Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 215 J'aime
  • 12 Commentaires

Mère et fils à la campagne

Chapitre 6

Inceste
Le matin, je me réveille bien sûr avec une gaule d’enfer, mais le lit est déjà vide. Dommage, j’aurais pas craché sur une petite gym matinale. J’enfile un boxer moulant, affichant mon sexe bien dur. Ça donnera peut-être des envies à maman quand je la croiserai dans la cuisine. La cuisine est vide aussi. Je monte à l’étage et j’entends des murmures dans la chambre de Louis. Je tends l’oreille. La porte est fermée, je ne peux pas l’ouvrir sans risquer de me faire repérer.
Je crève d’envie d’entendre ce qu’ils se disent. Je me demande ce qu’ils font, est-ce que Louis a craqué, est-ce que maman essaye de le convaincre ? Nan, je ne pense pas. Je ne sais pas si elle a envie elle aussi. Je pense qu’elle essaye surtout de le raisonner et de lui faire comprendre. Grrrr. Je demanderai à maman de me di…
La porte s’ouvre sur Louis.
— T’écoutes aux portes, maintenant ? T’es jaloux, t’as peur que je me sois tapé ta chérie ?— C’est bon arrête. Je me demandais juste si tu racontais à maman comment tu t’es fait lécher par le chien hier, ricanai-je.
C’est un coup bas. Mais je me suis senti un peu con derrière la porte et c’est Louis qui a ouvert les hostilités en m’envoyant chier direct. Maman, qui sortait de la chambre derrière mon frère, s’est stoppée et ouvre des yeux ronds.
— Euh... Louis, tu peux m’expliquer ce que raconte Antoine ?— Nan mais c’est bon les gars, la famille d’obsédés là, je me suis branlé, le chien m’a léché, c’est pas la mère qui se tape son fils qui va être choquée !

***

C’est une maison de fous. Il y a encore 24 heures on était une famille normale, maintenant mon frère se tape notre mère et moi je déconne plein tube aussi. L’air de la campagne apparemment c’est plus ce que c’était.
Je ne sais plus quoi penser. Je ne sais plus ce qui est normal et ce qui ne l’est pas. J’avais prévu de rester toute la semaine, mais je ne suis plus très sûr. Je vais perdre la boule à ce rythme. Je m’en veux d’avoir répondu à maman sur ce ton, mais je ne réfléchis plus clairement. Je préfère tourner les talons et aller faire couler le café. Ouais, on va déjà commencer par ça.
J’arrive aux escaliers quand je me retourne pour m’excuser. Antoine a déjà plaqué maman contre le mur et ses mains se baladent sous son pyjama. On verra plus tard pour les excuses. Je vais aller faire pisser le chien pour pas les entendre faire trembler la baraque.

***

Antoine m’a serrée contre le mur. Ce n’est plus mon fils que j’ai en face de moi, c’est un homme. Ce qu’il s’est passé l’a fait gagner en assurance. Il a collé son corps contre le mien et je sens son érection contre mon bassin. Ça me lance des papillons dans le ventre. Il attrape mes poignets et les maintient au mur au-dessus de ma tête pendant qu’il m’embrasse. Je halète, j’essaie de ne pas faire de bruit, mais la porte d’entrée qui claque me rassure. Louis ne nous entendra pas. Entre deux gémissements j’essaie de parler.
— Hum, Antoine, hum…— Oui maman, tu aimes ?— Hum oui, mais humm, attends, il s’est passé quoi avec Louis ?— Quand je suis rentré dans sa chambre hier soir le chien le léchait. Faut croire qu’il est chaud aussi, Arkos. Il m’avait jamais fait ça jusqu’à maintenant.— Il est bizarre depuis hier. Hum oui chéri, caresse-moi hummm.
Ses mains m’ont lâché les poignets pour se glisser dans mon pantalon de pyjama et ont empoigné mes fesses.
— Comment ça, bizarre ?— Il m’a pas lâchée hier pendant la balade et, hummmm, il me reniflait sans arrêt.— Tu crois qu’il voudrait jouer avec nous ?

Maman se raidit et redescend direct.
— Antoine, tu plaisantes ?— Ben nan. Maman, on n’est plus à un tabou près, si ?— Justement si.

***

Bon sang, mais il y a quoi dans l’air depuis hier ? Les mâles ne tiennent plus en place et moi… ben moi ça m’excite. Mais je ne peux pas avouer ça à Antoine, je dois fixer des limites, sinon… sinon… Sinon quoi d’ailleurs ?
Je me rends compte que je pose les mêmes barrières que j’ai pourtant franchies avec mon fils. Alors, si je veux être tout à fait honnête, la bienséance ici, elle est morte hier ! Mais le chien ? Est-ce que je pourrais ? Là comme ça, je dirais non mais…
Bon, on n’en est pas là.
Antoine a reculé et me regarde, silencieux.
— Je suis pas prête, on verra.
Son sourire est lumineux. J’ai l’impression qu’il voit clair en moi et ça m’énerve d’être aussi transparente. Il me prend dans ses bras et ses mains s’égarent.

***

Je sens la peau douce de maman sous mes doigts, je glisse mon nez dans son cou et je me serre contre elle en gémissant. Je m’écarte le temps de la retourner et la plaque de nouveau contre le mur. Je ne sais pas combien de temps on a, mais au pire si Louis nous surprend juste devant sa chambre, il ne pourra plus y rentrer sans penser à nous en train de nous envoyer en l’air. Et ça, pourvu qu’on laisse mijoter quelques jours, ça le décidera à nous rejoindre.
Les gémissements de maman me ramènent à l’instant présent. Je baisse son pantalon de pyjama sous ses fesses et sors ma queue. Je la fais glisser entre ses cuisses ; je mords son cou ; mes mains se glissent sous son haut et empoignent ses seins. Avec mes pieds, je pousse les siens pour écarter ses jambes. Je glisse mes doigts dans sa chatte pour vérifier qu’elle est prête à me recevoir, puis je dirige mon gland vers l’ouverture. Je pousse gentiment. Humm, ça rentre tout seul.
J’en reviens pas de baiser ma mère dans le couloir, de me dire que je pourrai maintenant la baiser quand je veux. Humm rien que d’y penser je bande encore plus fort, et la pénètre encore plus loin.

***

Ça me fait du bien de prendre l’air et de sortir de cette maison de fous. Entre la relation d’Antoine avec ma mère et ce qui s’est passé hier soir avec le chien, je ne sais plus quoi penser. C’est vrai, Antoine a raison, je suis mal placé pour leur faire la leçon. De là à franchir le cap…
Je fais demi-tour assez rapidement, le chien s’est défoulé et moi j’ai faim. En ouvrant la porte, j’entends des gémissements. Bon sang c’est pas vrai !
J’ai à peine détaché Arkos qu’il file à l’étage.
Malgré tout, je suis curieux de voir ce qu’il va se passer. Je monte discrètement les marches et me mets à quatre pattes pour épier discrètement par-dessus la dernière marche.
Mes yeux s’arrondissent de surprise.
Diffuse en direct !
Regarder son live