Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 132 J'aime
  • 5 Commentaires

Ma mère n'a pas baisé depuis près de vingt-et-un ans...

Chapitre 3

Soirée en club échangiste

Inceste
Aujourd’hui j’ai prévu d’emmener Ambre et ma mère, dans un club d’échangistes. C’est une soirée privée où seuls les initiés de longue date sont acceptés. Les femmes sont prévenues à l’avance qu’elles ne pourront rien refuser dès lors qu’elles entreront dans la « pièce spéciale ».
Maman a l’habitude et elle adore ces soirées. Elle s’y déchaine et en revient toujours épuisée. Mais elle a toujours de la ressource dès que nous rentrons à la maison pour m’entrainer dans notre chambre pour faire encore une fois l’amour avant de nous endormir dans les bras l’un de l’autre. C’est elle qui choisit alors par où je dois la prendre ; je lui laisse ce privilège : son petit cul, sa chatte ou sa gorge.
Ambre est en pension chez nous pour une semaine ; son mari nous l’a laissée pendant qu’il est au Moyen-Orient. Je vais lui faire connaitre les coïts multiples. Non seulement elle va avoir à faire à plusieurs hommes en même temps mais elle va devoir se faire baiser par celui que toutes les femmes surnomment « La matraque ». Ma mère y a eu droit comme toutes les femmes adeptes de ces soirées privées hors normes. Elle a tellement été dilatée qu’elle avait eu l’impression d’accoucher…
Pour l’occasion « mes femmes » se vêtent au minimum. Bien sûr pas de soutif, ni de culotte, des robes « ras-la-moule » avec de profonds décolletés devant et derrière comme Mireille Darc dans « Le Grand blond avec une chaussure noir ». Une fermeture Eclair à descendre et elles seront rapidement nues ; pratique dans un genre de soirée comme celle-là.
Quand on arrive, les réjouissances ont déjà commencées. Mes femmes sont briefées et on se dirige directement vers la pièce spéciale.Sur une estrade une femme d’une cinquantaine d’année se fait emmancher debout par deux grands noirs aux sexes imposants. Elle gueule littéralement son plaisir. Je la connais. J’ai déjà eu l’occasion de la baiser. Elle est nymphomane et en veut toujours plus. Pour son âge, elle est bien foutue. Ses seins, de bonne taille, se tiennent encore bien. D’ailleurs l’un de ses partenaires ; celui qui est derrière elle et qui l’encule ; les a pris en main pour en tordre les pointes. Nous avons à peine le temps de contempler le spectacle de cette affamée du sexe que les deux noirs éjaculent dans ses deux orifices. A peine remplie, elle se jette à leurs pieds et vient nettoyer leurs queues gluantes de fluides divers.
C’est alors que les spectateurs prennent conscience de la présence d’Ambre et de Chantal, ma mère. On pourrait presque les prendre pour deux sœurs ; habillées de manière identique ; si la couleur de peau d’Ambre ne faisait la différence.
Ma mère est connue ici, mais Ambre c’est autre chose : de la chair fraiche dont tout le monde, hommes et femmes, ont envie de faire connaissance. Aussi bizarre que ça puisse paraître ce sont elles qui viennent vers elle les premières. Leurs mains s’emparent vite de son corps pour en apprécier les formes. Des mains délicates la déshabillent rapidement, des doigts s’introduisent délicatement dans sa chatte déjà trempée, une bouche vient prendre ses lèvres, une autre se colle sur l’un de ses tétons qu’elle aspire, son autre sein ne reste pas longtemps libre il est pressé fortement par une menotte empressée.
Les yeux d’Ambre chavirent devant tant d’actions multiples et érotiques. La douceur de ces femmes lui fait du bien. Ses couinements se font entendre de plus en plus forts. Elle jouit bruyamment pour le plus grand plaisir de ces femmes avides de sexe.
Les hommes, dès qu’ils la voient dans cette état, n’ont qu’une envie : se la taper. Ils font fort dès le début. L’un d’entre eux se couche sur le matelas posé au sol. Il a une queue bien longue, propice à rester en place. Ambre, guidée par des femmes, s’empale sur la verge dure bien dressée. Ça rentre facilement tellement elle est mouillée.
