Cette histoire fait suite aux deux premiers chapitre de "Mère et fille soumises"Le site refusant que ce chapitre soit proposé en Mère et fille soumises chapitre trois, sous prétexte que cette histoire existe déjà, je le publie donc comme une suite.
Précédemment.Rentrant chez elle plus tôt que prévu, Alice, quarante ans, surprend sa fille dans les bras de son amie Lucie. Elle ne peut s’empêcher de rester cachée pour les espionner pendant qu’elles se donnent du plaisir. Excitée et se croyant invisible, Alice se caresse, avant de les rejoindre, comme si elle venait juste rentrer. Nues toutes les trois au bord de la piscine, Alice accepte que Lucie lui passe de la crème solaire sur tout le corps, avant de la laisser la caresser et la faire jouir devant sa fille. (chapitre 1)Deux jours plus tard, Lucie vient rejoindre Alice, sachant que Nina est en cours cet après midi là. Lucie n’hésite plus quand Lucie lui demande de la lécher avant de la faire jouir à son tour. Et pour la première fois, alors que Chris sa partenaire de tennis lui avait montré son envie de la séduire et qu’elle avait refusé, c’est Alice qui prend l’initiative pour s’offrir à elle sous les douches. (chapitre 2)Alice a décidé de profiter de la vie, et devient de plus en plus une belle salope à qui il ne reste plus qu’à trouver une Maîtresse pour la dresser.La semaine suivante, je suis au bureau tous les après midi. Quand je rentre le jeudi soir, je croise Lucie qui repart. Elle m’embrasse sur la bouche en me caressant les fesses, sans aucune gêne, ni de l’une ni de l’autre.Nina et elle ont passé l’après midi au bord de la piscine et je me doute qu’elles en ont bien profité.Quand Nina se lève de son matelas, je m’aperçois qu’elle a les fesses cramoisies. - C’est quoi ces rougeurs ? Tu as pris un coup de soleil sur les fesses ?- Non maman, ne t’inquiète pas. Je n’ai pas obéi assez vite à Lucie, et elle m’a fessée pour me punir avant de me donner plusieurs coups de cravache. J’aime quand elle me fait crier en me fessant. Elle m’excite et peut me demander tout ce qu’elle veut ensuite. J’aime la remercier avec ma bouche pour la faire crier à son tour. Tu verras quand tu recevras une fessée. Tu aimeras autant que moi. En entendant ma fille me parler fessée, j’ai des papillotes dans le ventre et je sens ma chatte humidifier ma culotte.Nous sommes vendredi soir, et comme chaque soir, si elles ne sont pas ensemble, Nina et Lucie sont au téléphone. - Tiens maman, me dit Nina en me tendant son téléphone, Lucie veut te parler- Bonjour Alice, cela vous ennuie si je viens avec ma tante demain après midi profiter de la piscine.- Non, bien au contraire, avec plaisir Lucie. Vous pourrez rester diner et même dormir ici si vous le souhaitez.- Ma tante a quarante ans et je suis sûre que vous allez bien vous entendre. Elle va vous plaire. En lui proposant de venir avec une femme de mon âge, connaissant un peu mieux Lucie, je sais déjà que l’après midi et la nuit vont vite déraper. Je ne peux pas résister. A certains moments, l’envie est plus forte que mes principes de petite bourgeoise que j’ai mis de côté depuis plusieurs jours.
