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Ma mère entre Paradis et Enfer.

Chapitre 5

Retour à la ferme

Lesbienne
 Retour à la ferme. Nous sommes lundi et ma mère reprend son service chez les Koma. En arrivant, elle est accueillie par Amélie et le grand chien Rex toujours aussi affectueux avec sa manie de fouiller les jupes des femmes. - « Bonjour Line, la Kermesse s’est-elle bien passée samedi ? » Amélie Koma accompagne sa question d’un affectueux baiser sur la bouche de ma mère qui répond en sortant sa langue pour la laisser sucer. Cet acte quelque peu sexuel, montre que ma mère est définitivement entrée dans le monde saphique.
- « Oui madame, très bien avec une clôture passionnante. Je vous raconterai. »- « Tu commences à connaître la maison, je te fais confiance pour le travail, il faut que je m’absente une bonne heure pour rendre visite à mon mari. Il devrait bientôt sortir de la clinique. Rex est un bon gardien, tu n’as pas à t’inquiéter. »- « Bien madame, je vais faire de mon mieux » Madame Koma parti, ma mère se met en tenue de travail, comme l’avait souhaité sa « patronne » c’est-à-dire juste sa blouse et le minimum de sous-vêtements (soutien-gorge, bas soutenus par son porte jarretelles, pas de culotte.) Elle commence à inspecter la maison pour se rendre compte du travail. Toujours un paquet de linge dans la panière à linge sale et, posée dessus, une des culotes de la fermière. En prenant le paquet, la culotte tombe à terre, ma mère la ramasse et se sent excitée par ce morceau de tissu revoyant les deux précédentes parties de plaisir avec sa propriétaire. Elle l’approche de sa figure, la sent et il lui vient l’envie de la passer. Malgré la différence de taille, elle réussit à l’enfiler mais la petitesse du sous vêtement sur son énorme cul lui rentre dans la raie des fesses et au milieu des grandes lèvres de sa chatte.En tapotant son endroit de plaisir, elle se rend compte qu’elle commence à mouiller mais le travail l’appelle. Après avoir chargé le lave-linge, elle se dirige vers la chambre.Le lit est défait, jonché de sous-vêtements sur lesquels est placé bien en évidence le fameux gode ceinture noir qui a tant fait jouir ma mère lors de la première « agression » de la fermière black.Cette vision émoustille tellement ma mère qu’elle se couche sur le lit, enjambant les sous-vêtements et le gode et se trémousse comme si elle baisait virtuellement sa patronne.Rex qui l’avait suivi saute sur le lit en essayant de lécher ma mère qui se débat et repousse l’animal.  « Coucher Rex ! tu me prends pour une chienne en chaleur ? » Tout penaud, l’animal s’écarte et va se coucher dans un coin de la pièce.Au bout de quelques minutes de frottements et de caresses sur ses seins et sur sa chatte, sentant l’orgasme monter, ma mère se saisit du gode et au moment de se l’introduire, entend la porte de l’entrée s’ouvrir. C’est la fermière qui revient.  - « Tu es là Line ? »- « Oui madame, j’ai fait une lessive et j’étais dans la chambre pour y faire le ménage. »
 Amélie Koma apparaît dans l’embrasure de la porte.  - « Tu trouves que c’est la pagaille sur mon lit, je comptais faire du rangement dans mes habits, nous allons y travailler toutes les deux. Tu m’as l’air surprise, tu es toute rouge. Qu’est-ce qui se passe Line ? »- « J’avoue que j’étais excitée à la vue de vos dessous et surtout du gode. Depuis que vous et les hommes m’ont fait découvrir les plaisirs du corps je sens que je deviens accro au sexe. »- « Tu me parles «des hommes » mais depuis que tu commences à te dévergonder, tu m’a raconté ta seule aventure avec la sacristain. »- « C’est vrai, mais samedi à la Kermesse, le Père Joseph est venu me voir, il m’a invitée dans son appartement et vous pouvez deviner la suite. »- « Il t’a baisée de force ? »- « Non, mais je n’ai pu résister à ses caresses et nous avons fait l’amour »- « Le salaud, il tire sur tout ce qui bouge. Moi aussi il m’a baisée. Il m’a tellement fait de compliments sur mon corps et ma couleur de peau que je me suis laissé donner du plaisir. Je suis revenue le voir quelques fois et je peux dire qu’il baise bien. Je t’imagine avec lui et ça me fait mouiller. »- « Pour tout vous dire, depuis que le Père Joseph m’a présentée à vous plusieurs réflexions de votre part m’ont mis la puce à l’oreille mais je pensais tout simplement qu’il vous appréciait malgré votre confession islamique. »
Pendant leur échange, Rex s’est levé et vient faire la fête à sa maitresse. - « Il ne t’a pas trop ennuyée pendant ton travail ? Je sais qu’il est très câlin avec les femmes. Regarde il fouille sous ma jupe, et si tu as mouillé dans ton excitation, il l’a senti et à dû venir te voir. »- « Oui il m’a presque sauté dessus mais il n’a pas insisté car je l’ai éloigné. »- « Tu as eu tort, il t’aurait léchée et tu aurais découvert de nouvelles sensations. »- « Mais c’est un chien. Vous n’y pensez pas ? »- « Encore une fois, laisse tes tabous à l’église, ici je te fais découvrir le paradis du plaisir. Tu ne peux pas imaginer comme c’est bon de sentir sa langue râpeuse sur ton clitoris. Rex m’a faite jouir tellement de fois ! Regarde. » Assise sur le lit, Amélie fait glisser sa jupe à terre écarte les cuisses, elle n’a pas de culotte. Rex s’approche et entreprend un cunnilingus qui fait se pâmer sa maitresse. - « Je t’assure que c’est bon Line, lui aussi est excité, regarde comme il bande. » Effectivement, ma mère peut observer la bite du chien sorti de son fourreau et cela semble l’exciter également. - « Viens le caresser, essaie de le branler comme tu branlerais le Père Joseph »- « Je ne suis pas tout à fait prête pour ce genre d’expérience même si ça m’émoustille mais l’état dans lequel j’ai trouvé votre lit m’a donné envie de vous avoir sur mon corps. »- « Bien ! nous verrons plus tard. je vais éloigner Rex. Enlève ta blouse et viens sur moi en 69, j’ai envie de te bouffer la chatte.  Mais dit donc, c’est ma culotte que tu as sur toi ?»- « Oui, ça m’a tellement excitée de la voir dans la panière à linge sale que j’ai eu envie de vous avoir en quelque sorte sur moi. Mais maintenant, j’ai envie de votre main entière dans mon con et du gode dans mon cul. Je suis toute à vous » Après avoir bien lubrifié la queue factice dans la chatte archi trempe de ma mère et pénétré ses entrailles arrière, la black dévore le clito de sa partenaire avant de lui enfoncer une main bien profond. - « Tiens, prend ça espèce de chienne blanche, crache dans ma chatte, je veux t’entendre crierQuand tu vas jouir. »- « Oh oui, oui, c’est bon continuez, mon con, mon cul ont soif de vous. Vous me faites mouiller à fond et même j’ai envie de pisser. »- « Retiens-toi salope et tourne-toi, tu vas me pisser sur les seins et tu viendras frotter ta grosse poitrine de vache »« Continuez, j’adore vos insultes, elles participent à ma jouissance. Vous aussi vous êtes une grosse salope de black, j’aime vos grosses lèvres charnues sur ma moule ou sur ma bouche. Laissez-moi le gode dans le cul, j’aime jouir par-là. Ça y est, je sens que je pisse »- « Arrose-moi bien, la figure aussi pendant que je me caresse le clito. C’est bon, c’est chaud. Je sens que je vais jouir »- « Moi Aussi, ahhhhh ça y est je pars »
