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Ma mère latina

Chapitre 3

Le jour où j'ai merdé

Inceste
Un soir, ma mère rentre du travail, exténuée. Elle me dit bonsoir en me donnant un bisou sur la joue, puis part prendre sa douche. Une fois sa toilette finie, elle revient dans le séjour, s’allonger sur le canapé. Elle est vêtue d’un minishort et d’une brassière. Alors qu’elle est allongée sur le ventre en train de feuilleter un livre, mon attention est portée sur ses pieds qu’elle remue dans tous les sens. Je m’assois à ses côtés et allume la TV pour faire semblant de faire quelque chose et je la contemple. Ma mère est dos à moi, elle ne peut pas me voir. Je m’en donne alors à cœur joie pour la mater. Je n’avais jamais fait attention, mais ses pieds sont magnifiques, elle a de petits pieds bien formés et entretenus. Je n’ai jamais été fan de ces pornos où le mec adule les pieds de la femme, mais je dois bien avouer que mettre ma bite entre ces doux petits pieds ne doit pas être désagréable.
J’en profite pour admirer l’ensemble de son corps que j’avais la chance de voir dans la position qu’était ma mère. Ses cuisses sexy qui m’avaient maîtrisé et soumis la veille avaient l’air tellement douces, et l’idée de la domination qu’elle a eue sur moi à l’aide de ses jambes me rend dingue. Quel bonheur cela doit être de les caresser ou de les embrasser ! Ses longs cheveux noirs qui lui donnent un air de princesse amérindienne sont tellement bien entretenus, j’ai envie de plonger mon visage dedans et pouvoir en sentir leur bonne odeur de shampoing.
Soudain, la voix de ma mère me sort de mon rêve érotique qui est en train de naître dans mon esprit.
— Bien passée ta journée ?— Oui et toi ?— Oui, mais je suis épuisée ce soir.
A ces mots d’épuisement dans la bouche de ma mère me vient une idée.
— Maman, et si je te massais pour t’aider à aller mieux.— Hum je dois dire qu’un bon massage est une des choses dont j’ai le plus envie en ce moment, pourquoi pas, tu sais t’y prendre ?— Maman, tu me prends vraiment toujours pour un incapable !
Je me rends dans la salle de bain pour prendre une serviette et de l’huile de massage.
— Vas-y, mets-toi en position tu va voir mes talents !
Elle s’allonge, mais je constate qu’elle a encore sa brassière.
— Maman pour te masser convenablement, il faut que tu enlèves ta brassière au moins.
Elle hésite, mais après s’être attaché les cheveux, elle enlève sa brassière. Le mouvement de ma mère pour l’enlever est terriblement sexe. La voilà dos nu, face à moi. Une sensation de frisson m’envahit, dire que de l’autre côté, sa grosse poitrine est à l’air libre. Elle se recouche alors sur le ventre en mettant la serviette contre elle et le canapé. Je grimpe alors sur elle, et ma bite vient se positionner contre son cul.

Oh mon Dieu ! Il ne faut surtout pas que je bande. Je contemple une dernière fois son dos nu et j’étale l’huile de massage sur son dos. C’est la première fois que je touche la peau de ma mère, même si c’est avec de l’huile. Au contact de l’huile et de mes mains, ma mère laisse échapper un frisson de plaisir. Je parcours son dos avec mes mains, c’est terriblement sensuel. Je griffe doucement son dos avec mes doigts pour faire différents mouvements, insiste sur sa nuque et les épaules. Ma mère a l’air d’apprécier. Je commence à masser ses côtes et le début de la naissance de sa poitrine.
— Tu veux que je te masse les jambes aussi ?— Non c’est bon, t’inquiète, c’est déjà gentil de ta part.— Mais tes jambes se doivent d’être massées aussi, je préfère que tu ressortes de ce massage, totalement détendue.— Bon d’accord, me dit-elle d’un ton un peu gêné.
Je lui remonte son short au maximum, dévoilant un peu le début de son fessier. Je me mets à lui malaxer les cuisses, elles sont tellement fermes. J’insiste bien de partout, puis je descends sur les mollets, puis j’ose lui toucher les pieds.
— Ah carrément, j’ai droit même aux pieds ?— Oui, je t’ai dit massage total aujourd’hui !— Tu n’as pas à faire ça mon ange...— Mais si t’inquiète.
Ca me fait rire, car elle pense que c’est une corvée pour moi, alors que je réalise un fantasme de pouvoir la toucher. Je commence à lui masser tendrement les pieds tout en admirant la cambrure de son corps magnifique huilé allongé devant moi.
— Tu as vraiment des beaux pieds maman.
