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Mère et fils à la campagne

Chapitre 4

Inceste
Louis rigole, gêné.
— Au moins tu as le mérite d’être honnête !— Puisque tu demandes ouvertement, je préfère être honnête, frérot. Et si tu veux tout savoir, je laisserai la porte entrouverte. Si jamais tu veux nous rejoindre...— Je ne suis pas prêt pour ça mon gars. Je veux bien être compréhensif, mais faut pas pousser !— Comme tu veux, Louis. Alors je descends, pas la peine d’attendre que tu dormes, cette fois.

***

Je regagne enfin ma chambre après avoir mis de l’ordre dans la maison et fait une petite promenade avec le chien. Je crois qu’il a dû sentir mon état anormal, car il était très collant, alors que d’habitude, il fait sa vie et que j’ai du mal à le faire revenir. Plusieurs fois, il a reniflé mon entrejambe et j’ai dû le repousser. Il faut dire que les quelques minutes d’intimité dans la cuisine m’ont fait mouiller sévère. J’avais oublié ce que c’était, et le chien ne m’a jamais sentie comme ça. Manquait plus que ça, un deuxième mâle en rut... Enfin, vu mon appétit, il faut au moins ça... Je n’arrive pas à croire ce que je viens de penser ! Je ne sais pas ce que mon fils a fait, il a libéré une bête cet après-midi !
Alors que j’enlève mon pull, je sens deux mains se poser sur ma taille. Mon pull rejoint le sol, les mains sont sous mon t-shirt, qui rejoint bientôt le pull. Les mains dégrafent le bouton de mon jean, le baissent sous mes fesses, descendent le long de mes cuisses. Une bouche caresse ma colonne vertébrale, une langue glisse le long de mes fesses. Je me tiens à l’armoire et soulève une jambe, pour que le jean soit retiré. Puis l’autre jambe. La dentelle noire se révèle, rehaussant mes fesses et mes seins.
Je n’ai plus rien à dire. Plus d’objection. Je suis une lave en fusion, je veux juste assouvir mes pulsions, faire baisser la tension.
— T’es tellement belle, maman !
Je ferme les yeux, même le son de sa voix rauque chargée de sensualité m’excite. Même le mot maman m’excite. Je suis vraiment une perverse, mais peu importe. Les barrières ont été franchies, faisons-les disparaître une bonne fois pour toutes.
— Prends-moi Antoine, depuis tout à l’heure, je n’attends que ça !
Il me dirige vers le lit en me poussant par les hanches, toujours dans mon dos. Arrivé devant le matelas, il me stoppe et me bascule le haut du corps en avant. Je me retrouve sur les coudes, lui présentant mon postérieur.

***

Maman est penchée devant moi, à ma merci. Je bande fort et plus dur que jamais. Je ne pensais pas que c’était possible, mais maintenant que je sais ce que c’est la pénétration, l’anticipation me fait bander à mort. Je m’agenouille et lui écarte les jambes. Je lui lèche les lèvres pour la lubrifier, mais je suis heureux de voir qu’elle n’en a pas besoin du tout. Elle gémit. Ma langue s’enfonce dans ses replis, descend jusqu’à son clitoris, remonte jusqu’à son anus. Je lui écarte les fesses pour accéder à son petit trou. Rien qu’à l’idée de l’enculer, ma bite prend encore des proportions dingues. Ma langue glisse de haut en bas, et ma salive rejoint sa cyprine.
Je me redresse et me positionne bien derrière elle. J’hésite à l’enculer, mais je n’ose pas. Je presse mon gland contre sa chatte, et alors que la première fois je l’avais prise délicatement centimètre par centimètre, là je la pénètre d’un coup, violemment, jusqu’au bout.
— Aaaaahhhh ! Oui mon grand ! Hum, c’est trop bon.
Je me penche sur elle et l’attrape par les épaules. Je tire pour la pénétrer encore plus profond. Elle crie encore et gémit. Je fais quelques allers-retours comme ça, puis je me redresse. La levrette est vraiment une position excitante, je me sens tout-puissant, ma mère est une vraie chienne.
Je glisse mon doigt entre ses fesses et presse son petit trou. Je mouille mon pouce et le glisse entre les replis. Je la pénètre petit à petit, elle me laisse faire.
— Chéri, je... Va doucement s’il te plaît. Personne n’est encore passé par là... Je veux bien essayer, mais... doucement.— D’accord maman.
Ma voix s’étrangle. Tout à l’heure, c’est elle qui me dépucelait, et maintenant, c’est mon tour de la dépuceler. Mon pouce coulisse maintenant facilement. Il est temps d’échanger mon doigt avec ma queue.

***

Son doigt et son sexe sortent de mes orifices. Ce que j’ai toujours refusé à mon ex, je vais l’offrir à son fils. J’ai chaud, je suis excitée, mouillée, j’en ai envie. Jamais je n’en avais eu envie avant. Mais là, Antoine a su préparer le terrain et réveiller des pulsions éteintes.
Je sens son gland presser mon anus et écarter les chairs. Nos deux gémissements s’unissent alors que mes muscles se décontractent pour laisser passer son sexe. C’est une sensation étrange, incroyable. Il se retire, pour revenir plus profond. Il arrête de bouger un instant.
Je prends alors le relais, basculant mon bassin d’avant en arrière, avalant sa queue. Mon regard se perd derrière Antoine, et mes yeux s’arrondissent. Louis nous regarde.
Je n’ai pas le temps de prévenir Antoine, il m’a soudain pénétrée de toute sa longueur et je n’ai pu retenir un cri. Il m’attrape par les cheveux et commence à me prendre plus fort.
— Hum maman c’est trop bon, il est trop bon ton cul, hum...
Les mots ne viennent pas. Je suis perdue entre Antoine, la sodomie, et maintenant Louis qui nous observe en silence...

***

Je les vois baiser comme des chiens. Je ne sais pas si je suis gêné ou excité. Antoine m’a dit de les rejoindre, mais c’est au-dessus de mes capacités. Un frein mental serré à bloc. Je bande, c’est clair, mais je ne sais pas si je pourrais franchir le cap. Les regarder, c’est déjà bien assez, je crois.
Maman est plus silencieuse maintenant qu’elle m’a vu, mais parfois un gémissement lui échappe. Antoine n’a pas remarqué ma présence, et il la sodomise de bon cœur. Je ne sais pas si je pourrais me lâcher comme lui. Je ne sais pas si je le veux.
Ma main descend et caresse ma bite à travers mon jogging. Je sens l’excitation monter et je comprends une chose. Cette excitation peut faire perdre la raison. Elle est animale, et quand le sexe réclame son dû, c’est difficile de faire entendre ses principes.
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