— Bonjour, maman, dis-je en arrivant au petit-déjeuner.— Bonjour, mon fils.— Tu sais, je ne sais pas si c’est très hygiénique de se laver avec un maillot. Je venais de lâcher cette phrase en plein petit-déjeuner. Le visage de ma mère se colore immédiatement et elle baisse les yeux, signe d’une gêne, avant de me répondre. — Tu es fou. Je ne peux pas me mettre nue devant toi. — Ecoute, je ne verrais que tes fesses, et j’en ai vu d’autres, tu sais. Il n’y a pas mort d’homme.— Je ne sais pas ! C’est vraiment gênant, tu sais ? Il est vrai que mon maillot m’empêche d’être lavée correctement, mais je ne sais pas s’il est correct qu’ un fils lave sa mère toute nue.— Maman, si tu pars par là, est-il correct qu’un fils lave sa mère ? Oui, bien sûr, si celle-ci ne peut le faire elle même ! — Ecoute, je ne sais pas ? Je vais réfléchir. Il est neuf heures, le moment de la douche. Depuis une demi-heure, ma mère s’est enfermée dans sa chambre. Elle doit sûrement s’interroger sur ce qu’ elle doit faire. Je tremble d’impatience pour connaître son choix. — Maman, c’est l’heure, je t’attends sous la douche comme d’habitude. J’ai du mal à ne pas bander, tant mon attente est importante. Ca y est, la voilà qui arrive. — Tu as raison, se laver en maillot, ce n’est pas l’idéal. Mais je veux que tu me promettes de n’en parler à personne et si tu pouvais fermer les yeux.— Tu n’as pas à t’inquiéter, ce sera notre secret, mais fermer les yeux, ça va être compliqué. Je suis ton fils, tu ne dois pas avoir honte, c’est naturel. On ne fait rien de mal.— C’est vrai qu’ un inconnu comme l’infirmier aurait pu être à ta place. Ceci m’aurait vraiment dérangée et puis il aurait été sûrement moins délicat que toi. Ma mère vient de me dire qu’elle apprécie la douceur avec laquelle je la savonne. Je suis ravi de ça, mais si elle savait ce que je lui réserve, elle repartirait immédiatement. Aujourd’hui, mes mains vont être en contact direct avec ses fesses, ses seins, sa chatte et même si je ne compte pas brusquer la chose, je compte bien en profiter. Ca y est, elle enlève son maillot, le dos tourné. Je peux enfin voir ses fesses et même une partie de ses seins tellement énorme qu’ils débordent sur les côtés. — Maman, sors bien tes mains, j’ouvre l’eau.
Je trempe bien ma mère, l’asperge de savon et enfin pose mes mains sur ses bras. Elle sursaute à ce premier contact, mais j’attaque à la savonner en prenant bien soin de faire mousser pour que cela soit agréable pour elle et plus conforme à une toilette plutôt qu’à un massage. Au fur et à mesure que mes mains parcourent son corps, je la sens se tendre. Elle s’affole, comprenant que bientôt, mes doigts se poseront sur des zones interdites pour un fils. Il est trop tard pour dire non maintenant. Je suis en train de lui savonner les fesses, essayant de m’immiscer tout doucement entre elles. Je sens qu’elle cède et qu’elle ne veut plus faire marche arrière. — Ecarte un peu les cuisses, s’il te plaît, maman. En silence, ma mère obtempère. Je peux maintenant glisser ma main entre ses fesses et passer mes doigts pleins de savon, le long de sa raie, jusqu’à son petit trou. Elle se met à trembler légèrement et c’est pour cette raison que j’arrête assez vite. — Tu trembles. Tu as froid ?— Un peu, mais ce n’est rien, il faut finir.— OK. Je me dépêche, alors. Je sais très bien que c’est le fait de sentir mes doigts sur son anus qui la fait réagir. C’est avec les deux mains que je me mets à lui savonner les seins. Je m’applique à les lui frotter avec douceur sans trop les presser. Je sens à chaque passage ses tétons qui ont durci. Elle est excitée, j’en suis sûr. Moi, je le suis. Il faut que je fasse attention de ne pas me plaquer à elle. Voilà le moment que j’attends depuis longtemps. Ma main glisse désormais sur son ventre, frotte le haut de sa toison et se pose sur son sexe. — Humm, laisse-t-elle échapper.— Je t’ai fait mal ? Je sais que ce n’est pas le cas et sans réponse de sa part, je me mets à lui caresser la chatte plus qu’ à lui laver. Elle a resserré ses cuisses, ce qui a eu pour conséquence de me coincer la main. — Ecarte les jambes, s’il te plaît. Elle s’exécute les entrouvrant légèrement. Maintenant, je sais que ma mère me sera soumise. Son excitation est devenue bien trop grande pour qu’ elle me refuse quelque chose. Elle n’est peut-être pas encore prête à aller plus loin, mais cela viendra avec un peu de patience. Ma main pleine de savon passe et repasse désormais sur ses grandes lèvres, descendant jusqu’à frôler de nouveau son anus. Mais il est temps d’arrêter pour aujourd’hui. — Ne bouge pas, maman, je vais te rincer. Aussitôt dit, aussitôt fait. Ma mère passe un peignoir et quitte la salle de bain en direction de sa chambre, sans se retourner. — Merci, mon fils, dit-elle, comme si de rien n’était. Sa porte à peine fermée que je sors ma bite et commence à me masturber frénétiquement. Peut-être fait-elle de même dans sa chambre. Elle était excitée, j’en suis sûr. Sil n’y avait pas eu le savon, j’aurai su si son sexe était humide. C’est avec ces questions que je jouis en retenant mes cris. La journée se passe tranquillement et ma mère ne fait aucune allusion à la douche de ce matin. D’ailleurs qu’aurait-elle pu en dire ? Vivement celle de demain, il est temps que je passe à la vitesse supérieure, car bientôt, ses soins prennent fin et j’ai envie d’aller plus loin avec elle.
