Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 550 J'aime
  • 29 Commentaires

Ma mère, ma MILF.

Chapitre 4

Soirée MILF à la maison ...

Inceste
Un deuxième coup de sonnette me ramène à la réalité. Plus le temps de réfléchir, plus le temps de tergiverser, plus le temps de se dire « Si j’avais su ! », il est trop tard pour faire machine arrière.J’ouvre donc la porte et me retrouve face à une superbe femme, la quarantaine, brune les cheveux bouclés, des yeux noisette et des lunettes assorties, un visage souriant. Elle doit faire un peu moins d’un mètre soixante-dix, environs cinquante kilos et une belle poitrine que j’évalue à 95C.-    Bonjour, me dit-elle. Je suis Anna la collègue de Clothilde.-    Bonjour Anna, je suis Dimitri un ami de Clothilde.Elle me fait la bise et je l’entraîne vers le salon où ma mère est déjà installée. Je mate discrètement Anna et me dis que son style va faire le bonheur de mon copain Léo. Elle porte une mini-jupe en velours vert et un petit haut assortie décolleté qui laisse deviner de superbes seins. Ses jambes sont gainées de noir clair et ses pieds sont chaussés de bottines de cuir. Oui, elle a tout d’une MILF ! Mais en sait-elle plus sur le sujet que ma mère ?Anna s’installe sur le canapé juste à côté de ma mère. D’où je suis, j’ai l’impression qu’elles complotent mais je dois me tromper. Elles rient et discutent à voix basse, impossible de comprendre ce qui les rend si joyeuses ! Je n’ai pas le temps de me rapprocher d’elle pour en savoir plus car la sonnette retentit de nouveau.
Cette fois-ci ce sont mes trois copains qui arrivent accompagnés de Caroline et d’Alice. Je les fais entrer et les guide vers le salon. Chacun trouve une place et s’installe.-    Je suis ravi de vous recevoir chez moi, leur dis-je. Et je remercie Cloclo d’être venue en avance pour m’aider à tout préparer. Sans elle, j’étais foutu !-    Je vous présente mon amie Anna, annonce ma mère. Comme Dimitri m’a dit que Léo était seul, je me suis dit que c’était là une bonne occasion de la sortir de sa routine.Une fois les présentations faites, il est temps de commencer les agapes. Je me lève et ma mère fait de même. Je remarque tout de suite que mes trois potes la matent de façon appuyée. Il faut dire qu’en se levant, ils n’ont pas manqué de remarquer – tout comme moi - les larges jarretières qui retiennent ses bas. A la cuisine, nous prenons les plateaux déjà préparés. -    Maman, fais attention quand tu te lèves, lui dis-je.-    Ah bon, pourquoi ? m’interroge-telle.-    Mais on voit que tu portes des bas et on a failli en voir bien plus !-    Ne t’inquiète pas ! me rétorque-t-elle en repartant vers le selon avec son plateau.Une fois les victuailles servies, je sors les verres et quelques bouteilles d’alcool. La fête peut maintenant commencer.
Les plateaux se vident petit à petit, les verres aussi mais ils se remplissent aussitôt. Comme sa collègue Anna, ma mère a la main lourde avec le Baileys ; à ce rythme, elle va vite être pompette. Mes trois copains en restent à la Desperados alors que Caroline et Alice préfèrent le mojito préparé par ma mère.-    Tu n’aurais pas une petite cigarette ? demande soudain ma mère à Maxime.Celui-ci sort une boite de sa poche, en extrait une clope, l’allume, tire deux bouffées et la tend à ma mère.-    Tiens CloClo, tu m’en diras des nouvelles ! lui dit-il.Ma mère tire quelques taffes, tousse un peu puis passe la cigarette à Anna. Maxime a déjà allumé un autre joint et le fait passer à Caroline et Alice.-    Tu n’aurais pas un peu de musique ? me demande soudain Léo.Je me lève et me dirige vers le petit meuble hifi en me disant que c’est maintenant que la soirée va vraiment commencer. Et peut-être les ennuis avec !
