Ce récit est un spin-off de « Ma mère n’a pas baisé depuis près de vingt-et-un ans ».
Rappelez-vous ! Lors de l’épilogue elle projetait, via son commerce de sex-toys et d’aphrodisiaques, de faire des ventes à domicile dans des réunions du style « Tupperware ». Et bien ça y est l’affaire est lancé ! Ses premières clientes sont celles que nous avons connues lors des soirées libertines auxquelles nous participons. Elles sont friandes de ces objets qui compensent souvent l’absence de leur conjoint pris dans leurs vies professionnelles. Pour plus de facilités, elle les reçoit chez nous, la plupart du temps en soirée. Elles font alors garder leurs gosses ; quand elles en ont ; par une baby-sitter et viennent sans leurs maris. La séance commence toujours de manière « soft ». Les clientes passent en revue les différents objets proposés et goutent aux « amuse-gueules » aphrodisiaques que ma mère a préparés, le tout arrosé de champagne millésimé. On ne se refuse rien à la maison ! Le nombre de présentes est volontairement limité : dix au plus. Le fait que l’une d’entre-elles soit parrainée donne un avantage à la marraine.Mais, ce qu’il faut savoir c’est qu’elles ne sont pas venues que pour ça. Elles viennent pour du sexe « hard ». Elles savent qu’elles vont subir des supplices, des outrages qui les mèneront au summum du plaisir. Leurs maris, consentants, recevront les vidéos de leurs exploits. C’est souvent eux qui les ont inscrites. Les achats ne sont que secondaires, ils ne sont qu’un prétexte… Une fois qu’elles ont bien vu tout ce qui est à vendre, Chantal ; c’est ma mère ; leur propose d’entrer dans le concret. C’est le signal ! Libertines, elles sont, libertines elles le resteront et c’est vers la salle spéciale qu’elles sont dirigées. La plupart d’entre-elles connaissent. C’est là que j’interviens. Je suis le maitre de séance. Mon discours est surtout destiné aux nouvelles. Je dois m’assurer qu’elle sont consentantes et qu’elles auront tout loisir d’arrêter au moment qu’elles auront choisi. Le programme change à chaque fois. Aujourd’hui j’ai la mission d’initier plus particulièrement une nouvelle. C’est son récent mari, un grand ponte du pétrole – ils ont trente ans de différence – qui l’a confiée à ma mère pour en faire une soumise. Ils en sont convenus lors d’une partie fine où il a sodomisé allégrement ma compagne pendant que je me répandais dans sa gorge (sa femme, dans le même temps devait juste regarder). Ambre c’est son prénom, a tout juste vingt-cinq ans d’après ce que m’a dit ma mère. Elle est de toute beauté avec ses yeux verts qui animent son visage. Sa robe, ajustée, laisse deviner une poitrine conséquente que j’aimerais bien malmener. Ses cheveux, noir de jais, tombent sur ses fesses cambrées. Sa peau, légèrement mat, laisse deviner une origine métisse. Ce soir elle vient, consentante, son mari l’a briefée. Elle sait qu’elle va déguster ! Mais c’est le prix à payer pour conserver son mari (ou son compte en banque…) qu’elle aime à la folie.Les habituées – il n’y en a que cinq aujourd’hui - se déshabillent et se jettent sur les machines à baiser – c’est ce qui est prévu aujourd’hui au programme. Elles s’installent confortablement car les séances sont longues. L’une d’entre elles – la plus salope – s’enfourne dans le cul et la chatte deux godes monstrueux après les avoir bien enduits de lubrifiant. Ses orifices sont déformés d’autant que celui dédié à son con est annelé et pourvu de picots qui tapissent le gland factice. Elle met en branle la machine et ses hurlements de plaisir se font vite entendre. Les autres ne sont pas en reste et les ronronnements des machines, au fur et à mesure de leur mise en route, sont vite couverts par les gémissements des protagonistes. Ma mère, s’occupe d’Ambre qui restait timidement dans son coin ne sachant que faire. Elle la prend dans ses bras et leurs lèvres se rejoignent dans un profond baiser. Elle la met nue dévoilant ainsi son corps magnifique.
