Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 470 J'aime
  • 35 Commentaires

Ma mère, mes veuves, ...

Chapitre 1

Le déclic !

Inceste
Je m’appelle Philippe, j’ai 42 ans, je suis marié à Brigitte 42 ans également ; nous avons deux garçons, des ados bien de leur époque ! Depuis toujours j’habite à Paris et je travaille comme conseiller financier patrimonial dans une grande banque du IIème arrondissement de Paris près de la Bourse. Oui, je suis un homme heureux et épanoui, en famille comme au travail. Mais qui pourrait se douter que derrière mon apparence calme et rangée se cache un lourd secret - voire une véritable passion - que je porte en moi depuis ma plus lointaine enfance.A cette époque je ne suis qu’un gamin qui vit seule avec sa mère, alors âgée de 40 ans, suite au décès accidentel de mon père. Nous habitons alors un grand appartement au rez-de-chaussée d’un bel immeuble haussmannien jouxtant le parc Monceau. Mon père, fils unique, avait fait un bel héritage à la mort de ses parents et avait investit dans ce luxueux appartement dont le salon et la chambre parentale donnent sur un petit jardin permettant l’accès direct au parc. Un paradis !Ma mère, Mireille, est une jolie femme très BCBG, une ravissante bourgeoise parisienne pourrait-on dire et je ne lui connais aucun défaut. C’est un peu une Sainte Nitouche, une veuve courage et une maman dévouée. Elle travaille comme secrétaire médicale dans une clinique près de Saint-Augustin et me consacre quasiment tout le temps qu’elle ne passe pas au travail. Je ne lui connais aucun ami masculin même si j’imagine qu’elle doit bien avoir des hommes dans son entourage professionnel. Oui, pour moi c’est vraiment une sainte, se consacrant entièrement à moi lorsqu’elle est à la maison et totalement investie auprès des patients de son centre médical.
Cette superbe image d’Epinal que j’avais de ma mère s’est craquelée un beau jour que je revenais du collège. Le professeur de maths étant tombé malade, notre fin des cours est sifflé une heure trente plus tôt que prévu en ce mardi après-midi. C’est donc dans la joie la plus totale que notre classe se disperse comme une volée de moineaux devant le collège Sainte-Ursule où je suis scolarisé.Un copain habitant rue de Courcelles m’accompagne quelques minutes puis chacun de nous deux prend la direction de son appartement. Me voici rue Alfred de Vigny, j’ouvre la grille et pénètre dans la vaste cour qui dessert les trois immeubles de la résidence. Je me dirige vers celui en face de moi, tape le code et m’arrête devant la porte de droite. Je sors la clé de mon cartable et tente de l’introduire dans la serrure. Elle n’y entre qu’à moitié, impossible d’aller plus loin. Ma mère doit déjà être là et elle a laissé sa clé dans la serrure. Quelle étourdie !Je n’ai pas envie de la déranger, peut-être est-elle en train de lire dans le salon comme elle aime à le faire pour se changer les idées. De plus il fait un grand soleil et je décide d’en profiter pour faire le tour de l’immeuble par le jardinet extérieur et rentrer ainsi par la porte de l’arrière-cuisine dont j’ai également la clé.
Je fais donc le tour de l’immeuble par la gauche et me fraye un passage entre les pittosporums, cotonéasters et autres arbustes qui poussent dans la partie arborée de la résidence donnant sur le parc Monceau. J’entends les jeunes enfants de l’école maternelle d’à côté piailler dans la grande aire de jeux. Je les envie un peu mais les balancelles ce n’est plus de mon âge !Alors que je viens de passer devant la fenêtre de la chambre de ma mère et écarte un peu les arbustes pour filer devant la grande baie vitrée en direction de la porte de l’arrière-cuisine, je suis surpris de constater que les épais rideaux du salon sont fermés. Ma mère y lit peut-être et le soleil la gêne ? Pourtant, comme nous sommes en fin d’après-midi, les rayons ne donnent pas sur cette façade.Je me colle à la vitre et jette un œil par une petite fente entres les deux rideaux qui ne doivent pas être tirés entièrement. Quelle n’est pas ma surprise de découvrir alors ma mère avec deux hommes dans la pièce.
