et j’entrepris une lente masturbation.
Au bout de quelques minutes ma mère se leva et enleva complètement son chemisier, elle se positionna à califourchon sur Thierry qui put lui bouffer ses énormes seins. Tout en les malaxant, il suçait les tétons qui durcissaient à vue d’œil. Maman se laissait aller et commençait à émettre de puissants gémissements. En se positionnant ainsi, sa jupe déjà très courte s’était complètement relevée. Préparation précipitée ou oubli volontaire de sa part, maman ne portait aucun sous-vêtement, on distinguait clairement la raie de ses fesses et son petit trou serré qui luisait déjà de la mouille dégoulinant de son intimité. Une main sur un sein, une main sur les fesses, Thierry faisait tournoyer son index autour de l’anus luisant de ma mère. Cette parcelle de chaire était très élastique car après seulement quelques tours, son doigt disparu dans ce trou gourmand, puis ce fut autour d’un deuxième, et d’un troisième doigt de disparaître également. Ce sympathique voisin commença alors un mouvement de piston avec plus de la moitié des doigts de sa main gauche dans l’anus de ma sublime maman qui appréciait grandement le traitement. La combinaison des stimulations pectorales et anales entraîna un violent orgasme chez maman qui hurla de plaisir. Son amant se leva alors, et se déshabilla entièrement, laissant apparaître un sexe assez court mais d’une épaisseur impressionnante.
Maman approcha sa bouche de cette matraque et entreprit une fellation digne d’une star du porno. Le mouvement, le bruit de succion, le regard de chienne, tout y était, ce qui valut à Thierry des grognements d’animaux. La langue de ma mère dansait autour de cette tige, passant sur le gland luisant, puis redescendant le long de la verge, pour ensuite venir caresser les grosses couilles pleines de foutre. Je n’en pouvais plus, ma mère était si belle, si excitante que je n’allais pas tenir longtemps, je stoppai donc ma masturbation quelques minutes.
— Ahhhh salope tu suces biiiiiiiien !! dit Thierry gémissant à moitié— Hummm tu hummm aimes hmmm que je suce hummm comme une hmmm salope !— Oh oui tu es ma salope, ma pute je vais te baiser comme jamais !!
Sur ces mots, Thierry bloqua la tête de ma mère et entama de puissants et rapides va-et-vient dans la bouche de maman. Il lui défonçait la glotte et plusieurs fois ma mère faillit vomir, crachant de longs filets de bave. Elle était telle une chienne obéissant à son mètre, elle se faisait baiser et ne pouvait pas protester, les réflexes de régurgitation faisaient couler des larmes des magnifiques yeux verts de maman, entraînant des coulées noires de mascara. Tout cela renforçait encore plus l’image de salope soumise que dégageait ma mère. Thierry était proche de l’orgasme quand il se figea, appuyant la tête de maman contre son pubis, les yeux fermé et la bouche ouverte, il cria son plaisir en éjaculant dans la bouche de ma mère, qui n’eue d’autre solutions que d’avaler ce sperme chaud et épais.
Les deux amants s’écroulèrent alors sur le canapé sans dire un mot, on entendait seulement leur respiration se calmer progressivement. Ce fut une sonnerie de téléphone qui rompit le silence. C’était le téléphone de Thierry, et ce dernier grimaça lorsqu’il regarda l’identité de l’appelant.
— Oh tient chérie !! Pourquoi m’appelles-tu ? Tu es pourtant de nuit à l’hôpital. Dit-il agacé— Eh bien le directeur du service m’a demandé de remplacé une collègue demain, je suis donc libre cette nuit.— Ah bon, tu remplaces une collègue demain, eh bien à tout de suite alors, je t’attends chérie.— A tout de suite, bisous.
