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La mère de mon copain nous rend visite.

Chapitre 3

chaleurs nocturnes.

Inceste
Avec mon chéri Vladimir, nous venons de nous retirer dans la chambre de notre location abandonnant Francine la mère de Vladimir sur le canapé alors qu’elle a commencé à se faire du bien avec son gros godemichet noir. J’attends donc impatiemment que mon homme me prenne avec vigueur car l’échange que nous venons d’avoir avec Fanfan m’a fortement excitée et la raideur de sa belle queue me prouve qu’il est sur la même longueur d’onde que moi.
Il faut dire que depuis que Francine a sonné à la porte de l’appartement il y a un peu plus de quatre heures, elle a mis un sacré désordre dans ma tête. J’ai certes appris des choses qui m’ont laissée sur le cul mais j’ai aussi beaucoup mouillé.
Je me trouve donc à quatre pattes sur le grand lit de la chambre, le derrière tourné vers la belle queue tendue de Vladimir, attendant toute emoustillée qu’il daigne l’enfoncer au plus profond de mon intimité. Mais visiblement ce coquin a une autre idée en tête et je m’en rends compte quand je sens son gros gland turgescent se présenter à l’entrée de mon petit trou. Il se trouve que jusqu’à ce jour, Vladimir ne m’a encore jamais honoré par là et vu la taille de la tête violacée de son champignon, je ne suis pas certaine que ce soit une bonne idée de commencer aujourd’hui.
— Que fais tu mon chéri? je lui demande. Tu n’as quand même pas l’intention de faire passer ton gros machin par ma petite porte.
Sa réponse me sidère. -Pourquoi tu préfères que j’aille planter ma queue dans le beau cul de Fanfan ? Elle n’attend que ça comme tu as dû l’entendre tout à l’heure. — C’est méchant ce que tu viens de me dire... J’ajoute vexée en me redressant d’un coup et en me tournant face à Vladimir.
Il attrape alors mes mains et me tire vers lui approchant mon visage du sien avant de plaquer ses lèvres contre les miennes et de m’embrasser à pleine bouche. Je ne résiste pas longtemps et je lui offre ma langue pour une sarabande improvisée. Tandis que Vladimir continue à me rouler une pelle magistrale, je me laisse tomber en arrière allongeant et écartant mes jambes pour qu’il s’affale sur mon corps. Une fois qu’il est couché sur moi, j’enroule mes jambes autour de sa taille. Vaincu, il se résoud à introduire son brugnon gonflé de désir dans ma chatte brûlante puis d’un coup de reins puissant s’enfonce jusqu’au fond de mon fourreau m’arrachant un miaulement de contentement. Je l’implore alors de labourer mon con telle une femelle en chaleur réclamant la saillie à son étalon. Je constate vite que mes propos font leur effet car Vladimir ne tarde pas à me secouer comme un vulgaire chiffon m’emmenant peu à peu vers une jouissance que je pressens particulièrement intense.
Lorsqu’il vide enfin en moi les quelques gouttes de jus qu’il lui reste après toutes ses éjaculations de la journée, je ne peux retenir un hurlement de plaisir qui doit s’entendre à plusieurs jusqu’au dernier étage de l’immeuble.
Il faut une bonne minute pour que nos battements de coeur retrouvent leur rythme normal.
C’est un cri en provenance du salon qui nous sort de notre torpeur. Vladimir se dresse comme un ressort, extirpant d’un coup sa grosse bite de ma minette, et il se rue à l’extérieur de la chambre.
Par la porte ouverte, je l’entends s’adresser à sa mère. — Tout va bien maman d’amour ? demande t-il à sa génitrice. — Ne t’inquiète pas mon chéri. Je vous ai entendus vous envoyer en l’air Nancy et toi et je peux te dire que j’en ai bien profité pour me goder. Lorsque ta copine a arrêté de couiner, j’ai aussitôt accéléré le mouvement comprenant bien qu’elle venait de prendre un pied d’enfer et j’ai joui à mon tour peu après.C’est sûr que mon géant noir ne vaut pas une belle grosse queue vigoureuse, mais cette masturbation m’a néanmoins apaisée.
Vladimir rigole. — Tu me rassures Fanfan. Je croyais que tu t’étais coincée les seins dans la porte. — Fils indigne, s’exclame Francine avant d’éclater de rire. — N’oublie pas ta promesse maman d’amour. Tu as dit à Nancy que tu nous offrais le dîner ce soir et je commence à être affamé. Ma chérie et toi avez pompé tout mon jus. — Tu sais bien que je tiens toujours ma parole mon amour. Habillez vous vite Nancy et toi. Moi aussi j’ai faim.
Je me douche rapidement avant d’enfiler une robe courte et légère à brides, un string et des sandales à talons de 12 cm. Je ne mets pas de soutien gorge pour le plus grand plaisir de Vladimir qui adore voir mes volumineux tétons pointer à travers la fine étoffe de mes hauts d’été.Pendant que je me préparais, mon chéri a passé son Bermuda bleu marine, une chemise en lin blanc et ses chaussures bateau en cuir. Nous découvrons ensuite Francine resplendissante dans une robe lamée argent au décolleté abyssal qui dénude intégralement son dos et s’arrête au dessus de ses genoux. Elle enfile des escarpins en cuir argenté à talons de quatorze centimètres avant de demander à son fils de lui attacher sa chaîne de cheville en or assortie aux créoles fixées à ses oreilles.
