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Ma mère, ma MILF.

Chapitre 5

Avec deux MILF dans mon lit ...

Inceste
Je suis à la cuisine en train de préparer le café lorsque ma mère me rejoint. Il est déjà 10h30 mais vu la soirée qu’elle a passée hier soir, je sais qu’un café bien serré va lui faire du bien. Elle a enfilé une robe de chambre mais je devine qu’elle est nue dessous. Elle s’assoie sur une chaise sans rien dire, elle semble être encore dans le coltard !-    Tiens maman, je t’ai préparé un bon café et je suis même allé te chercher des croissants, lui dis-je en posant le plateau devant elle.Elle redresse la tête, affiche un grand sourire et boit une gorgée de café.-    Tu es amour de fils, me lance-t-elle. Rien de tel qu’un bon petit déjeuner pour me remettre les idées en place.Elle reprend une gorgée de café, ouvre son croissant en deux, y met un peu de confiture d’abricot et croque dedans à pleines dents.Je m’assoie en face d’elle et me sert également une tasse de café. Je savoure un croisant, sans rien dire car jugeant inutile que ce soit moi qui aborde le sujet de notre seconde soirée MILF.Une fois son deuxième croissant avalé et son café terminé, elle semble avoir repris ses esprits.-    Quelle soirée ! s’exclame-t-elle. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas autant amusée. -    Tu as un peu exagéré sur la boisson, osé-je lui faire remarquer.-    Oui tu as raison, je n’ai pas été très raisonnable ! D’ailleurs je ne sais même plus combien j’ai bu de verres de Baileys. Mais c’est si bon !-    Il faut dire que nous avons tous un peu abusé de l’alcool et de la cigarette, ajouté-je pour la dédouaner un peu.-    Je me souviens que nous avons dansé ensemble mais ensuite c’est un peu le grand flou ! J’espère ne pas avoir fait de bêtises ! m’interroge-t-elle.-    Mais non maman, sois tranquille ! Nous avons joué le jeu et les autres n’y ont vu que du feu, lui dis-je. En partant, mes copains nous ont souhaité bonne nuit avec de grands sous-entendus sans imaginer bien évidemment que nous allions ensuite dormir chacun dans notre lit.-    Ouf, je suis rassurée, répond-elle. Bon, maintenant je vais prendre une bonne douche pour finir de me réveiller.
Tandis que ma mère est dans la salle de bain, je file dans ma chambre et m’allonge sur le lit. Je me débraguette et commence à me branler ; j’en ai gravement besoin ! Les yeux fermés, je revis cette soirée et je bande comme un âne.Je me revois avec ma mère à califourchon sur moi, ma queue bien raide coulissant dans la fente de son string et lui labourant la chatte. La tenant bien fermement par les hanches, je l’ai laissée monter et descendre sur ma hampe. Comme lors de la première soirée, j’ai osé lui caresser les seins, mordiller ses tétons et j’ai découvert combien cela lui plaisait.C’est dingue comme en deux soirées, l’image bien sage que j’avais de ma mère s’est transformée en une vision beaucoup plus érotique, voire pornographique. Je comprends finalement mes trois copains accros aux MILF ! Pour un jeune homme de 19 ans, dans la force de l’âge, bourré de testostérone, curieux des choses du sexe et avide d’expériences, il n’y a pas mieux qu’une femme expérimentée. Pour avoir couché plusieurs fois avec des filles de mon âge, j’ai constaté qu’elles ne savent pas faire grand-chose, sont plutôt coincées et n’osent jamais prendre d’initiatives. Tout le contraire d’une MILF qui a envie de tout vous apprendre, de A à Z.Bien évidemment, je jouis rapidement et à profusion comme si mes stocks de foutre s’étaient reconstitués dans la nuit après avoir bien arrosé ma mère hier soir. Lorsque ma mère sort de la salle de bain, j’ai déjà effacé toutes traces de ma rapide branlette.
