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Ma mère entre Paradis et Enfer.

Chapitre 3

Retour chez madame Koma

Lesbienne
Le soir, fatiguée, ma mère se couche de bonne heure, elle n’a pas eu le courage de prendre une douche qui aurait pu effacer les traces de la venue de Jean. Elle ne tarde pas à sombrer dans un sommeil peuplé d’images très contrastées passant du plaisir au ressentiment, néanmoins, lorsqu’elle se réveille, elle constate que son drap est bien mouillé. Instinctivement, elle porte une main sur sa toison pubienne et effectivement, ses doigts rencontrent un liquide presque visqueux. Elle comprend que c’est un mélange de sperme qui a dû couler de son cul et de cyprine. Elle se souvient que dans un de ses rêves, elle s’était faite violée par le père Joseph et Jean Ribette le sacristain sexagénaire en plein milieu de l’église sous les regards de madame Koma qui les encourageait à la défoncer par tous les trous, mais heureusement pense t’elle ce n’était qu’un rêve avec une partie cauchemardesque.Aujourd’hui elle doit se rendre à la ferme des Koma pour continuer sa mission. Elle ne songe pas un instant à abandonner cette nouvelle charge pour laquelle elle a donné son accord au père Joseph malgré les vicissitudes qui s’y rattachent en souvenir de sa première journée de travailAvant de s’habiller, elle se souvient de la demande sa patronne : « Si tu es d’accord, j’aimerais que tu mettes mieux en valeur ton corps avec des dessous plus sexy. La prochaine fois que tu viendras travailler, mets des bas et un porte jarretelles, un soutien-gorge qui, avec un décolleté, montre bien la raie de séparation de tes seins, il ne faut surtout pas les cacher on doit les deviner ; pas de culotte et surtout pas cette affreuse gaine. Laisse ton corps libre. »Ma mère est devant un dilemme : satisfaire la demande de madame Koma sachant que c’est un pas de plus vers une soumission lubrique ou continuer à se draper dans sa pudibonderie en s’habillant comme à l’habitude mais en risquant d’affronter des reproches.Finalement, elle choisit de donner libre cours à la demande d’Amélie Koma et passe juste une robe à volants sur ses sous-vêtements. Arrivée dans la cour de la ferme, elle est accueillie par Rex le grand chien des Koma qui lui fait la fête en tournant autour d’elle et en s’approchant impudiquement de sa jupe. Amélie Koma est sur le pas de la porte.- « Rex ! Couché ! Elle n’est pas pour toi ! »- « Bonjour madame Koma. Comment allez-vous ? »Amélie déshabille ma mère du regard.- « Je vais bien, j’avais une petite appréhension. Je craignais que tu n’aies plus envie de venir m’aider. Mon mari est en observation pour trois jours à la clinique. J’ai vraiment besoin de toi. C’est sympa d’être venue je peux te faire la bise ?»  - « J’accepte une bise madame mais pas plus » Madame Koma approche ses lèvres de celle de ma mère qui garde la bouche fermée.- « Donne-moi ta langue Line, je l’ai trouvée si bonne l’autre jour. »- « J’ai dit juste une bise. Il faut que je me mette au travail »- « Ta blouse de travail est suspendue dans le placard à balais. J’ai surtout beaucoup de repassage. Tu vas commencer par ça. »Ma mère se dirige vers le placard, enlève sa robe pour enfiler sa blouse. Amélie assiste au déshabillage sans que ma mère ne s’en offusque.- « Je vois que tu as suivi mes conseils Line. Je t’avais dit que ton corps méritait d’être mis en valeur. J’aimerais que tu ne mettes pas ta blouse, le repassage ne l’impose pas. »- « Je ne me sentirais pas à l’aise madame. Je préfère la mettre »- « Ok mais alors, ne la boutonne pas tu auras peut-être trop chaud… ! »Ma mère regarde fixement sa patronne pour lui signifier qu’elle n’est pas dupe. Madame Koma s’absente pour laisser son « employée » à son travail.- « Je vais profiter de ta présence pour faire une petite sieste, j’ai beaucoup travaillé dans les étables ce matin, sans mon mari c’est très lourd et fatiguant comme travail. Je te dirai où placer les affaires plus tard. Si toutes fois tu as envie de me voir, tu peux venir dans ma chambre sans frapper. N’hésite pas à me réveiller si je me suis assoupi. »Pendant tout son repassage, ma mère ne cesse de penser à ce qu’elle a perçu comme une nouvelle approche sensuelle, voire sexuelle d’Amélie. Doit-elle se préparer à affronter de nouveaux assauts de la part cette femme perverse ? Refuser ? Céder ? Ses deux expériences précédentes entrecoupées de la ferme réprobation du père