Les orgasmes quasi simultanés font trembler les corps et sont accompagnés de cris de bêtes fauves.Après un bref temps de repos les partenaires reprennent leurs esprits. Ma mère était déchainée comme jamais je ne l’aurais pensé. - « Madame Amélie, croyez-vous que nous soyons nympho ? »- « On pourrait le dire comme ça ma line. C’était déjà mon cas j’ai très souvent envie de me faire jouir de toutes les façons possibles et imaginables. je suis contente de voir comme tu aimes le sexe, plus tu en as envie, plus tu deviens nympho. »- « C’est vous qui m’y avez amenée mais je ne regrette pas. C’est si bon. »- « Quand tu seras prête, je te ferai goûter Rex. Tu verras, c’est autre chose mais maintenant, il nous faut ranger la maison, normalement tu viens pour cela. Allez, au boulot !********************************Après sa journée de travail, ma mère revient à la maison pour un repos bien mérité. Le soir, au coucher, elle repasse toutes ses aventures : premier contact avec madame Koma, le Père Joseph, le sacristain, les retours chez sa « patronne » elle a pris tellement de plaisir qu’elle se rend compte que décidemment elle est bien devenue nympho et cela ne lui pose plus de problème avec le dilemme religion/vie de plaisirs d’autant qu’elle sait que malgré une première forte réprobation de la part du Père Joseph, l’ecclésiastique sépare bien les deux facettes de la vie…Tout cela l’excite et elle sent qu’elle mouille dans la culotte de madame Koma qu’elle a gardé sur elle depuis cet après-midi. Ses pensées sont quand même troublées par la découverte du coté zoophile de sa « patronne ». Se faire sucer par son chien et pourquoi pas baiser, lui parait hors normes. Mais après tout, la « normalité » existe-t-elle dans la recherche du plaisir ?C’est sur cette réflexion qu’elle s’endort. Sa nuit est peuplée de rêves quelque peu cauchemardesques. C’est ainsi qu’elle se voit se promenant dans les allées d’un petit bois lorsqu’un énorme chien la bouscule, la renverse par terre, lui déchire ses habits, lui lèche le corps. La bête arbore un sexe démesuré et essaie de la pénétrer. C’est à ce moment qu’elle se réveille en sueur en ayant l’impression d’avoir crié. Néanmoins elle réussit à se rendormir.Le lendemain, elle revient naturellement aider madame Koma qui l’accueille flanquée de Rex. Ma mère a un mouvement de recul revoyant son cauchemar de la nuit.- « Bonjour Line, comment vas-tu ? »- « Bonjour madame. Je vais bien, je suis prête à travailler. Comment puis-je vous aider aujourd’hui ? »- « Tu vas m’aider à mettre de l’ordre dans la grange à foin, je te sens très solide et ton embonpoint ne devrait pas te gêner. »- « ça n’est pas gentil madame de me faire remarquer que je suis grosse. Quand j’étais jeune, j’aimais bien faire des travaux manuels à la maison, j’ai également été scout à mon adolescence. »- « Je n’ai pas voulu te blesser d’autant que tu sais bien que j’aime tes gros seins et ton gros cul, je te l’ai prouvé » Madame Koma en s’approchant de ma mère lui dépose un baiser sur la bouche et lui plaque une main sur la poitrine et l’autre sur l’énorme fessier.- « Soyez sage madame. Allons voir le travail. »- « Tu peux aller te mettre à l’aise et passer ta blouse, nous allons avoir beaucoup de poussière » Arrivées dans la grange la fermière explique à ma mère qu’elles doivent déplacer les bottes de foin pour préparer l’arrivée de la prochaine récolte. Après une bonne demi-heure de travail très physique, madame Koma propose de faire une pause. Une botte défaite s’est étalée par terre et forme une sorte de litière.