Quand Lucie et sa tante Sophia sonnent, Alice bronze nue au bord de la piscine. Elle reste nue pour les accueillir après avoir ouvert le portail à distance. Lucie l’embrasse sur la bouche en lui caressant les fesses. Sophia la détaille et Alice voit tout de suite qu’elle lui plait. - Tu es très belle Alice, Lucie ne m’a pas menti. Tourne toi pour que je voie tes fesses. Alice obéit sans se poser de question. Elle montre déjà à Sophia son caractère de soumise. - Tu as de très belles tétines comme j’aime les travailler et faire gémir une soumise. Tes fesses bombées et musclées n’attendent que de rougir avec une bonne fessée et d’être striées avec la cravache comme celles de ta fille. On va passer une bonne soirée, une bonne nuit, et pourquoi pas plus. Sophia plait énormément à Alice. Une femme d’1,70 m, brune aux cheveux courts coupés à la garçon avec un look androgyne, quasiment sans poitrine et des yeux perçants et coquins, pour ne pas dire vicieux. Malgré ce look, elle ne perd pas sa féminité. - Nina n’est pas là. Elle est partie faire une course, elle va bientôt arriver.- Je sais, lui répond Lucie. C’est moi qui lui ai demandé d’y aller. Lucie et Sophia plongent immédiatement dans la piscine pendant qu’Alice va chercher des boissons. Elle en tremble d’excitation à la vue du corps de Sophia. Un corps musclé, des fesses musclées et des seins inexistants, de gros tétons ronds dont un est percé avec une barrette.Dès son retour, Nina plonge dans la piscine et les quatre femmes se rejoignent dans l’eau. Nina joue avec sa mère en passant sous l’eau pour la frôler ou lui passer entre les jambes et la caresser. Nina fait tout pour l’exciter.Lucie ressort de l’eau pour s’asseoir sur le bord de la piscine, les pieds dans l’eau et les cuisses grandes ouvertes.Nina a compris le message et sort la tête de l’eau entre ses cuisses pour lécher sa petite amie et Maitresse. Lucie appuie sur la nuque de son amante pour qu’elle la lèche avec application. Alice plonge sous sa fille pour la lécher elle aussi, mais sous l’eau, avant de remonter prendre de l’air et recommencer. Nina aussi excitée que sa mère, ouvre les jambes en grand pour faciliter sa caresse. L’attitude d’Alice n’échappe pas à Nina et à Sophia qui vient elle aussi s’asseoir au bord de la piscine cuisses disjointes. Alice pose ses mains sur le rebord et plonge sa tête entre les cuisses de Sophia, sans qu’elle lui demande. Sophia ouvre un peu plus grand et appuie sur la nuque d’Alice pour appuyer sa bouche sur sa fente. Elle se bascule un peu arrière pour lui faciliter l’accès à son œillet dont la langue d’Alice se délecte. Excitée, les lèvres de Sophia se gorgent de sang, son bouton sort de sa gangue, et son œillet s’épanouit sous les coups de langue.Sophia tient Alice par les deux tétons qu’elle tire, roule et maltraite à la limite de la douleur. A la façon dont Alice lèche Sophia, elle sait qu’elle apprécie le traitement qu’elle lui inflige jusqu’à ce qu’Alice sente l’orgasme et grogne son plaisir la bouche collée à la chatte de sa Maîtresse. - Goulue et sensible, lui dit Sophia après avoir joui, elle aussi, et rempli la bouche d’Alice de plusieurs jets intimes qu’Alice a dégusté. Décidément tu me plais, je vais m’occuper de toi. Tu lèches bien les chattes pour une novice. Tu as oublié de me demander la permission comme doit le faire une soumise bien dressée, tu m’obliges à te fesser. Ta fille nous ayant acheté une cravache comme on lui a demandé avant de venir, tu vas avoir le plaisir de l’étrenner. Alice va chercher des boissons pour tout le monde avant de venir se mettre à genoux à côté du transat de Sophia, les mains croisées derrière la nuque bien cambrée pour offrir sa poitrine. Sophia reprend son travail des tétons et Alice laisse échapper des râles de plaisir. - Je ne veux pas t’entendre ! Une soumise doit souffrir en silence. Si je t’entends c’est dix coups de cravache en plus. Je vais t’apprendre à obéir, soumise. Alice tente de souffrir en silence mais Sophia pince et tord ses tétons pour la faire craquer à nouveau. - Ca suffit, lui dit Sophia. Nina, va me chercher une de tes culottes sales. La plus sale possible. Nina revient avec une