Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 204 J'aime
  • 5 Commentaires

Mère et fils à la campagne

Chapitre 5

Inceste
Ma main descend et caresse ma bite à travers mon jogging. Je sens l’excitation monter et je comprends une chose. Cette excitation peut faire perdre la raison. Elle est animale, et quand le sexe réclame son dû, c’est difficile de faire entendre ses principes.

***

Mon endurance a des limites, il va falloir que j’y travaille. En quelques allers-retours, j’ai déjà envie d’éjaculer. Je sors ma bite et la frotte sur ses fesses. Ma mère se tortille pour que je la reprenne, mais il faut que je redescende un peu. Je la retourne sur le dos pour pouvoir l’admirer et caresser ces deux superbes seins qui m’ont nourri. Elle est en appui sur ses coudes et jette un regard derrière moi. Intrigué, je me retourne, mais je ne vois rien. Je ne pense pas qu’Antoine soit prêt à nous rejoindre.
Je me penche sur ma mère pour prendre un téton en bouche. Je l’embrasse, le lèche et le mordille jusqu’à entendre un soupir. Je m’occupe du deuxième de la même façon. Sa main est descendue entre nos deux corps et attrape ma bite. Elle la masturbe quelques secondes avant de la diriger vers sa chatte. Son bassin vient à la rencontre du mien et elle gémit.
— Prends-moi Antoine. Prends-moi mon bébé. J’ai envie de te sentir en moi.— Maman je ne vais plus tenir très longtemps.
Elle sourit.
— T’inquiète pas, je suis prête aussi.
Je remonte ses genoux sur mes épaules pour la prendre aussi loin que possible. Sa main se glisse sur son clitoris et elle se caresse devant moi. Bon sang je vais tenir encore moins longtemps que prévu.

***

Le plaisir monte par vagues et je sens la rafale approcher. Il est tellement fougueux, son sexe bien large, les sensations sont incroyables. Je gémis, puis me lâche.
— Oui Antoine, oui ! Hummmm !
L’orgasme déferle et m’emporte. Je l’accompagne dans ses coups de rein et un vertige me submerge. Je ne crois pas avoir déjà eu un orgasme de cette ampleur.
Il se retire, puis se met à quatre pattes, verge en face de ma bouche. J’ai à peine le temps de desserrer les dents qu’il me pénètre et fait des allers-retours rapides dans ma bouche. Je sens qu’il fait attention de ne pas m’étouffer, mais je saisis son sexe pour contrôler la profondeur de la pénétration. Je sais que proche de l’orgasme, on ne contrôle pas tout.
— Je vais éjaculer, maman. Je veux éjaculer dans ta bouche.
J’amplifie mon mouvement de masturbation et mes caresses de langue pour toute réponse. Il force la barrière de ma main et je sens un liquide épais tapisser le fond de ma gorge. Il fait quelques mouvements doux et s’immobilise dans ma bouche. J’avale délicatement.
— C’était trop bon, maman. Il sait pas ce qu’il rate, Louis.

***

Si, je sais ce que je rate. Ça fait des semaines que j’ai baisé personne. Je me suis écarté de la porte mais je les ai entendus gémir, j’ai entendu leurs corps claquer. Mon érection tend mon boxer et mes caresses n’ont fait qu’amplifier mon désir.
Le chien, attiré par ces activités nocturnes inhabituelles, est venu me faire la fête. C’est pas très discret, Antoine va finir par capter que je suis là. Même si maman m’a vu et qu’elle va probablement le lui dire.
Je bats en retrait vers ma chambre, le chien sur les talons. Assis sur le bord de mon lit, je baisse mon pantalon et mon boxer pour empoigner ma bite et me soulager. Mes mouvements sont rapides, violents, je veux jouir vite et fort. Je bascule la tête en arrière, je ferme les yeux. Les images de mon frère en train d’enculer ma mère repassent en boucle derrière mes paupières.
Je sens un souffle chaud sur mes testicules, j’ai à peine le temps de regarder ce qu’il se passe que mon chien a sorti sa langue et me lèche le sexe de bas en haut. Putain c’est une famille de détraqué ! Putain mais qu’est-ce qu’il fout ? Hum putain c’est tellement bon !
Tout tourne à l’envers ici, mais je suis tellement excité et frustré que je ne réfléchis plus. Je tends mon gland au chien qui le lèche avec ardeur. Le liquide préséminal a l’air de lui plaire. Je continue ma masturbation pendant qu’il me lèche et l’excitation est à son comble. Je vais éjaculer. J’accélère mon mouvement de poignet et lâche des jets de sperme sur le museau du chien.
La porte grince.
— Ben putain t’es bien placé pour me faire la morale, toi ! Tu te fais lécher par le chien !— Arrête, Antoine, c’est pas ce que tu crois !
Il rigole.
— Moi je crois ce que je vois, frérot ! Mais je m’en fous, je dis juste que niveau morale tu vaux pas mieux que moi, donc tu garderas tes leçons, à l’avenir !— J’étais en train de me branler quand il est venu me lécher. J’étais tellement excité que je me suis laissé faire.— Oui, c’est bien ce que je dis. Ça aurait pu te couper, mais non, ça t’a excité davantage ! Raconte !— Qu’est-ce que tu veux que je te raconte. Maman a dû te lécher, tu sais ce que ça fait !— Ouais, elle suce incroyable d’ailleurs. T’es sûr que tu ne veux pas tenter ? T’es plus à ça prêt ! ricane-t-il.
Je finis de me désaper et je me glisse sous la couette.
— T’éteindras en sortant !
Je me retourne, tournant le dos à Antoine, lui signifiant ainsi que la conversation est terminée.

***

J’étais venu voir comment il allait, car maman m’a dit qu’il nous avait surpris dans le feu de l’action. Apparemment, ça lui a donné chaud. Encore vingt-quatre heures à ce rythme et il sera à point pour une petite partie à trois. Je retourne me glisser sous la couette de maman. Elle s’est endormie et je me colle à elle pour m’endormir à mon tour.
Le matin, je me réveille bien sûr avec une gaule d’enfer, mais le lit est déjà vide. Dommage, j’aurais pas craché sur une petite gym matinale. J’enfile un boxer moulant, affichant mon sexe bien dur. Ça donnera peut-être des envies à maman quand je la croiserai dans la cuisine. La cuisine est vide aussi. Je monte à l’étage et j’entends des murmures dans la chambre de Louis. Je tends l’oreille. La porte est fermée, je ne peux pas l’ouvrir sans risquer de me faire repérer.
Diffuse en direct !
Regarder son live