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Mère, fils et la fin du covid

Chapitre 2

Inceste
Le lendemain au petit-déjeuner, ma mère ne fait aucune allusion sur les faits de la veille. Elle a les traits tirés, signe d’une nuit agitée. A-t-elle eu des pensées coupables pour ce que nous avons fait ou la question du rasage l’a-t-elle empêchée de dormir ? Je dois savoir.
— Dis-moi, maman, on dirait que tu as mal dormi, tu as l’air fatigué. J’espère que ce n’est pas la douche d’hier qui t’a empêchée de dormir.— Si, un peu, je dois l’admettre. J’ai toujours un peu honte au fond de moi.— Et as-tu pris une décision pour le rasage du maillot ? Je dois te dire avant tout que le dé-confinement est à partir d’aujourd’hui.— Ah ! d’accord, je ne le savais pas.
Et sans rajouter un mot, elle se lève et remonte dans sa chambre, me laissant seul devant mon bol de café. Je me dis que j’aurais dû me taire et que désormais, j’ai peu de chance de lui raser la touffe. Dix minutes plus tard, alors que je m’affaire en cuisine, ma mère réapparaît, tenant dans ses mains tout le nécessaire pour un rasage. Il n’y a plus de doute possible, elle désire vraiment me dévoiler son intimité.
— Mon chéri, j’ai bien réfléchi et j’aimerais que tu me fasses le maillot, car de toute façon, tu m’as déjà vue nue. Bien sûr, si cela ne te gêne pas.— Aucun problème, maman, il faut simplement que tu me guides un peu, car je ne l’ai jamais fait.— Bien sûr, pas de souci.
En fin de compte, je sais très bien comment m’y prendre, mais je veux pouvoir lui raser le sexe entièrement. Et pour cela, il faut que je joue la comédie pour mettre mon plan à exécution.
— Tu devrais t’allonger sur la table de la cuisine, ce serait plus facile peut-être.— Oui tu as raison, comme chez l’esthéticienne.
Elle enlève son peignoir et s’allonge sur la table, les jambes pendantes. Pour l’instant, elle les maintient serrées, gardant les yeux fermés. Elle m’explique rapidement la marche à suivre. Pendant que j’utilise les ciseaux, je ne fais que frôler ses poils, mais cela suffit pour que je note une nette accélération de sa respiration. Je suis certain que si elle a accepté que je le fasse, c’était probablement dans l’espoir d’en ressentir quelque chose. Voilà le moment fatidique, celui du rasage, et c’est là que tout va se jouer. Ses poils enduits de mousse à raser, je donne un coup de rasoir en travers de sa touffe, juste au-dessus du clito, laissant une bande bien apparente.
— Non ! pas comme ça, crie-t-elle. Mais il est trop tard, le mal est fait.— Désolé, maman, je ne savais pas.— Mon Dieu, Marc, comment je vais faire, c’est horrible comme cela, il va falloir tout raser maintenant.— Excuse-moi, mais ne t’inquiète pas, je vais t’aider.— A quoi je vais ressembler sans poils, tu t’imagines.

