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Mère, fils et la fin du covid

Chapitre 3

Inceste
Ma mère passe toute la journée à essayer de m’éviter. Elle doit probablement avoir honte. Elle s’est laissée doigter le cul, pour jouir sous mes doigts et en plus elle a dû accepter que je l’utilise pour lui jouir dessus. Pour ma part, je n’ai qu’une envie, c’est de recommencer et d’aller encore plus loin, si cela est possible. Il faut vraiment que l’on discute à ce sujet.
— Maman, viens t’asseoir, s’il te plaît. Il faut que l’on parle.— Oui, tu as raison, Marc, il faut vraiment que l’on discute de la situation, ça ne peut pas continuer comme ça.— Tu as raison, on ne peut pas continuer à faire semblant. Inutile de se mentir, tu prends beaucoup de plaisir à mes caresses et tu me rends fou dès que je te vois nue. Arrêtons de se le cacher et assumons nos actes.— Mon fils, ce n’est pas vraiment ce que je voulais te dire. Je pensais plutôt que l’on devait arrêter toutes ces folies.— Pourquoi cela ? Tu es peut-être ma mère, mais tu as besoin d’amour et je peux te l’apporter sans que personne ne le sache. Et réciproquement, tu peux toi aussi m’aider quand le besoin se fera sentir.— Je ne suis pas sûre que ce soit bien sage et très correct avec la morale. Et puis, je n’oserai jamais toucher ton sexe.— Ce n’est pas grave, tu as vu que je prenais beaucoup de plaisir à me frotter contre toi et pour ce qui est de la morale, il y a longtemps qu’elle n’existe plus entre nous. Je te rappelle que tu as ouvert les cuisses en grand pour me permettre de te faire jouir.— Oh oui, je le sais très bien. Je devais ressembler à une vraie pute avec les cuisses ouvertes, le sexe totalement épilé et tes doigts à l’intérieur de moi.— Tu es ma mère, pas une pute, tu ressemblais seulement à une femme avide de sexe et qui semble apprécier l’anal.— Oh, mon Dieu, que j’ai honte quand tu parles de moi comme ça ! J’ai toujours refusé que ton père me touche à cet endroit, mais avec toi, c’est tellement bon.— Tant mieux que cela te plaise, il n’y a pas à avoir honte d’aimer être caressée à cet endroit et je recommencerai avec plaisir.
Ma mère a baissé les yeux, elle est gênée par cette conversation qui devient très intime. Elle ne cesse de croiser et décroiser ses jambes, se pourrait-il qu’elle ressente une excitation.
— Je l’admets, j’aime quand tu me caresses à cet endroit, pour moi c’est une vraie découverte. Tu l’avais déjà pratiqué ?— Oui. Pour te dire la vérité, mon ex adorait le sexe anal.
Elle écarquille les yeux et ne semble pas bien comprendre ma réponse.
— Ce que je veux dire, c’est qu’elle aimait que je l’encule.— Oh ! moi je ne pourrais pas, c’est dégoûtant. — En amour, il n’y a rien de sale du moment que les personnes sont consentantes.— Mais comment est ce possible, Marc, ton sexe est trop gros, ça doit faire mal.
— Il est vrai qu’au début, cela peut être un peu douloureux, mais avec de la patience et de la douceur, la personne peut rapidement prendre du plaisir. Et puis tu pourras peut-être trouver quelqu’un avec un sexe plus petit que le mien.— Tu es fou, mon fils, pour l’instant, je suis très bien toute seule.— Alors il te reste qu’à essayer avec mon sexe, dis-je en rigolant.
Elle se mit à rire également, mais je m’aperçois que sous son chemisier, ses tétons pointent. Je suis certain que de parler de mon sexe dans son cul doit la faire mouiller. Elle doit fantasmer comme je le fais moi même. Mon short laisse apparaître une petite bosse, signe d’une érection.
— Mon chéri, c’est le fait de parler de sexe avec moi qui te fait bander ?— Bien sûr. Tu me donnes envie et ne me dis pas que ça ne te fait rien, car je vois bien que tes tétons ont durci et je parierai que tu mouilles ta petite culotte.— Comment tu parles à ta mère, mon fils. C’est gênant de te répondre.— Je te l’ai dit, maman, inutile de faire semblant entre nous. Puisque tu ne veux pas répondre, montre-moi.
