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Ma mère entre Paradis et Enfer.

Chapitre 2

Le père Joseph et le sacristain

Divers
En rentrant chez elle, ma mère n’en revient pas de son impensable journée. Elle se sent meurtrie de toute part tant physiquement que moralement. Un fort sentiment de culpabilité l’envahi d’autant plus qu’elle se remémore avoir énormément joui avec cette bite factice sa chatte s’est avérée source de plaisir intense qu’elle ne connaissait plus depuis longtemps. En se déshabillant devant son miroir de salle de bains, (elle n’avait pas remis cette gaine-culotte qui a tant déplu à Madame KOMA) une sensation étrange l’envahie. Son corps si imposant qu’il soit, n’avait rien de répugnant, au contraire, elle se plut à contempler ses seins, les caresser et aventura une main sur la toison de sa chatte encore toute humide. Pour plus de commodité, elle alla dans sa chambre et étendue nue sur son lit s’amusa avec son clitoris jusqu’à obtenir un orgasme. Néanmoins, elle se sentais toujours fautive de son attitude.Pour s’apaiser, il estimait qu’elle devait avoir le courage de se confesser au père Joseph.Le lendemain, hors de tout office religieux, elle se rend à l’église et frappe à la porte de la sacristie. C’est bien le père Joseph qui l’accueil.- « Bonjour Line, qu’est-ce qui me vaut cette visite ? Tu n’as pas de problème avec Mme Koma ? »- « Non pas à vrai dire mon père mais j’ai besoin d’une confession. »- « Qu’est-ce qui t’arrive pour ne pas attendre la confession du samedi ? »- « Voilà : lors de ma première journée de travail, madame Koma m’a agressée sexuellement. A force d’insistance, j’ai cédé à ses avances, nous avons fait ce qu’on appelle l’amour et j’ai fini par y trouver du plaisir. Je n’ose plus me présenter devant Jésus et je viens chercher le repos de mon âme. »- « Qu’est-ce que tu me racontes là ? tu as fait un péché de chair, pas un péché véniel. Je ne peux que te sermonner fermement. Toi, le modèle de nos paroissiennes, tu t’es sacrifiée sur l’hôtel de la luxure et qui plus est saphique. Pas question de pardon pour l’instant, Peut-être qu’après une longue période de réflexion, la rédemption viendra mais nous n’en sommes pas là et de loin. Va ! brebis égarée. Bien sûr, je serai toujours à ton écoute.Les larmes viennent à couler sur les joues de ma mère sans émouvoir pour autant le père Joseph et c’est dans cette situation très stressante qu’elle à la maison. Pendant cette mini confession, Jean Ribette le sacristain, derrière la porte de la sacristie a tout entendu des propos de ma mère. Il l’a même imaginée offrant ses gros seins et son gros cul à madame Koma. Très excité, sentant sa queue grossir dans son pantalon il décide de tenter sa chance et se présente le soir venu à l’appartement de ma mère. A l’ouverture de la porte, elle est très surprise de voir le sacristain qui d’ordinaire ne se présente chez elle qu’un fois par an pour le denier du culte ou dans des cas exceptionnels sur demande du père Joseph.- « Bonsoir Jean, il y a un problème à l’église, C’est le père Joseph qui vous envoie ? »- « Non mais je vais vous expliquer »- « Entrez donc. Excusez ma tenue légère, je me suis mise à l’aise pour la soirée. Je vais passer une robe de chambre. »Précédé par ma mère qui le conduit au salon Jean dévore des yeux cet imposant cul dont les fesses remuent au gré des lourds pas.- « Alors Jean dites-moi tout. Si je ne suis pas trop indécente, je vais rester dans ma tenue du soir. »- « Voilà madame, je vous appelle Line comme beaucoup de paroissiens. J’ai tout entendu de votre confession sur la rencontre avec madame Koma. Je pense qu’il ne serait pas bien venu que je répande la nouvelle auprès de quelques personnes. »Ma mère sent ses joues devenir rouges et après quelques secondes d’hésitation réagit.