Le samedi après-midi est relativement calme ; ma mère s’occupe de quelques tâches ménagères tandis que je regarde un match de rugby du tournoi des six nations. Je dois toutefois avouer que  mon esprit n’est pas vraiment au match car je n’arrête pas de gamberger.Ces deux soirées MILF m’ont fait découvrir ma mère sous un jour nouveau tout en révélant, je crois, mon envie de sexualité débridée avec des femmes d’expérience. Je suis cependant confronté à un cruel dilemme ! Dois-je faire comprendre à ma mère que nous ne pouvons plus continuer à jouer ainsi les amants devant mes copains car cela risque de mal finir ? En effet, nous risquons de commettre l’irrémédiable et je crois que nous sommes bien partis pour ! Ou alors mes copains risquent de s’apercevoir de la supercherie et je serai irrémédiablement éjecté de la bande des quatre !L’autre solution ne serait-ce pas d’avouer à mes copains que c’était un jeu entre ma mère et moi ? Mais dans ce cas, vu ce que ma mère à montrer lors des deux soirées, je redoute que mes potes s’intéressent alors à ma mère pour en faire leur MILF ! Je me dis que nous nous sommes vraiment mis dans une sale situation et qu’il va être difficile de s’en sortir honorablement.
Il doit être 22h30 et nous regardons la télévision. Je suis en jogging cool comme je le suis toujours le week-end quand je suis à la maison. Ma mère est encore en tailleur, il faut dire qu’elle ne sait pas vraiment ce que c’est qu’une tenue décontractée. Je suis allongé sur le canapé, elle est assise dans un fauteuil. Soudain son téléphone sonne, elle décroche et porte le téléphone à son oreille. Je ne peux suivre que la moitié de la conversation.
-    Bonsoir Anna ! Non tu ne me déranges pas, dit-elleJe comprends alors qu’elle est en communication avec sa collègue de travail qui était là hier soir avec nous et qui s’est bien amusée avec mon copain Léo. -    Non je ne suis pas chez moi mais chez Dimitri.Anna raconte je ne sais quoi et ma mère reprend-    Non je ne rentre pas chez moi ! Je profite de l’absence de sa mère tout le week-end pour passer la nuit avec Dimitri.Je n’en reviens pas ! Qu’est-ce que ma mère est en train d’inventer ?-    Ton mari vient de prolonger son séminaire à Marseille ! Tu penses qu’il te trompe ? Mais non tu te fais des idées ! répond-elle à son amie.Nouveau silence, ma mère écoute religieusement ce qu’Anna est en train de lui raconter. Puis c’est elle qui reprend la parole.-    Mais non, ne pleure pas ! Tout va s’arranger, sois tranquille !Nouveau silence.-    Bon d’accord, tu peux venir, on va boire un bon coup ensemble pour te remonter le moral ! Mais non, Dimitri ne t’en voudra pas, je vais lui expliquer !
La conversation est finie et ma mère pose son téléphone sur la table basse.-    Qu’est ce qui se passe ? lui demandé-je. Anna ne vient quand même pas ici ce soir ?Ma mère prend une grande inspiration, réfléchit quelques secondes puis se lance.-    Ecoute Dimitri, Anna est une excellente amie et je sais qu’elle est souvent sujette à la déprime. Comme je te l’ai déjà dit, ses deux enfants ne sont plus à la maison et son mari est régulièrement en déplacement. Elle a du mal à supporter la solitude !-    Oui mais elle n’est pas la seule à être dans une telle situation, lui rétorqué-je.-    Je le sais mais ce n’est pas une raison pour ne pas l’aider ! Son mari devait l’inviter ce soir au restaurant puis au théâtre pour se faire pardonner d’avoir été absent pour la Saint Valentin. Mais pas de chance, son séminaire est prolongé tout le week-end car tout n’est pas réglé !-    Je veux bien, lui dis-je, mais comment va-t-on lui expliquer la situation ? -    On ne lui explique rien ! me répond-elle. Je lui ai dit que ta mère est absente tout le week-end et nous continuons donc à jouer le jeu comme hier soir. -    Tout cela va mal finir ! Ce n’est vraiment pas raisonnable maman, on va se faire démasquer et je passerai pour un con auprès de mes potes.-    Mais non, poursuit-elle. Fais moi confiance et continue à jouer le jeu comme si de rien n’était ! Alea jacta est, le sort en est jeté, puisse ma mère ne pas nous conduire vers le ridicule. Même s’il ne tue pas !
