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Ma mère, ma femme, mon amour

Chapitre 2

Inceste
Un tournant majeur se produisit l’été suivant, j’avais donc 18 ans et ma mère 37 ans. Nous avions prévu d’aller passer quelques jours à la mer vu le superbe temps que la nature nous offrait. Mais mon père s’est décommandé une semaine avant, prétextant qu’il avait trop de boulot. Nous avons pensé qu’il allait peut-être voir sa maitresse. Mais cela n’avait pas d’importance, ma mère et moi allions être rien qu’à deux pendant 5 jours à des kilomètres de mon père: de vraies vacances!Nous sommes partis tôt au matin de la maison, on ne le disait pas mais on avait hâte d’y être. Je n’ai jamais vu ma mère aussi rayonnante.Nous avons trouvé l’hôtel, visité un peu les lieux et découvert les alentours. Il devait être 11h quand nous avons décidé de nous baigner. Comme à notre habitude, nous nous sommes changés l’un devant l’autre sauf que là j’avais une érection sans même voir maman nue. J’avais un peu honte de bander comme ça pour rien. Mais je dois avouer que je me faisais pas mal de films dans ma tête. Ma mère l’a vu et m’a dit:— Ah oui, tu es très content de passer les vacances avec ta maman à ce que je vois!Je me suis excusé tout en rigolant parce que je savais que cela ne la dérangeait pas plus que ça.Puis elle a enlevé son short, laissant apparaitre sa culotte blanche. Elle l’a alors enlevée doucement, ne se souciant pas que je la regardais avec des yeux avides de désir. Je pouvais voir maintenant ses fesses et son vagin avec son pubis légèrement poilus. Cela n’aidait pas du tout mon érection à se défaire ! J’avais envie de me branler, mais je me suis retenu bien évidemment.Maman m’a alors demandé si je pouvais lui mettre de la crème, je répondis évidemment par l’affirmative. Elle se mit alors nue sur le lit:— N’hésite pas sur la crème surtout, dit-elle, le soleil tape fort.— Tu… (j’allais lui demander si elle ne mettait pas son maillot par-dessus d’abord)— Quoi donc?— Euh, non rien!Je me suis alors rapproché d’elle avec le tube de crème. Elle était là allongée sur le dos. Je sentais qu’elle était quand même assez nerveuse, elle regardait au plafond et n’osait pas croiser mon regard. Moi, je sentais mes joues devenir rouge, mais pour rien au monde je ne me serais arrêté.J’ai déposé de la crème sur divers endroits de son corps: ses épaules, ses bras, son ventre et ses deux cuisses. Puis j’ai commencé à la masser pour étaler la crème solaire. J’y allais lentement: je ne voulais pas que ce moment finissent. Mais j’étais assez timide alors j’évitais les zones sensibles, puisque de toute façon le maillot allait être par-dessus ces zones. Mais ma mère me rappela à l’ordre:— Mets en bien partout… dit-elle avec une légèrement insistance dans sa voix. Les habits ne protègent pas contre les coups de soleil.Je m’exécutai, je déglutis ma salive et entamai un massage de sa poitrine. D’abord les contours, l’intérieur, puis sous la peau et finalement ses mamelons. Ma mère commença à respirer plus rapidement mais c’était toujours discret. Je remis un peu de crème sur ma paume et je descendis jusqu’à l’intérieur de ses jambes. Je n’osais pas vraiment m’approcher de son sexe. A la maison, je l’avais déjà vu rapidement quelques fois, mais là mes mains y étaient à quelques centimètres!Je pris mon courage à deux mains et je lui massais l’extérieur de sa vulve, doucement, je ne savais pas si je m’y prenais bien. Mais quand j’ai commencé à mettre un peu de crème sur le haut de son vagin, donc sur son clitoris, elle a alors dit:— Ok, voilà, c’est bon! Ca suffit pour cette partie-là, tu peux me faire l’arrière maintenant, s’il te plait?Je répondis oui mais j’étais un peu déçu de ne pas avoir pu continuer. Peut-être n’avait-elle pas aimé? Ou au contraire, elle