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Mère, fils et la fin du covid

Chapitre 8

Inceste
Le lendemain, je me réveille tôt, ma mère dort encore à côté de moi, car désormais, nous partageons le même lit. Je retire les draps qui la recouvrent et elle m’apparaît nue, allongée sur le dos. Elle est magnifique, sa poitrine à l’air et la chatte épilée, elle me fait bander. Elle se réveille tout doucement et me sourit tendrement.
— Bonjour, maman, je crois qu’après une bonne douche, un petit-déjeuner nous fera le plus grand bien.
Après avoir repris des forces, on décide d’aller se baigner, mais désormais plus question de maillot. Je peux à loisir admirer ma mère, voir son cul se promener devant moi est une vision paradisiaque et ses seins, même tombants à cause de leur taille, me rendent fou d’amour. J’ai envie de faire plaisir à ma mère et même si j’adore la dominer, aujourd’hui, j’aimerais la traiter comme un homme aimant une femme d’amour. Lui démontrer qu’il n’y a pas que le sexe entre nous. J’aime sa soumission, mais uniquement parce qu’elle le souhaite. Je ne veux plus la forcer à faire quoi que ce soit, si elle ne le veut pas ou si ses actes et ses paroles ne le réclament pas. Eh oui, j’aime ma mère. Alors qu’elle profite du soleil, je me rappelle du jour où je lui ai passé de la crème solaire et je lui réitère la demande.
— Maman, veux-tu de la crème solaire ? — Oui, je veux bien mon chéri, ça m’évitera de brûler.
Je commence à lui passer la crème sur tout le corps, mais cette fois, même si je n’évite pas ses zones érogènes, je la lui passe sans insister. Cela évitera de trop nous exciter. Je suis heureux de lui enduire le corps et je sens sous mes doigts, ma mère se détendre. Elle est belle drapée dans sa nudité. Je constate qu’il faudra lui redonner un coup de rasoir sur le sexe et bien que mes caresses restent sages, sa vulve commence à briller de cyprine. Ma mère commence à être excitée, il vaut mieux que j’arrête. Après deux heures à se faire dorer, il est temps de passer à table et c’est toujours en tenue d’Adam et Ève que l’on prépare le repas. Je ne peux m’empêcher pendant sa préparation de passer derrière elle, pour l’ embrasser dans le cou ou lui caresser une fesse pour lui démontrer mon amour. Et c’est par amour qu’elle m’offre ses lèvres.
Nous échangeons un baiser sensuel, bataillant avec nos langues, ce qui a pour effet de me faire dresser la queue, malgré le fait que j’avais décidé d’être sage. Ma mère s’en aperçoit et sourit, elle a l’air d’en être fière. Il me faut quitter ses bras pour éviter de la prendre là, debout, contre le plan de travail, et c’est à ce moment que ma mère me surprend.
— Dis-moi, Marc, tu n’aurais pas oublié quelque chose ce matin ?— Je sais à quoi tu fais allusion, maman, mais j’avais décidé de te laisser tranquille aujourd’hui. Hier, ton petit trou a déjà bien donné.— Justement, je ne veux pas qu’il se referme et j’aimerais continuer à ce que tu me prépares.— Très bien, je reviens, ne bouge pas. Pourquoi irais-je contre tes désirs, je t’aime.
De retour au salon avec le Plug, elle m’attend, l’air sereine. Je ne lis plus la peur sur son visage, mais plutôt du désir. Ma mère est une des rares femmes susceptibles d’avoir un orgasme par voie anale. Une découverte pour elle et moi. J’enduis le Plug d’une bonne dose de lubrifiant et le dépose sur le rebord de la table basse.
— Voilà, il est à toi, si tu le veux entre tes fesses, il va falloir faire le boulot.
