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La mère de Manu

Chapitre 2

Divers
Le café étant prêt, ma séduisante hôtesse, se pencha pour remplir ma tasse, me dispensant de répondre. Son peignoir n’était pas complètement fermé. Aussi je ne me privais pas pour contempler ses deux grosses mamelles. Carole continuait de me parler alors que j’avais les yeux collés sur ses seins que j’aurais volontiers pris dans mes mains pour les tripoter et même les sucer. Se rendant compte de l’intérêt que je portais à sa poitrine, la mère de Manu me sourit et me demanda :
• — Tu as une petite amie ? • — Non… Je ne connais aucune fille… Je… Je suis trop timide pour… • — Peut être que tu devrais être initié par une vraie femme, qui pourrait te montrer comment faire, me proposa-t-elle. • — Vous avez raison, m’empressais-je de répondre, n’osant quand même lui proposer d’être cette femme.
Alors, elle déplaça sa chaise pour s’asseoir face à moi. Ses cuisses étaient assez écartées, provoquant un écartement assez important du peignoir. Ses genoux se trouvaient à trente centimètres des miens et je remarquais que lorsque je baissais mon regard pour loucher sur ses cuisses dévoilées, Nathalie, dans un mouvement naturel croisait ou décroisait ses jambes dans un mouvement large, ce qui m’offrait une vision intégrale sur son sexe. Je pensais que ce mouvement était en fait du au hasard, mais comme je dirigeais de nouveau mon regard dans la direction de ses cuisses, elle les décroisa pour les recroiser, ainsi qu’elle venait de le faire, m’offrant avec une impudeur certaine une vue imprenable sur son sexe.Je commençais à transpirer et à rougir. Extrêmement troublé j’avais du mal à parler et la gorge serrée. Ma bouche était étonnamment sèche. Je me sentais réellement mal à l’aise, et je remarquais bien vite que Nathalie se rendait compte de mon tourment et semblait prendre du plaisir à me voir dans cet état.
• — Tu veux un biscuit avec ton café, me demanda-t-elle mettant ainsi un terme à ma gêne.
Avant que j’aie pu répondre, elle se leva pour aller chercher la boite de biscuits. Comme elle tentait de passer derrière moi, et que l’espace entre moi et le bar était restreint, je tentais de me lever pour lui laisser le passage. Mais aussitôt Nathalie m’appuya sur les épaules de ses deux mains m’obligeant à me rasseoir :
• — Reste assis, me dit-elle… Je suis capable de passer, je ne suis pas grosse !
Comme elle s’approchait de moi, il me prit une idée perverse, je laissais mon bras dépasser sournoisement de la chaise sur laquelle j’étais assis, raccourcissant le passage déjà bien étroit. Lorsque Nathalie, malgré sa fine ligne et l’étroitesse de l’accès passa dans mon dos, je sentis ses cuisses se frotter sur mon coude. Elles me semblèrent extrêmement fermes. J’attendis son retour avec impatience, le cœur battant. Lorsqu’elle revint, le paquet de biscuit à la main, mon coude s’accrocha sur le bord de son peignoir, l’écartant largement. Aussitôt je sentis la douceur de sa cuisse sur mon bras. Et comme je remontais celui-ci, mon coude se trouva au beau milieu de ses deux cuisses chaudes. Étonné, je sentis un liquide chaud mouiller mon bras.Le visage empourpré, Nathalie m’offrit ses biscuits. Mais avant que j’aie eu le temps de porter la friandise à ma bouche, mon hôtesse, s’approcha rapidement de moi et me saisissant la tête, elle posa ses lèvres sur les miennes. J’avais le cœur dans la gorge, sa langue douce et chaude s’infiltra habilement entre mes lèvres pour finalement s’enfoncer dans ma bouche. Cette langue qui me parut étonnamment fine et gluante envahit ma gorge. D’abord surpris par ce baiser, inconnu pour moi, je me laissais faire, passif. Puis comprenant que je devais moi aussi me montrer actif je lançais ma langue à la rencontre de celle de la femme, la caressant maladroitement.