Thierry raccrocha et jeta son téléphone de dépit sur le canapé, il expliqua alors à ma mère pourquoi il devait partir. Leur partie de baise ne faisait que commencer, ils étaient alors stopper net dans leur élan lubrique. Se promettant de remettre rapidement leurs petits jeux, les deux amants se quittèrent, laissant maman seule et sur sa faim. Enfin pas si seule, car je suis présent et compte bien me lancer dans cette dangereuse aventure avec la plus belle des femmes.
Sans prendre autant de temps que la veille, je fis irruption dans le salon, quand elle me vit maman me fit une gros sourire et me dit :
— Alors comme ça tu t’es enfin décidé !! Tu nous as donc regardés ?— Oui je ne pouvais pas louper un spectacle aussi excitant, malgré le fait qu’il ait été interrompu …— Oui j’ai été coupé dans mon élan et j’ai besoin de jouir encore.— Ne t’inquiète pas pour ça ma salope, tu vas jouir avec ton fils !
Toutes nos appréhensions, notre timidité avait volé en éclats. Je parlais à maman comme elle le méritait, comme à la chienne qu’elle était. Je sorti ma verge et m’approchai de ma mère toujours vêtue de sa mini-jupe. En comparaison avec Thierry, mon sexe était presque aussi large, mais beaucoup plus long. Maman écarquilla les yeux à la vue de cette belle queue bien dure, et l’enfourna dans sa bouche. Ce fut la sensation la plus délicieuse que je ressenti depuis le début de ma vie. Maman faisait couler beaucoup de salive, elle lapait ma queue telle une chienne affamée qui ne s’était pas nourri depuis des jours. Je sorti ma queue de sa bouche et la bifla, maman fut paralysée et ne bougea plus. Elle avait dit hier soir qu’elle serait ma salope soumise, alors elle devra l’être :
— Pourquoi tu t’arrêtes de sucer salope ? Je ne t’ai pas ordonné d’arrêter alors continue, et doigtes toi en même temps, lui ordonnais-je.
Notre petit jeu dura bien une trentaine de minutes pendant lesquelles je lui ordonnais de me sucer, de lécher mes couilles et mon petit trou. Elle s’exécutait royalement bien, s’appliquant à satisfaire le moindre de mes désirs.
— Tu es une vraie chienne maman c’est bien. Mais tu penses que j’ai oublié ce qu’a dit Thierry hier ? Aujourd’hui ça devait être une soirée sodomie, donc tu vas y passer.
Je mis maman à pattes et sans préparations préalables, je lui enfonçai entièrement mon sexe au fond de sons anus. Le cri qu’elle poussa fut déchirant, il lui fit monter les larmes qui coulèrent sur ses joues. La douleur était très intense, mais elle se mêlait au plaisir procuré par mes fougueux coups de reins. Maman pleurait de douleur et de joie, son anus étroit m’enserrait la queue si fortement que je n’allais pas tarder à me vider dans ses entrailles. En levrette, je la saisi par la gorge tout en lui murmurant des mots crus à l’oreille, je la baisais comme une vulgaire pute. Son excitation à son paroxysme, son corps se raidit sous un orgasme foudroyant, je ne pus me retenir plus longtemps et j’explosais dans l’anus de ma mère. Je ressortis mon sexe couvert de semence, un long filet blanchâtre s’écoula alors du petit trou de ma mère qui pleurait non plus de douleur mais de satisfaction. Nous nous embrassâmes longtemps et très sensuellement, après plus d’une heure à jouir l’un de l’autre.
Nous avions franchi l’infranchissable, maman et moi avions fait l’amour. Enfin cela ressemblais plus à une partie de baise, mais nous avions eu notre premier rapport sexuel, et quel rapport !! Faire pleurer sa propre mère de plaisir, le tout par le cul avait été le plus beau moment de ma vie. Cela ne faisait que commencer, il me fallait encore explorer d’autres « angles » de la si jolie anatomie de maman, des « angles » pas toujours très droits …
Diffuse en direct !
Regarder son live