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Mère et fils à la campagne

Chapitre 3

Inceste
Entendre ma mère se lâcher ainsi fait céder mes dernières résistances. J’éjacule dans ce ventre qui m’a accueilli pendant neuf mois. La boucle est bouclée. Et ce n’est que le début. On est si souvent seuls tous les deux. Les longues soirées ne seront plus si longues. On va bien s’amuser.
— Putain, c’est quoi ce bordel ici ?
Une voix a claqué derrière nous. Je me retourne. Mon frère est rentré.
***
— Louis, je...— Ta gueule Antoine. Je veux même pas croire ce que j’ai vu, putain. C’est dégueulasse, sérieux, ta mère, Antoine ! Ma mère ! Rhabille-toi. Et toi aussi maman, rhabille-toi. Je vais gerber sérieux.
Je n’ai pas encore prononcé un mot. Il faut laisser la tension retomber avant de pouvoir en parler. Je regarde Antoine qui quitte la chambre sans oser se retourner vers moi. Louis attend, le visage fermé et furax. Je le regarde enfin.
— Chéri, je suis désolée...— T’es désolée d’avoir baisé ton fils ou t’es désolée que l’autre vous ait surpris ?— C’était pas prémédité Louis, on s’est laissé déborder. Il était dans mes bras et... j’ai rien contrôlé.— Mais t’es censée contrôler ! T’es notre mère, t’es l’adulte ici !— Je sais. C’est facile de juger froidement des faits. Parfois dans le feu de l’action, on fait des choses qu’on regrette.— Tu regrettes vraiment ?
C’est une bonne question. Je ne sais pas si je regrette. Bien sûr, la morale voudrait que je dise oui, mais en vérité, ce moment était incroyable.
— C’est bien ce que je pensais. Tu ne regrettes rien du tout.— Je ne sais pas quoi te dire, Louis. Je regrette que tu nous aies vus en tout cas. Je comprends que tu sois en colère, mais quelque part, je n’ai pas à me justifier. Nous sommes tous majeurs ici. Ton frère avait envie, et moi aussi. Fin de l’histoire.— OK. Je vais repartir maintenant. Je vais vous laisser vivre votre petite vie d’amoureux et je vais me casser très loin.

Il ne me laisse pas l’opportunité d’ajouter quoi que ce soit, il a déjà tourné les talons et claqué la porte de ma chambre. Je soupire et j’entends déjà des éclats de voix au salon.

***
Mon frère me fonce dessus.
— T’as intérêt à avoir de meilleures explications qu’elle !— Louis tu me saoules ! T’es jamais là, on se voit jamais, je sors jamais ! Voilà c’est comme ça ! Ça me tetait depuis plusieurs jours, plus je la voyais, plus j’avais envie, j’ai proposé, elle a accepté, c’est tout ! T’es jaloux ?
Il recule d’un coup.
— N’importe quoi ! Ça se fait pas, voilà !— Mais qui a décidé que ça se faisait pas ? Sérieux le gars il était moine, il vivait pas tout seul à la campagne avec sa mère ! C’est bon Louis, c’est juste deux corps, c’est physique, on se fait du bien, ça va pas plus loin ! Il est où le mal, réfléchis !— Mais faites-vous du bien chacun de votre côté ! Vous êtes pas obligés de... oh rien que d’y penser ça me...— Ça t’excite !— Ça me fait gerber !— Alors pourquoi tu bandes ?
Il baisse les yeux.
— C’est rien ça, c’est juste une réaction physique.— C’est bien ce que je dis. Alors viens pas nous faire la leçon. Et si t’es jaloux, la prochaine fois tu te désapes et tu nous rejoins !
Je sens qu’il est déstabilisé. Je le laisse là-dessus et je file dans ma chambre. Je ne vais peut-être pas le provoquer davantage en rejoignant maman tout de suite. Pourtant, j’aimerais tellement être dans ses bras, là maintenant.
J’entends la porte d’entrée claquer. Si Louis s’en va, ça me ferait chier, mais en même temps, je pourrais retrouver maman.