Joseph ne cessent d’être présentes à son esprit. Le fait qu’elle ait répondu à l’attente d’Amélie concernant sa tenue sous-vestimentaire et particulièrement de ne pas mettre de culotte ne lui laisse pas de doute. Elle a bien envie d’exciter cette gouine qui est très attirée par son gros cul est ses énormes seins.Contrairement au sentiment de culpabilité, de faute, qu’elle éprouve dès qu’elle est à l’église, sa présence chez les Koma lui donne l’impression qu’elle est dans un autre monde et si de temps en temps elle lève les yeux comme pour demander pardon à Jésus, elle s’accommode vite de ses pensées lubriques. Ma mère s’imagine rompant ses réticences morales pour aller retrouver sa patronne. Elle en est même à sentir que son ventre réclame des caresses. N’y tenant plus, elle termine rapidement son travail et à pas feutrés, se dirige vers la chambre.La porte est entrouverte. Amélie Koma est étendue sur le lit, sur le dos, la jupe retroussée très haut jusqu’à mi-cuisses laissant entrevoir qu’elle n’a pas de culotte, le corsage ouvert sur une poitrine nue. La maitresse de maison semble dormir. Sur la table de nuit, bien en évidence est posé un imposant gode ventouse ressemblant au gode ceinture utilisé lors de la première séance de contact lubrique avec son « employée ». Ma mère hésite à la réveiller et comme une voyeuse, elle admire ce corps qu’elle a eu de force puis de gré à enserrer dans ses bras. En voulant s’approcher, elle trébuche contre un fauteuil ce qui réveille sa patronne.
- « Alors Line tu viens te faire baiser grosse salope ? Ouvre ta blouse que je vois bien ta chatte et montre-moi ton gros cul dont je rêve »- « Vous vous trompez madame Koma, J’ai terminé le repassage, je suis venue vous raconter ma confession au Père Joseph et ce qui m’est arrivé après. »- « Laisse-moi deviner. Il a voulu te violer et tu t’es laissé baiser. »- « Non. Pas du tout Dieu merci. Il ne m’a pas donné, comme vous le pensiez, l’absolution d’avoir fait un péché de chair avec vous, bien au contraire, il m’a mise dehors en me traitant de brebis égarée. »- « Ce n’est pas bien grave tout ça. Tu verras les chose s’apaiseront avec le temps. Je commence à bien connaître ton confesseur. Mon conseil à moi, c’est « profite de ton corps avec ceux ou celles qui t’aiment ».
Pour la deuxième fois, Amélie Koma a des propos ambigus au sujet du Père Joseph mais ma mère ne s’y attarde pas pensant à la suite à raconter à sa patronne.
- « Il faut que je vous dise aussi que Jean Ribette, le sacristain a entendu toute ma confession et m’a menacé de tout raconter a qui voudra bien écouter. Il m’a fait du chantage pour que je lui donne mon corps. Malgré ma vive réticence, J’ai bien été obligée d’accepter. »- « Il t’a donc baisée. Est-ce qu’au moins tu as pu jouir ? »- « J’ai honte de vous le dire mais j’ai confiance en vous. Oui, à la fin c’était bon comme avec vous. J’ai trouvé un plaisir coupable que je ne connaissais plus. A la fin de notre contact, Il m’a dit qu’il aimerait nous prendre toutes les deux. Ça m’a excitée, j’ai pensé à vous dans une vision de notre première rencontre où vous devez reconnaître que vous avez essayé de me violer. Je ne sais pas ce qui m’arrive, j’ai peur d’aimer le plaisir sexuel » - « Tu vois, tu vas devenir une vrai pute, une vrai salope de grosse vache. Tu m’excites Je veux faire de toi ma soumise, dans l’intimité, hors de ton travail, tu devras m’obéir, satisfaire mes exigences et m’appeler Maitresse. Es-tu d’accord ?»- « Tout va trop vite madame Koma. C’est vrai que depuis peu, j’ai trouvé des sensations que je ne connaissais pas mais je ne me sens pas tout à fait prête pour aller plus loin. Je vous promets de faire un effort »- « Viens que je te caresse, n’as-tu pas envie de ma chatte et de mon corps bronzé ? Regarde, dans mon demi-sommeil j’ai rêvé que je te prenais par derrière, ma chatte est trempe de désir. »
Pendant ces quelques paroles, ma mère sentait confusément un désir l’envahir, elle percevait l’humidification de sa chatte. Instinctivement, elle se rapprocha du lit et en ouvrant sa blouse, présenta sa chatte à portée de mains de sa patronne devenue presque sa maîtresse.Amélie assise sur le lit, la jupe très relevée, caresse tendrement les jambes de celle dont elle veut faire sa soumise. Les mains remontent lentement jusqu’à la grotte poilue de ma mère, l’une fouille la chatte à la recherche du clito, l’autre s’insinue derrière en caressant la rosette. 