Elle se met à rire.
— Je ne savais pas que tu étais un fétichiste des pieds mon fils.— Moi non plus, mais les tiens sont vraiment jolis.
Elle rigole nerveusement.
— Merci !
Le massage fini, elle enroule la serviette autour d’elle et se lève.
— Allez, à toi maintenant ?— Quoi ?— Ben oui, après tout, c’est moi ta mère, je vais moi aussi t’aider à te détendre, et tu vas voir que moi aussi, j’ai des petits talents de masseuse, attends, je vais prendre une autre serviette pour toi.
Quand elle revient et me donne la serviette, je l’installe et je me couche dans la même position qu’était ma mère il y a de cela encore quelques secondes, et me mets torse nu. Ma mère s’installe sur moi, le poids de son corps sur mes fesses appuie ma bite contre le canapé, ce qui me fait du bien. Les mains douces de ma mère se mettent alors à parcourir le long de mon dos, un plaisir immense m’envahit, elle est hyper douée, on dirait une pro ! Tout en me faisant masser, je repense à mes mains parcourant son corps. Je me sens tellement bien, quel moment incroyable. Je me mets à bander fortement contre le canapé.
— Merci Maman, tu masses vraiment bien ! On dirait que c’est ton métier !— Merci, oui j’ai toujours été douée dans ce domaine.
Elle s’arrête, me regarde et je comprends qu’elle attend que je me redresse pour continuer la conversation. Mais seulement, je bande encore et je n’ose pas me redresser, car je sais qu’elle va le voir.
— Ben alors, tu comptes dormir sur le canapé ?— Je suis trop bien là, sur un petit nuage, je reste encore un peu.
Le lendemain, je me réveille parfaitement détendu grâce au massage de ma délicieuse maman la veille. J’enfile un short et je la cherche. Ne la voyant pas dans la maison, je sors dans le jardin et je la trouve en train de bronzer à la piscine. Je marque un temps d’arrêt. Ma mère est allongée sur le transat. Elle porte des lunettes de soleil, donc je n’en suis pas sûr, mais j’ai l’impression qu’elle a les yeux fermés. Je suis de côté par rapport à elle. Je pose mes yeux affamés sur elle. Vous devriez voir ça, elle est tellement belle. Ses jambes sont étendues le long du transat. Son ventre est tellement plat, couché comme ça, j’ai envie de le lécher. Ses beaux cheveux noirs sont mis de côté et tombent en cascade le long du transat. Je reste planté à l’admirer puis je me décide à dire bonjour. Je m’avance pour me mettre en face d’elle et marque un temps d’arrêt, car son maillot bleu ciel est super sexy et lui fait une putain de paire de pêches bien alléchante.
— Coucou Maman !— Ah salut, bien dodo ?— Oui grâce à tes doigts de fée !— Haha contente que je t’ai aidé à te détendre. Tu viens bronzer un peu ?— Allez !
J’enfile un maillot et me place sur le deuxième transat à ses côtés. Bizarrement, je sens le regard de ma mère posé sur moi pendant que je déplace le matériel.
— Tu es musclé mon fils, c’est bien !
Je suis surpris, ma mère ne m’a jamais fait de compliment sur mon corps.
— Ah tu trouves ? Merci. Je fais quelques exercices de musculation poids du corps par-ci par-là.— Eh ben, c’est bien, continue, ça te va bien.— Tu aimes les mecs musclés maman ?
Elle marque son temps d’arrêt habituel dans ce genre de conversation, car elle est gênée de parler de ça avec moi comme toujours, mais elle me répond.
— Oui j’aime bien.— Tu trouves que je suis un beau garçon ?— Bien sûr que tu es un beau garçon, tu es mon fils après tout, tu es le plus beau !— Non, mais vraiment ? Sans prendre en compte que je suis ton fils.— Ben oui, tu es beau. Pourquoi tu me demandes ça ?— Je sais pas, j’ai du mal avec les filles.— Je pense pas que cela soit dû à ton physique, peut-être à ta façon d’aborder les filles. Tu as une petite amie ?
Première fois que ma mère me demande cela.
— Non. Et pour tout te dire, j’en ai jamais vraiment eue.
Ma mère paraît choquée.
— C’est vrai ??? A ton âge, tu as jamais eu de copine ??
Je me sens un peu honteux.
— Bah non.— Oh mon cœur, j’étais persuadée qu’un garçon comme toi avait une petite amie.— Bah non.— Ca viendra, t’inquiète pas.
A vrai dire, si, je m’inquiète un peu. Et surtout putain de merde, je suis en chien, j’ai envie de baiser, et surtout toi maman, mais bon, ça, je vais éviter de lui dire.
