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Mère initiatrice

Chapitre 1

Branlette matinale.

Inceste
Je devais avoir vingt ans à l’époque. Encore étudiant. Je passais les week-ends et les vacances chez mes parents. La semaine, durant les cours, je louais une chambre, proche de l’établissement scolaire. Je n’avais jamais vraiment eu d’expérience avec les filles. Quelques préliminaires au détour d’une soirée. Je ne pense pas que je n’étais pas beau, même si la beauté est un concept tout relatif. Disons plus que c’était mon côté casanier et timide qui freinait tout échange avec la gent féminine. Et pourtant, à cet âge, mon besoin de sexe était journalier. Le matin, ou le soir, parfois les deux, je me mettais nu, m’installais derrière mon bureau et me masturbais devant un porno.
Mon père était un grand homme, un peu enrobé. Une sorte de représentant commercial qui partait souvent en missions extérieures. On ne parlait jamais vraiment de son travail à la maison. Cela ne m’avait jamais intéressé. Dès mon plus jeune âge, je m’étais dit que je ne voudrais jamais faire le même travail que lui. Ma mère, secrétaire à mi-temps dans une société du coin. Elle devait avoisiner les quarante-cinq ans. Elle travaillait tantôt le matin, tantôt l’après-midi. Lorsque je savais qu’elle était du matin, je me levais un peu plus tôt et me masturbais dès le réveil. Seul chez moi.
Ce matin, je me réveillai. Il devait être neuf heures. J’avais une puissante érection et surtout, une envie encore plus forte de la satisfaire. Je n’avais pas regardé l’horaire de ma mère, la veille, qui, pourtant, était toujours affiché sur le frigidaire, dans la cuisine. Je ne voulais pas descendre, pour ensuite remonter si personne n’était là. Je tendis donc l’oreille. Aucun bruit. J’attendis une longue minute avant de me lever et d’allumer mon ordinateur. Il me suffisait d’enlever mon slip pour me retrouver complètement nu. Ce que je fis. J’avais un sexe de taille moyenne. Je n’en étais pas fier, comme je n’en avais pas honte. J’étais vraiment indifférent par rapport à cela. Il était parsemé de quelques poils noirs que je ne rasais pas spécialement. Je cliquai sur la première vidéo qui attira mon attention, mis le volume au minimum et commença mon affaire.
J’étais tellement pris dans cette entreprise, la main allant et venant sur mon membre, le regard fixé sur l’écran que je ne l’entendis pas rentrer. Elle avait dû être discrète, ou j’avais dû être absorbé par mon écran. Lorsque je sentis son regard sur moi, elle était juste à côté de moi, son regard rivé sur mon membre dressé. Je lâchai mon sexe instantanément et fermai la page Internet. Je ne sais pas ce qui me choqua le plus. Qu’elle me surprenne, juste à côté de moi ou la tenue qu’elle arborait. Seins nus. Vêtue simplement d’une culotte et d’un porte-jarretelles. Ses seins étaient lourds et dressés. Sous sa culotte, je devinais sans mal le renflement que formait sa toison. Je tournai la tête sur le côté, honteux de la situation. Honteux d’être nu devant elle, de la voir dans cet habillement et de sentir de l’excitation face à son corps. Je bégayai une excuse.
— Désolé, je croyais que tu travaillais du matin.
Comme si cela pouvait tout expliquer, tout arranger et effacer ce moment de nos mémoires. Je l’entendis légèrement rire, mais elle ne répondit rien. J’osai un regard vers elle. Elle me fixa droit dans les yeux. Elle ne semblait nullement gênée de ce qui se passait. Ses yeux quittèrent les miens pour se poser sur mon sexe qui n’avait pas désenflé malgré la situation. Elle le caressa timidement, laissant glisser ses doigts dessus. J’étais encore plus gêné, mais je dois avouer que j’aimais cette sensation. Je fixais sa main. Je ne revenais pas qu’une telle situation puisse se produire. Sa main enserra mon membre et commença de lents mouvements de va-et-vient. Je ne savais pas comment réagir, mais, rapidement, le plaisir gagna sur la gêne et je me détendis alors que ses mouvements devinrent plus assurés.
Comme je vous l’ai dit, je n’avais pas eu énormément d’expériences avec les filles. Dès lors, même si elle ne faisait que me branler, je prenais un plaisir dingue et je dois avouer que le fait que cela soit ma mère m’excita plus. C’est étrange à dire. Sans doute le côté interdit. Elle changea de main. Et pourtant, son expérience faisait qu’elle branlait aussi bien de l’une que de l’autre. Mon regard se porta sur sa poitrine dénudée. Une poitrine généreuse. Je n’étais pas spécialement un grand amateur des grosses poitrines. Pourtant, à ce moment, ces seins me firent craquer. Je voyais ses petits tétons dressés. Ses aréoles plus larges. Et surtout, voir sa poitrine faire quelques soubresauts au rythme de ses mouvements tortueux. Malgré la quarantaine bien tassée qu’arborait ma mère, ils étaient encore très fermes et j’appréciais cela.
Elle frappa légèrement mon sexe, ce qui me fit découvrir une nouvelle sensation. Ce n’était pas désagréable du tout. Ses mains reprirent de petits et rapides mouvements, gémissant mon prénom de manière tout à fait sensuelle. Entendre cette voix si familière parler de manière si sensuelle accentua le plaisir que j’éprouvai en cet instant. Elle saliva sur mon membre pour rendre ses mouvements plus glissants, plus souples et je n’en revenais pas de l’air salope qu’elle arborait sur son visage.
Ma main glissa sur sa poitrine. La chair était chaude. J’appréciais la texture granulée de son téton, la fermeté et la rondeur de son sein. Elle se laissa faire quelques secondes, appréciant sans doute cette caresse de son fils. Elle retira ma main et se pencha. Je pouvais sentir mon gland caresser sa poitrine. Je ne pus m’empêcher de gémir face à ce plaisir immense. Je sentais que je n’allais plus durer longtemps. Bien que cette sensation n’ait duré que quelques secondes, je m’en souviendrai toujours. Je fermai les yeux. Son pouce vint caresser mon gland sensible. J’avais le souffle de plus en plus fort, de plus en plus haché.
Elle reprit de rapides mouvements sur tout le long de mon sexe. Mes jambes tremblaient. J’allais venir, mais n’avais pas la force de la prévenir. Je n’ai pas dû le faire, elle devait sûrement le voir. Je sentis que je jouissais. Ma semence inonda ses mains et mon ventre. Je la regardai, les joues rougies par l’effort. Elle glissa un de ses doigts au fond de sa bouche tout en gémissant. Il était rempli de sperme.
Elle se releva et durant toute la journée, agit comme si rien ne s’était passé. Elle cachait bien son jeu. Quant à ma part, je n’avais pas arrêté de bander durant toutes ces heures. Mon envie était insatiable.
Je pourrais vous dire que tout s’est arrêté là, mais... au contraire...
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