petite culotte remplie de sécrétions. - Ouvre ta bouche soumise. Tu vas pouvoir lécher le jus de ta fille puisque tu aimes ça et je te t’entendrai plus. Sophia bourre la petite culotte dans la bouche de sa soumise en prenant la précaution que le fond maculé soit bien sur sa langue, avant de continuer pendant quelques minutes à jouer avec ses tétons qui sont rouges écarlates. Ils vont rester sensibles plusieurs jours. Elle va devoir s’y habituer - Viens te coucher en travers de mes cuisses, soumise. Je vais m’occuper de tes fesses pendant que Lucie s’occupe de celles de ta fille. Mère et fille soumises et fessées comme deux gamines. Nina, regarde bien ta mère se faire fesser. C’est la première fois, mais pas la dernière. Deux gouines soumises. Sophia fesse sans ménagement les fesses d’Alice. Ses cris sont étouffés par la culotte de sa fille, mais sa chatte qui coule prouve son excitation. Ses fesses la brulent, elle est fière d’être soumise. Etre humiliée devant sa fille l’excite. - Regarde ta mère, Nina lui dit Lucie. Regarde, elle est au bord de l’orgasme. Aussi salope que toi. On va voir si tu résistes quand je vais te cravacher. Les deux Dominatrices ne se ménagent pas. Quand Sophia stoppe la fessée, elle retire la culotte de la bouche d’Alice - Merci Maîtresse de m’avoir fessée. Merci de me dresser en bonne soumise.- C’est bien, tu n’as pas oublié de me remercier. Bois ce verre d’eau. Ta chatte coule sur mes cuisses. Mets toi à quatre pattes pour lécher ton jus. Mère et fille à quatre pattes face à face, bouche contre bouche, présentent leurs fesses à leur Maitresse respective pour recevoir les dix coups de cravache. L’une comme l’autre serrent les dents et comptent jusqu’à dix.La soirée est plus calme. Alice s’assoit avec précaution. La sensibilité va durer, malgré la crème que Sophia lui a appliqué sur les deux hémisphères écarlates et zébrés.Mère et fille « dorment » avec leur Dominatrice même si Alice et Sophia sont réveillées plusieurs fois dans la nuit par les cris de plaisir de Lucie et de Nina qui sont déchainées. A chaque fois que l’une se réveille, elle fait jouir sa compagne. - C’est un cadeau que je t’offre de dormir avec moi. Les autres fois tu devras le gagner, sinon tu dormiras par terre à coté du lit de ta Maitresse. A 10 heures, après une courte nuit agitée, les quatre filles se réveillent. Alice et sa fille vont préparer le petit déjeuner. - Ne mettez que deux assiettes sur la table, pour vous ce sera par terre comme deux chiennes, leur dit Sophia. Une fois prêt vous nous attendrez à genoux. Nina et sa mère obéissent. - Nina, dit Lucie. Prend un bol et mets le à mes pieds. Tu boiras ton café dedans sans les mains. Et si tu fais des saletés, tu les nettoieras avec ta langue. Mère et fille mangent les morceaux de brioches que laissent tomber leurs Maîtresses.Alice préfère ne pas se demander pourquoi elle n’a pas droit à un bol. - Viens entre mes cuisses, Alice. Tu vas gouter au champagne de ta Maîtresse. Alice comprend immédiatement ce qui l’attend. Lucie et Nina la regardent coller sa bouche la fente de Sophia qui se retient depuis qu’elle s’est levée pour pisser dans la bouche de sa soumise. - C’est bon le champagne d’une Maîtresse. Tu acceptes tout de moi. Tu m’épates. Je vais te faire vivre beaucoup d’aventures et tu vas devenir une soumise bien dressée. J’ai plein d’idées pour toi. Tu n’es pas obligée d’accepter. Tu me donneras ta réponse samedi prochain. D’ici là, tu peux me poser toutes les questions que tu souhaites. Tu m’indiqueras aussi tes limites, je t’aiderai à les définir. Si tu acceptes, tu seras soumise pendant deux mois et à la fin de ces deux mois tu pourras arrêter. Sinon ce sera pour un an et si c’est encore d’accord ce sera définitif. Dès samedi prochain tu porteras un collier de soumise en permanence. Plus tard, je te ferai percer les tétons, te tatouer, te fermer les lèvres de ta chatte avec un cadenas, et autres signes et plaisirs. Tu seras fessée et fouettée régulièrement pour ne pas oublier ta soumission, en privé ou dans des clubs. Tu seras exhibée aussi. Tu découvriras cela au fur et à mesure.
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