Elle est prise et vient de changer de couleur, rouge de honte ou d’excitation. Elle hésite quelques secondes, puis se lève et s’assoit en face de moi, les fesses au bord du fauteuil. Elle ferme les yeux et relève sa robe jusqu’au nombril. Son sexe lisse apparaît, elle n’a pas mis de culotte.
— Eh bien, maman, j’ai perdu mon pari, car il t’est impossible de mouiller ta culotte, vu que tu l’as oubliée.— Je n’ai pas pu la remettre, car après le rasage et tes caresses, c’était trop sensible.— Tu sais personnellement, ça ne me dérange pas, ça m’excite même de savoir que tu te promènes cul nu, mais là, il m’est impossible de savoir si tu es excitée.
Je me lève du divan et m’assois au pied du fauteuil. Elle a les jambes serrées et pour savoir si elle mouille, elle doit les écarter.
— Maman, il faut que tu écartes un peu les cuisses pour que je sache.
Comme ce matin, elle accepte de se dévoiler. Elle aurait pu simplement entrouvrir les cuisses, mais non. Elle se laisse tomber en arrière et pose ses cuisses sur les accoudoirs du fauteuil, dévoilant entièrement son sexe et sa raie du cul. Son sexe est tout luisant de son jus, décidément ma mère est devenue une accro du sexe. Elle n’a plus aucune pudeur à s’exposer ainsi.
— Voilà, je savais que toi aussi, tu étais excitée par notre conversation. Ton sexe est trempé de mouille qui ne demande qu’à être recueillie.
Sans lui laisser le temps de réagir, je plonge ma tête entre ses cuisses, enfouissant ma langue au plus profond de sa chatte, lapant sa cyprine qui s’y échappe.
— NON, NON, marc, noonnn... huummm... pas ça, noonnn... huumm... AAAHHH.......
Elle proteste alors que je la suce, mais à aucun moment, elle ne cherche à resserrer les cuisses et ses mains qui se sont posées sur ma tête n’essayent pas de la repousser. J’ai compris, elle veut être forcée pour sauver les apparences, mais désire que je continue.
— OH, non aaahhh... aaahhhhh... arrête huummm.....
Je lui lèche la chatte de bas en haut, lui arrachant des gémissements de plus en plus fort. Je lui mordille le clito, ce qui la fait se trémousser sur le fauteuil. Elle mouille de plus en plus et ses râles accélèrent.
— AAAHHH... ouiii... c’est bon, c’est bon aaahhh... bouffe-moi la chatte, mange-moi le clito OOUUIIII......
Je décide de lui lécher son petit trou et ma langue n’est pas longue à atterrir sur son œillet. Elle se tord sous cette nouvelle caresse, et je darde ma langue pour lui pénétrer la corolle.
OUIII..... aaahhh..... ta langue aaahhh......
Je pénètre son petit œillet de ma langue, lui arrachant cri sur cri, puis je remonte sur sa vulve pour boire sa mouille qui ne cesse de couler. Je profite d’avoir les mains libres pour lui ouvrir le corsage et mettre à nu ses énormes seins. Tandis que je lui bouffe la chatte, je lui malaxe avec force ses grosses mamelles. Elle se tord dans tous les sens, maintenant prête à jouir.
— Aaaahhhh... mon fils, je vais jouir avec ta langue aahhh... ouuiii... encore, ta langue dans ma moule, ouuiiii suce-moi aahhh... ça vienttt......
Elle va me jouir dans la bouche, mais elle se met à m’appuyer sur la tête fortement. Je comprends tout de suite ce qu’elle désire, ma langue dans son petit trou. J’applique celle-ci contre son œillet et la lui rentre au maximum dans le cul. Elle se cambre en plaquant ma tête fortement entre ses cuisses et jouis comme une folle, vociférant des tas d’obscénités.
— OOUUIII..., je jouis, aahh... oui encule-moi avec ta langue aahhh... encore plus profond ouuiii... aaahhh... mets bien ta langue dans le cul de ta mère, oui je jouiiis...
Elle est prise d’un orgasme violent qui la laisse pantelante, elle a toujours les yeux fermés, mais sa bouche est grande ouverte, à la recherche d’air. Elle est dans une position obscène, ses cuisses encore sur les accoudoirs, ses nichons à l’air.
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