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Mère, fils/Illusions, désillusions.

Chapitre 2

Du virtuel au réel

Inceste
Depuis la Côte d’Azur jusqu’à la côte Atlantique, la 3008 Peugeot de Laurence a avalé les kilomètres au-delà de la vitesse autorisée, sa volonté de serrer son fils dans ses bras étant plus forte que la législation routière ; puis sur cette autoroute interminable, elle a ajouté au risque de sa conduite celui de son excitation allant jusqu’à se masturber quelque part entre Carcassonne et Toulouse, l’humidité de sa petite culotte peut en témoigner ; aux portes de la Rochelle, Laurence reconnait avoir été dangereusement stupide !
C’est la première fois qu’elle met les pieds dans cette ville ; elle trouve facilement l’immeuble où habite Aurélien grâce au GPS et bien qu’elle sache qu’il est encore au travail, elle se précipite, prend la clé sous le tapis et entre ; propre, rien ne traîne, elle reconnait là le souci de son fils d’être rigoureux comme elle a passé son temps à l’éduquer dans ce sens ; elle en est fière et satisfaite.
L’attente lui semble interminable et lorsqu’elle entend la porte s’ouvrir sa détermination semble s’évanouir et elle reste figée sur place ; assise dans un fauteuil du salon, elle aperçoit Aurélien dans l’encadrement de la porte, grand, large d’épaule, athlétique, un grand sourire aux lèvres, s’approchant d’elle, lui déposant un long baiser au coin des lèvres ; il semble surpris par la passivité de sa mère et lui dit :
— Bonjour maman, tout va bien ? Tu me sembles pétrifiée ! — Mon chéri, j’ai tellement désiré cet instant que je m’en trouve hésitante et incapable de réagir normalement, excuses-moi.— Ce n’est rien, maman, je vais te chercher un verre d’eau.
Laurence ne bouge pas, son cerveau bourdonne et va jusqu’à se demander si elle a bien fait de se précipiter jusque chez son fils aux fins d’avoir des rapports sexuels avec lui, rapports qu’elle a pourtant vivement souhaités, virtuellement tout au moins. Elle se rend compte que du virtuel à la réalité il y a un grand pas que les interdits lui murmurent de ne pas franchir. De l’autre côté du miroir, avoir fait ce voyage poussée par ses démons et renoncer au dernier moment est tout simplement idiot et infantile. Elle est tétanisée lorsqu’Aurélien revient avec un verre d’eau dont elle boit une gorgée ; le pauvre garçon s’attendait à une autre attitude de sa mère, mais il est intelligent et comprend parfaitement les troubles qui l’assaillent. Il prend la décision d’appréhender le problème de telle façon que sa mère imagine que sa visite est une visite ordinaire d’une mère à son fils.
Il l’emmène donc faire les courses pour le week-end et ils dinent ensuite en devisant de choses et d’autres. La vaisselle faite ils s’installent dans le canapé face à la télé et là Aurélien prend la main de sa mère dans la sienne et lui murmure à l’oreille qu’il aimerait bien aller prendre une douche avec elle. C’est l’électrochoc dont elle avait besoin : elle lui répond, dans le creux de l’oreille également, que rien ne pourrait lui faire plus de plaisir !
Le fils aide sa mère à se lever et l’attire dans la salle de bains ; il commence très doucement à la dénuder, son chemisier qui laisse apparaître sa superbe poitrine sanglée dans un sous tif bleu ciel, puis sa jupe qui tombe à ses pieds ; il peut maintenant admirer la taille et le bas ventre de sa maman, il descend délicatement la petite culotte également bleue qui rejoint la jupe et laisse entrevoir une légère toison blonde, il fait pivoter Laurence pour dégrafer le sous tif qui en tombant relâche l’opulente poitrine qu’Aurélien s’empresse de peloter avec envie, titillant les tétons au passage, ses mains glissent ensuite vers le ventre ferme et dans leur élan viennent caresser le pubis ; il a positionné sa mère face au miroir et peut en même temps toucher et voir ! Sa bite est bandée au maximum et coulisse entre les fesses nues de sa mère au travers de son pantalon.
