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Ma mère... Ma chienne

Chapitre 8

Inceste
Je vous ai parlé de Françoise, une amie de ma mère qui nous avait apporté son chien Molosse à garder chez nous le temps de ses vacances. Nous sommes au début de l’hiver et ma mère m’annonce que son amie Françoise sera chez nous vendredi soir pour dîner. Je me réjouissais déjà de sa venue car j’aimais bien cette femme et je la trouvais vraiment belle! La semaine s’écoula bien vite et le vendredi montra vite le bout de son nez. Celui de Françoise aussi d’ailleurs mais je ne savais pas qu’elle viendrait avec son ami du moment Abou, un grand noir imposant aux larges mains et au visage plutôt sympathique. J’étais déçu c’est sûr, mais je m’appliquais à ne pas le montrer et leur proposais de rentrer et de s’installer dans le salon le temps que ma mère finisse de se préparer. Je leur ai servi à boire et m’installais avec eux afin d’échanger quelques mots. La Conversation était sympathique et ma mère ne se fit pas beaucoup attendre. La voilà qui apparaissait tel un ange... Mon dieu que j’aimais cette femme qui était ma mère. Elle était vêtue d’un jeans ultra moulant, (c’est vrai qu’à l’époque c’était la mode) et d’un tee-shirt au col très largement échancré qui tombait sur l’épaule avec une fine ceinture à la taille et des escarpins noirs vernis aux talons vertigineux qui rappelaient la ceinture... Quelle femme sexy, me suis-je exclamé lorsqu’elle est entrée dans le salon. Elle s’approcha avec un large sourire et Abou qui était le plus proche de la porte se leva pour la saluer... ses yeux étaient rivés sur elle comme des aimants. Françoise à son tour se leva et embrassa ma mère tout en lui glissant quelques mots à l’oreille... Je ne savais pas ce qu’elles s’étaient échangé mais ma mère a souri et lui a fait un clin d’oeil assez coquin... Je me levais et proposais à ma mère un verre de Champagne car c’est sa boisson préférée. Nous voilà tous servit et en train de boire et de parler tous ensemble de tout et de rien, mais l’ambiance est vraiment bon enfant! Puis, ma mère se leva rapidement et s’en alla vers la cuisine en riant et en expliquant qu’elle avait oublié de commencer à préparer l’entrée du repas. Abou se leva aussi et lui proposa de l’aider, ma mère ne refusa pas son aide et je suis resté avec Françoise... seul pendant bien vingt minutes à parler. Ses questions devenaient de plus en plus inquisitrices à l’égard de ma vie privée... J’entends par là qu’elle voulait savoir absolument si j’avais une copine? Si j’avais déjà eu des rapports sexuels et autres questions assez gênantes au début mais qui finalement m’excitaient plutôt et comme elle me plaisait beaucoup, je prenais un certain plaisir à lui laisser entendre que j’avais depuis quelque temps des rapports avec une femme très belle et bien plus âgée que moi. Elle souriait et avait les yeux rieurs et surpris tout de même. Elle me complimenta sur mes charmes et me dit que j’étais maintenant devenu un très beau jeune homme. J’étais certes flatté, mais je comprenais mal ce qu’elle me trouvait alors que je l’avais toujours vue avec des hommes plutôt exotiques! Abou, entra dans le salon et nous dit de venir à table. Je me levais et tandis la main vers Françoise afin de l’aider à se relever du fauteuil. Elle me regarda droit dans les yeux tout en se levant, me fit un très grand sourire et s’approcha de mon oreille et dit "Merci jeune homme, pour votre galanterie!" et finit ses mots par un baiser sur la joue. J’étais soufflé parce qui venait de se passer! Elle passa devant moi et avançait en chaloupant sa magnifique croupe dénudée. Elle portait une robe rouge sans décolleté devant mais qui offrait une superbe vue de son dos accompagné par sa crinière blonde. La robe arrivait juste au-dessus des genoux, droite et une petite fente derrière qui laissait à peine entr’apercevoir la couture de ses bas et des escarpins rouges. Cette vision m’excita au point que je me suis mis à bander directement... sans appel!Nous voilà à table, à discuter, rire, boire, manger sans interruption. Ce moment était vraiment d’une grande convivialité. Nous avons beaucoup bu et les discussions finissaient comme vous pouvez l’imaginer toujours sur le sexe. Et mon dieu, que nous étions