Elle pensait sûrement que je m’occuperais de tout et semble décontenancée, mais elle se reprend, s’approche et se positionne au-dessus du Plug. Quant à moi, je me suis installé sur le fauteuil qui lui fait face, pour l’admirer. Oui, j’admire cette mère qui est passée d’une femme plutôt prude à une femme prête à tout pour assouvir ses plaisirs, quitte à franchir la barrière de l’inceste. Elle plante ses yeux dans les miens et après avoir saisi la base du Plug pour le maintenir en place, elle fléchit les jambes, jusqu’à ce que le bout touche ses fesses. Elle ajuste sa position et c’est contre son œillet qu’il prend place. Elle s’affaisse encore un peu et le gode la pénètre légèrement, lui ouvrant le sphincter avec plus de difficultés qu’hier. Aujourd’hui, je ne l’ai pas préparée avec mes doigts, là est la différence.
Elle a la bouche grande ouverte, mais aucun son ne sort et je peux lire sur son visage la douleur qu’elle ressent à ce moment précis. Je vois ses cuisses trembler quand elle reporte tout son poids sur le gode qui lui transperce l’anneau. Elle lâche une longue plainte alors que ses fesses viennent toucher la table basse, elle vient de s’empaler en quelques secondes.

— Aaaahhh... il est en moi, oh putain qu’il est gros, hhuuummmm.....
Elle se relève le gode dans le cul et me sourit, fière de ce qu’elle vient d’accomplir. Je lui demande de s’habiller comme elle le veut pour sortir et étonnamment, elle choisit les affaires les plus sexy. Elle passe un soutien-gorge ouvert au niveau de ses aréoles, laissant libres ses tétons. Elle enfile la culotte assortie qui est fendue à l’entrejambe. Par dessus elle passe une minijupe et un chemisier boutonné à moitié qui laisse sa poitrine exposée à des yeux inquisiteurs. Habillée de la sorte, on dirait qu’elle va faire le trottoir, elle est sublime et je bande fort.
— Alors, mon fils, comment trouves-tu ta mère, habillée de la sorte ?— Tu es très belle et aussi très excitante.— Je te plais dans cette tenue, j’ai l’air d’une vraie pute, non ?— Oh que oui tu me plais, je bande rien que de te voir vêtue ainsi. Il est vrai que tu ressembles un peu à une prostituée, il suffit que tu bouges légèrement pour laisser apparaître un téton ou ta culotte, c’est bandant.— Imagine-moi, me promenant dans la rue, que penseraient les gens ?— La moitié te traiterait de salope et l’autre moitié baverait de plaisir.— Huummm... CA m’excite de savoir que je peux faire bander des inconnus. Mais je ne sais pas si j’oserai réellement sortir comme ça.— Et si on invitait quelqu’un, au lieu de sortir. Je pense à ta sœur qui est arrivée hier chez papy et mamie, cinquante kilomètres, ce n’est pas loin.— Tu es fou, ma sœur si elle me voit comme ça, elle va se poser des questions.— C’est simple, il suffira que tu lui inventes un amant imaginaire qui aime te voir habillée ainsi, enfin tu inventes une histoire. Elle est veuve depuis des années et si ça se trouve, si tu lui racontes des détails croustillants, elle n’en dormira peut-être pas de la nuit. Mais je veux tout voir et tout entendre.— Tu es un démon, tu veux que je l’excite avec un roman, OK. Je veux bien essayer et on verra comment elle réagit, j’improviserai. Tu es un pervers, tes idées de m’exhiber devant ma sœur et d’essayer de l’exciter, me font mouiller ma petite culotte.— Très bien, téléphone-lui et invite-la pour une ou deux nuits, on verra déjà si elle accepte.