• — Tu n’as jamais embrassé de filles ? me demanda Nathalie en se reculant. • — Non… Avouais-je timidement. • — Je suis la première ? continua-elle en me fixant d’un air extasié. • — Oui…
Comme si cet aveu avait déclenché une passion nouvelle, Nathalie se jeta sur moi pour de nouveau me fouiller la bouche de sa langue agile. Je tentais cette fois de m’appliquer en imitant les mouvements de l’organe féminin qui frétillait dans ma bouche. Peu à peu, sous ces assauts, ma timidité disparut. J’osais alors avancer une main dans l’ouverture du peignoir pour me saisir d’un sein, que j’entrepris de malaxer sur toute sa surface. Prenant un extrême plaisir, je fis rouler le téton entre mes doigts. Il était dur et certainement sensible, car Nathalie se mit aussitôt à pousser des petits gémissements.
Jamais je n’avais bandé aussi fort. J’avais l’impression que ma verge allait jaillir de mon Bermuda. Haletante Nathalie se redressa me tirant à elle pour me faire lever de ma chaise. Une fois debout l’un contre l’autre, ma sensuelle hôtesse repoussa les pans de son peignoir et s’emparant de mes deux mains, elle les posa sur sa poitrine généreuse à la peau si soyeuse.
• — Caresse mes seins, gémit-elle.
Je m’exécutais sans me faire prier, malaxant les chairs fragiles avec frénésie. Encore innocent, je demeurais ébahi en découvrant combien les tétons étaient durs et énormes. Nous haletions tous les deux. L’excitation était à son comble.
• —Oh oui, gémit Nathalie en pressant fiévreusement mes mains contre ses seins gonflés, m’encourageant à continuer mon malaxage.
Soudain, alors que je venais accidentellement de pincer fortement l’un des boutons de chair durci, Nathalie se jeta sur ma bouche pour m’embrasser fougueusement. Tout en me fouillant presque rageusement l’intérieur du palais de sa langue diabolique, elle posa sa main sur la bosse que faisait mon membre viril tendu. Avec beaucoup de douceur elle me caressa par-dessus le tissu de mon bermuda.Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant enfin son baiser, Nathalie me regarda dans les yeux :
• — Tu veux, que je t’apprenne ce qu’un homme doit savoir faire à une femme ?
Comme si je pouvais refuser. Je n’avais pas lâché ses seins que je continuais à presser des mes dix doigts. Se reculant pour échapper à mes attouchements Nathalie me repoussa, me forçant à m’asseoir sur ma chaise.
• — Regarde, me dit-elle. Je vais te montrer à quoi ressemble une femme.
Elle fit deux pas en arrière et dénoua la ceinture de son peignoir, qu’elle retira lentement, comme pour se faire désirer un peu plus. Je ne perdis pas connaissance, mais je n’en étais pas loin, à la vue de ce corps nu si proche de moi. Me faisant face, la mère de mon ami se caressa les seins d’une manière si sensuelle, que j’en eus très vite la gorge sèche. Presque machinalement je posais une main sur ma verge gonflée pour la presser avec émotion. Me fixant, les yeux brillants étrangement, Nathalie approcha sa chaise pour y déposer son pied droit. Sa cuisse largement écartée m’offrit une vue parfaite sur son sexe, dont elle écarta les lèvres avec deux doigts pour me montrer sa vulve rose et luisante.Subitement, comme pris d’une ferveur païenne, je tombais à genoux aux pieds de la femme dénudée. Se trompant sur mon geste, Nathalie me demanda d’une voix soudain changée.
• — Tu veux embrasser ma chatte ?
Je savais par ouïe dire que ce genre de baiser se pratiquait, mais jamais je ne l’avais pratiqué moi-même. Je ne savais pas vraiment comment je devais m’y prendre. Heureusement pour moi, Nathalie, follement excitée m’attrapa les mains et m’entraîne dans le salon. Elle s’installa sur le fauteuil en cuir noir les cuisses grand ouvertes. Je m’agenouillais entre ses jambes pour être bien en face de son sexe. Nathalie m’agrippa la tête et poussa mon visage contre sa vulve.