Ce qui m’interpelle en premier, ce ne sont pas les deux hommes mais ma mère que je découvre pour la première fois en lingerie. Oui, ma mère que je vois toujours en robe de couturier ou en tailleur de marque est là devant moi en lingerie noire. Même si je suis un jeune puceau vu mon âge, ce n’est pas pour autant que je ne me suis jamais intéressé aux choses du sexe. Au collège, les revues coquines comme Lui et Playboy circulent dans les cartables et passent de main en main dès que l’on est dehors bien installés sur les bancs du boulevard Pereire.Les jeunes mâles en devenir que nous sommes jubilent devant le poster central de la revue, que l’on évite tout de même de trop déplier pour ne pas choquer les mamans du quartier avec leurs poussettes. On admire les énormes seins de la playmate du mois et on apprécie son porte-jarretelles, ses bas noirs et ses talons hauts. On ne quitte pas des yeux cette foufoune poilue qui cache une jolie fente rose toute luisante.Le soir une fois au lit, il m’arrive régulièrement de me réfugier sous le drap et la couverture de mon lit. Allongé sur le côté, la revue ouverte et posée près de moi, j’éclaire ces superbes femmes à la lueur de la lampe de poche que je tiens de ma main gauche. Les pages défilent comme autant de mirages, j’éclaire les photos comme le ferait un projecteur dans une revue du Moulin Rouge ou du Crazy Horse. De ma main droite, je me branle avec vigueur devant ces bouches fardées de rouge, ces poitrines opulentes comme de grosses oranges, ces croupes cambrées bien bronzées et ces sexes roses entrouverts.Bien évidemment, j’arrose copieusement la revue et les draps. C’est impressionnant ce que mes réserves se reconstituent rapidement. Demain il faudra que je jette discrètement la revue à la poubelle dans la rue. Il y a trop de pages collées les unes aux autres et ce sont les meilleures photos que je ne peux plus regarder au lit.
Oui, devant cette scène insensée dans le salon de notre appartement, c’est ma mère que je fixe intensément car je ne la reconnais pas. J’ai tellement l’habitude de la voir tirée à quatre épingles, quelles que soient les occasions, que je suis sidéré par ce que je vois. Sa lingerie noire est très sexy et je ne doute pas que c’est de la grande qualité - Aubade, Simone Pérèle ou Lise Charmel – comme toujours ! Non, ce qui me surprend c’est la position qu’elle adopte avec ces deux hommes alors qu’elle est d’habitude si attentive à son maintien. Jeune, elle a fréquenté une école de bonnes sœurs dans le XVII ème arrondissement et elle a toujours gardé cette éducation stricte ; buste droit, jambes croisées et tête haute comme il sied à une femme de son rang.Mais là, elle est à quatre pattes sur le tapis du salon ; elle suce l’homme qui est devant elle pendant que l’autre est en train de la prendre. Sur son visage je lis tout le plaisir qu’elle éprouve sous les assauts de ces deux mâles. Devant moi, ce n’est pas ma mère que je vois, pas même l’une de ces créatures qui posent dans les magazines que nous nous échangeons au collège. Non, là devant moi, je ne vois qu’une salope, une garce, une chienne en chaleur qui s’abandonne totalement sans aucune retenue à ces deux mâles. Même si je n’en ai jamais rencontré, je dirais que ma mère ressemble ainsi à une pute qui s’offre à deux clients. Oui, pour le jeune garçon que je suis, il n’y a qu’une pute qui peut accepter de faire l’amour avec deux hommes en même temps. Et pas des apollons, non deux types vulgaires dans la cinquantaine, mal fagotés, pas rasés et un peu bedonnants.