— Et toi, à quel âge tu as eu ton premier petit copain ?— Hum à treize ans.— Quuuuoi ?
Elle explose de rire devant ma réaction.
— Oula, je crois que j’aurais pas dû te dire ça.— Si maman, on parle jamais de ces choses-là, ça me fait plaisir d’apprendre à te connaître.
Elle sourit.
— C’était juste une petite amourette, ça a pas duré longtemps.— Et ta première fois ?
Elle tourne sa tête vers moi.
— Je t’ai dit quoi sur ma vie sexuelle ? Ça te regarde pas.— Mais allez, dis-moi, c’est rien !
Un silence se glisse entre nous, qui dure quelques secondes.
— Seize.— A seize ans ??— Oui.— C’est jeune.— Oui en plus, c’était un con, j’ai regretté de l’avoir fait avec lui. C’est pour ça que je suis contente que tu l’aies encore jamais fait, prends le temps de trouver la bonne.— Qui a dit que je l’avais jamais fait ? J’ai juste dit que j’étais jamais sorti avec une fille.
Elle se tourne brusquement vers moi, choquée.
— Haha je rigole, effectivement, je suis puceau, lui dis-je, honteux.— Tu m’as fait peur, c’est une très bonne chose, tu as le temps.— Mais c’est un peu la honte.— Rho arrête d’écouter les conneries de tes potes débiles, surtout ceux du foot, je suis sûre qu’ils te racontent beaucoup de bobards en plus.
Elle se lève du transat pour se rapprocher de l’eau. Je fais une fixation sur son cul. Son maillot est un tanga, je sais qu’elle aime bien ça pour les traces de bronzage, mais ça lui fait un de ces culs ! J’ai envie de plonger mon visage dedans. Elle se retourne vers moi au moment où je suis encore hypnotisé par son cul.
Merde, j’ai failli me faire cramer.
— Tu viens avec moi nager ?— Oui !
Je rentre dans l’eau progressivement avec elle, regardant son corps de déesse s’enfoncer dans les profondeurs de la piscine.
— Tu sais, je trouve qu’on s’est rapproché, depuis quelque temps, on passe beaucoup de temps ensemble et je suis contente. Tu es tout ce que j’ai.— Moi aussi.
A ma grande surprise, elle se rapproche de moi et m’enlace pour me faire un gros câlin, écrasant sa poitrine contre mon torse. Elle me lâche et me sourit puis m’éclabousse, le dernier à la bouée a perdu. Elle se met à nager rapidement vers notre bouée ronde pour bronzer sur l’eau. Je me jette sur elle pour essayer de la ralentir. Je m’agrippe à ses hanches pour la tirer en arrière. Elle arrive quand même à accéder à la bouée et essaye de grimper dessus. On s’amuse alors à se chamailler dans l’eau pour conquérir la bouée. Le fait de toucher son corps sexy dans l’eau ne me laisse pas indifférent, et je me mets à bander fortement. Je suis de plus en plus excité. Soudain, je lui bondis dans le dos pendant qu’elle essaye de monter sur la bouée, l’enlace dans mes bras et plaque ma bite contre son cul. Et là, je ne sais pas ce qui me prend, mais c’est trop pour moi, tous ces moments cumulés de désir envers ma mère explosent en moi.
Elle est tellement bonne dans son maillot de bain que je craque, je frotte ma bite en érection contre son cul pour me faire du bien et approche mes lèvres de son épaule droite pour l’embrasser érotiquement.
— Putain, mais qu’est-ce que tu fais ?
Ma mère se retourne et me regarde avec effroi. Elle me fout une tarte dans la gueule que je vous jure, je n’en ai jamais pris une aussi forte. Ma tête se met à résonner et mon oreille gauche à siffler.
Merde putain, mais qu’est-ce que j’ai foutu ? J’ai complètement pété les plombs.
— Ca va pas la tête ou quoi ? T’es complètement malade ! D’où tu te frottes contre moi comme ça.
Elle sort de l’eau hyper-rapidement et part se sécher.
Elle se retourne sur moi, encore dans la piscine, secoué de la torgnole que vient de me mettre ma mère.
— Ne t’avise plus jamais de refaire ça compris ? Je sais même pas quoi te dire, tu me dégoutes.
Je repense à notre câlin au début, les mots de ma mère disant que je suis tout pour elle, tout qui se passe bien. Comment cela a-t-il pu partir en couilles comme ça ? J’aperçois des larmes couler sur son visage. Je suis anéanti, je ne sais même pas quoi dire ni quoi faire. J’ai vraiment merdé...
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