Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 386 J'aime
  • 12 Commentaires

Ma mère et mes sœurs se dévouent corps et âme sur mon corps d’handicapé.

Chapitre 3

Il reprend vie par la queue.

Inceste
Ma mère et mes sœurs se dévouent corps et âme sur mon corps d’handicapé. 3
  Plusieurs fois de suite, je ne peux m’empêcher de noyer à nouveau son corps avant de nouveau rechercher le plaisir sur son sexe. Quand soudain sous des grognements assourdis de mon frère, je sens un liquide abondant noyer ma grotte. Jocelyn vient de jouir en moi. C’est la première fois que ça m’arrive et je ne me rends pas compte tout de suite de la dose importante de sperme qu’il vient d’expulser de sa lance. Il faut dire que je n’ai pas beaucoup de points de comparaison. Suite…Je libère sa verge couverte de taches rosâtres. Les contractions de mon vagin toujours aussi violentes expulsent par à-coups son sperme mêlé à ma cyprine de la même couleur rosâtre. Pour la première fois j’assiste à la lente décroissance de son sexe. Un sourire à peine perceptible éclaire son visage. Après une telle séance je suis obligée de lui refaire la toilette et d’éponger aussi le sol inondé de ma cyprine.Je ne peux m’empêcher de tout raconter à ma sœur qui veut assister elle aussi au miracle de la renaissance de Jocelyn. Nous nous retrouvons donc toutes les deux le lendemain en espérant réussir encore une fois amener notre frère jusqu’à la jouissance finale.Rien que notre présence en petite tenue suffit maintenant à notre frère pour qu’il entre immédiatement en érection. Nous nous relayons sur sa hampe, ses bourses pleines de sa laitance et sur son gland, que ça soit avec notre langue ou avec nos mains. Il faut dire que le calibre exceptionnel de notre frère permet beaucoup de positions différentes. Nina va même plus loin en chevauchant sa tête et collant sa vulve sur la bouche de Jocelyn.
-Il me lèche, Alice, il me lèche la chatte ! Pour la première fois depuis longtemps, il arrive à commander une partie de son corps et je n’en suis pas peu fière que ça soit grâce à moi… Mais comme d’habitude il faut à Jocelyn un temps infini pour arriver au plaisir. On ne va pas s’en plaindre. Nous nous relayons donc sur sa bouche ou sur son mandrin pendant presque trente minutes avant de l’entendre à nouveau gémir.
-Hum hum ! Aaahhh !
Nous sommes de chaque côté de son corps et branlons avec une vigueur décuplée sa lance prête à exploser. Le miracle se produit à nouveau devant le regard ébahi de Nina en voyant les jets se succéder avec une puissance folle. Un sperme épais jaillit du méat et s’élève dans les airs avant de retomber sur son corps. Pour une fois nous faisons sa toilette avec nos langues et nos bouches pour déguster sa liqueur séminale.C’est à ce moment-là que la porte s’ouvre et que notre mère entre dans la chambre.
-Mais qu’est-ce qu’il se passe ici ? Que faites-vous à Jocelyn ? Ce n’est quand même pas ce que je crois ? Comment avez-vous osé profiter de votre frère ?-Ce n’est pas ce que tu crois maman. Regarde les progrès que nous avons obtenus avec cette pratique pas très médical mais très efficace. Il arrive maintenant à nous suivre du regard, peut-être même à nous entendre, ses sens sont maintenant suffisamment reconnectés à son cerveau pour qu’il arrive au plaisir et même à commander à sa langue. Il a fait plus de progrès depuis un mois avec notre pratique que depuis tous les mois précédents. Si tu veux, on ne continuera pas mais je crois que pour lui c’est la meilleure solution pour qu’il redevienne comme avant. (Alexia)-Dehors ! sortez tout de suite de cette chambre ! Mes deux filles se rhabillent et quittent la pièce. Je suis outrée de ce qu’elles viennent de faire mais force est de constater que j’ai remarqué depuis quelques jours les énormes progrès accomplis par Jocelyn. 
Je me rappelle un article lu dans un magazine qui affirmait que l’orgasme était un puissant décontractant pour le corps. Le magazine en question disait que dans certains établissements avec des infirmières spécialisées, des patients avaient retrouvé leur capacité beaucoup plus vite...  Pour la première fois j’ai l’espoir qu’il redevienne le jeune homme qu’il était.Mon espoir est si grand que je dois tout tenter, reconnaissant que ce qu’ont fait mes filles et me rappelant les conseils de son médecin, bien qu’horrible est peut être la seule solution possible. Tant pis si la morale en prend un coup et que je dois moi aussi donner de ma personne.   La santé de mon fils est bien plus importante que mes principes puritains.Les jours suivants, je viens dans sa chambre pour essayer de le guérir avec la méthode de mes filles... Chaque jour je suis dans une tenue de plus en plus sexy, mettant des soutiens-gorge balconant et des petites culottes qui laissent deviner toute mon anatomie...  La réaction de Jocelyn est pratiquement automatique et la croissance exponentielle de sa verge spectaculaire.