Au contraire de ses congénères, les hommes sont plus rudes. Ses tétons sont tordus, distendus, des doigts pénètrent son cul ; sans égards pour sa personne ; préparant la double pénétration qui ne saurait tarder. Des bites molles sont présentées devant son visage. Elle les suce pour les faire durcir. Ses mains sont dirigées vers des sexes tendus. Elle les branle pour tenter d’en faire sortir leur jus de corps d’homme. Mais tous les hommes résistent car c’est son corps qu’ils veulent posséder.
Dans le même temps ma mère subit les outrages d’habitués. Elle a été attachée à un poteau situé au centre de la pièce et elle est fouettée par un spécialiste qui ajuste bien ses coups. Il vise particulièrement ses seins, sa fente juteuse et ses fesses. Son corps est zébré d’estafilades. Elle déguste. Je bande de la voir ainsi.
Une femme, déguisée en infirmière, vient passer un baume cicatrisant pour apaiser les coups subis. Elle en profite pour palper sa poitrine et en faire ériger les pointes qu’elle suce alors avec avidité.
Les hommes, qui ne peuvent approcher d’Ambre, vont alors enculer ma mère debout. Une dizaine vont se succéder dans son anus bien dilaté. Je vois dans ses yeux qu’elle jouit plus que de coutume - depuis que nous sommes ensemble elle adore la sodomie !
Mon attention est alors attirée par les cris d’Ambre qui subit des doubles pénétrations depuis maintenant plus d’une heure. Elle est cette fois-ci dos à celui qui est allongé sur le matelas et dont le sexe est planté dans sa chatte. Son corps, son visage sont couverts de sperme, ses yeux hagards. Elle est ballotée dans tous les sens. Des queues se sont succédé dans sa bouche s’enfonçant au fond de sa gorge. Un homme la fait alors coucher sur le « pénétrant » du dessous et il tente une double vaginale. Sa verge a du mal à entrer d’où les cris d’Ambre…
Il y parvient enfin, dilatant son vagin au maximum. Ils ont du mal à la ramoner vu la position inconfortable. Ils décident de changer de trou. Ambre est retournée comme une crêpe et se retrouve face à celui qui est sur le dos. Il lui prend la bouche dans un baiser fougueux et pelote ses seins qui pressent son torse.
Il ajuste son vit sur l’anus d’Ambre et l’encule d’une seule poussée. Elle relève la tête sous l’assaut impétueux et se retrouve immédiatement avec une bite qui s’enfonce au fond de sa gorge. C’est le moment que choisit un autre comparse pour tenter une double sodomie. Il y parvient plus facilement, ses muscles anaux ayant déjà été bien sollicités.
C’est fascinant ! Au contraire de ce que l’on pourrait croire, Ambre a de nombreux orgasmes depuis le début de la soirée ; j’apprendrai plus tard que c’est l’abus de jouissance qui l’a fatigué et non les douleurs subies par ces pénétrations hors normes.
Il se fait tard. Aussi avant le clou du spectacle, on l’emmène prendre une douche et on la prépare en vue de l’arrivée de « La matraque » ! En attendant les hommes se soulagent avec les autres femmes présentes, vieilles ou jeunes, moches ou belles, toutes y ont droit. Elles sucent, se font éclater le fion, massacrer les seins. La plupart sont nymphomanes et en redemandent.
Ambre revient. Tous les regards se portent sur elle. Elle est magnifique. Son maquillage a été refait, ses cheveux lavés, séchés et noués en chignon. Elle est toujours nue. C’est alors qu’arrive « La matraque ». Il est vêtu d’un smoking blanc et ceux qui ne le connaissaient pas, découvre que c’est un homme de petite taille, au corps trapu. Il n’est pas beau, voir laid.Un frémissement traverse la salle. Jade découvre celui qui maintenant va lui faire l’amour et qui a désormais tous les droits sur elle. Il est temps de prononcer « Le mot » qui lui permettrait d’arrêter, mais, fière comme elle est, elle ne le prononce pas, montrant ainsi sa docilité.
