Lorsque je rentre à la location après la nuit très chaude passée avec Oumar, il est à peine neuf heures du matin. En effet, mon amant improvisé est de service et il a dû partir tôt pour rejoindre son poste. J’entre dans l’appartement en essayant de faire le moins de bruit possible. Le salon est vide et le canapé a conservé sa position initiale ce qui semble indiquer que personne ne l’a utilisé pour dormir. Un ronflement léger provient de la chambre. Je vais ouvrir silencieusement la porte et je découvre Vladimir entièrement nu et profondément endormi sur le grand lit. Il est seul. Normalement cette vision devrait m’émoustiller. Mais étant donné qu’Oumar m’a baisée par tous les trous jusqu’au petit matin, je suis trop crevée pour songer à la bagatelle. Je referme délicatement et passe à la salle de bains faire un rapide brin de toilette. Puis je retire la robe sous laquelle je suis entièrement nue puisqu’Oumar a cru bon de déchirer mon string avant de me bouffer la chatte. Je dépose donc mon vêtement sur le lave linge avant de me contorsionner pour admirer mon beau cul zébré de marques rouges, témoignages des levrettes distillées sans retenue par mon colosse black. J’en profite pour jeter un coup d’oeil à mon oeillet irrité. Car même si je suis gré à l’étalon noir d’avoir été très précautionneux lorsqu’il a dépucelé mon cul, je n’ai malgré tout pu retenir quelques cris de douleur lorsque sa poutre au diamètre plus qu’imposant s’est enfoncé dans mes intestins.J’ai néanmoins réussi à atteindre l’orgasme quand Oumar a vidé ses grosses couilles dans mon fondement. Ce n’est pas tant la pénétration anale qui a provoqué ce résultat inespéré mais plutôt l’excitation ressentie à l’idée de cette première fois plutôt border line ainsi que la masturbation de mon clitoris que j’ai vite mise en route lorsque le colossal pieu noir a commencé à me ramoner l’arrière train. Si Vladimir s’était comporté correctement avec moi hier soir, c’est sans doute lui qui aurait eu la primeur de cette défloration, me dis-je pour me dédouaner avant d’aller le rejoindre silencieusement dans le lit où il ne me faut que quelques secondes pour sombrer dans les bras de Morphée. Des rires me tirent de mon soleil. Je jette un coup d’oeil à mon téléphone pour constater qu’il est plus de 13h00. — Oulala quelle nuit mon amour ! S’exclame une voix que j’identifie comme celle de Francine. Les deux jeunes types étaient déchaînés. Ils m’ont fait subir la totale. Heureusement que j’avais des capotes en réserve dans mon sac à main. J’ai notamment eu droit à une double anale d’anthologie. C’était la première fois que j’accueillais en même temps deux bites dans mon cul et je peux te dire que j’ai pris un pied d’enfer. La confidence de Fanfan me remémore ma défloration de la nuit. Je me demande comment elle réagirait si elle se prenait simultanément deux engins de la taille de la queue d’Oumar dans le trou du cul. Francine s’adresse à nouveau à son fils. — Mon pauvre chéri, j’ai l’impression que tu n’es pas encore remis de ta consommation excessive d’alcool d’hier soir. Tu remercieras Kevin et Ahmed pour t’avoir raccompagné jusqu’à ta chambre. Tu étais bien incapable de rentrer tout seul. Il est vrai que la promesse de me ramener dans leur location juste après les a fortement motivés à te déposer dans ton lit avant. Ils m’ont même aidé à te déshabiller tellement ils étaient pressés de planter leur queue dans mes fourreaux. J’entends Vladimir réclamer, d’une voix traînante, un verre d’eau à sa mère.
