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La mère de mon copain nous rend visite.

Chapitre 5

Fin de partie pour Fanfan

Inceste
Vladimir émerge peu à peu de sa léthargie. Son instinct de mâle refait surface et la vue de sa mère sensuelle et brûlante de désir, empalée sur sa queue dressée, lui donne une énergie qui ne demande qu’à s’épancher entre les cuisses nerveuses de la quadragénaire blonde. Son fils attrape fermement les hanches de Fanfan pour mieux l’accompagner lorsqu’elle se met à coulisser le long de son dard. La mère aimante espérait ce moment depuis qu’elle a pris la route pour rejoindre le lieu de villégiature. Elle voulait sentir son fils chéri en elle, qu’il la baise avec fougue, qu’il lui montre comme il est fort et vigoureux. Et c’est ce qui est en train de se passer sous mes yeux incrédules jusqu’à ce que Francine hurle de plaisir incapable de maîtriser son corps secoué de spasmes délicieux.
— Ah mon amour ! Cette partie de jambes en l’air vaut tous les somnifères et j’avoue que je suis épuisée, déclare ensuite la mère de Vladimir d’une voix éteinte. — Si vous le permettez les enfants, je vais aller me coucher.
Je regarde Fanfan avec résignation.
— Ok, tu vas pouvoir utiliser notre lit. Avec Vladimir, nous allons aller faire un petit tour à Montpellier et on rentrera en fin d’après-midi. Repose-toi bien.
Nous récupérons vêtements et papiers dans la chambre avant de laisser la place libre à Francine. Mon chéri n’est pas très à l’aise lorsque nous nous retrouvons en tête à tête dans la voiture qu’il conduit prudemment.
— Vas-y! lui dis-je. Exprime toi. Je reconnais que mon escapade d’hier soir n’était pas très fair-play mais j’étais vraiment furieuse après toi. Et puis tu viens quand même de sauter Fanfan sous mes yeux. Enfin, c’est plutôt elle qui t’a grimpée dessus, je l’admets. Et tu remarqueras que je ne t’ai pas fait de reproche sur ce qui vient de se passer.
Alors que nous roulons vers le centre-ville de Montpellier, Vladimir s’adresse à moi d’un ton hésitant. — Tu as pris beaucoup de plaisir avec cet Oumar, demande t-il en parvenant tant bien que mal à cacher sa gêne.
Je décide de jouer franc jeu. — Oui c’était vraiment génial. Je n’avais jamais été autant remplie. J’ai joui énormément.
En écoutant ma confession, mon chéri fait une petite embardée et il se met à rougir. Mais je constate aussi une belle bosse au niveau de la braguette de son bermuda. Cette découverte me trouble. J’ai l’impression que Vladimir est très excité de savoir que sa copine a pris du plaisir avec un autre homme.
— Alors ? Finalement ça te plaît de savoir que ta chérie s’est envoyée en l’air avec un colosse black monté comme un âne.
Il me semble que le renflement situé à l’entrejambe de Vladimir vient de doubler de volume. Mon minou devient légèrement humide alors que mon imagination se met à divaguer. Je me vois en train de me faire sodomiser par un étalon noir sous les yeux de mon futur concubin qui se masturbe devant le spectacle que je lui offre.
Je me dis alors que ma prochaine vie de couple avec Vladimir va être pleine de surprise. En attendant, j’aimerais bien retrouver un peu de sérénité pendant ces vacances. Il faut trouver un moyen de se débarrasser de Fanfan et je pense qu’Oumar va nous aider à mener à bien cet objectif. J’en parle à mon chéri.
— J’aimerais bien qu’on ait à nouveau un peu d’intimité pour la fin de notre séjour. Ce serait pas mal si Fanfan se trouvait un autre terrain de jeu. — En effet, admet Vladimir d’une voix convaincue. — Je pense que ta mère n’aurait rien contre le fait de passer un bon moment avec Oumar. J’espère que l’étalon est sensible au charme des blondes aux rondeurs appétissantes.— C’est un maître nageur non ? — Oui. Mais bon, il préfère peut être les femmes plus jeunes avec des avantages moins imposants. — Comme toi par exemple. — Tout à fait mon chéri. Si tu veux, je peux lui demander s’il est prêt à m’accueillir dans son studio jusqu’à la fin du séjour.
Ma remarque fait à nouveau bander Vladimir. Et j’enfonce le clou. — Ou alors, si tu es d’accord, une fois que tu seras installé chez moi, je l’inviterai à passer quelques jours avec nous. Ainsi que quelques beaux mâles couleur ébène très bien montés qui se feront un plaisir de m’enculer devant toi. — C’est bon j’ai compris ! Lâche mon chéri légèrement crispé. Occupons non plutôt du cas de Fanfan. — Ok. As-tu dans ton portable des photos olé olé de ta maman adorée ? — Quelques unes pourquoi ? — Je vais les envoyer à Oumar pour savoir si Francine fait partie des femmes avec lesquelles il aimerait s’éclater un moment. Rassure toi. Je n’enverrai rien de compromettant. Je te ferai valider avant.