• — Embrasse là, me commanda-t-elle d’une voix hachée.
Je maintenais alors de mes mains ses cuisses ouvertes et ma bouche se colla contre les lèvres humides de son sexe. Une odeur épicée me monta aux narines. C’était la première fois que je voyais une chatte de si près. Même si j’en avais follement rêvé, je me trouvais totalement idiot, ne sachant pas vraiment comment m’y prendre. Heureusement pour moi, Nathalie me guida, prise par sa passion dévorante. Appuyant fortement mon visage contre sa longue fente, pareille à une blessure sanguinolente, elle m’encouragea d’une voix rauque :
• — Embrasse ma chatte, mon chéri… Tu sens comme je mouille…
Pour le sentir, je le sentais, mes lèvres baignaient dans une onctuosité odorante. Fermant les yeux, je me lançais à l’eau. Timidement, je commençais à embrasser la vulve ruisselante, la couvrant de petits baisers appuyés.
• — Oui, c’est bien, m’encouragea Nathalie… Lèche-là… Enfonce ta langue à l’intérieur…
Obéissant, je m’exécutais, tachant de faire de mon mieux. Je promenais ma langue à l’intérieur de cette faille humide, l’enfonçant légèrement à l’intérieur des chairs chaudes et gluantes. Aussitôt, Nathalie se mit à pousser des petits gémissements, Puis je sentis ses deux mains se saisir de ma tête pour l’immobiliser. Agitant son bas-ventre d’avant en arrière, elle entreprit de frotter avec fougue, son clitoris contre ma bouche et mon menton. Je ne tardais pas à m’apercevoir que son sexe était de plus en plus dégoulinant de sécrétion, j’avais un goût de liquide gluant et assez salé dans la bouche, ce qui me surprenait beaucoup, sans vraiment me déplaire.Cependant au bout d’un instant, Nathalie cessa tout mouvement, s’immobilisant brusquement, tandis qu’une douce plainte jaillissait de sa gorge, brisant le silence de du salon. Puis au bout de quelques minutes, elle me libéra.
• — C’était rudement bon, tu sais, me dit-elle dans un sourire…Assied-toi !
La bouche et le menton littéralement trempés par tout le liquide qui s’était échappé de la vulve de ma sensuelle hôtesse, le sexe effroyablement bandé, je m’installais sur le canapé, curieux de connaître la suite des événements.Sans un mot, Nathalie pivota sur elle-même pour me montrer sa croupe, que je trouvais magnifique. Devant la fixité de mon regard, Nathalie me lança :
• — Elles te plaisent mes fesses ?… Regarde !
Perverse, elle se baissa en avant en écartant largement ses jambes, ce qui me permit d’admirer ses fesses, son anus rose et les grandes lèvres de sa longue vulve. Penchée en avant, la tête effleurant presque le carrelage, me fixant entre ses jambes largement écartées et légèrement pliées, Nathalie lança ses deux mains entre ses cuisses afin d’écarter les bords de sa chatte. J’eus sous les yeux le spectacle hallucinant des plis et replis rouges vifs et luisants de l’intérieur de sa vulve. Je mourais d’envie d’y enfoncer mes doigts, de sentir ces chairs palpitantes enserrer mes phalanges voir ma queue. Combien de doigts pourrais-je y enfoncer ? Ainsi maintenu écarté le sexe féminin me paraissait immense.