 Un jour je me lance, me penche en avant, redresse son boutefeu pour qu’il touche ma poitrine. Je me penche encore plus et c’est maintenant toute sa queue qui se retrouve emprisonnée entre mes deux grosses mamelles que je presse l’une contre l’autre autour de sa matraque...  Sa queue est si grande que je peux prendre en bouche son extrémité. Pendant un temps infini je varie les plaisirs, que ça soit en le masturbant vigoureusement de mes deux mains, en lui pressant les couilles entre mes doigts, en dégustant sa grosse prune entre mes lèvres, essayant même de faire une gorge profonde sur ce phallus d’une taille aussi exceptionnelle.A Force de lui prodiguer ce traitement très peu médical, je l’entends pour la première fois geindre. C’est plus qu’il ne peut en supporter. On dirait que son corps amorphe se raidit encore un peu plus. Je pressens d’après ce que m’ont dit mes filles, qu’il doit ressentir une jouissance énorme monter dans son chibre. Je me recule un peu tout en tenant toujours dans ma main droite son sexe parcouru de légères vibrations.  Je suis surprise, vu son état, d’assister à la puissance monstrueuse de son éjaculation. Les jets se succèdent les uns derrière les autres avec une puissance folle. Je suis morte de honte de ce que je viens de faire mais vraiment soulagée que mon fils soit toujours un homme. J’attrape un rouleau de sopalin pour nettoyer son sperme qui a giclé partout, il en a sur tout le corps mais moi aussi j’en ai reçu une bonne dose sur mes seins.  Du bout d’un doigt j’en prends une goutte que je porte à ma bouche, gouttant sa gourme. Mais qu’est-ce que je fais là !  Je finis sa toilette, des pensées contradictoires tournent en boucle dans ma tête. Je suis honteuse tout en étant fière de ce que je viens d’accomplir. Je vois les yeux de mon fils briller d’un éclat qui avait disparu depuis de nombreux mois. On dirait même qu’il me sourit un peu. (Jocelyn) Comment vous dire ce que je ressens à ce moment-là. Après mes sœurs, c’est maintenant ma propre mère qui m’amène à la jouissance. Elle a compris, elle aussi, le rôle important de ces gestes incestueux mais si bénéfiques à ma guérison. Les jours suivants, elle n’hésite même plus à se mettre à poil, constatant qu’il suffit qu’elle retire ses sous-vêtements pour me faire réagir sans même me toucher... Je bande systématiquement comme un taureau dès qu’elle écarte les jambes, exposant à ma vue son intimité. Son corps de femme à la quarantenaire superbe produit sur moi un effet dingue qui me rend fou intérieurement. Ensuite elle vient vers le lit pour s’occuper de moi sérieusement jusqu’au jour où elle ne peut plus tenir et elle aussi me chevauche pour prendre en elle ma verge érigée.Sentir mon sexe dans le vagin de ma propre mère est une sensation qui dépasse tout ce qu’un enfant peut connaître... Je suis aux limites du plaisir infini...Immobile, je ne peux que la regarder monter et descendre, vrillant sa chatte sur mon chibre dans tous les sens pour m’arracher du plaisir... Et quel plaisir ! Je l’écoute commenter :
-Pardonne-moi mon fils, mais c’est pour ton bien. Oohoh que tu es gros ! C’est un véritable gourdin que tu as entre les jambes. Ohh ! Ahh ! ouuuiii !Je vois ses seins énormes ballotter dans tous les sens, son sexe engloutir mon sexe, le libérer, l’engloutir à nouveau. Elle rejette la tête en arrière, la bouche grande-ouverte, les yeux dans le vague, semblant partir dans un autre monde au moment de son orgasme où elle aussi jute abondamment. Telle mère telle fille…Elle prend un plaisir intense, avec la certitude que c’est là son devoir de mère qu’elle le  fait pour me guérir et pour la science... C’est devenu pour elle un soin quotidien comme un autre. Elle espère me guérir avec cette méthode que j’apprécie, je dois l’avouer.  Je dois dire qu’elle n’a pas totalement tort car à chaque jouissance, mon état s’améliore peu à peu. Je suis saisi de tremblements dans tout le corps. Chaque éjaculation apporte son lot de nouvelles réactions, de sensations nouvelles. Mais pour maman, elle veut essayer d’augmenter encore plus les stimuli et c’est comme ça qu’elle se retrouve avec mes deux sœurs pour s’occuper de moi. J’ai devant moi trois beautés entièrement dénudées qui ne songent qu’à une seule chose, faire monter mon plaisir à des niveaux de plus en plus haut jusqu’à l’orgasme final. C’est à cette occasion que Nina, esseulée car Alice fait du cheval sur ma bite et que maman insère ma tête entre ses cuisses pour me faire dévorer sa foufoune, tente une autre approche. Nina prend ma main, redresse mon majeur pour se doigter avec quand soudain elle s’écrie :
-Il bouge putain ! il bouge !
Ma mère et ma sœur tournent leur tête vers elle et lui demandent en cœur :
-Qu’est ce qui bouge ?-Son doigt, il bouge son doigt dans ma chatte ! A suivre… J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos likes pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
Diffuse en direct !
Regarder son live