- « C’est bon ce que vous me faites Amélie, vous êtes douce, j’aime bien votre caresse derrière ».- « Lâche-toi Line. Dis moi ce qui te fait plaisir, n’ait pas peur des mots ; ils font partie du plaisir. »- « Vous me donnez envie de faire l’amour, de baiser, j’ai envie de me gouiner avec vous »- « Voilà, c’est bien, tu te libères, n’arrête pas, bouffe-moi les seins. Viens sur le lit on va baiser comme des chiennes »
Ma mère est à nouveau partie dans cet univers interdit mais plus de ressentiment, elle donne libre court à son plaisir.
- « J’ai très envie de votre gode dans mes deux trous »- « Tu en as trois trous, pense à ta bouche elle peut engloutir ma langue mais aussi sucer le gode peut être as-tu aussi sucé la queue du sacristain ? »- « Oui, elle était énorme et raide comme un gourdin. Il me l’a mise dans le cul, au début c’était très douloureux mais une fois pénétrée, c’était sublime, il m’a faite jouir du cul en me remplissant de son foutre. »- « Regarde, tu me fais pisser d’excitation, va t’empaler sur le gode ventouse qui est sur la table de chevet et remue-toi dessus. Je vais me branler en te regardant surtout que tu vas faire danser tes gros seins. »
C’est avec un plaisir non dissimulé que ma mère va se goder ardemment.
- « C’est bon dans mon cul, regardez Amélie je mouille et pisse à la fois »- « Attends, tu vas me piser dans la bouche, j’ai trop envie de ton jus » En s’approchant de ma ère qui a écarté ses grosse cuisses et ouvert ses grandes lèvres pour faire sortir son clito, sa partenaire lui bouffe littéralement la chatte. Le jus mêlé de cyprine inonde la figure d’Amélie et coule dans la raie de séparation de ses seins. Une main dans sa propre chatte, elle s’active et l’orgasme montant, elle prévient ma mère qu’elle va jouir.
- « Moi aussi Amélie je monte, je vais éclater. » Toutes les deux partent dans un délire d’orgasme. Ma mère se retire du gode et tombe sur sa partenaire Toutes les deux roulent à terre. Les deux corps sont pris de spasmes accompagnés de cris de plaisir.Après quelques instants de repos, tout en continuant à caresser affectueusement ma mère, c’est Amélie qui rompt le silence.
- « Ca y est Line tu es une merveilleuse partenaire. Comme je te l’ai dit la première fois, je t’apprendrai d’autres moyens de se faire plaisir et d’avoir d’autres jouissances. Je t’y préparerai tranquillement. »
Décidemment, ma mère a réussi à mettre une véritable cloison entre la religion néanmoins encrée dans sa vie pieuse et le plaisir que lui donne son corps. Elle n’implorera pas le pardon du Christ ou de la Sainte Vierge à l’aide du Père Joseph mais continuera parallèlement l’exercice de sa foi et sa présence à l’église. 
- « Bon, maintenant madame Koma, reprenons chacune notre rôle, je dois terminer le rangement du repassage et faire les sols. »« Très bien Line, tu es une sérieuse aide-ménagère. Je crois qu’indépendamment de ce que te donne la paroisse pour ton dédommagement, je participerai également financièrement. J’en parlerai à mon mari. »« C’est gentil de votre part mais je n’ai rien demandé en compensation »- « Ne t’inquiète pas, ce sera entre nous. »
Son « service » terminé, ma mère rentre à l’appartement la tête pleine de pensées.
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