Je m’approche d’elles et je caresse les fesses d’Ambre que je claque ensuite alternativement et de plus en plus fort. Elle crie sous mes coups redoublés et sa peau devient de plus en plus rouge. Je la fais se tenir devant moi et je lui relève la tête. Ses yeux sont remplis de larmes mais elle ne bronche pas. Mes mains se portent sur ses seins. Je les tâte pour évaluer leur texture. Ils sont fermes comme je les aime. Afin d’être plus à l’aise je me déshabille. Ambre peut voir ma queue dressée comme un pieu de clôture. Elle semble hypnotisée. J’ai effectivement très envie d’elle. Ma mère sourit en voyant l’état dans lequel je suis. Elle appuie sur les épaules de la jeune femme et la force à s’agenouiller. Celle-ci a vite compris et commence à lécher la base de mon vit dressé. Elle s’applique sur mes bourses puis remonte pour enfourner ma bite qu’elle lèche comme un esquimau. Ses lèvres et sa langue sont d’une douceur inimaginable, sa bouche un fourreau de velours. Je ne dois pas encore me laisser aller ce sera pour plus tard... Je la relève ; elle a l’air surpris ; Je saisis ses poignets l’un après l’autre et les attache solidement aux anneaux qui pendent du plafond. Je prends alors une télécommande et ses bras se tendent vers le haut jusqu’à ce que ses pieds décollent du sol. J’ajuste alors une barre d’écart à ses chevilles qui lui maintient les jambes largement ouvertes, la chatte glabre béante et largement accessible. J’ajuste la suspension. Je prends alors dans le râtelier proche un fouet de cocher. Je le fais claquer dans l’air. Le premier coup cingle son sein droit, puis le gauche. Ambre hurle que ça lui fait mal. Je n’ai cure de ses cris. Je vise maintenant sa chatte. Son clito est atteint, puis le fouet cingle sa fente. C’est son dos que j’attaque ensuite, il est vite zébré par les coups. Je plonge un doigt dans son con, il en ressort trempé. On voit qu’elle est maso. Ma bite devient douloureuse de la voir ainsi. Il faut que je libère cette tension. Rien de mieux que ma mère pour ça. Je lui fais signe et elle s’agenouille devant moi, la tête en arrière reposant sur une console basse. Je l’enjambe et je massacre sa gorge à grands coups de queue au plus profond de sa luette. Il me suffit de quelques allers-retours pour que j’éjacule dans sa bouche. Elle se relève alors et vient partager ma semence avec Jade dans un baiser profond. Elle se fait plaisir en tordant la pointe de ses seins. Les autres participantes ont tout vu. Défoncées par leur machine, elles regardent le spectacle avec envie. Elles y ont eu droit en leur temps. Elles savent ce qu’Ambre endure.Il est temps de m’occuper un peu plus attentivement d’elle. C’est son corps que je veux faire vibrer de plaisir. Je veux qu’elle crie « grâce » ! Qu’elle en redemande ! C’est comme ça qu’elle sera matée. Rien de mieux que de jouer la frustration. Pendant plus d’une heure je vais jouer avec elle. Je vais la caresser, la couvrir de baisers, prendre sa langue, suçoter ses tétons, les mordiller, enfoncer mes doigts dans sa cramouille, titiller son point G, téter ses lobes d’oreille. Mon vit va se glisser entre ses fesses, puis frôler sa corolle avant de glisser entre ses lèvres vaginales évitant d’y entrer. Son corps est agité de jouissances qu’elle ne peut mener jusqu’au bout car au moment où je la sens venir, je m’arrête brutalement la laissant frustrée. Elle me supplie de la prendre, me dit qu’elle fera tout ce que je veux, qu’elle n’en peut plus. Je peux la sodomiser à loisir ou la faire saillir par un chien ou la donner à une cohorte d’émigrants mais elle veut jouir ! Ma mère dans le même temps s’amuse avec les autres participantes. Elle les fouette les unes après les autres après les avoir désaccouplées des machines à baiser. Elle distribue les gadgets aujourd’hui en vente et chacune donne son avis. C’est le moment d’en venir aux choses sérieuses. Elle va leur travailler les seins. D’abord avec ses propres mains, tordant les tétons à la limite de la déchirure puis les connectant toutes les cinq en même temps à une machine à traire qui permet de pomper leurs seins. Leurs mamelles sont déformées et leurs visages transpirent de jouissance. J’ai abandonné Ambre, frustrée, pour me joindre aux « pompées ». Je me fais sucer par chacune d’elles en prenant soin de bien m’enfoncer dans leur gorge. J’ai repris de la vigueur. Il est temps de porter l’estocade à Ambre : graine de soumise. Je la fais descendre pour que ses pieds retrouvent le sol. Je délie ses bras et la fais pencher sur un cheval d’arçon proche en lui écartant les jambes. Je vais chercher dans une armoire le plus gros gode de la collection. Je l’enduis de lubrifiant et je commence le ramonage de sa chatte. Ambre crie tout d’abord tellement c’est gros, puis gémit. Elle recommence à jouir. Une fois le gode bien enfoncé dans son vagin étroit, je l’arrime avec des courroies pour l’empêcher de sortir. Je fais glisser mon sexe dans sa raie culière ; c’est la première fois qu’elle va être sodomisée, elle ne voulait pas jusqu’à présent ; et je l’encule d’une seule poussée rectiligne. Elle pousse un hurlement le temps du passage de mon gland franchissant ses sphincters puis s’habitue à l’intrusion de ma verge conquérante. Je vais alors travailler son cul pendant de très longues minutes, la défonçant sans relâche. J’ai mis en route le gode à sa vitesse maximum. Ambre enchaine les orgasmes. C’est un vrai plaisir de la baiser ainsi. Maman a laissé ses « jouets » en plan et vient nous rejoindre. Elle se glisse entre le cheval d’arçon et ma nouvelle soumise. Elle retire le gode de sa chatte pour lui brouter le minou. J’alterne maintenant entre sa bouche et le cul d’Ambre. Inutile de dire que celle-ci couine sous mes assauts et qu’elle monte plusieurs fois au septième ciel… Je les fais alors changer de position. Chantal que je m’empresse d’enculer, penchée en avant sur le cheval d’arçon et Ambre qui tout en léchant ma mère, prend, dans sa bouche, ma bite qui sort du rectum bien ouvert de ma génitrice. Je me régale de leur soumission !
