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Mère, fils et le covid

Chapitre 2

Inceste
— Alors, maman, tu as bien bronzé ?— C’était super de pouvoir enfin profiter de la piscine. Mais je crois que j’ai pris un coup de soleil. J’ai un peu mal aux épaules.
Même si je me suis aperçu de la rougeur de ses épaules, c’est vers son sexe que mon regard s’attarde. Là déception, elle a remis son maillot correctement. La côte de sa poitrine est également bien rouge. S’était-elle rendu compte que j’avais pu observer une partie de son sexe ? Elle ne laisse rien paraître de cela.
— La prochaine fois, il faudra mettre de la crème. Veux-tu que l’on commande ton maillot ?— Oui, ça serait bien. Et puis il faut vraiment que je prenne rendez-vous chez l’esthéticienne. Je ne me trouve pas très jolie comme ça.— C’est vrai, ce n’est pas très sexy, dis-je en rigolant.— Tu m’as dit que tu ne te moquerais pas.— Mais non maman, tu es très belle. Allez viens, on va passer la commande.
Le fait que j’ai fait allusion à ses poils qui dépassent du maillot l’a fait rougir légèrement. Est-elle gênée ? Troublée ? Assise devant l’ordinateur, elle en choisit un nouveau et en profite pour en acheter un autre, un deux-pièce des plus ordinaires. Maintenant c’est à moi de jouer, mais il me faut être seul.
— Tu devrais aller te changer pendant que je confirme la commande, dis-je.— Tu as raison, je te laisse, je vais prendre une douche et me changer.
Ma mère partit, je commence par en chercher un de sa taille, mais de couleur chair qui une fois humide, devient légèrement transparent. Pour le deux-pièces, je décide de le prendre deux tailles en dessous. Erreur de livraison, tout simplement. J’imagine déjà ma mère avec un tel maillot, son énorme poitrine devrait déborder de partout. Reste à espérer qu’elle acceptera de les mettre. Il faudra que je sois très persuasif. Allez, hop, commande passée. Je pars rejoindre ma mère à l’étage pour lui confirmer l’achat.
— Maman, la livraison est prévue pour après demain.— C’est parfait. Demain, il faut vraiment que je mette de la crème pour me protéger, je suis rouge de partout et c’est sensible.— Veux-tu que je te passe de la lotion apaisante ?— Si tu peux, ça me calmera sûrement.— Allonge-toi sur le ventre sur ton lit, ça sera plus facile.
Ma mère s’installe, quant à moi, je prends place à genoux, à ses côtes, la lotion en main. Elle est vêtue d’une robe qui lui dégage les épaules rougies par le soleil. Je verse un peu de lotion, ce qui la fait sursauter.

— Je te fais mal, dis-je.— Non c’est froid, ça m’a surprise.
Rassuré, je pose ma main sur son épaule et commence à étaler la crème. Ca y est, je caresse ma mère même si ce n’est que sous le prétexte d’un coup de soleil. Malgré ma masturbation de tout à l’heure, je sens monter en moi l’excitation. J’étale le produit avec douceur, transformant mon geste en lente caresse sensuelle, passant d’une épaule à l’autre.
— Humm ! Ca fait vraiment du bien, dit ma mère.— Tant mieux. Tourne-toi que je puisse t’en mettre devant.
A peine ma phrase terminée, que maman se retourne. Le produit semble réellement la calmer. Si elle savait le plaisir que je ressens à le lui passer. Pour moi, je caresse ma mère et j’y prends du plaisir à le faire. Elle a les yeux fermés pendant que j’étale la lotion. Je peux apercevoir sa poitrine qui se soulève au rythme de sa respiration. Lentement, ma main glisse de plus en plus bas, frôlant le haut de sa robe, à quelques centimètres de ses seins, y insistant plus que nécessaire.
— Je crois que ça suffira, mon fils, ça va mieux.— Pas de problème, je suis heureux d’avoir pu t’aider.