avait peur d’avoir un orgasme grâce à son fils?Elle se retourna et je m’occupais de son dos, de l’arrière de ses jambes et évidemment de ses fesses. Comme elle était retournée, je ne voyais plus son visage: mon stress diminua. Après 10 bonnes minutes passées, elle décida que c’était à son tour de m’aider à étaler la crème.J’étais assis sur le bord du lit, elle, elle était derrière moi. J’avais mon short de bain qui cachait l’érection que j’avais eu jusque-là. Je sentis ses mains passer sur mon dos, mes épaules, puis venir à l’avant toucher mon torse et mon ventre (et de cette manière m’enlacer). Elle plaçait sa tête au creux de mon épaule. Je pouvais sentir sa respiration dans mon cou, alors j’ai fermé les yeux pour mieux profiter de ce moment.— Lève-toi, je vais faire tes jambes.Je me suis levé et elle est venue se mettre à genou devant moi. Comme mon short m’arrivait en dessous des genoux, elle n’aurait pas pu faire mes cuisses, elle m’a alors demandé de le retirer:— Je… Je peux pas…— Pourquoi ça?— Je… J’ai une érection…
— Encore! Et bien dis donc, la fille qui aura l’honneur d’être ta femme va se régaler! Allez… Tu sais bien que je m’en fiche moi, quand tu étais enfant, tu as eu aussi des érections comme ça, mécaniquement.Elle a alors mis ses mains sur mon short et a attendu que je fasse oui de la tête pour le descendre. Ma mère n’avait jamais été aussi proche de mon pénis, du moins dans mes souvenirs. Mon cœur battait vite. Elle s’occupa, comme si de rien était, de mes jambes, puis de mes fesses. Le moment fatidique arrivait: ma mère allait me toucher le sexe et peut-être même les bourses. Ses doigts approchaient de mon gland. Mais elle frotta juste rapidement le long de ma verge et dit:— Voilà pour toi! Le reste tu sais faire tout seul.J’étais très déçu. Je commençais à me dire que je me faisais des idées et que mon attirance pour ma mère n’était pas réciproque du tout. Nous sommes alors allés à la plage et j’essayais d’oublier ce qu’il s’était passé dans la chambre pour ne pas avoir l’air triste ou dépité. A 13h nous sommes partis manger un bout et ensuite nous avons passé le restant de l’après-midi à se prélasser au soleil et le finir par une courte sieste vers 17h.Au soir, nous avons décidé de manger dans un restaurant pas loin de l’hôtel. Il était assez chic et avec l’argent que nous avait donné mon père pour se faire pardonner, nous pouvions nous le permettre.Maman a alors mis une belle robe noire légère, moi les seuls habits « chics » qui convenaient étaient une chemise bleue et mon bermuda beige. Nous pensâmes nous faire recaler à l’entrée, mais il n’en fut rien. L’établissement était luxueux mais la clientèle n’était pas peuplée de costard-cravate comme nous l’avions cru. Le diner fut merveilleux. Le repas était délicieux, ma mère et moi passions une bonne soirée à rire et à discuter. Nous avions l’air plus proche que certains couples: Ah l’amour d’une mère et l’amour d’un fils!Le repas fini, nous avons décidé de nous balader le long de plage. Celle-ci est vide, il n’y a plus que nous deux.— J’ai passé une magnifique soirée avec toi, me dit maman.— Pareil pour moi, c’était vraiment super.— Ça me fait plaisir qu’on soit si proche tous les deux. Parce qu’on en a traversé des épreuves à deux, fit-elle en me prenant la main. Mais avec toi, je suis bien.— Moi aussi, c’est comme si j’étais dans une bulle quand je suis avec toi.— Oui, c’est ça, acquiesça-t-elle, plus rien ne compte quand on est à deux.— On a besoin de personne d’autre, ajoutai-je. Certainement pas de lui.— Oh mon chéri, tant que tu es là avec moi, tout ira bien.