- « Assieds-toi Line, repose-toi, je vais chercher des rafraichissements. »- « Oh, je ne suis pas fatiguée mais je vais m’allonger, ça me fera du bien. » Lorsqu’Annie Koma revient les bras chargés d’un pot de jus de fruits et les verres posés sur un plateau, ma mère est allongée sur la litière de foin. La chaleur et la poussière l’ont incité à dégrafer sa blouse laissant voir son opulente poitrine à peine contenue dans son soutien-gorge.Les jambes à demi écartées, elle a la main posée sur sa chatte comme si elle voulait se branler. - « Je vois que tu t’es mise à l’aise, tu as bien raison, je vais en faire de même, c’est vrai qu’il fait chaud. Mais dit donc tu portes toujours la culotte que tu m’as volée hier sur le tas de linge sale ?»- « Je ne vous l’ai pas « volée » vous avez vu que je la portais quand nous nous sommes « amusées ». Même si elle m’est trop petite, ça m’excite de la sentir entrer dans la raie de mes fesses et entre les grosses lèvres de ma chatte, surtout sachant que c’est la vôtre et que vous avez dû mouiller dedans »- « Alors là, c’est toi qui m’émoustilles et dans cette position, tu me donnes envie de te baiser. »- « Tout à l’heure, en rangeant les bottes de foin, j’ai vu à plusieurs reprise que vous étiez nue sous votre blouse, vous avez même laissé échapper un sein et j’ai aperçu votre touffe brune. Je me suis touchée en cachette et me sentant humide, j’ai eu envie de vous faire comprendre mon désir. Je suis totalement offerte. Regardez mes tétons, ils bandent pour vous et je sens mon clito qui en fait de même. »- « Donc tu as envie de faire l’amour ? C’est très excitant que ce soit toi qui le demande mais j’aimais bien aussi quand je t’ai connue sainte nitouche et qu’il fallait te forcer. Tu résistais sous couvert de ta religion mais tu m’as avoué que tu y prenais du plaisir. Tu as fait un bon bout de chemin depuis. Désaltérons-nous, je vais venir sur toi, je vais te donner ce que tu sembles réclamer. Je sens perler la cyprine sur mes poils. » La fermière enjambe ma mère et debout, les jambes écartées, se caresse vigoureusement la chatte jusqu’à obtenir une quantité importante de mouille qui gicle dans un clapotis des plus excitant. Le jus arrose littéralement les seins et la figure de ma mère.- « C’est bon Amélie, j’adore voir votre chatte, venez sur ma bouche que je vous suce. J’ai aussi envie que quelque chose de gros dans mon con. » Amélie saisit un marteau à portée de mains et enfourne délicatement le manche dans les entrailles de ma mère.- « Tu sens salope comme c’est dur ? c’est plus raide que la bite du Père Joseph. »- « Oh oui, c’est bon, plus fort, plus profond » Les 30cm de l’outil sont quasiment engloutis dans la chatte de ma mère qui remue pour mieux sentir le frottement du bois sur son clitoris.- « Plus fort, Plus fort salope je vais jouir ! » Effectivement, un puissant orgasme envahie ma mère qui crie comme si elle était torturée.  - « A ton tour grosse truie de me faire jouir avec le marteau il est suffisamment lubrifié, tu vas me le mettre dans le cul » A cet instant, Rex apparait dans l’embrasure de la porte de grange.- « Regarde qui vient nous rendre visite. Approche mon chien chien, aujourd’hui il faut que tu t’occupes de cette grosse vache de Line. Elle n’imagine pas le plaisir que tu peux donner.Es-tu prête Line à te faire sucer comme une chienne ?
Ma mère revoit furtivement le rêve de cette nuit et répond embarrassée mais peut être curieuse.- « Je ne sais pas encore, je vais vous laisser faire »- « Je vais te bander les yeux, tu imagineras la scène. Je te promets du plaisir. »………………
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