Je me lève et sors de sa chambre. S’est-elle rendu compte de mon excitation ? Ci cela avait été le cas, elle n’a rien laissé paraître. Le repas du soir se passe tranquillement. A peine couché, mes fantasmes me submergent, rêvant de la voir dans les nouveaux maillots. Je saisis ma queue et commence à me branler avec Energie. J’essaye de faire le moins de bruits possible, mais je ne peux m’empêcher de gémir doucement. Je me caresse de plus en plus vite. J’ai envie de jouir, j’ai envie qu’ elle m’entende. Mais non, il ne faut pas, tout s’embrouille dans ma tête alors que mon foutre m’asperge le ventre, je laisse échapper un cri qui je suis sûr aura été entendu par ma mère. Epuisé, je m’endors rapidement.
— Bonjour, maman !— Bonjour, mon fils, bien dormi ?— J’ai beaucoup bougé cette nuit. J’espère ne pas t’avoir trop dérangée.— Non. Je n’ai rien entendu.
Fait-elle semblant de n’avoir rien entendu ? Je prends mon petit-déjeuner en pensant déjà au déroulement de la journée. Mater ma mère à son insu.
— On va se baigner après, maman ?— Si tu veux, mais demain, je ne pourrai pas, je vais prendre rendez-vous chez l’esthéticienne.
Quelques minutes plus tard, je me retrouve dans l’eau en compagnie de maman. J’essaye de l’attraper, faisant semblant de vouloir jouer. Alors que mon seul but est de pouvoir lui toucher les fesses ou les seins subrepticement sans qu’elle puisse penser que cela soit volontaire. Je ne le sais pas encore, mais le meilleur moment de la journée arrive.
— Allez, ça suffit ! J’ai envie de bronzer maintenant, dit-elle.
En deux temps trois mouvements, elle sort de l’eau et s’allonge sur son transat. Tout de suite, je pense à son coup de soleil de la veille. L’occasion est trop belle de pouvoir de nouveau toucher son corps.
— Maman, tu sais, je devrai peut-être te passer de la crème protectrice.
Elle hésite, je le sens. Elle sait qu’avec ce maillot trop petit, elle va me montrer son corps plus qu’elle ne le veut. Mais j’insiste sur la douleur qu’elle pourrait ressentir ce soir.
— Tu as raison et si ça ne te gêne pas, j’accepte.
J’ai réussi. Je vais pouvoir passer mes mains sur tout son corps. Heureusement que j’ai enfilé un boxer sous mon short de bain, car je bande déjà. Je sors de l’eau et rejoins ma mère qui s’est mise sur le ventre.
— Tu sais, tu es déjà toute rouge. Il est important de te protéger.
Mes paroles sont faites pour la détendre, la mettre en confiance. Je commence par ses épaules, prenant mon temps. Ma mère ne dit rien, mais je sens sous mes doigts qu’elle se détend. Le passage de la crème se transforme en une douce caresse. Sans réaction de sa part, je décide de parcourir tout son corps. J’ai vite fait d’arriver sur ses mollets et ses cuisses qu’elle resserre instinctivement.
— Il faut que je t’en passe partout, dis-je pour la rassurer. Je dois t’en mettre sur toutes les zones qui ne sont pas protégées par le maillot.— OK, dit-elle, d’une voix qui a quelque peu changé.
Ma mère est-elle embarrassée par la situation ? Pense-t-elle au moment où elle se mettra sur le dos ? Je profite pour laisser ma main s’aventurer sur une partie de ses fesses découverte, puis je la fais glisser au raz de son maillot vers l’intérieur des cuisses. Mais je ne veux pas brusquer ma mère et je n’insiste pas trop. Je bande comme un fou et malgré la protection prise avec mon boxer, une légère bosse se laisse entrevoir. Espérons que cela ne l’affolera pas.
— Maman, mets-toi sur le dos, s’il te plaît. Je vais t’en passer devant.— Si c’est vraiment nécessaire.