— Tu es encore plus bandante que d’habitude maman d’amour, lâche mon chéri en examinant sa mère qui saisit son petit sac à main doré dans lequel elle glisse son téléphone portable après s’être assurée qu’il contient bien tous les éléments indispensables pour une soirée réussie.— Je pense que je n’ai rien oublié: mouchoirs en papier, rouge à lèvres, parfum, préservatifs king size, carte bancaire. A priori, j’ai tout le nécessaire mes chéris déclare Fanfan en me faisant un grand clin d’oeil. Vladimir pose alors sa main sur la robe de sa mère et lui masse brièvement le cul avant de lâcher:— Je me demande si tu n’as pas oublié ta culotte maman d’amour.— Tu crois? répond Francine avec un ton faussement étonné. Ça sera toujours ça de moins à retirer si un bel homme me propose de visiter sa chambre.
Francine nous emmène dîner sur le port dans un restaurant spécialisé dans le poisson et les fruits de mer et nous attaquons l’apéritif par une bouteille de vin blanc du Languedoc. À la fin du repas, mon chéri et sa mère sont particulièrement gais et moi-même, je sens que je suis bien partie.
— Allez mes amours, lâche Fanfan juste avant de demander l’addition. On ne va quand même pas finir la soirée en se couchant comme les poules. Je vous invite à vous bouger le cul en boîte.
J’irais bien me coucher mais je n’ai nullement envie de laisser Vladimir seul avec Francine. Ils n’arrêtent pas de se tripoter depuis qu’on a attaqué la deuxième bouteille de vin blanc. Et je ne voudrais pas laisser l’opportunité à mon mec d’aller s’enfiler sa mère sur la plage.
Mais bien vite, pendant que nous marchons vers le club, je regrette de ne pas être rentrée à la location car ça devient carrément très chaud entre les deux tourtereaux qui se roulent des pelles et se pelotent comme si je n’étais pas là.Évidemment ce comportement a le don de m’énerver et je commence à envisager une petite vengeance.
Il y à environ une demi heure que nous avons franchi le seuil du night club. Excedée par l’indifférence de Vladimir à mon égard, je me suis réfugiée sur la piste peu après notre arrivée. Évidemment, je n’ai pas tardé à attirer plusieurs lourdauds trop contents de découvrir un peu de chair fraîche. Et pour les calmer, j’ai fini par accepter de danser avec Oumar, un grand black à la carrure impressionnante qui s’est présenté comme un des maîtres nageurs sauveteurs de la station balnéaire.
Le type est bâti comme une armoire à glace, avec des mains immenses. Je deviens humide en imaginant ce qu’il planque dans son caleçon. Lorsqu’il me propose de l’accompagner au bar, je ne me défile pas et je me retrouve installée sur un tabouret haut, la paluche géante d’Oumar posée sur ma hanche et sa grosse langue agile explorant ma bouche. Après cette prise de contact prometteuse, nous discutons un moment devant un mojito et lorsqu’il me propose de finir la nuit chez lui, je jette à peine un coup d’oeil à Vladimir avant de suivre le colosse noir.
Mon copain a l’oeil vide. Il est à moitié endormi sur une banquette de la boîte et est visiblement en train de cuver. Ça n’a pas l’air de gêner beaucoup sa mère chérie assise juste à côté de lui. Fanfan se fait tripoter ostensiblement par deux types entre 20 et 25 ans. Les jeunes ne se privent pas de lui rouler des pelles, de masser ses gros nichons et de glisser leurs mains sous la robe de Francine qui écarte bien les cuisses pour mieux se faire doigter.Je ne peux m’empêcher de penser que cette salope a vraiment le feu au cul.
Une fois dans le studio d’Oumar, tout va très vite. Je me retrouve en string, étendue sur le grand lit avant d’avoir le temps de comprendre ce qui m’arrive. Oumar est nu. Il arrache mon mini slip d’un geste sec et saisit mes cuisses qu’il écarte largement avant de plonger son nez dans ma fente trempée. C’est un expert du cunnilingus et j’atteins l’orgasme en un temps record. Il se relève ensuite lentement et me dévoile sa queue dressée vers le plafond. L’engin gigantesque semble me narguer. J’appréhende de recevoir ce monstre entre les cuisses mais je suis beaucoup trop excitée pour refuser l’offrande.
Le mâle vient en moi avec douceur laissant le temps à mes chairs écartelées de prendre la mesure de la poutre qui me remplit peu à peu. Lorsqu’il tape au fond de mon intimité, une partie du pieu se trouve encore dehors. Oumar commence à aller et venir dans mon fourreau distendu et des ondes délicieuses se diffusent dans tout mon bassin. Je jouis rapidement une première fois. Mais Oumar n’est pas pressé de prendre son pied. C’est un amant très expérimenté et respectueux. Il me laisse reprendre mon souffle avant de sortir son dard dur comme le roc de mon intimité. Puis il m’aide à me mettre à quatre battes et vient s’agenouiller derrière moi. Et de nouveau, il introduit sa queue phénoménale dans ma chatte qu’il se met à pistonner tel un métronome pendant de longues minutes. J’enchaîne alors les orgasmes jusqu’à l’apothéose qui survient lorsqu’un flot de semence épaisse inonde mon con.
Je m’affale ensuite sur le lit entrainant mon amant avec moi. Il est toujours aussi dur et s’amuse à faire bouger sa queue en moi avant de l’extirper doucement et de poser le gland monstrueux sur mon anus.
Un frisson me traverse. J’hésite à repousser Oumar. J’ai peur de ce qui pourrait arriver mais jusqu’à présent, cette partie de baise est la meilleure de mon existence et j’ai envie de faire payer à Vladimir son comportement en offrant mon oeillet vierge à l’étalon noir qui vient de me combler de plaisir.
Cette perspective me procure une étrange excitation et je me surprends à m’adresser à Oumar et à lui demander de préparer longuement mon délicat orifice s’il envisage de planter son bazooka couleur d’ébène dans mon fondement.
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