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Mère, fils et la fin du covid

Chapitre 5

Inceste
Mais, c’est sans compter sur ma mère qui me pousse vers la fenêtre ouverte.
— Dis-leur que nous sommes au téléphone et que c’est important, raconte-leur n’importe quoi, je m’en fous, je te veux.
Je suis debout, appuyé au rebord de la fenêtre, ma mère se glisse entre mes jambes et avant que je puisse dire quoi que ce soit, elle m’avale la queue. J’ai failli m’étrangler quand sa bouche a gobé mon gland et il m’est très difficile de discuter avec mes cousins alors que ma mère me suce la bite. Elle s’y prend avec lenteur et douceur, mais ses lèvres me compressent la bite et me procurent beaucoup de plaisir. Elle accélère le mouvement de tête, me suçant de plus en plus vite, avalant ma queue sur plus de la moitié.
— Humm... maman, tu veux que je te jouisse de nouveau dans la bouche, dis-je tout bas.— Oui, mon chéri, je veux que tu me craches ton foutre dans la gorge, je veux sentir les pulsations de ton sexe expulsant ton sperme. Vas-y, baise-moi la bouche.
Elle me reprend en bouche et recommence ses aller-retour. De mon côté, je commence à donner de légers coups de reins qui montent en puissance avec le plaisir. Après quelques minutes, elle ne peut plus bouger sa tête, coincée contre le mur et mon sexe, je fais tout le travail. Elle se contente de garder la bouche ouverte, pendant que je m’active à l’intérieur. Je m’enfonce de plus en plus loin et continue à discuter avec mes cousins alors que je défonce la bouche de ma mère. Mais je ne peux plus jouer la comédie, l’orgasme approche, je referme la fenêtre et allonge ma mère à même le sol.
— Putain, maman, à quoi tu joues ? Qu’est-ce qui te prend ? Tu me le payeras.— Oh, Marc, je veux que tu jouisses dans ma bouche, je suis à toi. Fais de moi ce que tu veux, je veux être ta salope de mère, je t’aime.— Très bien, ma grosse cochonne, tu vas être servie.
Je m’allonge au-dessus de sa tête, ma queue à la hauteur de sa bouche. Elle s’y jette dessus, m’avalant d’un coup comme prise de folie. Je donne de violents coups de reins dans sa cavité buccale, ne recherchant que mon plaisir. Je lui baise la bouche comme je lui baiserai la chatte. Elle a parfois des haut-le-cœur quand d’un coup de reins plus violent, ma bite lui frappe le fond de la gorge. Ce n’est pas encore une gorge profonde, mais on n’en est pas loin. Je sens ma queue tressauter alors que je lui jouis enfin dans la bouche.
— AAAHHH..., ma petite cochonne de mère, je te crache tout dans la bouche, aaahhh... avale tout mon foutre, aahhhh... avale, avale, ouiiii...
Elle avale tous mes jets de sperme, ne laissant rien perdre, m’aspirant la queue jusqu’à la dernière goutte. Elle me nettoie la bite avant de me laisser quitter sa bouche, une vraie salope.
— Alors, mon fils, ça t’a plu, malgré mon manque d’expérience.— Oh que oui, maman, tu es vraiment une belle salope.— Il ne sert à rien que je fasse semblant, j’aime ta queue, je veux être ta chose, que tu me fasses découvrir tous les plaisirs inconnus.— OK, à partir d’aujourd’hui, tu deviens mon esclave sexuelle, mais pour l’instant, il nous faut rejoindre les cousins.

Le soir, après leur départ, je décide d’avoir une conversation avec ma mère au sujet de sa soumission.
— Ecoute, maman, es-tu certaine de vouloir être soumise ? Après ça, tu ne pourras plus faire marche arrière.— Oui, je veux être tout à toi. Je t’aime.— Tu devras m’obéir en toute circonstance, est-ce que tu comprends ce que cela signifie ?— Oui, mon chéri, je t’obéirai, je ferai tout ce que tu as envie. Je veux être ta salope, ta pute de mère, ça m’excite d’être dominée par mon propre fils.— Très bien, je te laisse la nuit pour réfléchir et changer d’avis. Moi aussi ça me rend fou d’excitation de penser que je peux abuser de ma mère comme bon me semble, je t’aime, ma petite maman d’amour.
Dès le réveil, je lui pose la question, a-t-elle changé d’avis ?