Elle se retourne et ferme les yeux. A-t-elle honte de ce que nous faisons ou est-ce le soleil qui la gêne ? J’ai devant les yeux le corps de ma mère. Sa poitrine semble vouloir sortir de ce maillot trop petit et des poils dépassent largement au niveau de son sexe. J’enduis ses bras puis ses épaules et m’attaque à la partie des seins qui débordent du maillot. A ce moment-là, mes gestes se font plus doux et surtout plus lents. Je veux profiter du moment qui m’est offert. Je me rends compte que je caresse une partie de la poitrine de ma propre mère. Sa respiration change brusquement, elle devient plus rapide. Maintenant, j’en suis sûr, elle ressent quelque chose.
— Tout va bien ? Je ne te fais pas mal.— Non, non, dit-elle d’une voix à peine audible.
Rassuré par son accord tacite, j’étale la crème sur son mollet et lentement centimètre par centimètre, je remonte sur sa cuisse. Je veux pouvoir passer ma main au plus près de sa chatte. Ma main s’insinue de plus en plus vers l’intérieur et au moment où je pense que ma mère va resserrer ses cuisses pour m’empêcher de continuer, c’est l’inverse qui se produit. Très légèrement, ses jambes s’écartent, me laissant le passage jusqu’à son sexe. Ce mouvement même très discret ne peut être que volontaire. Fantastique, désormais ma main se balade à la lisière de son maillot parmi ses poils, pendant un temps incroyable, passant d’une cuisse à l’autre. J’ai envie de glisser ma main sous son maillot, mais j’ai peur de sa réaction. Non, c’est trop tôt, elle risque de me repousser violemment et tout serait perdu.
— Voilà, c’est fini, maman. Tu ne risques plus rien.— Merci, dit-elle en ouvrant les yeux et resserrant les jambes.— Si ça ne te dérange pas, je vais te laisser bronzer. Pour ma part, je préfère la fraîcheur de ma chambre.— Bien sûr, mon fils, à tout à l’heure.
J’arrive dans ma chambre, excité comme jamais. Je suis certain que ma mère a ressenti quelque chose lorsque je lui passai la crème. Il m’a semblé que lorsque je me suis levé pour partir, son regard s’est porté sur mon sexe. Elle a sûrement dû voir que je bandai. Je retire mes habits afin de pouvoir me soulager et me dirige vers la fenêtre pour l’espionner tout en me masturbant. Au bout d’une minute, alors que je m’astique la queue, stupeur, maman se lève et se dirige vers la maison. Par réflexe, peur d’être surpris, je plonge sous mes draps. Alors que je l’entends monter les escaliers, je m’aperçois que ma porte est ouverte et je ne sais pas pourquoi, je prends le parti de faire semblant de m’être assoupi. Puis je retire le drap qui couvre mon sexe bien raide, attendant une réaction de ma mère. Une folie. Je conserve les yeux à peine entrouverts.
— Il faudrait que...
Ma mère ne termine pas sa phrase. Elle est là à me regarder sans bruit dans l’encadrement de la porte. Si j’avais observé partiellement son sexe, elle, par contre, pouvait voir le mien en pleine érection. J’espère intérieurement qu’elle va se jeter sur moi, mais non, rien. Elle se contente de m’appeler tout doucement comme pour être certaine de ne pas me réveiller.
— Tu dors, répète-t-elle plusieurs fois.
Puis elle tourne les talons pour rejoindre sa chambre où elle s’enferme. Sans bruit, je saute du lit pour aller coller mon oreille à sa porte. J’écoute attentivement et perçois au bout de quelques minutes, des gémissements à peine audibles. Maintenant, j’en suis sûr. La séance au bord de la piscine et mon exhibition à exciter ma mère au point de devoir se masturber. Je suis au nirvana et je recommence à me branler tout en écoutant ma mère le faire de son côté. Je suis trop excité pour me retenir plus longtemps et c’est par la fenêtre de ma chambre que j’éjacule. Extenué, je me rends dans la salle de bain pour faire un brin de toilette et en passant devant sa chambre, je lui crie:— Maman ! Si tu es là, je prends une douche et après je prépare le barbecue.
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