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Mère, fils/Illusions, désillusions.

Chapitre 1

Inceste virtuel

Inceste
Inceste virtuel,
Laurence est une femme seule ; elle a aujourd’hui 46 ans, divorcée depuis deux ans et a un fils de 25 ans, qui vit de l’autre côté de la France ; elle habite Nice depuis toujours et lui, pour son travail, vit à la Rochelle.
Elle ne se plaint pas ; elle a une vie intellectuelle, sociale, et professionnelle très agréable, elle est DRH dans une grosse entreprise locale et vit dans un bel appartement sur les hauteurs niçoises.
Par contre, sa vie privée est un véritable échec ; avant son divorce elle vivait déjà seule, son mari ayant de multiples maîtresses avait depuis longtemps déserté le lit conjugal ou quand il l’occupait c’était pour assouvir ses élans sexuels personnels sans s’intéresser aux propres désirs de Laurence. Elle n’avait jamais voulu prendre d’amant, non pas qu’elle fût sans propositions, mais simplement par éthique personnelle ; libérée par son divorce elle a bien eu quelques rencontres d’un soir, mais rien de bien sérieux et en tous cas rien de pérenne.
Le seul homme qui occupe ses pensées est Aurélien, son fils. Depuis toujours elle l’a suivi de très près, choyé à l’excès, l’a guidé dans ses études et est très fière de le savoir aujourd’hui jeune ingénieur dans la construction de matériel ferroviaire. Seule la distance qui les sépare lui pose un problème malgré les instruments modernes de communication ; chaque soir ils se parlent en vidéo, chaque soir elle aimerait qu’il soit près d’elle en chair et en os, qu’elle puise le toucher, le caresser, lui, chair de sa chair.
Insensiblement, au fil des mois et au cours de leurs conversations quotidiennes, elle s’aperçoit que son amour maternel se métamorphose en amour charnel ; il est souvent face à elle en pantalon de pyjama, torse nu, elle fantasme sur ce torse athlétique sur lequel elle aimerait bien poser son visage, y déposer quelques tendres baisers furtifs et le caresser de ses douces mains. Ce soir, elle se surprend à écarter d’un geste anodin le haut de sa robe de chambre sous laquelle elle est nue et à dévoiler ainsi une partie de sa poitrine belle et ferme de femme mûre. Elle perçoit chez son fils un court moment de surprise mais l’entend aussitôt lui dire qu’il la trouve très belle ; est-ce de sa part un simple constat ou bien une invite à la pousser à dégarnir ses seins un peu plus ? Pour ce soir elle préfère en rester là, le quitte en l’assurant de son amour et ferme la communication.
Elle met un long moment à s’endormir et n’y arrive qu’après s’être violemment masturbée, songeant que ce sont les doigts d’Aurélien qui s’activent sur son clitoris et que c’est lui qui la fait jouir alors que ses doigts récoltent la cyprine dont elle se délecte. Lui aussi se branle après l’entrevue, mais il s’astique la bite en ne pensant qu’à éjaculer et ce soir il imagine la pluie de gouttes de sperme inonder les fesses écartées de sa maman.
Le lendemain soir vers 22 heures c’est Aurélien qui l’appelle et elle constate tout de suite qu’il n’est pas en pantalon de pyjama mais qu’il a simplement revêtu un boxer noir ; elle-même a troqué sa robe de chambre contre une nuisette opaque bleue ciel et est sagement assise au bord du lit. Serait-il possible que des ondes coquines aient traversé le pays pour inciter la mère et le fils à porter des tenues un peu plus affriolantes ?
Ils parlent d’abord de leur journée, de banalités sans grand intérêt genre météo, jusqu’à ce que Laurence lui demande :
— Dis-moi mon chéri, tu n’as toujours pas trouvé la jolie rochelaise qui agrémenterait ta vie là-bas ?— Toujours pas maman et arrête de me poser la question chaque semaine !— Mais c’est parce que j’ai envie que tu sois heureux ! (elle n’en pense pas un mot, le désirant pour elle seule).— Maman, je suis parfaitement heureux comme cela, j’ai un travail qui me passionne et je t’ai tous les soirs auprès de moi.
A ces mots elle fond littéralement d’amour pour lui et s’allonge langoureusement sur le lit laissant apparaître ses cuisses charnues et bronzées ainsi que le profond sillon qui sépare ses deux seins gonflés de désir. Elle aperçoit parfaitement le regard de Julien qui hésite entre les cuisses et les seins, se demandant sans doute lesquels lui procureraient le plus de plaisir, de satisfaction, de jouissance ; il s’installe sur le lit, assis en tailleur ; elle ne peut pas ne pas s’apercevoir que sa bite est en érection et lâche tout à coup sans la moindre retenue :
— Mais tu bandes mon chéri ?— Eh oui maman, je bande et ce n’est pas la jolie rochelaise qui met ma bite dans cet état !— Tu veux me dire que c’est moi qui t’excite à ce point, ce n’est pas possible?— Si Maman ! Tous les soirs je me demande quand tu vas me montrer un peu plus de ton corps généreux si envoûtant.— Aurélien mon chéri, je suis heureuse que tu m’en parles, je dois t’avouer que pour ma part je suis également très attirée par toi, mais je ne savais pas comment aborder le problème.— Eh bien voilà, nous l’avons abordé ! Maman, j’attends tous les jours ce moment où nous nous retrouvons pour te voir et ce soir nous avons franchi le pas ; maman je voudrais te voir nue ; montre-moi toutes les parties de ton corps les unes après les autres.— Tu es certain, mon chéri, tu me demandes de les voir toutes ce soir ou un peu chaque soir ?— Je te laisse décider, maman !— D’accord Aurélien, ce soir je vais te montrer mes seins !