Je tends son téléphone à Vladimir qui le déverrouille avec son empreinte et qui m’indique où trouver le dossier contenant les photos de Fanfan. Certaines sont très chaudes et il y a même quelques vidéos dans lesquelles Fanfan se fait prendre en double par deux étalons en en suçant un troisième particulièrement velu. Le gars est monté comme un alezan, et ce petit film me fait bien mouiller.
Je sélectionne quelques photos de Francine dans le plus simple appareil et j’appelle Oumar avec mon portable en mettant le haut parleur. — Salut ma belle! Lâche aussitôt le colosse après avoir décroché.— Bonjour bel étalon. — Tu te lasses déjà de moi? Ne t’en fais pas. Je serai en pleine forme tout à l’heure pour te faire hurler de plaisir. — Justement. Je suis en ce moment en voiture avec mon petit ami et j’avais une proposition à te faire. Oumar rigole. — Je vois que Monsieur est partageur. Ça ne m’étonne pas plus que ça. Chaque été, je me tape plein de nanas maquées et certaines sont ravies de se faire défoncer devant leur mec ou de se faire prendre en double par leur compagnon et moi.
Je remarque la bosse qui vient d’apparaitre dans le bermuda de mon chéri et je réponds à Oumar. — À mon avis, Vladimir serait ravi que tu me sodomises devant lui mais j’ai un autre plan en tête. — Ok, je t’écoute. — La mère de mon chéri est passée nous rendre visite depuis hier et elle a carrément le feu au cul. Du coup on aimerait bien lui trouver quelqu’un pour l’héberger jusqu’à la fin de la semaine et éteindre le brasier qui lui brûle la chatte. — C’est pas banal comme demande. Elle est comment cette maman ? — Si tu aimes le genre Pamela Anderson, tu ne devrais pas être déçu. — Tu déconnes! C’est mon fantasme! N’oublie pas que je suis maître nageur. — Je t’envoie quelques photos de la blonde atomique et tu me diras si elle te plaît.
Je coupe la communication pour transmettre quelques photos de Fanfan dénudée à Oumar. Le SMS de réponse du noir ne tarde pas. — Je pense que je devrais bien m’entendre avec cette charmante personne.
J’appelle d’abord Fanfan pour lui demander si elle peut être présente pour recevoir mon ami qui passera à l’appartement à la fin de son service.— Pas de problème ma chérie ! répond spontanément Francine. Je suis loin d’avoir mon compte de sommeil alors je ne compte pas bouger d’ici avant ce soir.
Je rappelle Oumar dans la foulée pour lui expliquer ce qu’on attend de lui. Il se rendra à 17:30 à notre location.
Après avoir garé la voiture dans un des parkings situé non loin de la place de la Comédie, nous décidons d’aller nous promener dans la vieille ville pour visiter ses ruelles ombragées avant d’aller prendre un verre sur une des places animées.
Lorsque nous pénétrons dans l’appartement, il est plus de six heures de l’après-midi. Des gémissements bruyants proviennent de la chambre. Je m’approche doucement en posant mon doigt sur mes lèvres et j’entrouve silencieusement la porte. Francine est couchée sur le lit entièrement nue. Ses jambes largement écartées sont pliées au niveau de sa taille et pointent vers le plafond. Tout en les maintenant fermement, Oumar fait coulisser son formidable rondin d’ébène dans la chatte béante de Fanfan. En découvrant la colonne de chair qui fouille sauvagement la quadragénaire blonde, je me demande comment j’ai pu accueillir une telle hampe dans mes orifices. — Putain ! Quel bazooka ! S’exclame Vladimir qui se trouve juste derrière moi. Il semble encore plus impressionné que moi. Mon copain se tourne alors vers moi avec un air qui en dit long. Je me penche alors vers lui pour murmurer à son oreille. — Et oui, mon chéri, c’est bien ce monstre qui m’a défloré la rondelle hier soir.
Ma remarque fait de nouveau bander Vladimir. Il me prend la main et m’emmène à l’extérieur de la chambre puis il pose ses mains sur mes fesses et se colle contre moi. Je sens son membre durcir alors qu’il me jette un regard langoureux puis approche ses lèvres de ma bouche. Ma chatte réagit aussitôt à cette charmante invitation et nous échangeons un long baiser plein de passion. Je constate avec ravissement que mon chéri est toujours aussi épris de moi. Et cette révélation me fait mouiller de plus belle.
Lorsque nos lèvres se séparent, je m’adresse à Vladimir le coeur battant. — Je t’aime mon chéri et si tu le veux bien, nous allons aller profiter tous les deux de la grande douche à l’italienne de l’appartement. J’ai une folle envie de sucer ta belle grosse queue.Mon chéri me fait une réponse pleine de tendresse avant de conclure. — Je suis vraiment heureux de t’avoir rencontrée Nancy. Je t’aime très fort...
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