Ma tante n’ a pas du tout le même physique que ma mère, elle est beaucoup plus fine, même si sa poitrine est correcte. Ma mère s’allonge sur le canapé et appelle sa sœur, je sais déjà qu’il y en a pour une heure comme à chaque fois. Je sais qu’elle est excitée et il est peut-être temps de me venger de la fellation de ma mère quand il y avait les cousins. Je m’installe à genoux à côté du canapé et remonte sa jupe au-dessus du nombril. Ma mère me regarde avec de grands yeux ronds d’incompréhension, mais dès qu’un de mes doigts lui caresse le clito, elle se raidit et me dit non en silence, m’attrapant la main. Elle voudrait me crier stop, mais continue sa conversation avec sa sœur. Je lui écarte la main d’autorité et reprends ma caresse sur son bouton d’amour. Elle a compris qu’elle doit se laisser faire.
Je défais les derniers boutons de sa chemise pour mettre sa poitrine à l’air, j’en profite également pour enlever mon short. Ses deux tétons pointent fièrement et je les gobe tour à tour, ma mère se mord les lèvres pour ne rien laisser paraître à ma tante et tente de continuer d’échanger des banalités. Je lui dépose une jambe au sol pour lui écarter les cuisses et je m’attaque à coup de langue à sa vulve imberbe. Je lui lèche le clito, les grandes lèvres pour finir à plonger ma langue au plus profond de son vagin. Elle mouille sérieusement et a énormément de mal à ne pas gémir, elle a fermé les yeux et se laisse sucer avec plaisir. Elle a posé sa deuxième jambe sur le dossier du canapé pour ouvrir sa chatte en grand, je la lèche avec ferveur, buvant son jus, aspirant son clito, la rendant folle de plaisir. Elle a de plus en plus de mal à discuter, car elle halète, l’orgasme étant tout proche.
Je veux qu’elle jouisse, je lui saisis les tétons et les lui pince fortement tout en lui lapant le clito. Elle s’arrête en pleine conversation et bouche grande ouverte, sans un son, elle jouit. Sa cyprine m’inonde le visage, mais je ne relâche pas mon étreinte jusqu’à ce que son corps s’arrête de convulser de plaisir.
Il se passe de longues secondes avant que ma mère reprenne la conversation en s’excusant de n’avoir pas répondu avec une excuse bidon. Ma mère vient de jouir et me regarde le visage défait par l’orgasme, approcher ma queue de sa tête. J’ai envie de jouir et je veux sentir sa langue sur mon sexe et bien qu’elle soit encore au téléphone, je colle mon gland contre ses lèvres. Elle a compris ce que je désire et entre deux phrases, elle me lèche le gland et toute la bite. Mais je veux sentir sa bouche m’avaler et je profite d’un silence de ma mère pour lui enfoncer ma queue dans la bouche. Elle me suce quelques secondes puis me recrache pour répondre avant de nouveau me sucer avec force. Ce petit jeu dure quelques minutes, sa bouche est chaude et douce et ma jouissance arrive.
Je ne peux pas lui jouir dans la bouche, alors au moment où je sens le plaisir m’envahir, je me retire d’entre ses lèvres et lui gicle sur le visage. Mes puissants jets de sperme lui zèbrent le visage, elle a du foutre partout, dans les cheveux, les yeux, la bouche.
Tandis que la conversation se termine, ma mère récupère mon sperme sur son visage avec ses doigts et les nettoie avec sa langue. Alors que je me retire, elle raccroche avec ma tante et finit d’avaler tout le foutre qu’elle a pu récupérer.
— Et alors, mon fils, qu’est-ce qui t’a pris ?— J’avais envie de te rendre la monnaie de ta pièce pour la dernière fois. Ne me dis pas que ça ne t’a pas plu ?— Bien sûr que si, j’ai aimé, mais toi aussi apparemment.— Oui, je voulais jouir, mais dis-moi qu’en est-il de la venue de ma tante ?— Elle arrive demain, pour une nuit, mais j’espère qu’elle ne s’est rendu compte de rien, qu’elle n’a pas compris que je te suçais.— Oh pire, tu me remplaceras par ton amant imaginaire, ça la fera fantasmer.— Tu es complètement fou, mon amour, si je lui raconte tout ça, elle va fuir en courant.— Ou le contraire, elle voudra en savoir plus.
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