— Je serais toujours là pour toi, maman. Je t’en fais la promesse.Sur le chemin du retour vers l’hôtel, il y avait ce pont, très peu éclairé donc personne ne pouvait nous voir, de toute façon les rues étaient désertes. J’ai arrêté maman sous ce pont, je l’ai pris par la main et je lui ai dit à quel point elle était belle dans cette petite robe. Ma mère n’a rien répondu, elle a juste souri, elle s’est alors dirigée lentement à reculons jusqu’au mur du pont en m’attirant vers elle. Quand son dos a tapé le mur, elle m’a alors embrassé. Ce n’était pas un baiser comme ceux qu’elle m’avait donné jusque-là. C’était un vrai baiser d’amants passionnés. Sa langue fouillait ma bouche. Ma langue fouillait la sienne. Je fus assez surpris sur le coup mais j’étais en même temps très heureux. Ma main gauche tenait la sienne pendant que mon autre main était dans son dos. Elle, elle avait ses deux mains autour de mon cou, comme si elle ne voulait pas que je parte. Jamais. J’ai alors descendu ma main droite jusqu’à ses fesses. Mais elle m’a arrêté et m’a dit:— On ferait mieux de rentrer à l’hôtel pour ça…J’avais envie d’y aller en courant tellement j’avais envie et en même temps j’avais peur qu’elle change d’avis. J’aurais très probablement battu Usain Bolt vu comment j’étais excité.Mais à la place, nous avons marché, juste un peu plus rapidement. On se souriait et riait sur le chemin, cela se voyait nous étions tous deux impatients. Et quand j’ai réalisé ceci, j’ai eu conscience de ce que j’allais faire avec ma propre mère. Une voix dans ma tête m’a déconseillé de faire ça, mais j’étais amoureux et aucune pensée ne pouvait venir gâcher cette soirée. Arrivés à l’hôtel, lorsque nous avons pris l’ascenseur, nous avons recommencé à nous embrasser: je l’ai bloquée contre un des murs, elle leva sa jambe et vint la mettre autour de moi. On aurait dit deux jeunes tourtereaux. Quand l’ascenseur est arrivé à notre étage, les portes se sont ouvertes sur un couple de personnes âgées qui descendaient. Ils n’ont rien vu de ce que l’on avait fait, car nous nous sommes rabibochés à temps. En sortant, maman et moi avons eu un sourire complice. Puis nous sommes arrivés dans notre chambre. Ma mère a eu à peine le temps de jeter son sac au loin que je lui sautais déjà dessus en l’embrassant et en l’emmenant sur le lit. Quand nous sommes tombés à deux sur le lit, elle poussait un léger cri et a ri. On s’est alors regardé dans les yeux.— Tu es sûr que tu veux faire ça? Me demanda-t-elle.— Tu es tout ce que je veux.— Ca ne te gêne pas que...Elle ne finit pas sa phrase mais je savais ce qu’elle voulait dire, je fis non de la tête et elle continua de m’embrasser. J’ai glissé ma main sous sa robe et je suis remonté d’abord de ses douces cuisses jusqu’à son ventre, puis jusqu’à ses seins.— Et si on se mettait encore un peu plus à l’aise? Suggéra-t-elle.Nous nous sommes alors relevés et nous nous sommes déshabillés: je l’ai aidé à enlever sa robe et c’est elle qui m’a enlever ma chemise. Nous avons gardé nos sous-vêtements. Nous ne voulions pas aller trop vite en besogne. Je lui ai alors retiré son soutien-gorge, non sans mal il faut bien le dire. Puis j’ai commencé à lui caresser doucement les seins et à les sucer. Elle avait sa tête en arrière et fermait les yeux. Elle avait le sourire aux lèvres et avait l’air de profiter pleinement de ce moment qui je pense a dû lui rappeler l’époque où je la tétais. Je déposais plein de bisous sur son ventre et le haut de son torse. Je descendis petit à petit pour arriver enfin devant sa culotte, noire cette fois. Je la lui enlevai, elle souleva elle-même ses hanches pour m’aider. Ce que je pris pour signe qu’elle s’offrait à moi. Elle m’offrait la partie la plus intime de son corps. J’étais inexpérimenté, je préférai y aller doucement: mes pouces massait gentiment l’extérieur de son sexe pendant que ma bouche l’embrassait. Puis, je fis passer ma langue tout le long, sur ses lèvres et son clitoris. La respiration