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Ma mère est une chaudasse

Chapitre 1

Inceste
Ce matin là, Martine, ma mère, devait recevoir un couple d’amis qui, je le sus plus tard, allait être prétexte à une partouze endiablée et elle s’était apprêtée pour ça avec des sous-vêtements cochons, voir obscènes. Elle avait passé une robe sage par dessus, car elle devait me conduire au collège. Quant à moi, je venais de me réveiller à la suite d’un rêve très hard. Et je constate que mon zob est long, épais et dur. Pour tout dire : je bande comme une bête. Ma verge gonfle mon pyjama comme un piquet de tente. Mon dard dois faire dans les dix-huit centimètres au moins. A dix-huit ans, c’est normal. Comme il est normal que, de suite, je baisse mon pyj et m’empare de ma biroute et me mets à l’asticoter. Je me branle lentement d’abord. Puis j’accélère les mouvements de ma main avec dans les yeux des images lubriques de mon rêve. Je suis jeune et malgré que ce n’est pas ma première masturbation, il ne s’écoule que quelques minutes puis mon ventre se tord, les ondes du plaisir me taraudent et je sens viscéralement que mon jus monte de mes roustons. je me masque la bouche pour étouffer mon cri de jouissance. Juste à temps car je viens d’exploser et mon gland libère plusieurs jets de foutre qui viennent polluer mon bas-ventre et mon pubis. C’est à ce moment là que ma mère entre dans la chambre, furax car je suis légèrement en retard. ▬ Quoi, crie-t-elle en me découvrant encore allongé sous les draps. S’approchant, elle lance : ▬ Mais Pierre, tu n’est pas encore levé. On va être en retard ! T’as pas vu l’heure, c’est pas dieu possible ! ▬ Je me sens pas bien, m’man..., lui répondis-je alors en feignant le malade. ▬ Y a pas d’excuse, tu n’as pas l’air bien malade, grogne ma mère alors en s’emparant des draps et en les rejetant. Elle pousse un second cri à la vue du spectacle offert sous les draps. En effet, mon pyjama est descendu sur mes mollets, dévoilant mon bas-ventre orné d’une biroute encore bandée, à la taille impressionnante, mais qui commence à décroître. Elle voit que mes poils pubiens, mon ventre et ma poitrine sont mouchetés de tâches de foutre blanchâtre. ▬ Et ben, mon cochon ! Drôle de maladie que voilà ! me dit-elle non sans découvrir et constater à quel point je suis bien monté. Une constatation qui, je le sus après aussi, en bonne salope qu’elle est, a le don d’agir sur sa libido perverse : ses mamelons se mettent à bander et son conin à s’ouvrir en déversant un écoulement jutal. Et, si son con avait été doué de paroles, il aurait sûrement lancé : «Je veux cette biroute tout de suite !...» Je sais que ma mère ne peut, en effet, pas voir une belle biroute bien bandée sans réagir aussitôt. Et, même si c’est celle de son fils, qui plus est âgé de dix-huit ans, cela ne change rien. ▬ C’est que, m’man, j’avais chaud et surtout envie, tu sais. ▬ Bien, mais maintenant que t’as fait ton affaire, dépêche-toi ! me dit-elle dans un souffle et sans grande conviction. ▬ Mais, j’ai encore très très chaud, m’man, que je lui lance. Et je glisse une main sous la robe de ma mère, fait crisser le nylon d’un bas, effleure une jarretelle pour, ensuite, venir carrément la plaquer sur sa chatte chaude et humide que le slip ouvert qu’elle porte ne cache pas. ▬ Qu’est-ce que c’est que ce slip, m’man ? lui dis-je en soulevant la robe, incestueusement, sans pudeur et, étrangement, sans provoquer la moindre réaction maternelle. ▬ Ouah, m’man, qu’est-ce que c’est excitant ton slibard ! Pour faire suite à ses paroles et sans préambule, je plonge bouche en avant et, sans hésiter, me met à galocher la foune déjà trempée et odoriférante de ma propre mère, et ce sans arrière pensée. ▬ Mais, Pierre, veux-tu