— Marc, j’ai bien réfléchi et je veux être à toi. Je t’aime et je prends énormément de plaisir à dire et faire ces cochonneries avec toi. Cela m’excite comme je ne l’ai jamais été.— Bien dans ce cas, désormais il est interdit de porter des sous-vêtements à la maison. On va également changer ta garde-robe et acheter quelques jouets pour adulte. Pour l’instant, va passer un maillot de bain et rejoins-moi à la piscine.
Je suis dans l’eau depuis cinq minutes qu’elle apparaît avec le maillot deux pièces que je lui avais acheté. Il est si minuscule que le haut cache à peine les auréoles de ses grosses mamelles et pour le bas, il s’est transformé en string.
— Tourne-toi, montre-moi tes fesses.
Elle obéit, se retourne et je peux voir que le maillot a presque disparu dans sa raie du cul.
— Penche-toi en avant, maman, touche tes pieds.
Elle obtempère et son maillot disparaît alors complètement, absorbé par son fessier.
— Hum, c’est vraiment adorable ce petit cul, approche maintenant et accroupis-toi, face à moi, comme si tu voulais pisser.
Mon visage est à cinquante centimètres de son entrejambe. Son maillot a été englouti par sa chatte, ses grosses lèvres semblent déjà gonflées de désir. Je passe un doigt sur sa chatte et récolte un peu de sa mouille, puis ordonne à ma mère de le sucer.
— Voilà, c’est très bien, maman, goutte ta cyprine, suce bien mon doigt.
Elle s’y attelle comme si elle me suçait la queue, une véritable actrice porno.
— Tu es excitée dès le matin, c’est parfait, mais pour l’instant, tu vas me raser le sexe.
Elle revient rapidement avec tout le nécessaire alors que je me suis installé sur un transat, la bite à l’air.
— Allez, rase-moi, mais avant fais-moi durcir, ça sera plus facile après.
Elle attrape ma queue dans une main, c’est la première fois qu’elle me touche le sexe d’ailleurs et commence à me branler. Il me faut que quelques secondes pour bander. Une fois ma bite bien raide, elle attaque le rasage par le pubis puis les couilles avec une grande douceur. Bientôt mon sexe est totalement glabre.
— Ho, mon fils, comme elle est belle ta queue, rien que de la voir, j’en mouille le maillot, je la veux en moi.— Il n’est pas encore temps de ta récompense, maman, si tu es sage, tu auras le droit de jouir tout à l’heure. Pour l’instant, on va aller passer les commandes. Elle est frustrée, mais ne proteste pas. La première commande consiste à lui acheter des jupes et des robes à la mode, pour certaine assez courte. La deuxième commande sera pour acheter des sex-toys de toute forme et de toute dimension ainsi que des sous-vêtements les plus sexy possible. Ma carte bleue en a pris un coup, mais je me languis de voir ma mère en porte-jarretelles, string fendu, un Plug dans le cul, un gode dans la chatte et ma bite dans la bouche. Elle sait très bien qu’elle devra porter ses sous-vêtements et qu’elle devra utiliser les godes. — Demain, on devrait recevoir tous les colis, j’ai hâte.— Tu sais certains sous-vêtements sont extrêmement vulgaires, mon fils, tu n’auras pas honte de moi.— Honte, bien au contraire. Que tu acceptes de les porter pour moi, j’en suis fier.— Et puis tu sais, tu as acheté des sex-toys, mais je n’en ai jamais utilisé.— Ce sera le moyen de découvrir de nouvelles sensations, des nouveaux plaisirs. Un peu comme tu l’as fait avec ton petit trou qui d’ailleurs recevra bientôt la visite de ma bite.— Oh, mon chéri, tes paroles m’excitent. J’ai peur de recevoir ton sexe entre mes fesses, mais en même temps, j’en ai extrêmement envie. Tes doigts m’ont tellement fait jouir.— Tu n’as pas à avoir peur, je serai très doux. En attendant, cette conversation commence à m’échauffer le sang, donne-moi ta bouche, je veux goûter ta langue.
Je lui saisis les cheveux et plaque mes lèvres sur les siennes. Je la force à m’échanger un baiser, mélangeant notre salive, bataillant avec nos langues. C’est notre premier baiser, un baiser d’amant. Je glisse une main entre ses jambes et lui caresse le sexe, triturant son bouton, jusqu’à l’emmener tout proche de l’orgasme, mais j’arrête avant qu’elle ne vienne.