— Ne t’inquiètes pas mon amour! Ta maman va bien s’occuper de toi, déclare Fanfan en faisant couler l’eau du robinet.— Est ce que Nancy est là? Cette nuit, quand nous t’avons ramené avec mes deux chevaliers servants, l’appartement était vide. Je me demande bien où cette petite délurée avait bien pu passer. D’autant que d’après Kévin, elle aurait quitté la boîte peu avant nous au bras d’un colosse noir taillé comme un char d’assaut. Un frisson me parcourt l’echine à l’évocation de mon départ en catimini du club. Mais, Francine n’en a pas fini avec le sujet. — J’ai eu l’occasion d’apercevoir le bonhomme en question quand il dansait sur la piste collé contre Nancy. Je t’avoue volontiers que je l’aurais bien raccompagné à son domicile. J’ai l’impression que Vladimir est toujours dans le cirage car il ne trouve rien à répondre à sa mère. Fanfan baisse la voix avant de continuer. — À ta place, je demanderais à Nancy ce qu’elle a fait cette nuit avant de te rejoindre. Évidemment, tu es sans doute incapable de déterminer l’heure de son retour. Estimant qu’il est temps que j’aille moi aussi participer à cette charmante conversation, j’enfile un long t-shirt de mon chéri et je quitte la chambre pour rejoindre le salon. Vladimir est affalé à poil sur le canapé et sa mère lui fait face, installée dans le fauteuil. Elle porte sa tenue de la veille au soir ce qui me fait supposer qu’elle vient de rentrer de sa nuit tumultueuse. — Coucou ma chérie, tu as bien dormi ? me demande t-elle sur un ton légèrement ironique. Je ne me dégonfle pas. — Sûrement pas assez chère Fanfan. Étant donné que hier soir, mon chéri semblait plus préoccupé par sa maman que par sa petite amie, j’ai dû me trouver un étalon de remplacement et j’avoue que je ne le regrette pas. Je ne sais pas si je me suis autant éclatée que toi Francine, avec tes deux jeunes chauds lapins, mais en tout cas, Oumar m’a envoyé au septième ciel à plusieurs reprises... Comme je me sens d’humeur taquine, j’en remets une couche à l’attention de Vladimir. — Mon pauvre chéri, tu es plutôt bien monté mais si tu voyais ce que trimballe Oumar entre les cuisses, tu pourrais bien avoir des complexes. Et puis crois moi, il sait drôlement bien se servir de son matériel à la taille indécente. Malgré son état vaseux, Vladimir devient rouge comme une pivoine. Et passé le moment de surprise, Francine ne peut s’empêcher d’éclater de rire. — J’ai l’impression que ta petite chérie t’a bien chambré mon amour. Elle n’a pas sa langue dans sa poche on dirait. Ne t’inquiètes pas, je vais bien m’occuper de toi. En attendant, je vais vous laisser régler votre petit différent en allant prendre une bonne douche. Sans plus se préoccuper de nous, Francine enlève ses escarpins et elle retire sa robe, sous laquelle elle ne porte aucun sous-vêtement, avant de la jeter négligemment sur sa valise. Une fois qu’elle a disparu dans la salle de bains, je m’assieds sur le canapé et je dépose un baiser sur les lèvres de Vladimir avant de glisser mes cuisses sous sa tête. — J’espère que tu n’en veux pas trop mon chéri pour cette petite incartade mais tu m’avais bien énervée et je n’ai pas trouvé mieux pour me calmer. En disant ça, je chope la queue molle de mon petit copain et je commence à le branler doucement. Je constate que ses réflexes ne sont pas trop émoussés car son membre retrouve vite une belle vigueur. Vladimir se laisse faire les yeux fermés, a priori toujours trop fatigué pour prendre la conduite des opérations. Mon petit copain profite de ma caresse plusieurs minutes jusqu’au moment où Francine sort de la salle de bains avec comme seule parure ses mules à talons de 13 cms et ses bijoux intimes. Elle me fait un clin d’oeil avant de s’agenouiller au pied du canapé au niveau du bas ventre de son fils. Puis elle me fait ensuite un petit signe pour m’inviter à libérer le membre dressé de Vladimir qu’elle saisit à son tour avant de l’emboucher. Au lieu de m’indigner face à ce comportement, je me mets à mouiller. Il faut dire que Fanfan sait y faire. Mon petit copain avait peut-être raison; il faudra qu’elle me donne quelques conseils pour améliorer ma technique de fellation. Je repense notamment à la pipe que j’ai faite la nuit dernière à Oumar. J’avoue que j’ai eu quelque mal à prendre la mesure de la bête. Il est vrai que lorsqu’on a à faire à un braquemart pareil, il y a intérêt à maîtriser la technique de la gorge profonde. Vladimir sort de sa torpeur et se met à ronronner de plaisir.Un son caractéristique est soudain émis par mon portable. Je me lève pour aller le récupérer. Juste après l’avoir déverrouillé, je vois apparaître un selfie d’Oumar nu, la queue dressée, avec un message me proposant d’aller le retrouver chez lui à partir de 17:15.Une bouffée de chaleur se répand dans mon bassin. Je décide d’aller montrer la photo à Vladimir. En découvrant l’engin d’Oumar, il devient tout rouge et il se répand presque aussitôt dans la bouche de sa mère qui n’en perd pas une goutte. — Et bien dis donc, mon chéri. J’ai l’impression que ça ne te déplaît pas de savoir que ta petite amie s’est fait démonter toute la nuit par le bazooka couleur chocolat que je viens de te faire voir. Je montre alors la photo à Francine qui ne peut retenir un cri de stupeur. — Bon sang! Quelle poutre! J’aurais bien aimé être à ta place cette nuit ma chérie. — Oumar veut me sauter à nouveau après sa journée de boulot. Je pourrais lui proposer de nous rejoindre ici. À mon avis, il n’aurait rien contre l’idée d’honorer une belle femme blonde plantureuse comme toi. — Tu me fais mouiller coquine. Et Vladimir a l’air de trouver l’idée stimulante, répond Fanfan en constatant que la queue de son fils vient de se raidir à nouveau. Sans me demander mon avis, elle vient alors se positionner sur mon chéri avant d’attraper sa grosse queue turgescente pour s’empaler doucement dessus. ##### Je n’ai pas prévu de suite à cette série. Néanmoins, n’hésitez pas à me dire si vous souhaitez un nouvel épisode.