• — Tu n’as pas envie de me faire l’amour ? me demanda soudain Nathalie … Tu ne veux pas enfoncer ta queue dans ma chatte ?… Regarde tu serais bien à l’intérieur de mon ventre!…
N’attendant même pas ma réponse, qui de toute façon n’aurait pas été négative, Nathalie se redressa et me saisissant la main elle me tira jusqu’à sa chambre. Là, debout l’un en face l’un de l’autre, nous nous embrassâmes de nouveau, passionnément. Ayant perdu toute timidité, j’en profitais pour laisser courir mes doigts sur ce corps si sensuel, caressant ses hanches, ses fesses et sa poitrine. Est-ce le fait de mes caresses, pourtant bien maladroites, Nathalie, accrochée à mon cou, commença à s’agiter contre mon corps, frottant son bas-ventre nu contre l’imposante bosse que faisait ma verge tendue.
• — Déshabille-toi, grogna-t-elle soudain en se reculant, échappant ainsi à mes attouchements de plus en plus précis en direction de son sexe.
Avec des gestes désordonnés, elle voulut m’aider à enlever mes vêtements. En moins de trente secondes je me retrouvais aussi nu que mon initiatrice. Au bas de mon ventre, ma bite se dressait fièrement, tandis qu’une douleur me tordait les entrailles.Sans un mot, Nathalie grimpa sur le lit conjugal où elle s’allongea sur le dos. Là me fixant avec une intensité que je ne lui connaissais pas elle écarta largement ses cuisses.
• — Viens ! M’appela-t-elle… Viens entre mes cuisses mon chéri… Je veux que tu prennes le temps de découvrir ma chatte, je veux que tu saches dans quoi tu vas enfoncer ta queue, tu vas voir, c’est très doux et très chaud…
Tout en me parlant, elle écarta de ses deux mains sa fente cramoisie et ses lèvres intimes qui me cachaient l’entrée de son sanctuaire. Du fait de ma position agenouillé entre ses cuisses, que je profitais pour caresser au passage, je pouvais contempler sa vulve. Je remarquais à la brillance des parois internes qu’elle était excessivement humide. À la commissure supérieure des épaisses lèvres sexuelles je remarquais une énorme excroissance rose, que je devinais être ce clitoris dont chaque garçon au lycée parlait, sans l’avoir vraiment vu.Terriblement excité par le spectacle plutôt obscène que m’offrait généreusement la mère de mon ami, je m’approchais de cette dernière avec ma bite douloureusement tendue. Écartant encore plus largement l’entré de son vagin, Nathalie m’invita à la pénétrer d’une voix oppressée.
• — Oui, mets-la-moi… Enfonce ta queue dans ma chatte, regarde je l’ouvre bien pour que tu puisses entrer dans mon ventre… Viens mon chéri… Prends-moi…
Je n’en croyais pas mes yeux de voir ce sexe féminin offert à mes désirs, à ma disposition. Pensant sans doute que je n’arriverais pas à la pénétrer, Nathalie se saisit de ma bite de ses doigts pour diriger mon gland à l’entrée de sa fente humide. Alors je me laissais aller et m’allongeait sur elle, m’appuyant sur mes coudes.Avec une énorme émotion je sentis ma verge s’enfoncer progressivement dans le conduit vaginal d’une extrême onctuosité. J’étais terriblement excité par cette situation. C’était la première fois que j’enfonçais mon membre viril dans le sexe d’une femme. J’en avais tellement rêvé. Durant quelques secondes, j’eus un peu honte de voir la mère de mon meilleur ami complètement nue sur son lit et moi aussi nu qu’elle, en train de la baiser. Cependant ce sentiment s’envola très vite, remplacé par un indicible contentement. Une fois ma queue enfoncée entièrement dans la profonde vulve bouillante, je sentis mes couilles venir heurter les fesses de ma compagne, qui sans que je comprenne pourquoi se mit à gémir sans retenue. Prise d’une espèce de frénésie, elle avançait son bassin et relevait ses jambes en les écartant le plus possible, pour s’offrir sous un meilleur angle, me facilitant une pénétration plus profonde.J’entamais alors ce mouvement de va-et-vient vieux comme le monde, faisant coulisser mon dard de chair dans les entrailles féminines, lentement pour mieux savourer le frottement des chairs moites et brûlantes sur ma verge, cela me plaisait énormément.
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