« Jean vous ne pouvez pas faire ça, la confession est secrète, vous devez tout effacer de votre mémoire » - « Oui mais pour le curé qui lui est tenu au secret de la confession, pas pour moi »- « Ce que vous me dites est indigne d’un homme comme vous au service du culte, ne faites rien, je vous en supplie. Vous voulez de l’argent ? »- « Non c’est vous que je veux. Je veux vous baiser. Maintenant que je sais que vous pouvez être une salope, j’ai envie de vos gros seins et de votre énorme cul. Je pense que vous allez aimer ma grosse bite. Votre chatte doit être en rapport avec votre embonpoint et je pense aussi l’ouverture de votre cul. »- « Mon dieu Jean, quel langage ! jamais je ne vous aurais cru aussi vulgaire. Vous vous engagez dans un odieux chantage. »- « Tu as dit au père Joseph que tu avais fini par aimer l’agression de la mère Koma. Tu vas être comblée, je vais te ramoner bien profond. »Sous son air très pudique qui se dégrade petit à petit, ma mère semble aimer secrètement ces assauts verbaux dont elle se sent, elle, incapable. Le sacristain se colle à elle par derrière, lui pelote les nichons. Sous son déshabiller quasi transparent, elle n’a pas de soutient gorge ce qui facilite l’accès à ses mamelles.Ma mère sentant que c’est le prix à payer pour le silence de Jean se laisse faire sans trop de réticence autre que quelques paroles.- « Soyez Correcte Jean, vous ne pouvez pas exiger cela d’une pauvre pécheresse. »- « Pécheresse tu l’es effectivement. Ton corps de salope, de grosse truie à baiser comme une chienne me fait envie, je bande à mort. Fous-toi à poil. Etale ta masse graisseuse, remue tes mamelles de grosse vache et donne-les-moi à téter. »En ouvrant son pantalon qu’il laisse tomber à terre, le sacristain découvre son phallus d’une impressionnante longueur et épaisseur comme celle du gode ceinture de madame Koma.- « Chienne, tu vas me sucer, me pomper avant que je te fourre. Ecarte bien des grosses cuisses de salope que je vois bien ta chatte. Ecarte tes lèvres et fait sortir ton clito. Avant que je ne te remplisse le con avec ma bite, je veux te voir pisser pour arroser ma queue. »Ma mère replonge dans un état second comme elle a connu chez sa patronne et donne libre cours aux injonctions de Marcel.- « Oh Jean, qu’elle est grosse ! je veux bien uriner dessus mais nous allons tremper le tapis. »- « Ce ne sera que meilleur nous nous roulerons dan ton jus. Vas-y pisse ! »Le sacristain s’est allongé par terre.- « Reste debout salope et vas-y pisse-moi dessus, même sur la gueule, je veux boire ton jus. »Les cuisses écartées ma mère ne se retient pas et lâche de puissant jets.- « Viens sur moi maintenant que je baise ta grosse chatte, enfile ma queue toi-même, décoince-toi, caresse-moi les couilles comme le ferait une pute que je veux que tu deviennes. C’est bandant de voir tes grosses cuisses de cochonne, de truie. Après je veux te faire jouir du cul. Tourne-toi et écarte les joues de ton gros cul. »Ma mère ne dit rien, elle se prête sans trop de réticences aux désirs de son amant forcé. Elle n’avait pas l’habitude de la sodomie avec son mari et appréhende l’action qui se prépare. Délicatement malgré son envie bestiale de défoncer ma mère, le sacristain réussi après de nombreuses caresse avec un doigt puis deux puis trois, à introduire son gros engin dans le conduit rectal. Au passage des sphincters, ma mère pousse un cri de douleur qui cesse avec la pénétration plus avant. En même temps, Jean a passé une main par-dessus une grosse cuisse de sa partenaire et fouille la grotte pubienne de ma mère. Les deux actions dans le cul et dans la chatte mettent ma mère en transe. Elle ne se contrôle plus.- « oui Jean, c’est bon, faites-moi jouir. »- « Tiens prend grosse pétasse, je vais tout de lâcher dans le cul, te remplir les entrailles. »- « Oui, oui, j’ai envie allez-y je suis prête. »C’est après de multiples aller et venues que l’orgasme monte. Ma mère gémit de plus en plus fort et éclate dans un tremblement de tout son corps accompagné de véritables cris de bête fauve. La puissante giclée de sperme du sacristain est chaude et contribue à l’extase.- « Tu vois Line que c’est bon de se faire baiser. Si tu étais d’accord, je vous prendrais bien toutes les deux avec la mère Koma, je pense qu’elle doit être aussi bonne que toi. »Ma mère ne répond pas, elle est à peine redescendue de son septième ciel. Chacun se rhabille et Jean quitte l’appartement en promettant de revenir.
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