Pierre, dit « La matraque » s‘adresse alors à elle :
— Je vois que tu es un beau petit lot. Je vais bien m’amuser avec toi. Tu vois la plupart des femmes ici ont eu affaire à moi. Elles en gardent toutes un excellent souvenir. Elles en redemandent même. Et pourtant je suis moche mais j’ai un atout de taille ! dit-il en riant. Tu veux voir ? Allez ! Approche et déshabille-moi !
Ambre s’exécute. En quelques minutes il se retrouve en boxer short qu’il conserve pour l’instant. Le vêtement, ample, révèle une énorme bosse entre les cuisses. Manifestement il ne bande pas pour l’instant.
— A genoux et suce moi que j’apprécie la douceur de ta bouche ! Je vais me faire un plaisir de souiller ta bouche. Je suis sûr que je te dégoute mais tu es une chienne obéissante et tu verras, à la fin, quand j’en aurai fini avec toi, tu en en voudras encore. Allez ! Découvre la bête ! Elle n’attend que ton bon plaisir.
Ambre baisse le caleçon de Pierre. En sort un immense serpent qui vient lui frapper le visage. Elle pousse un cri de surprise devant cet énorme membre qu’il va lui falloir avaler… Elle sait qu’elle n’a pas le droit de protester. Elle a accepté le deal.
Jamais je ne pourrai avaler cet engin. Il est trop gros pour ma bouche et je ne parle pas de ma chatte ou plus, de mon petit cul. Tout le monde me regarde et Marc plus particulièrement. J’ai un faible pour lui et pour sa mère. Hum sa chatte, j’adore ! Je ne veux pas leur faire honte. En plus - il a raison – il est laid. Allez ! Allons-y !
Sa bouche se porte d’abord sur la base du pieu dressé qu’elle lèche avec application. Il sent bon. Il est parfumé. Il a le goût de la vanille. Ce qu’elle ne sait pas c’est que Pierre s’est enduit le sexe d’un produit aphrodisiaque puissant qui va la faire basculer dans un délire sexuel sans commune mesure avec tout ce qu’elle a connu jusqu’à présent.
En quelques minutes ses sens sont exacerbés. Elle sent que ses pointes de seins se tendent, sa chatte est brûlante de désir, même son anus palpite dans l’attente d’une intromission. Le priape qu’elle suce est à l’apogée de son érection.
— Hum tu suces à merveille ! Tu vois, jamais je n’ai bandé aussi dur ! je sens que je vais te baiser avec plaisir. Mais d’abord il faut que je te prépare. Allonge-toi sur la table, jambes bien écartées !
Il fait pénétrer l’un de ses doigts dans son con baveux. Il commente en disant :
— Tu es très réceptive, tu mouilles déjà ! Dis-moi, tu veux mon gros sexe en toi !
Oh putain, son index c’est comme une petite bite. Il sait y faire. Je ne sais pas ce qui m’arrive mais il est en train de me faire jouir. Maintenant il a mis le majeur et l’annulaire en crochet dans ma petite chatte et il me branle. Il va ma faire crier. Je crie… Ah ! Ah ! C’est trop bon. Je vais lui dire :
— Oui je veux votre grosse bite ! Défoncez-moi ! — Tu n’as pas peur ! Je vais t’écarteler ta chatte de salope et ensuite je t’éclaterai le fion. Mais d’abord je vais déguster ton sexe ruisselant. Tu n’as pas vu ton jus jaillir de ton puits d’amour ?
Sa bouche vient se placer entre ses cuisses et il la lèche longuement. Les spectateurs sont attentifs aux émois d’Ambre. Ils encouragent Pierre à la baiser enfin. Elle se tord sous les assauts linguaux de son tourmenteur. Mais il la maintient très fort et porte l’estocade en lui mordillant son bouton d’amour. Elle pousse un cri emporté par un orgasme fulgurant.Il ne lui laisse pas le temps de respirer. Il la relève de la table, la met à quatre pattes sur le sol rugueux et s’agenouille derrière elle. Il tient sa queue d’une main et fait glisser son gland noueux, de la taille d’une balle de golf, dans la raie de ses fesses, du haut vers la bas.
Je sens son champignon glisser sur mon anus. Il est énorme ! J’espère qu’il ne va pas commencer par là. Non on dirait qu’il se contente de vouloir pénétrer mon vagin pour l’instant.