Celle-ci se retourne, l’embrasse fougueusement et le met à nu fébrilement ; elle se met à genoux, prend le temps de regarder ce bel engin et enfourne goulument cette bite tant désirée et lui imprime des mouvements longs et profonds.
La bouche de sa mère le met dans un état second, incapable de faire le moindre geste, sentant sa bite avalée puis repoussée par cette hotte aspirante qu’il n’aurait pu imaginer même dans ses rêves les plus fous ! De son côté, Laurence peu coutumière de ce type d’exercice trouve un goût très excitant à avaler ce bâton de chair dur, raide, droit et s’y adonne avec entrain.
Au train où vont les choses il craint de jouir trop rapidement et demande à sa mère de s’arrêter un moment ; celle-ci obtempère, il la soulève, se baisse, lui écarte les cuisses et introduit sa langue entre ses grandes lèvres qu’il fait aller et venir du clitoris jusqu’aux abords de l’anus ; il sent arriver la cyprine au bout de sa langue ; il se relève et entraine sa mère sous la douche, ils se savonnent, les corps glissent l’un contre l’autre, ils se frottent, se caressent, se frôlent, leurs mains parcourent délicatement les creux et les bosses, leurs doigts s’infiltrent dans les endroits les plus intimes, pendant que l’eau ruisselle sur les corps et les débarrasse du savon. Aurélien retourne à nouveau sa mère et le demande de s’appuyer sur la robinetterie ; il présente sa bite au bord des lèvres de sa chatte avant de s’y enfoncer délicatement sous les soupirs d’aise de Laurence :
— Maman, je te baise ; depuis le temps que j’en ai envie, tu me sens bien ?— Oh ! Oui mon chéri je sens ta grosse queue, moi aussi j’en avais très envie, si tu savais le nombre de fois où je me suis masturbée en pensant à cet instant ! Continues, enfonces toi au maximum, baises moi encore et encore !— Maman, je sens ta grotte toute mouillée, ma queue glisse toute seule, c’est tellement bon !

Il enfile sa mère sans retenue maintenant, sauvagement, ses cuisses claquent contre les fesses rebondies de Laurence et elle en redemande, elle qui n’a pas ressentie cette impression d’être dominée par un sexe depuis fort longtemps. Leurs murmures d’abord lascifs et sensuels s’amplifient pour devenir progressivement des grondements sourds, puis, pour elle, un cri strident accompagné de tremblements qui recouvrent son corps au bord de l’explosion ; haletante, elle reçoit les derniers assauts d’Aurélien et a le temps de lui dire de se retirer ; les jets de sperme s’éparpillent sur son dos, depuis le cou jusqu’à la raie des fesses ; il la plaque contre lui, le sperme se colle à sa peau, elle se retourne et lèche de bas en haut cet onctueux nectar et l’embrasse furieusement.
Ils vont s’allonger sur le lit, nus, elle a la tête posée sur son torse musclé et lui dit, en lui tripotant délicatement les couilles, combien elle a apprécié ce moment, qu’elle aime sa belle queue, qu’elle n’avait pas joui comme cela depuis fort longtemps, et qu’elle espère bien rattraper le temps perdu en baisant toute cette semaine avec lui !
Ce faisant, la verge tant désirée a repris de la vigueur et Laurence vient se placer au-dessus d’Aurélien en position de 69, happant au passage son pieu viril ; lui, fait aller et venir sa langue du clitoris jusqu’à l’anus dans un mouvement régulier, sagement répétitif, et récolte bientôt le doux liquide qui inonde sa langue ; il sent la bouche de sa mère lui serrer la bite sans bouger, l’aspirer à fonds comme pour y faire affluer le sang et maintenir cette superbe érection, son gland toucher sa glotte prête à l’avaler, une main lui caressant les couilles, un doigt de l’autre main enfoncée dans son cul ; jamais il ne l’aurait imaginée aussi entreprenante, aussi audacieuse, voire aussi perverse, mais la jouissance que cela lui procure gomme toutes ses réflexions.