Oh que oui, je m’imagine et j’ai hâte de voir son sexe à nu.
— Bon allez, mon fils, maintenant que la bêtise est faite, je n’ai plus le choix, finis le rasage s’il te plaît.— OK, je vais faire doucement, détends-toi.
Je reprends le rasage en commençant par lui enlever toute sa touffe puis je m’attaque au pourtour de sa vulve. Elle écarte ses cuisses pour me faciliter le travail. Désormais, il me faut saisir ses grandes lèvres pour y tirer dessus afin de la raser au plus prêt. Son corps réagit à chacun de mes gestes et sa poitrine dont les tétons ont durci, signe d’excitation, se soulève de plus en plus vite. Pour ma part, je bande et c’est sans hésitation que je sors mon sexe à l’air libre pour être plus à l’aise. Ma mère ne peut pas le voir et de toute façon, qu’importe. Après lui avoir rincé la chatte, celle-ci m’apparaît dans toute sa splendeur, lisse. Il me reste à enlever les quelques poils qui restent, et pour cela, je lui demande de poser ses pieds sur le rebord de la table. Elle s’exécute sans protester. Dans cette position, elle m’offre sa chatte béante suintante de mouille avec son clito bien apparent. Son œillet est même visible et il a l’air d’attendre que je m’en occupe.
A ce moment-là, je me retiens de lui sauter dessus et de lui planter ma bite au fond de la chatte ou du cul. Je sais que ma mère est excitée puisqu’elle mouille, mais jusqu’où est-elle prête à aller ? Je vais vite le savoir.
— Maman, tu pourrais écarter davantage tes cuisses que je puisse vérifier que je n’ai pas oublié quelques poils.
Incroyable, ma mère, sans aucune retenue, les écarte au maximum comme si elle était chez le gynécologue. Sa chatte est complètement ouverte, dégoulinante de mouille. Comme pour vérifier mon travail, je laisse traîner mes doigts le long de son sexe, ce qui la fait frissonner, mais elle serre les dents pour n’émettre aucun gémissement. Du moins jusqu’à ce qu’un doigt lui frôle l’anus.
— Huuumm... noonnn... alors qu’elle dit non, dans le même temps, elle replie ses jambes sur sa poitrine, m’offrant son cul. Je comprends l’invitation et mon doigt bien humidifié par son jus, pousse sur son œillet.— Nonnn... noonnn... elle semble ne pas vouloir, mais dans le même temps, elle m’ouvre ses fesses et me laisse continuer. Une chose est certaine, ma mère semble prendre énormément du plaisir avec son petit trou.— AAAhhh... elle pousse un râle alors que mon doigt vient de la pénétrer, glissant sans problème au fond de son cul. Pour l’instant, je n’ose pas le remuer, ayant peur de lui faire mal. D’ ailleurs, elle me saisit le poignet, et alors que je pense que c’est pour me retirer, elle commence à l’agiter pour imprimer à mon doigt des aller-retour.— AAAh, Marc, on ne doit pas, mais huuummm... c’est bon huummm...— Ne t’inquiète pas, profite maman, je sais que ça te plaît, laisse-toi aller.— Huummm... oui, comme ça, vas-y, continue mon fils aaahhhh...
Elle n’a plus besoin de me tenir le poignet, désormais, je l’encule avec force. Sa mouille qui s’écoule de sa chatte glisse jusqu’à mes doigts et me permet de la pénétrer plus facilement. Si facilement que je décide de lui planter un deuxième doigt dans le cul.
— AAAhh, ouiii... aaahhh... mets-moi tes doigts ouiii... plus profond aaahhh...
Je lui doigte le cul avec deux doigts et elle semble en retirer beaucoup de plaisir. Mes mouvements sont rapides, la faisant gémir à chaque poussée. Sa chatte est trempée, elle est proche de l’orgasme. Je m’attaque alors à son clito et le fais rouler entre mes doigts. Elle se raidit, se cambre et jouit violemment.
— OOUIII... aaahh... ouiii... je viens aahhh... je jouis ouiii...— Vas-y, jouis, maman, jouis.
Le calme revient après deux minutes, j’ai retiré mes doigts, mais ma mère a conservé ses cuisses ouvertes. Terrassée par l’orgasme, elle cherche à reprendre sa respiration. Je bande et j’ai aussi envie de jouir, mais va-t-elle accepter de m’aider ? J’avance d’un pas, lui saisissant les cuisses pour les maintenir ouvertes et place ma queue contre son sexe. Sa réaction est immédiate, elle essaye de resserrer les jambes et de se lever, mais je la maintiens. Elle me regarde, apeurée.
— Non, non, pas ça, Marc, il ne faut pas.— Tu n’as pas avoir peur, je ne veux pas te pénétrer, j’ai juste besoin de me frotter à toi.
Elle ne sait plus quoi faire, comment me refuser de jouir alors qu’elle vient de le faire avec mes doigts au fond du cul. Elle se résigne, se rallonge et ferme les yeux. Maintenant qu’elle est consentante, je peux faire glisser ma queue le long de son sexe. Celui-ci est tellement trempé et ouvert que ma bite s’enfonce largement entre ses grandes lèvres. Un faux mouvement et mon gland disparaîtrait au fond de sa chatte. L’excitation est si importante que je ne vais pas tarder à jouir. A chaque coup de reins, mon gland vient taper son clito, ce qu’elle semble apprécier, vu ses râles. Mais avant de jouir, je veux sentir son œillet contre mon gland. J’attrape ma bite, la pose contre son petit cul et le lui frotte avec le gland. Il me suffirait d’un coup de reins pour l’enculer. Je sens le corps de ma mère trembler de plaisir, quant à moi, je ne peux plus me retenir.
Ma première décharge souille l’œillet de ma mère puis je replace ma queue sur son sexe et je décharge le reste à l’intérieur de sa chatte. Mon sperme est épais et abondant.
— AAAhhh..., maman, je jouis aaahhhh.....
Avant de me retirer, avec ma bite, je lui étale tout mon foutre sur la chatte. Le spectacle est magnifique, ma mère, la chatte et le cul grand ouvert, maculé de sperme.
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