— Hum quand je pense que je vais te baiser à fond. Tu sens ma queue qui commence sa pénétration dans ton vagin de petite pute ?— Oui mais c‘est gros vous aller me déchirer…— Mais non tu es déjà trempée rien qu’à l’idée de te faire perforer. Et puis vous les femmes vous enfanter bien par ce trou-là. Alors une tête de bébé c’est plus gros que mon gland. Allez respire ! J’y suis presque. Tu aimes ?— Oui vous me remplissez bien.— Je continue ?— Oui c’est bon.— Ça y est je suis au fond, bien au chaud. Cette fois-ci tu vas déguster.
Commence alors la folle défonce d’Ambre. Il va s’en servir comme d’un jouet sexuel. Dans toutes les positions possibles, il la manipule comme une marionnette. Il a commencé en levrette, il la prend ensuite en missionnaire, puis en cuillère. Au gré de ses fantaisies, il s’enfonce dans sa gorge, puis la fait le chevaucher. Il en profite pour lui presser les seins dont il mordille les tétines tout en lui mettant un doigt dans le cul. Jamais elle n’a autant joui. Elle enchaine orgasme sur orgasme. Il est inépuisable. Il n’a pas encore éjaculé et il bande de plus en plus dur. C’est vraiment un phénomène. De grandes flaques de mouille se répandent sur le sol. Son énorme sexe coulisse en elle très facilement. Il en fait la réflexion :
— Décidément tu mouilles trop, je ne te sens plus. C’est le moment de t’enculer ce sera plus étroit. Mets-toi à genoux et penche-toi sur le pouf ! Ton cul est bien trempé, pas besoin de lubrifiant !
Mon dieu ! Ça y est c’est le moment où il va me sodomiser. Je ne vais pas y échapper d’autant que les spectateurs applaudissent. J’aimerais tant que Chantal et Marc soit à mes côtés pour m’encourager.
Comme si Pierre lisait dans ses pensées, il fait signe à ma mère de le rejoindre. Je l’accompagne. Il s’adresse alors à nous en ces termes :
— Toi Marc tu vas lui baiser la gueule pour l’empêcher de crier et toi Chantal tu vas bien lui écarter les fesses et lui doigter la chatte pendant que je l’enculerai. Allez tu vas voir Ambre tu vas encore prendre ton pied et je vais te faire aimer la sodomie ! Tu es prête ?— Humpf ! Humpf ! c’est tout ce qu’elle peut dire étouffé par mon sexe au fond de sa gorge.
Le gland de Pierre a beaucoup de mal à franchir les sphincters anaux. Ambre se raidit, mais finalement accepte l’intromission douloureuse en se détendant, confortée par l’attitude de ma mère qui lui titille le clitoris.
C’est par un « plop » retentissant que son cul se fait pénétrer enfin. Cette fois-ci, Pierre va recommencer le même manège que précédemment mais son anus fait désormais partie du parcours. Ambre va crier ; au début de douleur, puis de bonheur. Il se fait un malin plaisir d’insister dans la pénétration de son rectum qu’il massacre à loisir, la plupart du temps par derrière en tenant ses seins comme des poignées auxquelles il s’accroche. Vicieux comme il est, quand il sort de son cul c’est pour aller dans sa bouche. Ballotée dans tous les sens, elle n’en peut plus. Elle devient une poupée sans réaction. Les orgasmes successifs l’ont vidée. Jamais, dans sa courte vie, elle n’avait joui autant.
Dans le même temps, libéré de la bouche d’Ambre, je m’occupe de ma mère. On la prend en double avec un spectateur présent. Elle adore les doubles pénétrations !
Ambre n’en peut plus, il faut qu’il finisse. Elle le supplie. Dans un dernier sursaut, alors qu’il défonce pour la énième fois sa chatte en feu, elle fait jouer ses muscles internes et lui compresse le sexe dans son entièreté.
Surpris par cette démarche, Pierre pousse un cri, des jets violents sont éjectés par son urètre et tapissent la paroi vaginale d’Ambre. Il s’écroule sur elle. Elle s’évanouit, achevée, sous les applaudissements du public.
Diffuse en direct !
Regarder son live