Puis Laurence décide de venir se placer au –dessus de son fils, et prend les choses en main, ou pour être plus précis, sa chatte prend possession de la bite d’Aurélien en s’activant sur lui dans des mouvements saccadés ; voir la poitrine de sa mère se balancer au rythme de ses mouvements le transporte au paradis et il préfère regarder plutôt que toucher, les tétons de sa mère venant frôler sa propre poitrine ; dans une espèce de brouillard sensuel il l’entend lui dire :
— Mon chéri, je sens ta grosse bite envahir ma chatte, j’en ai eu tellement envie depuis que tu me l’as montrée sur vidéo, je voudrais la garder jusqu’à ce que le sommeil l’emporte ; vas-y maintenant, baise-moi, enfonce-là au plus profond, viens jouir en moi !— Je peux, ça ne craint rien ?— Ne t’inquiètes pas, j’irai demain à la pharmacie !
Aurélien ramone la cheminée de sa maman, d’abord doucement, son gland en élément précurseur, explorant les nombreuses cavités telle une caméra explorant une grotte mystérieuse, il se plait à la limer avec lenteur, le visage de Laurence reflète la plaisir sensuel qu’elle ressent, un sourire crispé aux coins des lèvres, les yeux hagards, le nez pincé, la respiration entrecoupée de sons aigus ; il sent sa maman au bord de l’orgasme, accélère progressivement ses va et vient, lui-même sent monter la jouissance progressivement, et d’un élan commun, l’une explose dans un râle animal, l’autre déverse son flot de sperme dans la chatte en feu ; revenus de leur délicieuse torpeur Laurence descend lentement le long du corps de sn fils et embouche son sexe encore raide et le lèche avec ardeur le nettoyant des traces de sperme ; là encore Aurélien est surpris par la hardiesse de sa mère , mais il s’en régale !
Celle-ci se lève pour aller à la salle de bain, non sans l’embrasser tendrement lui faisant goûter la saveur de son foutre.De retour elle se glisse sous les draps, se colle au corps d’Aurélien ; il brûle de lui poser la question :
— Maman, j’ai adoré et je t’ai trouvée très avertie sur les choses du sexe, tu me diras qu’à ton âge c’est plutôt normal, mais je ne l’imaginais pas.— J’ai fait des choses ce soir avec toi que je n’avais jamais faîtes avant, mais j’ai tellement fantasmé sur notre rencontre, que j’avais préparé mentalement cette baise en m’aidant d’internet, je l’avoue ; tu sais, faire l’amour avec ton père c’était une chose vite bâclée, je suppose qu’il demandait à ses maîtresses les extras dont il me privait.— Pauvre maman, ça n’a pas dû être drôle tous les jours, mais belle comme tu es tu aurais pu prendre un amant ?— J’y ai souvent pensé, mais je ne me voyais pas dans ce rôle, ça me paraissait inadapté, surtout vis-à-vis de toi !— De moi, mais je n’en t’aurais pas voulu !— C’est possible, mais mon chéri je suis fatiguée, j’ai besoin de dormir, bonne nuit... !
Il jette un œil sur le côté, elle dort déjà.Lui a du mal à s’endormir, il réfléchit longuement aux moments qu’il vient de vivre et s’il est parfaitement heureux des ébats sexuels qu’il vient de vivre, il se demande s’il est bien normal qu’un fils et sa mère s’y adonnent : il se repasse le film de cette soirée et vibre aux moments les plus chauds, son sexe reprend du volume, il le caresse, ses scrupules semblent s’évanouir dès que l’érection est atteinte ; sa mère lui tourne le dos, il se positionne de façon à l’enfiler discrètement, et lorsque sa bite s’est frayée un chemin dans la chatte tant convoitée, il s’arrête, ne bouge plus et s’endort à son tour, apaisé.
Aurélien ouvre les yeux aux aurores ; il se lève, jette un œil sur sa mère qui dort profondément, le corps nu à moitié découvert et la trouve encore plus désirable. Il prend sa douche et part faire son jogging matinal ; en rentrant il achète les croissants, repasse sous la douche et prépare le petit déjeuner ; il fait beau et il envisage de conduire sa mère sur l’île de Ré pour y passer la journée.
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