intarissable sur ce sujet... J’ai appris d’ailleurs à ce moment-là que Françoise avait déjà connu plusieurs relations saphique. Et que ma mère et elle s’étaient embrassées à plusieurs reprise lorsqu’elles étaient jeunes, pendant leurs soirées de débauche! Ma mère laissait parfois échapper quelques allusions sur nos ébats mais sans dire évidemment qu’il s’agissait de nous. Mais François à un moment a saisi la balle au bond et dit à ma mère: "Tu savais que ton fils a une relation avec une femme plus âgée que lui?" J’étais très gêné et je suis devenu rouge et ma mère répliqua "Mon fils est comme son père... un vrai étalon!" un blanc se fit marquer et tout le monde s’est mis à rire. Heureusement pour nous que l’alcool était là pour masquer tout ce qui aurait pu être compris pendant le repas!!!Le dessert arriva sur la table, un grand saladier rempli de fraise avec de la crème. Tout le monde se servait et ma mère commença à jouer avec une fraise la faisant entrer et sortir de sa bouche et dit " Cela ressemble au fruit défendu... non? " Françoise regardait ma mère et tout en l’imitant et ne se priva pas de rajouter " hummm son parfum, son goût et sa texture est tel que si ce n’était pas une fraise dont je raffole alors il faudrait que ce soit une queue!" avant de pointer le bout de sa langue toute fine dessus. Abou se mit à rire très fort et s’approcha de Françoise et pris avec sa langue la fraise, dans la bouche de Françoise et ils se sont roulé une pelle très érotique! Ma mère, ne voulait pas les voir se gâter alors elle s’approcha de moi et prit mon menton de sa main et m’attira vers ses lèvres et m’embrassa très sensuellement que je suis resté tétanisé et mes mains n’avaient aucune réaction. Ce sont les paroles de Françoise qui nous firent revenir à la réalité " Et bien je pense maintenant comprendre les expériences très matures de ton fils, maintenant! " Ma mère s’arrêta et me regardait fixement avec plein d’amour et de tendresse et reprit " Oui c’est vrai mais c’est aujourd’hui un mâle entreprenant et sûr de lui et je suis devenue sa femelle... Il peut faire de moi ce qu’il veut, ou il veut et quand il veut! " Abou ajouta, que j’étais très chanceux. Françoise ne semblait absolument pas décontenancée par la situation et même elle insista en répliquant: " Où il veut, quant il veut et comme il veut? " OUI répondit ma mère.Et bien je voudrais bien voir ça! Françoise avait un sourire au coin des lèvres en disant ses mots. Je regardais ma mère et lui dit avec beaucoup d’affection: Je veux que tu ouvres mon pantalon et que tu me suces avec beaucoup de désir! Ma mère ne pouvait plus se contenir et ses mains prirent le pas tandis que ses yeux ne me lâchaient pas. La ceinture et les boutons de ma braguette se retrouvèrent bien vite défaits et mon pantalon en bas des jambes, ma mère passa sa main dans mon boxer et commença à me masturber doucement, j’ai alors descendu mon caleçon. J’entendis la voix de Françoise dire " En effet, Il a une belle queue... Tu avais raison, s’il est aussi bon amant que son père alors je comprends que tu ne puisses plus t’en passer!" Qu’est-ce que cela voulait dire... Mon père aurait sauté Françoise et ma mère??? Mais l’heure n’était pas aux questions mais à l’action et ma mère descendit son visage, me décalotta le gland et goba ma queue d’un seul coup.
Elle s’affairait avec beaucoup d’attention sur ma queue et Abou ne put s’empêcher de me le faire remarquer! "Woaw... ta mère sait faire des pipes!!!" Ouai je répondis et encore tu n’as rien vu de ce qu’elle est capable de faire pour moi! La situation était devenue tellement excitante qu’Abou a défait les boutons de son jeans et mit sa main sur la tête de Françoise et lui a dit "à ton tour ma belle! Montre à ce jeune homme ce que tu sais faire sur une queue!" Mais c’est la première fois que je voyais une bite aussi grosse et encore il ne bandait même pas complètement... Françoise s’appliquait à le faire bien bander et suçait avec beaucoup d’entrain. La bite d’Abou était tellement grosse que la bouche de Françoise se déformait. j’ai réalisé à ce moment-là vraiment la situation, j’étais en train de me faire sucer par ma mère devant mon idéal féminin, qui elle-même suçait son mec!
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