A peine vingt minutes plus tard, on sonne à la porte de l’appartement.-    Va vite ouvrir, ce doit être Anna ! me lance ma mère.Je vais ouvrir et je fais entrer Anna. Une fois dans le salon, elle se jette dans les bras da ma mère.-    Oh Clothilde, je suis désolée de gâcher votre soirée, lui dit-elle. Mais je suis vraiment au plus bas ! -    Mais non, tu ne gâches rien, lui répond-elle. N’est-ce pas Dimitri chéri ?Bon, il va donc falloir que je joue mon rôle !-    Mais non Anna, tu ne nous spas ! lui dis-je faisant contre mauvaise fortune bon cœur.-    Assois-toi Anna, lui dit ma mère.-    Et toi Dimitri sers-nous un petit alcool, poursuit-elle à mon intention.Lorsque je reviens quelques minutes plus tard avec un plateau, trois verres et la bouteille de Baileys, les deux femmes sont en train de papoter à voix basse. Je remplis les verres, les deux femmes boivent un peu et se remettent à discuter.-    Pendant que vous papotez les filles, je vais prendre une bonne douche, leur lancé-je. Cloclo, tu connais l’appartement et tu fais comme chez toi, ajouté-je par bravade pour souligner à ma mère combien je m’en remettais à elle pour qu’elle gère au mieux la situation.
Dans la salle de bain, je me précipite sur le panier de linge sale. Oui, je dois bien le confesser, chaque jour depuis notre première soirée MILF chez Maxime je jette un œil au panier pour regarder la lingerie que ma mère a mis au sale. Je n’imaginais pas qu’elle puisse avoir une telle collection de strings, tangas, soutien-gorge et autres guêpières et bodys.Aujourd’hui, je découvre un string rouge et un soutien-gorge assorti de chez Aubade. Non seulement elle porte de la lingerie sexy mai, en plus, elle n’hésite pas à y mettre le prix pour acheter de la qualité. Je me suis déjà branlé ce matin au réveil, je ne vais tout de même pas remettre ça ce soir. Faudrait pas que je devienne obsédé !Lorsque je reviens au salon, ma mère et Anna sont toujours en train de discuter. Leurs verres sont vides, je leur ressers une bonne dose de Baileys. Une fois un peu guillerette, nul doute que la copine de ma mère aura retrouver le moral et regagnera ses pénates. En y regardant de plus près, je me dis qu’elle est tout de même bien foutue la copine Anna. Avec ses lunettes et ses cheveux bouclés qui tirent plutôt sur le roux ce soir, elle fait très secrétaire BCBG. Sa mini-jupe noire et ses escarpins à talons hauts lui font de superbes jambes. Son chemisier gris et ivoire me semble un peu trop petit pour son 95C. A moins que ce ne soient ses superbes seins qui soient un peu trop volumineux pour son chemisier !
