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Ma mère, ma femme, mon amour

Chapitre 3

Inceste
Lentement, je suis alors sortit de ses bras et me suis mis à côté d’elle. Nous avons ramené la couverture sur nos jambes parce que la température de nos corps baissait. Je touchais et caressais son téton. Elle, elle passait une main dans mes cheveux et me regardait avec un air amoureux.— Quand tu étais bébé, tu les adorais. Dit-elle en parlant de ses tétons en me souriant.— Je n’ai jamais arrêté de les aimer, dis-je.— Tu crois qu’on a fait une bêtise?— Je ne sais pas… répondis-je en baissant la tête.— Ça t’a plu?— Oui, beaucoup! Et toi?— J’ai adoré, mon petit ange.— Est-ce que ça veut dire que l’on recommencera?— Si toi tu en as envie, oui. Moi, j’en ai très envie en tout cas.Elle allait pour sortir du lit quand je lui dis:— Euh… maman…— Oui?— Comment j’ai été? Tu sais… pour une première fois, quoi… Demandai-je en haussant les épaules. Elle rigola.— Tu as été génial, mon chéri.Elle m’embrassa sur le front et partit chercher dans la salle de bain du papier toilette pour essuyer le sperme qui coulait le long de sa jambe. Me voyant en train de regarder, elle me dit:— Ne t’inquiète pas pour ça: je prends la pilule…Elle a mis ma chemise, a remis sa culotte et est venue me retrouver dans le lit. Elle me fit un bisou avec un grand sourire, elle avait l’air heureuse et cela me rassurait. J’avais peur qu’elle pense que nous avions été trop loin.Après une dizaine de minutes à discuter et à regarder la télé, ma mère me caressa l’épaule avec son index et me dit:— J’ai encore envie… Tu crois qu’on peut essayer un deuxième round?J’avais 18 ans, cela aurait été une honte de ne pas pouvoir recommencer! Alors nous avons fait l’amour encore une fois, plus longtemps que la précédente. Durant ces cinq jours de vacances, nous l’avons fait tous les soirs, parfois même le jour en revenant de la plage. Et heureusement que ma mère était là pour nous arrêter parce que si cela ne tenait qu’à moi et mes hormones d’adolescent, nous n’aurions pas bougé de la chambre. Après cette courte semaine de pur bonheur, il était déjà temps de rentrer. Savoir que nous allions revoir mon père ne nous enchantait pas du tout. J’avais peur aussi que ma mère et moi perdions l’opportunité de coucher ensemble, même si nous nous étions promis de recommencer dès que nous le pouvions.
Maintenant que nous étions revenus à la dure réalité, ma mère et moi sommes restés très proche. Mon père n’a jamais remarqué quoi que ce soit de bizarre et pourtant s’il savait que dès que nous étions seuls dans une pièce, ma mère et moi flirtions comme deux amants. S’il savait que certains après-midis quand il n’était pas là, maman et moi faisions l’amour comme deux être animés d’une grande passion. Avec moi, j’avais l’impression que ma mère avait retrouvé la jeunesse de ses vingt ans.Il y a eu quand même certaines fois où nous étions à deux doigts de nous faire prendre. Je me rappelle de cette fois où ma mère et moi avions commencé notre ébat croyant que mon cher père était partit au travail, mais après 10 minutes, nous avions entendu sa voiture revenir dans l’allée. Nous étions tous les deux nus comme des vers dans le lit parental.
J’ai alors pris mes affaires et j’eu à peine le temps d’entrer dans la salle de bain que mon père avait fini de monter les escaliers. Ma mère, quant à elle, faisait semblant de dormir, puisqu’on était encore au matin, elle avait prié pour que mon père ne soulève pas la couverture sinon il aurait bien vu qu’elle était nue, alors qu’elle fut quittée bien en pyjama.J’ai attendu 5 minutes au moins avant d’entendre ma mère me dire que je pouvais venir. Nous rigolâmes de la situation, même si les conséquences auraient été très mauvaises. Mais je me suis toujours demandé quelle tête aurait tiré papa s’il nous avait surpris.
Mais un soir, mon père est revenu saoul. On ne l’avait pas vu comme ça depuis longtemps. On pense qu’il a peut-être rompu avec sa maitresse. Il a recommencé à insulter ma mère, mais cette fois, il n’était plus question que je le laisse faire. Il a alors porté la main sur ma mère, ma femme, mon amour et je lui ai donné un coup de poing dans la figure. Il m’a regardé d’un air assez étonné. Je ne pense pas que c’était parce que j’avais tapé très fort, mais il a dû être surpris que j’ose le frapper et défendre ma mère. Je lui ai dit que la prochaine fois qu’il s’en prennait à elle, il aurait affaire à moi. Il s’est alors levé. Je pensais qu’il allait venir me frapper mais non, il se contenta de trébucher sur la table basse et de partir de la maison en claquant la porte. Connaissant mon père et sa fierté, je sais que s’il n’avait pas bu, il se serait relevé pour me donner une leçon. L’alcool m’a sauvé cette fois-là.Ma mère pleurait, moi j’avais la haine. Mais maintenant je savais que je pouvais lui tenir tête. Nous nous sommes posés dans le canapé et j’ai réconforté ma mère.— Merci, Didier…— Je te l’ai promis, m’man, je serais toujours là pour toi maintenant. Et il n’est pas question que ce type te touche encore.— Merci, mon chéri.Je suis alors sorti un peu de mes gonds:— Pourquoi on vit encore avec lui, il nous pourrit la vie!— Tu sais bien… Mon travail ne paye vraiment pas assez…— Mais peu importe l’argent, maman! Je peux travailler s’il le faut. Mais j’en ai marre de cette ambiance à la maison. Tu te rappelles, un jour tu m’as dit que tant qu’on est à deux, on sera heureux…— Je sais, mon ange, et je le pense encore… Mais… Je… J’ai peur de quitter ton père… Même si on divorce, il trouvera un moyen ou un autre pour me pourrir la vie… peut-être qu’il sera même encore plus violent…— Mais moi, je suis là… Lui dis-je en lui prenant les mains et en collant mon front sur le sien.Mais elle baissa la tête et resta silencieuse. Je me suis alors levé pour réfléchir, et après quelques secondes, je lui dis:— On a qu’à partir…— Quoi?— Oui, tu divorces et on part loin d’ici, sans le dire à personne.— Tu es fou, tu es prêt à quitter ta vie ici, tes amis, l’université?— Si c’est pour être avec toi et vivre pleinement notre amour, oui.Je me rappellerai toujours comment les yeux de maman se sont remplis de larmes quand je lui ai dit ça. Mais ce n’était pas de la tristesse que je pouvais lire dans ses yeux, c’était de l’amour.— Tu es sérieux?— Je ne l’ai jamais autant été.— Je… Il faut quand même en réfléchir, c’est une décision importante.— C’est vrai, il faut qu’on prépare tout. Mais j’ai vraiment envie de partir avec toi au loin. Tu te rappelles comment on était bien au Cap?— Oui, c’était génial. Mais ce sera différent si on part: tu devras travailler, on ne vivra pas dans le luxe…— Je m’en fiche de tout ça.Je me suis assis à côté d’elle et nous nous sommes embrassés amoureusement.