***

Je regarde par la fenêtre, m’attendant à voir Louis remonter dans sa voiture. Mais il part à pied. Sûrement besoin de prendre l’air après ce qu’il a vu et la discussion plutôt animée avec son frère. J’aimerais tellement voir Antoine, il faut qu’on parle, de ce qu’on a fait, de Louis, de...
Je me sens seule, j’ai froid. Je vais aller la prendre cette douche. Je laisse l’eau chaude couler longuement, jusqu’à ce que tous mes muscles se détendent enfin. Cette journée est pleine de surprises. Je coupe l’eau et me sèche rapidement. Devant mon dressing, j’hésite un moment avant de ressortir des dessous en dentelle que je n’ai pas portés depuis longtemps. Pour qui les aurais-je mis ?
Je rougis en les regardant. Les enfiler maintenant, c’est m’avouer que j’ai envie de recommencer. Je repense à ses mains sur mon corps, à son sexe frôlant le mien, remplissant mon vagin, je ressens le plaisir qu’il m’a procuré, sa douceur. Mon clitoris gonfle rien que d’y penser. Bon sang, c’est pas possible, c’était il y a moins d’une heure et, malgré la douche froide provoquée par l’arrivée de Louis et sa réaction, j’ai encore envie de faire l’amour. J’espère que sa promenade va lui permettre de redescendre en tension et qu’il va accepter ce qu’il s’est passé avec son frère. Qui sait peut-être que... Merde ! Mais il m’arrive quoi, là ? Les dix ans sans contact physique me reviennent en pleine face. C’est comme si Antoine avait libéré une envie trop longtemps ignorée. Mon appétit s’est réveillé, et j’ai l’impression que je vais être insatiable.
Je finis par m’habiller et retourne à mon programme initial : préparer le repas, pour trois puisque Louis a laissé sa voiture là.

***
— Tu as besoin d’aide, maman ?
Je la frôle volontairement pour sentir son parfum et son contact. Ma main traîne négligemment sur ses fesses, sans pression, légère comme une plume. Ça suffit pour me faire bander direct.
— Antoine, s’il te plaît. Je ne sais pas où est Louis, mais s’il nous surprend une deuxième fois, ça va être compliqué à gérer.— Une deuxième fois ? J’avais pas l’intention de te prendre sur la table, mais si tu insistes, ça peut se faire.
Maman rougit comme une écolière. Je me place derrière elle et me colle, je lui fais sentir mon érection contre ses fesses. Elle gémit.
— T’as qu’un mot à dire, maman. Je suis prêt, j’attends que ça...
Je frotte ma queue contre elle. Ça me rend dingue. Je resserre ma prise sur ses hanches et je sens mon boxer devenir serré. Beaucoup trop serré.
— Antoine, si tu veux m’aider, il y a les patates à éplucher. Mais pour le reste s’il te plaît, attends au moins que Louis soit parti, ou couché.— Pour le reste ? Pour te faire l’amour, tu veux dire ?
Le bruit du gravier qui crisse et de la porte d’entrée qui claque nous sépare directement de quelques mètres. Je m’assois à table pour éplucher les patates, ça a le mérite de cacher mon érection.
— C’est bon, vous êtes habillés ? Je peux rentrer ?— Oui entre, mon grand, on est à la cuisine.
Louis pénètre dans la pièce, l’air gêné, au moins autant que nous. Il s’assoit en face de moi et prend un économe pour m’aider dans ma corvée.
— Je suis désolé pour tout à l’heure. J’ai réagi comme un con. J’ai été... surpris. Enfin, c’est le moins qu’on puisse dire. Mais vous êtes majeurs, c’est pas à moi de vous faire la leçon.
Je regarde mon frère, soulagé. La balade lui a fait du bien apparemment. Je suis sûr que c’est la morale qui le retient, mais vu comme il bandait tout à l’heure, avec un peu d’aide, il finira par faire bien plus qu’accepter. Mon érection reprend de plus belle rien qu’à l’idée qu’il nous rejoigne un jour ou l’autre.
On repart sur des discussions plus légères, on termine de préparer le repas et on se raconte les nouvelles depuis la dernière fois qu’on a vu Louis. J’aimerais bien qu’il vienne plus souvent, il me manque. Après manger, on a l’habitude de regarder un film avec maman, mais ce soir, avec la présence de Louis et vu tout ce qu’il s’est passé cet après-midi, chacun regagne sa chambre, maman au rez-de-chaussée, et nous à l’étage. Il est encore tôt et je n’ai pas sommeil. Je me pose sur mon lit avec un bouquin en me disant que j’irai rejoindre maman d’ici une heure ou deux.
On frappe à la porte et mon cœur bondit, j’espère que c’est elle qui a craqué et qui vient à moi. Mais c’est Louis qui passe la tête par la porte.
— T’es encore là, je peux entrer ?— Tu croyais que j’étais où au juste ?— Ben avec elle. J’imagine que vous dormez ensemble.— C’était la première fois, Louis. On n’a pas vraiment d’habitudes.— La première fois. Il y en aura donc d’autres...— Je te mentirais si je te disais que non. Désolé frérot, mais c’était incroyable, eh oui, j’ai envie de recommencer. Et je suis sûr qu’elle aussi.— Ce soir ?— J’attendais que tu dormes pour descendre en fait.
Louis rigole, gêné.
— Au moins, tu as le mérite d’être honnête !— Puisque tu demandes ouvertement, je préfère être honnête, frérot. Et si tu veux tout savoir, je laisserai la porte entrouverte. Si jamais tu veux nous rejoindre...— Je ne suis pas prêt pour ça mon gars. Je veux bien être compréhensif, mais faut pas pousser !— Comme tu veux, Louis. Alors je descends, pas la peine d’attendre que tu dormes, cette fois.
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