Les deux femmes terminent enfin leurs verres et ma mère se lève. Je jette un œil à ma montre, il est un peu plus de minuit. Anna va repartir chez elle et tout va rentrer dans l’ordre. Mais qu’elle n’est pas ma surprise lorsque ma mère se tourne vers moi.-    Bon Dimitri, Anna va rester dormir chez toi car il est tard et elle n’est pas au top pour repartir seule, m’annonce-t-elle.Histoire de ne pas mettre les pieds dans le plat que je n’ai pas préparé, je me dis qu’il est urgent de ne pas prendre d’initiative malheureuse. Laisser venir me semble la meilleure solution !-    Oui je comprends, dis-je. Comment veux-tu que l’on s’organise ? demandé-je en regardant ma mère.-    Toi et moi allons dormir ensemble comme prévu, me rétorque-telle d’un ton très naturel. Et Anna va s’installer dans le lit de ta mère si tu n’y vois pas d’inconvénient, poursuit-elle aussi naturellement.-    Oui c’est une bonne idée ! me contenté-je de répondre. Tu te charges de lui montrer les lieux pendant que je débarrasse le salon.Tandis que je lave rapidement les trois verres et range la bouteille et le plateau, j’entends les deux femmes discuter encore dans la chambre de ma mère. Je me demande comment tout cela va finir !
Je suis dans ma chambre, assis sur mon lit, lorsque ma mère me rejoint. Aussitôt qu’elle a refermé la porte derrière elle, je lui dis-    Mais maman, tu te rends compte dans quel guêpier nous sommes. Nous voici obligés de dormir ensemble alors que ta copine squatte ta chambre. -    Sois cool Dimitri ! me répond-elle d’une voie enjouée. Je ne vais tout de même pas laisser tomber mon amie alors qu’elle est en pleine déprime. Ce n’est que pour la nuit, demain elle sera repartie et tout rentrera dans l’ordre.Comme d’habitude, elle a réponse à tout ; pas la peine d’épiloguer !Je défais le couvre-lit, soulève la couette et j’éteins la lumière. Une fois dans l’obscurité, je lui dis-    Si ça ne t’ennuie pas, moi je dors à gauche près de la table de nuit !Sans attendre sa réponse, je me mets à poil, me glisse sous la couette allongé sur le côté gauche pour tourner le dos à ma mère. Hors de question de changer mes habitudes !Au mouvement du matelas, je devine qu’elle vient de s’asseoir sur le lit et qu’elle est en train de retirer ses chaussures. Puis aux froissements de tissus, je comprends qu’elle est en train de défaire sa jupe et son chemisier avant de retirer ses collants. Je ne doute pas qu’elle va garder sa lingerie pour se coucher à côté de moi. Elle s’étend près de moi sous la couette, j’entends sa respiration.-    Bonne nuit mon chéri, me dit-elle. Tu verras, tout sera réglé demain matin au réveil !-    Bonne nui maman, me contenté-je de répondre.
J’ai un peu de mal à m’endormir et lorsque je suis à deux doigts d’y parvenir, voilà que la porte de la chambre s’ouvre. Dans la pénombre, je devine une ombre qui se rapproche du lit.-    Clothilde, tu dors ? Je reconnais la voix d’Anna. -    J’étais sur le point de m’endormir, lui répond ma mère. Qu’est-ce qui t’arrive ?-    Je ne peux pas dormir seule dans une pièce que je ne connais pas !-    Bon écoute, tu n’as qu’à te glisser de l’autre côté de Dimitri. Nous ne sommes pas gros et le lit est bien assez grand pour nous trois, lui lance ma mère à ma grande surprise.Anna fait le tour du lit ; bien évidemment, même si nous ne sommes pas gros, je vais me retrouver coincé nu entre ma mère sur ma droite et Anna sa copine sur ma gauche.-    Bonne nuit les amoureux, nous lance Anna une fois qu’elle est bien allongée au chaud sous la couette.Je m’attendais à tout lorsque, en début de soirée, ma mère a proposé à sa copine déprimée de passer à l’appartement pour boire un verre. Mais pas à me retrouver à poil entre deux MILF, ma mère et sa copine ! Je bande déjà comme un âne, ce n’est pas ce qui va m’aider à trouver le sommeil !