Et pendant des mois, nous avons organisé leur divorce. Ce n’était pas chose facile. On réunissait des preuves, des témoignages. On se renseignait. On voulait absolument qu’une fois la procédure lancée, elle se termine au plus vite. On savait que mon père n’allait pas du tout apprécier.Après l’instance de divorce, ma mère et moi vivions chez l’une de ses amies puisque ma mère a perdu ses deux parents. Nous avons même espéré qu’il ne faille peut-être pas partir et tout laisser derrière nous jusqu’à un soir où mon père nous a retrouvé et a foutu un bordel à tel point que les gendarmes ont du intervenir. Mais grâce à sa stupide intervention, les choses ont avancé plus vite et nous étions enfin libre maman et moi de partir où bon nous semblait.
Tout cela date d’il y a quelques années et j’ai maintenant fais ma vie avec ma mère. Nous vivons très loin de mon père mais la première année, nous avions peur qu’il nous retrouve. Refaire sa vie n’est pas une chose facile, mais je pense qu’avec l’être aimé on peut dépasser n’importe quel obstacle.
Un soir, lorsque nous faisions l’amour, nous étions vraiment très excités. Je ne dis pas que les autres fois n’étaient pas excitantes, mais par moment, on se rappelait que notre couple était fondé sur un tabou. Parfois, on s’excitait l’un et l’autre en nous rappelant que nous sommes toujours une mère et un fils et que ce que nous sommes en train de faire est mal vu par la société. Et bien ce soir-là, nous vivions un moment pareil. C’était la troisième fois que nous faisions l’amour ce jour-là, j’adorais quand ma mère venait prêt de moi et commençait à être fort câline, je comprenais vite qu’elle avait encore envie. Je la prenais en levrette, j’étais sur le point d’exploser. Maman bougeait d’elle-même ses hanches et il y avait ses formidables fesses qui claquaient contre mes jambes et le haut de mon ventre. Et ne tenant plus le coup, j’ai déchargé. Ce fut une longue éjaculation de quantité moindre puisque c’était la troisième fois, mais ce fut toujours aussi bon. Après nous être enlacés dans le lit comme à notre habitude après un rapport, ma mère se leva pour essuyer ma semence, mais cette fois-là, je la retins:— Non, attends encore un peu s’il te plait… J’adore l’idée de savoir que mes spermatozoïdes cherchent désespérément un de tes ovules…— Hé ben dis donc, tu es un petit coquin ce soir! Ça te plairait de mettre ta maman enceinte hein!— Oui, j’adorerais…— Tu… Tu es sérieux? Me demanda-t-elle assez surprise.— Oui, vraiment, j’aimerais beaucoup avoir un enfant avec toi. (voyant qu’elle ne dit rien, j’ajoutai:) Tu es comme ma femme maintenant, mon cœur. Et j’aimerais beaucoup fonder une famille avec toi. Cela l’avait fort touché. Elle est venue se blottir contre moi, non pas comme une mère mais bien comme une épouse. Plusieurs semaines plus tard, elle m’annonça qu’elle était enceinte. C’était merveilleux! Pour être franc, il y a eu une période où nous avons eu peur que l’enfant ait des problèmes de santé, je sais qu’on s’en serait voulu. Mais grâce à Dieu, mon fils est en parfaite santé. Et je suis heureux de vous annoncer que nous en attendons un deuxième, une petite fille. J’aimerais bien qu’elle porte le même nom que sa mère, mais bon, on a encore le temps avant de se décider.
Et c’est ici que s’achève mon témoignage, j’espère qu’il vous a plu. Peut-être que cela aidera certains à y voir plus clair dans leur sentiment, peut-être que cela en inspirera d’autres… Il n’y aura pas de suite, je ne sais pas ce que je pourrais vous raconter de plus sur ma vie. Les scènes de sexe étant les mêmes qu’un couple absolument normal, je ne crois pas que cela vous intéresserait.
Vous pouvez me contacter par email masinn8@fastmail.fm si le cœur vous en dit pour me dire ce que vous en avez pensé, peut-être pour me raconter votre propre expérience. Je peux peut-être même vous aider ou vous donner des conseils, mais il faut bien le dire, la relation avec ma mère est venue très naturellement.
Didier
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