Je devrais partir et ne plus regarder mais ma queue juvénile se dresse dans mon pantalon. Oui, je dois l’avouer, assister en directe à cette scène érotique est bien plus excitant que de feuilleter Lui ou Playboy. Vérifiant de temps en temps que personne ne peut me surprendre dans le jardinet, je reste là les yeux collés à la vitre regardant ma vénérable mère se faire trousser par ces deux inconnus.Soudain, celui qui est derrière elle s’immobilise et je ne peux quitter du regard ces énormes cuisses poilues collées aux fesses blanches de ma mère. Un long rictus de plaisir bestial se dessine sur son visage un peu rougeaud, je comprends tout de suite qu’il vient de jouir dans les entrailles de ma maman ! Aussitôt, le second fait allonger ma mère sur le dos et vient se caler entre ses jambes. Lui aussi veut en profiter jusqu’au bout !Et de nouveau, je vois ma mère s’abandonner entièrement à cet homme. A son sourire et à l’expression de son visage, je comprends combien cet instant lui plait. Je la vois écarter encore plus grand les jambes, attirer l’homme tout contre elle pour qu’il l’embrasse à pleine bouche. Celui qui l’a prise en premier lui caresse maintenant la poitrine tandis que son acolyte besogne ma mère avec jubilation. Dans cette scène, tout n’est que contraste entre ces deux hommes et ma mère ! Les grosses mains boudinées sur ses seins laiteux, la bedaine graisseuse plaquée contre son bas-ventre, leur corps tout poilu contre sa peau si lisse.Pour l’enfant que je suis, la scène ressemble à certaines images que j’ai pu découvrir inopinément dans de vieux livres à la bibliothèque paroissiale lors des séances de catéchisme hebdomadaire. Oui, à mes yeux, ces deux hommes ressemblent aux suppôts du diable, hyper velus, hyper sexués et chantres de la luxure et de la dépravation.
Devant mes petits yeux ébahis, le second homme s’écroule soudain sur ma mère qui replie bien haut les jambes pour qu’il s’introduise encore plus loin en elle. Le visage mal rasé affiche alors l’air réjoui du mâle apaisé par la saillie.Les deux hommes se relèvent et remettent leurs habits, ma mère reste allongée pantelante sur le tapis, comme groggy après un long combat. Je vois les deux hommes quitter la pièce puis, quelques minutes plus tard, me mère se relève à son tour. Elle plaque une main sur sa chatte, certainement pour éviter que le foutre qui dégouline de son sexe ne laisse des traces suspectes. D’une démarche hésitante, je la vois emprunter le couloir qui mène à la salle de bain. Le salon est maintenant désert, comme si tout cela n’avait jamais existé.Je quitte ma cachette, emprunte la porte au fond du jardinet et sors dans le parc Monceau. J’en ressors par le grand portail donnant sur le boulevard de Courcelles et reviens tranquillement vers notre immeuble, comme si je sortais tout juste du collège. Devant notre appartement, je me refais un visage d’enfant innocent, introduit ma clé dans la porte et déverrouille la serrure. J’entre et me dirige vers ma chambre pour y déposer mon cartable.-    Bonjour mon chéri, me lance ma mère en se dirigeant vers moi.Elle est en peignoir et les cheveux encore mouillés, ses mules rouges aux pieds.-    Bonjour maman.-    Je suis rentrée vannée du travail. Cette bonne douche m’a vraiment fait du bien, me lance-t-elle.La fin de journée et la soirée se passent comme d’habitude, comme s’il s’agissait d’une journée normale.
Une fois au lit, nul besoin de sortir une revue de la cachette pour me masturber. Les yeux fermés, je revois ma mère s’accoupler avec ces deux types. Bien plus vite que les autres soirs, mon sperme fuse avec violence sous le drap. J’en ai partout, je m’essuie vite avec le mouchoir caché sous mon polochon.Ma nuit est peuplée de rêves érotiques étranges dans lesquels des femmes en robe noire, des veuves ressemblant à ma mère, s’offrent à des hommes de toutes conditions …
Diffuse en direct !
Regarder son live