Je suis sur le point de réussir à m’endormir lorsque je sens une douce main qui se pose sur ma cuisse, effleure mes bourses et se saisit de ma queue qui avait également réussi à presque s’endormir. Impossible de savoir s’il s’agit de ma mère ou d’Anna ! Je me dis que c’est peut-être juste un geste machinal et que cette main va vite lâcher prise. Mais il n’en est rien, bien au contraire !D’un geste lent et assuré, la main inconnue commence à me branler avec dextérité et c’est aussitôt branle-bas de combat sous ma ceinture, ma queue se dresse au garde à vous. Et voici qu’une seconde main me malaxe avec douceur les testicules pendant que l’autre continue son va et vient. Il fait nuit noire dans la chambre ; je ferme tout de même les yeux et m’abandonne à cette douce plénitude qui m’envahit le bas-ventre.
Soudain, je sens que l’on s’agite un peu sous la couette et voilà que je sens une chevelure qui effleure mon ventre et descend vers mon entre-jambe. Comme ma mère et sa copine ont toutes les deux des cheveux bouclés mi-longs, impossible de savoir laquelle des deux vient de prendre en bouche mon sexe déjà gonflé de désir.Ma queue palpite maintenant dans une bouche gourmande qui agit comme un véritable aspirateur. La pointe d’une langue inconnue m’excite le gland, deux lèvres brûlantes enserrent ma tige ; je ne sais pas laquelle des deux est en train de me pomper mais elle sait y faire !En même temps, les deux mains se remettent à m’exciter de plus belle. L’une continue à me malaxer les bourses pendant que l’autre me pince les tétons. J’ai beau faire des efforts pour me retenir, je sens que la sève monte dans ma tige. Mon cœur doit être à 150 pulsations par minute mais ce n’est pas lui qui explose ! De violents jets de foutre fusent dans la gorge de celle qui me suce ; c’est une gloutonne car elle m’embouche encore plus profondément pour recueillir toute ma semence.Quelques minutes plus tard, la tempête sous la couette s’est calmée ; je récupère lentement mes esprits ! Impossible de savoir à qui appartenaient les deux mains et la bouche qui se sont si bien occupées de moi.Alors que je sens le sommeil m’emporter, ma mère et Anna se lèvent et sortent de la pièce en même temps. Ce doit être l’instant pipi des filles avant de s’endormir ! Quelques instants plus tard, elles reviennent toutes les deux et se recouchent. Je peux enfin sombrer dans les bras de Morphée.
Il est peut-être 07h00 du matin lorsque le corps qui dort sur ma gauche s’agite. Anna serait-elle déjà réveillée ? Le corps se rapproche de moi et, comme je suis allongé sur le côté gauche, je me retrouve vite avec le bas-ventre collé à des fesses qui se rapprochent toujours plus. Le ferait-elle exprès ?Je me rends alors compte qu’elle a dû se coucher nue car ma queue, qui vient de retrouver une belle vitalité, palpite contre une peau particulièrement douce. Bien évidemment, cela n’est pas fait pour calmer ma trique matinale ! Même si j’ai bien joui hier soir, je bande de nouveau comme un fier étalon.Soudain, je devine que le corps s’arcboute sous la couette, que les fesses frétillent contre mes couilles, que les jambes s’écartent et je sens une douce main qui s’empare de ma bite, la guide dans le compas des cuisses grandes ouvertes jusqu’à la fente qui n’attend que ma visite.Toujours allongé sur le côté et bien soudé à cette croupe si accueillante, j’enserre de mes mains les hanches de ma voisine et lentement je commence mes allers-retours. Quel bonheur de s’éveiller ainsi, la queue bien au chaud dans une chatte qui accepte maintenant toute la longueur de ma tige.