Elle se lève, approche de la caméra, s’assure qu’ils sont bien cadrés, baisse sa nuisette et soulève ses nichons pour les montrer favorablement à son fils ; elle se pince les tétons bien tendus sur leurs auréoles brunes bien rondes ; puis elle les relâche et d’un mouvement semi-circulaire les fait balloter de droite et de gauche ; Aurélien est béat, incapable de faire un geste, les yeux exorbités, il admire cette poitrine sans retenue, se caresse la bite et dit :
— Maman, ta poitrine est magnifique, je voudrais pouvoir la palper, sucer les tétons, je bande encore plus que tout à l’heure.— Alors montre-la moi cette belle bite !— Je vais faire comme toi, je vais te montrer le gland, le reste sera pour demain, d’accord ?— Tu es un peu radin, non ?— Mon gland et rien d’autre aujourd’hui !
Il s’approche de la caméra, glisse vers le bas la ceinture de son boxer et laisse apparaître lentement le gland de sa bite, grosse turgescence d’un rouge cramoisi, au bout de laquelle perle une goutte de liquide transparent.
— Quand pourrai-je la sucer lui demande sa mère ?
Rendez-vous a été pris pour le lendemain soir 22:00 heures. L’attente leur paraît interminable à l’un et à l’autre. C’est Laurence qui appelle, Aurélien se branche dans la seconde, chacun scrute l’écran qui lui fait face ; Aurélien aperçoit sa mère en nuisette bleue, transparente cette fois, il devine un string de la même couleur et les jolis seins de sa mère se dessinent derrière le tissu léger. Il se sent aimanté par ce corps sublime et attend le moment où elle va enfin le dévoiler ; curieusement, c’est le silence total ; Laurence reste la bouche entr’ouverte, hypnotisée, en voyant le boxer de son fils bien trop étroit face au volume de chair en érection et à la paire de couilles encombrante. Elle rompt le silence :
— Bonsoir mon chéri, ce soir tu m’as l’air en pleine forme, montre-moi ce que tu caches dans ton boxer et je te montrerai mon minou ensuite !— D’accord maman, mais avant je voulais te dire que tu es sublime !— Tu es un amour, mais je m’impatiente !
Aurélien enlève prestement son slip et apparaît sa grosse bite qui se tend comme la corde d’un arc, il l’approche de la caméra et la masturbe doucement ; machinalement Laurence approche sa bouche de l’écran, n’ayant qu’une envie c’est de l’engloutir intégralement ; elle la scrute, ses yeux la découvre dans sa dimensions à la fois longue et épaisse, puis se pose sur la paire de couilles bien pendantes qu’elle a envie de gober :
— Tu me fais envie mon amour, au premier regard j’ai aimé ta belle pine et je souhaite qu’elle me pénètre au plus profond de ma chatte le plus tôt possible.— Maman, fais-moi voir cette chatte que je puisse imaginer où ma bite va te pénétrer !
Laurence, très doucement, enlève sa nuisette qu’elle fait tomber à ses pieds, elle se masse les seins un moment, dégage délicatement les ficelles de son string qui rejoint la nuisette ; la voilà nue sous les yeux attendris d’Aurélien, elle se tourne, dos à la caméra, se baisse et lui montre son cul, elle écarte ses fesses et l’on peut voir sa rondelle entr’ouverte, plus bas les grandes lèvres charnues de couleur brune qui ouvrent la porte à une chair rose foncé, antichambre de sa caverne mystérieuse ; puis elle s’allonge sur le dos, écarte très largement ses cuisses plantureuses et comme elle l’a fait pour ses fesses elle étire les grandes lèvres pour qu’Aurélien puisse jouir au mieux de ce gouffre où il rêve d’y engloutir sa bite. Pour faire bonne mesure elle enfonce un doigt dans l’entrée de cette grotte mystérieuse.
— Maman, on devrait se masturber face à face, c’est trop excitant, tu ne trouves pas ?— Bien sûr chéri, astique-toi la bite, je vais te montrer comment je me masturbe quand je pense à toi !
Elle s’installe au bout du lit, jambes écartées et ses doigts agiles frottent énergiquement son clitoris tandis que son fils s’est approché de l’écran et se masturbe plutôt lentement, chacun scrutant les gestes de l’autre ; aucun des deux ne peut dire depuis combien de temps ils sont là à se caresser, se branler, à se contempler, s’épier, quand les gorges commencent à éructer des sons de fauves annonçant les orgasmes ; elle voit avec un geste de recul, le sperme qui gicle en partie sur l’écran alors qu’elle ouvre instinctivement la bouche pour le recueillir ; lui voit sa mère qui, du bout des doigts, étire la cyprine qui chuinte de sa chatte et les porte à sa bouche, les enfonce telles de petites bites miniatures.
Chacun se relâche à sa façon, Aurélien voit sa mère se caresser doucement le ventre, les seins encore soulevés par une respiration saccadée, mais qui s’apaise ; elle aperçoit la main d’Aurélien toujours autour de sa bite qui, tranquillement, reprend une dimension plus sage, moins triomphante, la dernière goutte de sperme accrochée au bout du gland.
— Maman, le prochain long week-end il faut absolument que je vienne te voir !— J’ai une bien meilleure idée ! Je vais poser quelques jours de congé, j’arrive mon chéri!—------
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