Les premiers accords et les premières paroles de Simon et Garfunkel résonnent dans la pièce.“ And here’s to you, Mrs. RobinsonJesus loves you more than you will know Whoa, whoa, whoaGod bless you, please, Mrs. RobinsonHeaven holds a place for those who pray Hey, hey, heyHey, hey, hey …”Voilà déjà Léo qui enlace Anna et l’entraîne pour un petit rock ; Maxime et Alice ainsi que Saïd et Caroline les rejoignent aussitôt. Ma mère me regarde et je comprends qu’il est préférable de danser nous aussi si nous ne voulons pas dévoiler notre jeu.La chanson est à peine finie que Maxime me glisse discrètement à l’oreille de mettre de la musique un peu plus lascive. Je m’en doutais et je lance une série de slows sensuels téléchargés sur internet. Pendant ce temps ma mère éteint les spots du plafond et allume deux petites appliques murales qui plongent aussi la pièce dans une douce pénombre.Il n’y a plus que Léo et Anna qui dansent bien enlacés. Pourvu que mon copain y aille avec doigté et ne précipite pas les événements. Pour l’instant ça a l’air d’être le cas !Saïd est calé dans un fauteuil, Caroline installé sur ses genoux. Je devine qu’une main de mon copain est glissé sous le petit gilet rose de cachemire et qu’il doit être en train de malaxer les seins de la belle.Installés sur un canapé, Alice et Maxime se roulent des pelles sans se soucier de ce qui se passe autour d’eux. Mon copain m’a demandé tout à l’heure si je pouvais lui prêter ma chambre. Je lui ai indiqué qu’elle se trouvait à gauche au fond du couloir.Ma mère va à la cuisine déposer deux plateaux vides et reviens avec un autre chargé de petits pâtisseries et de canelés.-    Tu sais recevoir mon chéri ! me lance-telle.-    Oui Dimitri, tu as bien fait les choses ! rétorque Maxime. C’est la grande classe !Ma mère se saisit d’un canelé et vient se lover contre moi dans le fauteuil.-    Tiens, croque mon chéri ! me dit-elle en portant le canelé à mes lèvres.A peine l’ais-je avalé qu’elle m’embrasse sur la bouche.-    J’adore tes lèvres sucrées ! me susurre-t-elle en se collant encore plus près de moi.
Nous voici maintenant tous les huit en train de danser sur « L’été indien » de Jo Dassin« On ira où tu voudras, quand tu voudrasEt l’on s’aimera encore, lorsque l’amour sera mortToute la vie sera pareille à ce matinAux couleurs de l’été indien … »Léo a les mains posées sur les fesses d’Anna et cela ne semble pas déranger l’amie de ma mère. D’ailleurs cela le pousse à s’enhardir et les voici bouche à bouche. Pas d’esclandre ! Ouf je suis rassuré.Maxime prend Alice par la main et disparait vers le fond du couloir.-    Mon Dieu, dans quel état vais-je retrouver ma chambre ?Saïd n’a nul besoin d’intimité pour entreprendre Caroline. Il se cale au fond d’un fauteuil et attire la MILF contre lui. Ils s’embrassent fougueusement et les mains de mon copain disparaissent déjà sous la jupe de la belle blonde.Ma mère et moi cessons de danser et elle retourne s’installer sur le canapé. Je vais à la cuisine pour récupérer un nouveau pack de Desperados ; c’est fou ce qu’on a soif !En revenant, je passe à proximité du seul couple qui danse encore ; je devrais plutôt dire qui fait du sur-place. Je surprends une partie de la conversation entre Anna et Léo-    Tu fais souvent des soirées comme celle-ci ?-    Non, c’est la première. C’est Cloclo qui m’a proposé hier de se joindre à elle.-    Cool !-    Mon mari est souvent absent et mes enfants sont grands. Je m’ennuie à la maison !-    Moi je ne m’ennuie pas avec toi ! Ton mari ne connaît pas sa chance d’avoir une femme si séduisante !-    En plus il me délaisse ! A mon âge, une femme aime savoir qu’elle plait encore et qu’elle suscite des envies.-    T’inquiète pas ! Je vais te montrer que tu me plais beaucoup !
Je pose les bouteilles de bière sur la table et m’assoie près de ma mère. Elle se ressert un petit verre de Baileys et tire une nouvelle taffe sur le joint qui se consume lentement dans le cendrier.-    Doucement maman, tu vas te rendre malade ! lui dis-je à l’oreille.-    Mais non, ne t’en fais pas ! J’aime être dans cet état un peu second, me répond-t-elle.-    Oui mais après tu ne te souviens plus de rien ! ajouté-je pour tenter de la raisonner.-    Eh bien si j’oublie, tu me raconteras ! me rétorque-t-elle avec un grand sourire.Je comprends vite que ce n’est pas la peine d’insister et je prends une despe pour me changer les idées. Oui vraiment, j’adore ce goût de téquila Léo entraîne Anna sur un canapé et, à ma grande surprise, la collègue de ma mère ouvre la braguette du jeune homme et le prend en bouche. Oh non, pas ça ! De l’autre côté de la table basse, Caroline a ouvert son chemiser et Saïd joue avec les énormes seins qu’on lui offre.Par moments, mes deux potes jettent des coups d’œil de notre côté et semblent surpris de voir que nous restons bien sages.-    Si nous ne faisons rien, ils vont se douter de quelque chose ! me dit ma mère en se lovant un peu plus contre moi.-    Oui je sais maman, mais c’est toi qui nous as entraînés dans cette galère, lui glissé-je à l’oreille.-    Faisons semblant comme l’autre soir, ils ne s’apercevront de rien. Et retire ton pantalon et ton caleçon pour être plus crédible ! me répond-t-elle.A peine suis-je rassis sur le fauteuil la queue à l’air que ma mère vient se positionner à califourchon sur moi en relevant sa jupe. Ouf, elle a une petite culotte comme l’autre soir ! Elle m’embrasse à pleine bouche et ondule sur moi.-    Fais un effort pour que ce soit crédible ! me dit-elle.J’ouvre son chemisier et libère sa poitrine des balconnets de son soutien-gorge. Le bas-ventre toujours bien collé contre le mien, elle bascule le haut de son corps en arrière pour se rendre encore désirable.-    Elle joue vraiment le jeu ! me dis-je en moi-même.Je la saisis ensuite par la taille et ondule à mon tour du bassin tout en lui embrassant les seins.
