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Ma mère, mes veuves, ...

Chapitre 2

De plus en plus obsédé par les veuves ...

Inceste
Depuis cet après-midi où j’ai surpris ma mère en train de faire l’amour avec deux hommes dans le salon de notre appartement, je ne la regarde plus comme avant. Jusqu’à présent, depuis le décès de mon père, elle représentait pour moi l’image de la mère entièrement dévouée à son jeune fils et ne s’accordant aucun instant pour elle. Parfois d’ailleurs, je regrettais qu’elle soit une véritable mère poule, me couvant d’un amour maternel bien trop envahissant pour un jeune garçon en âge de découvrir les choses de la vie.Depuis ce jour, son comportement envers moi n’a nullement changé, elle est toujours aussi prévenante et attentionnée. En fait, c’est moi qui ai un regard différent sur elle. Alors que l’idéalisais, l’élevais sur un piédestal, je constate qu’elle n’est en fait qu’une femme comme les autres. Cela n’enlève rien à l’amour filial que je lui porte, non vraiment rien ! Mais maintenant, je sais qu’elle a des envies de femme, qu’elle aime le sexe et semble aimer beaucoup cela. Et pour un jeune garçon de mon âge, cette découverte, cette révélation va changer beaucoup de chose !
Ce dimanche matin, comme chaque dimanche, j’accompagne ma mère à la messe de 11h00 célébrée en l’église Saint Augustin. Nous nous y rendons toujours à pied, en coupant par le parc Monceau puis en descendant le boulevard Malesherbes.Je ne suis pas un croyant confirmé mais, depuis le décès de mon père, ma mère a pris l’habitude d’aller à la messe tous les dimanches. Elle me dit que c’est sa façon de garder le lien avec lui malgré sa disparition et je considère qu’il est de mon devoir de l’accompagner.On ne peut pas dire que je suive vraiment l’office car mon esprit vagabonde en écoutant les psaumes et l’orgue. Je regarde le prêtre et les enfants de cœur, j’admire les anges polychromes sur les piliers en fonte dorée et je reste admiratif devant ce mélange de styles architecturaux, roman, byzantin mais aussi un peu antique et renaissance. L’église est sombre, contrairement à d’autres construites à la même époque, mais j’imagine que la Lumière est avant tout intérieure.
C’est maintenant le temps de la consécration avec la présentation de l’hostie et du calice par le prêtre. Comme d’autres, ma mère se met à genoux alors que je reste debout les bras croisés sur la poitrine. Soudain, je la revois à genoux sur le tapis du salon entre ces deux mâles qui profitent d’elle.Je baisse alors les yeux vers elle, là à ma gauche, et je ne peux détacher mes yeux de cette robe noire qu’elle porte. Oui, alors qu’elle n’hésite pas à porter des tenues gaies et colorées en semaine, elle porte toujours une robe noire pour aller à la messe. Je ne sais pas si c’est pour afficher son statut de veuve aux yeux de toute la paroisse ou bien si c’est pour témoigner à mon père, comme s’il pouvait la voir, qu’elle lui est toujours restée fidèle depuis son décès.Je regarde sa chevelure blonde puis mes yeux suivent son dos, s’arrêtent sur le creux de ses reins avant de poursuivre jusqu’à ses fesses bien rondes. Puis mon regard glisse sur ses jambes gainées de noir jusqu’aux talons de ses chaussures. Mes pensées ne sont plus très catholiques ! Porte-t-elle un string ce matin ? Est-ce que ce sont des bas ? Fixés à un porte-jarretelles ou bien auto-fixant ? Bon Dieu, je bande comme un damné et je ne peux plus détacher les yeux de ma mère, veuve fidèle à son époux devant toute l’assemblée paroissiale mais veuve joyeuse dans l’intimité de ses rencontres libertines.
De retour à la maison, alors que ma mère s’affaire dans la cuisine pour préparer notre déjeuner dominical, je me précipite dans ma chambre et me masturbe longuement en fantasmant sur une veuve qui ressemble à ma mère et qui me déniaise lors de joutes érotiques des plus brûlantes. Allongé sur le lit, me pignolant lentement pour faire durer la magie de l’instant, je comprends que je jeune garçon que je suis ne sera plus jamais le même. Oui, ce matin à l’église, j’ai eu comme une révélation, les veuves sont les plus salopes des femmes !Certes, elles ont fait le deuil de leurs maris et compagnons défunts mais elles n’ont nullement fait le deuil des plaisirs de la chair. Et je ne doute pas que nombre d’entres elles, comme ma mère, portent sous leurs tenues noires - symbole de tristesse - des dessous noirs ouvrant des perspectives bien plus réjouissantes.Ces pensées, dans lesquelles le visage de ma mère s’estompe pour devenir celui d’une veuve inconnue, ne font que renforcer mon excitation. Je bande comme un âne, ma queue me fait mal. Mais heureusement la libération arrive ! Mon foutre gicle en puissants jets crémeux, j’en ai partout et quelques gouttes ont même fusé jusqu’à mon menton.