de maman se fit bruyante et avec quelques gémissements assez fort pour que je les entende, pas assez pour sortir de la chambre. Je m’occupais de son vagin du mieux que je le pouvais, j’adorais voir son ventre bouger ou qu’elle fasse des mouvements de bassins, cela me donnait confiance dans ma prestation. Elle me guida alors un peu en me disant d’entrer un doigt. L’intérieur était humide et chaud, j’essayai différents rythmes, différentes profondeurs jusqu’à ce que maman me dise:— Voilà, juste comme ça… C’est parfait…Je continuais ainsi quelques instants puis je lui introduis un deuxième doigt.Après quelques minutes, elle me prit la tête avec ses mains pour me dire d’arrêter. Elle se releva et vint m’embrasser avec la langue, elle me poussa légèrement pour m’allonger sur le lit et déposa des bisous sur ma bouche, mes joues et dans mon cou. Elle descendit ensuite m’embrasser le torse. Je fermais les yeux et profitais du moment présent. Elle retira alors mon caleçon. Est-il vraiment nécessaire de préciser que je bandais comme jamais? Je rouvris les yeux pour voir ma maman me masturber lentement. Elle me regarda et me dit:— Tu es si beau, mon fils!— Je t’aime, m’man, lui répondis-je.Elle s’est alors abaissé pour faire entrer ma verge dans sa bouche, je ne pus m’empêcher de lâcher un râle tellement c’était bon. Sentir la bouche de votre propre mère entourer votre sexe, sentir sa salive couler dessus et sentir sa langue s’enrouler autour ou venir vous titiller le gland, c’est juste extraordinaire. Ceux qui ont vécu la même expérience me comprendront.— Je… Je tiens plus, maman. J’ai envie de toi!Elle arrêta sa fellation et me sourit, contente de l’effet qu’elle me faisait. Elle est alors venue s’empaler sur moi. Nous n’avions allumé que la salle de bain, ce qui donnait une ambiance cosy et intime. Je me souviendrais toujours quand la lumière a reflété son visage d’une façon si remarquable, cela avait augmenté mes ardeurs et je commençai alors à lui faire l’amour. Je fis de lent vas et vient. Elle posa ses mains contre mon torse pour tenir l’équilibre et me regarder droit dans les yeux:— Alors, me demanda-t-elle, ça… c’est bon, mon chéri?C’était plus que bon! Et je suis sûr que c’était pareil pour elle. Là encore la sensation du vagin serré de sa mère ne se retrouve, je pense, chez aucune autre femme. Je pouvais jusqu’à sentir ses muscles vaginaux se contracter autour de mon pénis. Ses poils pubiens frottaient contre les miens.Un peu après, je l’ai soulevé (elle était toujours plantée sur moi) et je l’ai allongé sur le dos pour que je puisse la pénétrer en position du missionnaire et en même temps je pouvais goûter à ses lèvres. Parfois, elle arrêtait de m’embrasser pour me guider:— Oui, comme ça, continue! — Vas-y, oui, plus vite!— Juste comme ça, mon amour…Et puis au bout de 10 minutes, j’ai éjaculé. Et oui, je vous l’avais juré: je resterai fidèle à ce qui s’est passé. Il faut comprendre que c’était la première fois que je faisais l’amour et de plus, je le faisais avec ma mère alors je ne sais pas comment j’aurais pu me retenir plus longtemps!J’ai déposé mon sperme au fond de son vagin, tout en m’allongeant sur elle. Ma mère m’a enlacé très fort dans ses bras et a mis ses jambes autour de ma taille. Nous sommes restés deux bonnes minutes comme ça, sans bouger. Je pouvais sentir son cœur battre fort et sa respiration dans mon cou. On ne se lâchait plus parce qu’on savait qu’il fallait faire face maintenant à la réalité avec tout ce que cela impliquait. Elle m’a alors demandé tout bas dans l’oreille, encore un peu haletante et avec un ton presque triste:— Tu regrettes d’avoir donné ta première fois à ta mère?— Pour rien au monde. (je marquais une pause) Et toi?— Moi non plus…
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