Je jette un petit coup d’œil à mes deux potes ; ils me répondent d’un petit geste de la main, poing fermé et pouce vers le haut pour me signifier que la soirée est vraiment top. Il faut dire qu’Anna est maintenant à genoux sur le tapis, la tête sur un coussin du canapé et Léo la besogne avec vigueur bien campé derrière elle.Caroline a retiré son petit-haut et son soutien-gorge pour chevaucher Saïd qui jubile de plaisir en regardant cette énorme poitrine laiteuse qui s’agite devant ses yeux.Moi j’ai la queue qui s’échauffe contre le string et le ventre de ma mère. Soudain, elle écarte un peu plus les jambes, se redresse un peu plus haut sur moi et retombe violemment sur ma tige. Qu’elle n’est pas alors ma surprise de constater que ma bite va et vient maintenant au fond de sa chatte. Pourtant ce n’est pas possible que le tissu de son string se soit déchiré ! Bon sang, je n’en reviens pas, je suis en train de baiser ma mère !Ma mère gémit plus fort et se contente d’onduler du bas-ventre pour mieux se souder à moi.-    Oh que c’est bon ! me dit-elle.Impossible de faire machine arrière alors autant profiter de l’instant présent. On verra ultérieurement à s’expliquer aves elle si elle se souvient de l’affaire. Mais j’espère qu’avec l’alcool et le cannabis, ce ne sera dans son esprit qu’un souvenir fugace, une sorte de rêve éveillé.Finalement je ferme les yeux et ce n’est plus ma mère qui est là, sur mes genoux, empalée sur ma bite mais ma MILF. Je la saisis par les hanches, me penche en avant pour lui dévorer les tétons et j’ahane en lui donnant de grands coups de queue. Bien évidemment, excité comme je suis, je ne tarde pas à me répandre en elle en longs jets chauds et crémeux. Quel régal !
Il doit être 9h00 ce samedi lorsque j’émerge de mon lit, la bouche pâteuse et la tête un peu à l’envers. Je me lève et fait un rapide tour de l’appartement. Tout le monde est parti mais le salon est en bordel, verres à moitié vides, bouteilles d’alcool, canettes de bières, cendriers et mégots traînent un peu partout. Je vais avoir du boulot !Je passe devant la chambre de ma mère et y jette un œil par la porte entrouverte. Elle dort encore à poings fermés. Hier soir, une fois la soirée terminée, je l’ai entendue prendre une douche puis se mettre au lit. Tant qu’elle dort, tout va bien !Je me décide à prendre une douche car hier soir j’étais trop vaseux pour le faire. Quel bonheur de laisser couler l’eau bien chaude sur ma tête, ruisseler sur mon corps et mes jambes. Je me sèche et enfile un jogging pour rester cool toute la journée.Au moment de mettre mon linge sale dans le panier, je remarque que la lingerie de ma mère y est déjà. Tiens, on dirait le petit string noir qu’elle portait hier soir. Je m’en saisi et le respire ! Oui, il sent la femelle. Mais soudain, je me rends compte qu’il s’agit d’un string fendu et je reconnais là le string vu dans la devanture d’un magasin de Pigalle en revenant de chez Castorama après y avoir rencontré mon copain Maxime.-    Serait-elle revenue seule pour l’acheter ? me demandé-je.Bien évidemment je ne vais pas lui poser la question mais tout cela commence à m’intriguer.Ma mère dort toujours, je vais en profiter pour ranger l’appartement histoire de ne pas avoir un sujet de dispute dès son réveil.Il est environ 10h30 et je viens de terminer mes travaux ménagers. Le salon est aéré, tout est rangé et j’ai descendu les ordures ainsi que les cadavres de bouteilles au local poubelle. J’entends ma mère qui se lève, voici venu l’instant que je redoute ….
Diffuse en direct !
Regarder son live