Une fois le déjeuner terminé, ma mère va se changer dans sa chambre et revient en tenue casual comme elle en a l’habitude lorsque nous ne sommes que tous les deux. Nous nous installons ensuite au salon pour prendre le café. Elle me parle mais je ne l’écoute pas, je repense à cette scène de luxure qui hante mon esprit depuis ce mercredi après-midi.-    Eh bien Philippe, tu ne m’écoutes pas ! dit-elle un peu plus fort. A quoi penses-tu ?-    Euh ! …. Je pensais à mes prochains examens maman ! Excuse-moi ! Nous papotons de choses diverses pendant un bon moment puis il est temps que je fasse mes devoirs. Je vais dans ma chambre, m’installe à mon bureau et me lance dans mes exercices de maths et de français.L’après-midi se poursuit tranquillement, ma mère regarde la télévision, je travaille dans ma chambre. Nous dînons ensemble puis regardons le traditionnel film du dimanche soir à la télévision. Le film fini, tandis que ma mère prend une douche, je zappe d’une chaîne à l’autre. Ma mère vient m’embrasser puis file se coucher. Je vais à la salle de bain me laver les dents ; avant de rejoindre ma chambre je jette un rapide coup d’œil au panier de linge sale. J’y découvre la lingerie de ma mère, je respire son parfum intime et fonce dans ma chambre.Je sors le dernier Playboy caché sous le matelas et me mets au lit. Je regarde ces femmes mais je les imagine toutes en robe et lingerie noire. Nouvelle branlette, nouvelle éruption, nouvel apaisement. Je crois que je suis vraiment devenu accro aux femmes en noir !
Alors que jusqu’à présent je traînais toujours après les cours avant de rentrer chez moi, j’ai maintenant changé mes habitudes. Aussitôt la sonnerie, je dis « Au revoir » aux copains et je fonce directement à la maison. En fonction de mon emploi du temps, je sais que je dispose d’une ou deux heures avant que ma mère ne rentre à son tour. Cela me laisse le temps !Je me précipite dans sa chambre et chaque jour j’explore son armoire, sa commode ou sa table de chevet et fouille le moindre recoin. Dans sa penderie, je regarde ses robes et ses tailleurs et m’attarde longuement sur les trois ou quatre robes noires qu’elle a et qu’elle porte à la messe. Le simple contact de la paume de ma main sur le fin tissu me provoque une érection. Je sors l’un des robes et m’enfouis le visage dans les replis soyeux tout en respirant le parfum capiteux de ma mère qui y est encore imprégné.Je ne m’attarde pas car je ne voudrais pas me faire surprendre. Je remets donc tout en place et fonce me renfermer dans les toilettes. Je me branle et je jouis en quelques minutes. Ma mère peut maintenant rentrer à la maison, j’ai repris mes airs de fils bien sage, installé dans sa chambre à faire ses devoirs.
Ce jeudi soir, à peine rentrée, ma mère m’annonce que je vais devoir dîner seul car elle est invitée chez une amie. Cela lui arrive de temps en temps et je n’y avais jamais accordé la moindre attention. Il est en effet normal qu’elle ait une vie sociale, même si elle vit seule avec moi. Cependant, depuis que je l’ai surprise avec ses deux amants, je vois ses rares sorties d’un œil bien différent et je me demande si ses soi-disant copines et collègues de travail ne sont pas en réalité des hommes rencontrés je ne sais comment.Une fois qu’elle est partie, je m’installe au salon devant le minitel et m’entraîne à aller sur des sites de rencontres. 3615 ULLA, je m’inscris sous le pseudo « Mamaman » et j’échange avec quelques hommes ; je leur explique que j’ai surpris ma mère avec deux hommes et que je voudrais que ça recommence. A pianoter ainsi, le temps passe vite et je suis tout excité lorsque je raccroche. Lorsque je rejoins ma chambre, il doit être près de 23h00. Alors que je ferme les rideaux de la pièce pour me mettre au lit, je remarque une voiture qui s’arrête dans la rue devant l’immeuble et recule dans une petite impasse perpendiculaire. Les phares s’éteignent et deux personnes descendent de la voiture, la lumière diffusée par un lampadaire me permet de reconnaître immédiatement ma mère. Vite je fais l’obscurité dans ma chambre, ferme les rideaux et me poste derrière la fenêtre pour surveiller l’impasse. Je vois ma mère et l’homme reprendre place dans la voiture mais cette fois-ci aux places de derrière. Pas besoin d’avoir des années d’expérience pour comprendre qu’ils sont en train de baiser. La banquette arrière d’une voiture est bien plus confortable que les deux sièges avant séparés par le levier de vitesse.