arrêter ! On ne fait pas de telles choses à sa mère ! me dit-elle en pensant, j’en suis sûr, qu’elle se ferait bien ma bonne biroute. Pour autant et pour preuve, elle n’écarte pas la bouche gamahucheuse. ▬ M’man, j’ai dix-huit ans, mais je sais comment réagit une femme quand elle est excitée. Et à voir la chaleur et la mouillance de ton sexe, je peux dire que tu l’est et que, malgré que je sois ton fils, tu as envie de t’envoyer en l’air avec moi... Déjà excitée, à la vue de la queue filiale, ma mère l’est encore plus devant l’initiative de son rejeton. Mon début de minette lui fit exploser ses glandes de bartholin. Et, alors qu’elle aurait du me repousser, elle lève une jambe, l’écarte et pose le pied sur le lit, ouvrant ainsi grand son entre-cuisse ruisselant de sirop d’amour dans un angle démentiel, offrant à ma gourmandise incestueuse tout son attirail à baise. Tout en s’offrant totalement à moi, ma mère, malgré son extase constante, a sans doute remarqué les paroles que je viens de prononcer sur l’excitation féminine et elle en est un peu stupéfaite. ▬ Oh, mon fils, oui ! Depuis que j’ai vu combien tu es bien monté, je meure d’envie de me faire mettre par toi...! Tu as un tel engin !... Quelle langue ! Vas-y, bouffe-moi tout et fais-moi jouir sur ta langue ! Bordel, c’est bon de se faire sucer par son bonhomme de fils ! ▬ Et que dire de l’odeur que dégage ton sexe, lui répondis-je. C’est rudement délicieux, sans parler du goût de ton jus intime !... Hummm, c’est trop booonnn ! ▬ Je ne sais si tu le sais, mais tu peux aussi languoter mon petit trou du derrière. J’adorerais que tu me fourres le trou du cul avec ta langue. Mon derge en a trop envie et palpite d’aise ! Je n’hésite pas longtemps et y va d’une enculade analo-buccale, sans aucun dégoût pour les miasmes culiers qui s’exhalent du fion. ▬ M’man, tu sais que ton cul pue rudement bon ! Mais ma mère, devenue complètement folle d’inceste, m’écarte, me repousse, ôte rageusement sa robe et ses escarpins, apparaissant en guêpière à bonnets redresse-seins. S’étant couchée tête bêche au-dessus de moi, elle vient avaler mon pieu raide d’au moins dix-huit centimètres, tout en ré offrant ses trous excrémentiels. Nous nous mettons à gigoter l’un sur l’autre en grognant des paroles obscènes dans un soixante-neuf pervers et incestueux. Mais déjà, au bout de quelques minutes, je n’y tiens plus y va d’une torrentuesque décharge, inondant la bouche maternelle de ma mitraille juteuse. ▬ OuaaahhhHHH... ! je hurle en me secouant sous les assauts du plaisir qui m’incendie les burnes. ▬ Mmmfff.., fait ma mère en avalant la quasi-totalité de mon éjaculation . Mais elle n’en continue pas moins, de la main, à branler ma pine pour essayer de la garder virile. Cela faisait deux fois que je crachais mon sperme et ma biroute baissa pavillon. Déçue et voulant à tout prix se faire enfiler ma banane dans sa choune et, surtout, son derge, ma mère continue à astiquer mon vit, sans résultat. Comme elle se trafique la moulasse en même temps, elle a droit, à son tour, à un fantastique orgasme qui la laisse pantelante et ruisselante de mouillasse. Nous nous désunirent et restâmes allongés, le souffle court. Mais maman, définitivement convaincue que l’inceste qu’elle venait de commettre était naturel ou du moins pas répréhensible, et ce d’autant que c’est moi qui avait lancé les hostilités, en veut encore et le fait savoir : ▬ Mon petit chéri, je vais te laisser reprendre des forces car j’ai trop envie de recevoir ta glorieuse banane dans ma chagasse et dans mon trou du cul ! Ayant parlé, elle saute du lit et repasse sa robe pour, m’ayant galoché , sortir de la chambre.La suite à très bientôt !

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