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Mère et fils à la campagne

Chapitre 2

Inceste
Je laisse mon fils et vais dans la salle de bain. Je vais prendre une douche pour me détendre et me changer les idées. Pendant que l’eau chauffe, je me déshabille. Alors que je me glisse dans la cabine, j’entends la porte grincer.Je ne pourrai pas résister deux fois de suite. Ma soif n’est pas étanchée, s’il me touche, c’est sûr, je vais flancher. Rien que d’y penser, je sens mon entrejambe faiblir et s’humidifier.

***
Je mentirais si je disais que cette fellation ne m’a pas soulagé. Mais d’entendre l’eau couler et de l’imaginer nue dessous a relancé une érection comme jamais. Je sais ce que je veux. Et je sais qu’elle veut la même chose. Je sais qu’elle se pourrit la tête avec des conventions, mais ce que je veux, c’est naturel, c’est tout ce qu’il y a de plus animal : m’accoupler. Baiser. Sentir son corps s’ouvrir et m’accueillir, l’entendre gémir, la faire jouir. J’ai envie d’elle, et mon envie ne se calmera que lorsqu’elle sera assouvie.J’ouvre la porte de la douche et la regarde. J’entends la supplique silencieuse de ma mère. Je sais qu’elle ne résistera plus longtemps. Son corps réclame la même chose que le mien, c’est son cerveau qui résiste. Inutile de lui parler, ça doit se régler au corps à corps.
J’entre dans la cabine. Elle gémit :
— S’il te plaît, non...
Je m’approche d’elle, la prends dans mes bras.
— Maman, dis-moi que tu n’as pas envie.— Je... je n’ai...
Elle ne finit pas sa phrase. Je sais pourquoi. Elle ne m’a jamais menti, et elle ne veut pas commencer aujourd’hui.
— Maman, dis-moi que tu as envie.

***

Je lâche un soupir.
— Oui, j’ai envie mon grand. J’ai envie de toi autant que tu as envie de moi. Viens, viens avec moi.
Je l’emmène dans ma chambre. J’ai un instant d’arrêt. Bon sang, ce lit, c’est là qu’Antoine a été conçu, je ne peux pas...
Je sens mon fils derrière moi, son sexe tendu contre mes fesses. Il glisse ses bras sur ma taille, remonte ses mains sur mon ventre, sur mes seins. Il est tendre, et ça fait tellement longtemps qu’un homme ne m’a pas touchée. Il m’embrasse dans le cou, me serre contre lui et me caresse. Il frotte son sexe contre ma raie des fesses et je creuse mes reins pour aller à sa rencontre. Bon Dieu que c’est bon. Je suis trempée et j’ai une folle envie de me faire prendre, mais pas comme ça, pas en lui tournant le dos. Je veux le voir quand il me pénètrera. Je veux voir ce beau visage auquel j’ai donné la vie.
Je me retourne et lui souris tendrement.
— Tu es sûr que c’est ce que tu veux, mon grand ?— Oui maman. Fais-moi l’amour, s’il te plaît.
Sans le lâcher des yeux, je lui retire son t-shirt, puis me recule et m’allonge sur le lit. Il prend le temps de me regarder, puis s’avance au-dessus de moi.

***
Je suis en position. Elle est couchée sous moi, les seins dressés. J’ai calé mon genou entre les siens, j’amène le deuxième pour lui écarter délicatement les cuisses. Ma queue est tendue comme jamais. Je ne sais pas trop comment m’y prendre, j’y vais à l’instinct. Je frotte mon gland contre sa chatte. C’est mouillé. Très mouillé. Ça va glisser tout seul. Je sens l’ouverture de son vagin et j’y presse mon gland. J’y rentre quelques millimètres, puis me retire.

J’ai envie comme jamais, mais il n’y a plus d’urgence. La fellation a calmé mes ardeurs, j’ai envie de profiter de ce moment au maximum. Je presse à nouveau ma bite contre elle, elle gémit.
— Tu aimes ça, maman ?
Un grognement me répond.
J’enfonce mon gland quelques millimètres de plus, me retire, reviens.
— Tu veux quoi, maman ?— J’ai envie de toi, Antoine, tu me rends folle.
J’ai envie de la taquiner encore, j’ai envie de l’entendre me dire de la pénétrer. Elle a écarté ses cuisses au maximum en relevant les genoux pour plaquer son minou contre moi, elle se frotte, elle gémit. Ma queue est prête, elle attend l’ordre.
— Prends-moi Antoine. Prends-moi, prends-moi, c’est trop, j’en ai envie, maintenant !
Je m’enfonce en elle, doucement, jusqu’au fond de son vagin. Ma queue n’est pas entrée totalement, mais je n’ose pas forcer. Je me retire, reviens doucement, recommence. Cette sensation est incroyable, putain je suis en train de baiser ma mère ! Le mouvement est instinctif, plus le désir monte et plus je vais vite, fort et loin. Ma tête bourdonne, je ne maîtrise plus rien. Seul l’instinct bestial dirige mes mouvements.

***

J’ai du mal à croire que mon fils n’a jamais fait ça. Son sexe entre et sort avec une telle facilité malgré sa taille. Il faut dire que je suis tellement mouillée. Je remonte encore les genoux pour lui faciliter l’accès et pour qu’il puisse me prendre encore plus loin. Il bute contre le fond de mon vagin, il me fait mal, mais l’excitation est tellement forte que j’en redemande. Qu’est-ce que c’est bon, je serais prête à tout pour lui ; à ce moment, je sais que cette première fois n’est que la première d’une longue série. Comment me passer de ce sexe qui me...
— Aaahhh !
Une pénétration plus forte m’a fait lâcher un cri de surprise. Il me pilonne sérieusement maintenant.
— Oui Antoine, oui...
Je me lâche. Je l’entends grogner, grossir dans mon ventre, gémir dans mon cou. J’accompagne ses mouvements de bassin, ses testicules tapent contre mes fesses, son pubis cogne mon clitoris, son sexe coulisse en moi, on transpire, on souffle, c’est tellement bon. Je sens le plaisir qui monte, je me tortille d’autant plus.
— Maman, je vais jouir.
S’il se retire maintenant, ça va couper mon élan. C’est la bête qui prend le contrôle, je ne réfléchis plus, j’accélère, je me colle.
— Oui mon chéri, vas-y !

***
L’espace d’une seconde, je réalise que je vais éjaculer dans la chatte de ma mère. L’espace d’une seconde, je me demande ce qu’il va se passer si... putain c’est tellement bon. Elle en demande encore, elle gémit, elle accélère et moi... Hummm je m’abandonne. Je donne tout, je pilonne sans plus réfléchir. Je sens son vagin se contracter autour de ma queue, putain, je ne vais plus tenir...
— Ouiiiiiiiiiii !!!
Entendre ma mère se lâcher ainsi fait céder mes dernières résistances. J’éjacule dans ce ventre qui m’a accueilli pendant neuf mois. La boucle est bouclée. Et ce n’est que le début. On est si souvent seuls tous les deux. Les longues soirées ne seront plus si longues. On va bien s’amuser.
— Putain, c’est quoi ce bordel ici ?
Une voix a claqué derrière nous. Je me retourne. Mon frère est rentré.
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