— Huumm... pourquoi tu t’arrêtes, j’allais jouir.— Je le sais, mais tu jouiras quand je le déciderai.— Salop, tu me fais mouiller comme une salope et tu me laisses sur ma faim.— Quand ça sera le moment, tu me supplieras de te faire jouir.— Espèce de pervers, tu me prends vraiment pour une pute.— Tu es une salope, maman, mais bientôt tu seras une véritable chienne. Allez, mets-toi à quatre pattes, je vais m’occuper de toi, et enlève ton maillot.
Elle se met nue et s’installe comme demandé.
— Montre-moi tout, maman, écarte bien tes fesses.
Elle se cambre, sa poitrine touchant le sol, ouvrant sa chatte, mais j’en veux encore plus.
— Écarte tes fesses avec les mains.— Oui, regarde-moi mon fils, regarde mes trous qui s’ouvrent pour toi.
Elle a saisi une fesse dans chaque main et m’expose son petit trou ainsi que sa chatte brillante de cyprine. Je plonge ma tête entre ses fesses et m’occupe immédiatement de son cul, lui perforant l’œillet de ma langue.
— AAAHHH... oui, aahhh... ta langue dans mon cul, ouiiii.....
Je lui perfore l’anus de ma langue de longues minutes, lui arrachant des râles sans discontinuité. Puis je m’occupe de sa chatte, la pénétrant également de ma langue, la faisant mouiller encore plus, avalant sa cyprine comme elle a fait avec mon sperme. Je lui mordille le clito, la faisant hurler de plaisir.
— OUIIII... bouffe-moi le clito, aaahhh... lèche-moi bien à fond, aahhh... ouiiii.....
Il est temps de lui planter ma bite dans la chatte, elle est prête à me recevoir. J’approche mon sexe raide du sien.
— Alors, maman, tu es prête à être montée par ton fils ? Tu la veux ma bite ?— Oui, prends-moi, baise-moi, je veux ta queue au fond de mon vagin, celui qui t’a mis au monde. Je veux que tu te vides au fond de ma chatte, je t’en supplie, je n’en peux plus, baise ta mère, fais-moi jouir mon fils.
Elle maintient toujours ses fesses écartées. Je place ma queue contre sa chatte béante et en un coup de reins, je m’introduis en elle jusqu’aux couilles. La pénétration lui arrache un hurlement de plaisir et elle ne cesse de crier alors que je me mets à la limer violemment.
— AAAAHHH... huuumm... ta queue est en moi, aaahhh... ouiii... encore, plus fort ouiii... je te sens bien, aaahh... vas-y, baise-moi, ouiii...
Elle a lâché ses fesses pour se tenir, car je la baise sans ménagement, lui plantant ma queue au plus profond de sa chatte à chaque poussée. Je la tiens par les hanches pour mieux la fourrer.
— Tiens, maman, prends-moi ça, prends ma bite au fond de ton trou. Tu aimes ça salope, tu aimes quand ton fils te baise, vas-y, je veux t’entendre le dire, huummm...— Aaaahhh... oui, j’aime ta queue, tu vas me faire jouir, aahhh... allez, mon fils, gicle-moi dans la chatte. AAAHHH... ouii...ça vient, AAAAHHH...
Mes coups de boutoir sont violents et je sens que je vais jouir. Dans un dernier coup de reins, j’éjacule en elle, tout en lui plantant mon pouce dans le cul.
— AAAAHHHH... je gicle, maman, ouiii... je jouis en toi, ouiiiiiiii......— AAAHH... moi aussi, aaahhh... je viens mon amour, huuummm... ton doigt AAAAHHH... vas-y remplis-moi de ton sperme, AAAHHH... OUUIII...
Je lâche toute ma purée au fond de sa matrice alors qu’elle hurle son orgasme. Il nous faut quelques minutes pour nous désaccoupler, épuisés par le coït.
— Putain, maman, comme c’était bon.— Oui, mon amour, c’était irréel, tu m’as démonté la chatte et je me sens remplie de ta semence.— Tu as aimé être prise en levrette ?— J’ai adoré être baisée par-derrière, c’était fort. J’ai senti ta queue me perforer le vagin, j’ai même senti tes jets de foutre sur mon utérus. Jamais on ne m’a prise comme ça, oui, jamais je n’avais ressenti le plaisir d’être aussi salope.— C’était bon, mais ce n’est que le début, bientôt tu découvriras d’autres plaisirs, tu peux me croire.
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