J’imagine ma mère allongée sur la banquette de cuir et ma queue se dresse dans mon pantalon de pyjama. L’homme a dû lui remonter sa jupe et sa grosse main caleuse écarte la petite culotte. Dans mon fantasme, la douce main de ma mère guide le gland vers sa fente et la voici qui relève haut les jambes par-dessus les épaules de cet inconnu que j’imagine rustre et vicieux.L’homme est vautré sur ma mère et la besogne avec ardeur. Il est gras, ventru et mal rasé ; ma mère est maquillée de près et toujours aussi élégante malgré la position qui ne sied pas vraiment à une femme de sa classe.L’homme transpire et ahane, ma mère gémit sous les puissants coups de boutoir. Ils ne sont vraiment pas assortis ; on dirait la belle et la bête. Je crois que c’est ce qui m’excite le plus ! Imaginer ma mère, si distinguée et si élégante, s’offrir à un rustre ; je bande de plus belle.J’imagine maintenant le rictus qui se dessine sur le visage de l’homme qui sent l’orgasme arriver. Ses mains remontent sous le tailleur de soie de ma mère et il pétrit ces seins qui m’ont allaité quand j’étais enfant. Sa bouche se plaque sur celle de ma mère et sa langue râpeuse s’entremêle avec la sienne. Puis dans un long râle de bête sauvage, le voici qui se répand dans l’intimité de ma mère ; je suis sûr qu’elle aime se sentir ainsi souillée après s’être abandonnée comme la dernière des salopes.
Je vois les deux portières qui s’ouvrent, l’homme remonte aussitôt au volant. Ma mère a encore la jupe relevée, elle arrange sa petite culotte et réajuste sa tenue. Sans même un dernier échange entre eux deux, l’homme démarre et repart en voiture tandis que ma mère se dirige vers le portail de la résidence.Je me glisse rapidement au lit. Avant qu’elle n’arrive, j’ai le temps de me branler en pensant à ce couple si mal assorti qui vient de baiser en pleine nuit dans cette petite impasse. Excité comme je suis, je jouis en moins de deux minutes. D’un kleenex j’efface les traces de cette jouissance fugace et fais comme si je dormais.Quelques minutes plus tard, la porte de ma chambre s’entrouvre et ma mère se rapproche de mon lit. Je respire son parfum mais reste immobile les yeux fermés. Elle m’embrasse sur le front et ressort sans faire de bruit. Le silence se fait dans notre petit appartement, ma mère s’est mise au lit et je ne doute pas qu’elle va rapidement s’endormir après cette saillie bestiale. A combien d’hommes s’est-elle donnée ce soir ? J’espère qu’ils étaient plusieurs et l’ont prise comme les deux autres l’autre jour dans notre salon.Cela fait bien une heure que ma mère est rentrée et je n’arrive toujours pas m’endormir. Des femmes en robe noire, des veuves, défilent devant mes yeux suivies d’hommes nus. Ils forniquent comme des bêtes et les corps s’emmêlent. Je me lève et me dirige silencieusement vers la salle de bain. J’ouvre le panier de linge sale et y trouve aussitôt la lingerie de ma mère. J’extirpe du panier un string noir roulé en boule. Je déplie le tissu, il est tout poisseux et j’y reconnaît tout de suite l’odeur acre du sperme. Je baisse mon pantalon de pyjama et me branle dans le string. Des jets de foutre fusent rapidement et mon foutre se mêle à celui de l’inconnu qui a souillé ma mère tout à l’heure dans l’impasse.
Je retourne discrètement dans ma chambre et me remets au lit. Cette fois-ci, vidé comme je suis, je m’endors. Au petit réveil, je ne me souviens plus de tous ces rêves que j’ai faits pendant mon sommeil.Cependant, ma mère en robe noire y revenait sans cesse mais elle n’était pas la seule veuve à peupler mes rêves. Je me souviens en avoir sailli une qui était à genoux sur un prie-Dieu. Je suis incapable de dire si c’était ma mère car elle avait une voilette de tulle noir devant le visage. Mais elle lui ressemblait et avait le même parfum. J’ai dû jouir dans mon pyjama car il était tout souillé ce matin en me réveillant. Ces rêves ne font que confirmer ce que je devine depuis déjà quelques jours ; ma mère et les veuves vont désormais hanter mes fantasmes juvéniles. Je sais aussi que je vais tout faire pour les concrétiser …
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