Sur ma droite, ma mère ne bouge toujours pas et je fais attention à ne pas la réveiller. Je ne sais pas si elle verrait d’un bon œil que je baise sa copine dans mon lit. Je veille donc à ne pas faire des mouvements trop brusques et trop amples. Je découvre alors combien c’est délicieusement bon de besogner avec lenteur une croupe de MILF. J’ai un peu l’impression, même si je n’ai pas l’expérience, que c’est comme rouler tranquillement au volant d’une confortable limousine tout en profitant du paysage.La situation est si agréable et ma complice si coopérative que je m’enhardis. Ma main droite, plus libre que ma main gauche, remonte vers la poitrine et s’empare d’un sein. Il tient dans ma main comme un pomelo bien rond et bien ferme. Toujours plus audacieux, j’ose pincer et jouer du téton entre mon pouce et mon index. Cela excite la belle qui ondule un peu plus du popotin. La situation devient intenable ; je me mords les lèvres pour ne pas crier mon plaisir. Mais j’ai beau ralentir ma saillie, l’irruption est imminente. Je ne peux plus tenir et je décide de rester planté au plus profond de cette chatte pour y répandre tout mon foutre. Je m’immobilise, ma partenaire aussi ; je me vide en elle. Lentement ma queue rapetisse et l’étau dans lequel elle était emprisonnée se desserre progressivement. Une fois libre, je me remets sur le dos. La lumière du jour ne filtre pas encore à travers les épais rideaux de ma chambre. Je peux dormir encore un peu pour récupérer de mes exploits. A ma droite et à ma gauche les deux corps s’agitent et sortent quasiment de concert du lit. Les deux femmes sortent de la chambre, j’entends quelques paroles étouffées puis des bruits de chasse d’eau et de robinets. Quelques minutes plus tard, les voici qui reviennent toutes les deux dans la chambre et reprennent leur place sous la couette. Quelques secondes plus tard, je replonge dans le sommeil.
Lorsque je rouvre les yeux, la chambre est maintenant éclairée par les premières lueurs de l’aube. Je m’étire en essayant de ne pas trop bousculer mes deux voisines. Soudain, j’entends ma voisine de gauche.-    Bien dormi Dimitri ? me demande-t-on.Alors que c’est Anna qui s’est couchée de ce côté-ci hier soir, c’est ma mère qui me questionne.Sur ma droite, comme en écho, j’entends une autre voix.-    Moi j’ai dormi comme un bébé. Peut-être que c’est l’effet du Baileys ! dit Anna.Une question importante me vient à l’esprit : Est-ce seulement ce matin que les deux femmes ont échangé leurs places en revenant des toilettes ou bien est-ce hier soir après que l’une m’ait sucé ?Dans le premier cas, c’est Anna que j’ai eu le plaisir de saillir avant que le jour se lève. Mais dans le second cas, c’est ma mère qui m’a excité avant que je la baise comme la dernière des salope.Je n’ai pas de réponse à mon interrogation mais je réponds tout de même à ma mère.-    Oui j’ai très bien dormi même si nous étions un peu serrés me semble-t-il !-    En tout cas, nous n’avons pas eu froid ! annonce Anna qui me semble avoir retrouvé le moral.
Les deux femmes se lèvent et ma mère ouvre en grand les rideaux de la chambre. Elles sont toutes les deux nues et je ne peux m’empêcher de les regarder. Finalement, elles se ressemblent, même stature, mêmes fesses bien rondes et fermes, même poitrine aux seins lourds, même chevelure mi-longue. Je comprends que dans l’obscurité il m’était impossible de les différencier.-    Nous allons prendre une bonne douche, chéri ! me lance ma mère.-    Tu nous prépares un bon petit déjeuner Dimitri ? me demande Anna.Et les voici qui referment la porte de ma chambre derrière elles. Seraient-elles de mèche ? Auraient-elles tout manigancer dans mon dos ? Je pense que je n’aurai pas la réponse !Dix minutes plus tard, nous sommes tous les trois dans la cuisine en train de partager le petit déj. Aucune d’elles ne parlent des événements de la nuit, le mystère restera donc entier.Vingt minutes plus tard, elles sortent toutes les deux de l’appartement en me souhaitant un bon dimanche. Ma mère continue à jouer son rôle à la perfection ; j’imagine qu’elle va revenir d’ici quelques instants après avoir fait le tour du pâté de maison.La situation m’échappe de plus en plus mais cela n’est finalement pas pour me déplaire…
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