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Ma mère au petit soin de mon hygième.

Chapitre 1

Inceste
C’était un samedi matin, je déjeunais assis devant la table de la salle à manger faisant face à la cuisine où ma mère se servait à boire.
— Dis-moi mon grand, ne le prends pas mal, ce n’est qu’une question de mère inquiète, mais tout va bien niveau hygiène ? Avec ton père absent, je comprends que tu sois limité lorsqu’il s’agit de poser des questions concernant le sujet.— Tout va bien maman, le peu de fois où ce fut le cas, je n’ai pas hésité à demandé à tonton.— C’est très sympa de sa part, je l’ignorais si paternel.
Ma mère me rejoignit à la table, s’assoyant en face de moi, une tasse de café à la main.
— Yep, c’est lui-même qui m’avait dit de ne pas hésiter. Cela dit, je dois avouer que récemment, je n’ai pas osé lui poser une question liée au rasage.— Te raser ? C’est à peine si deux ou trois poils pointent le bout du nez sur ton menton.
Un silence s’installa, une petite gêne dans mes yeux me fit éviter son regard curieux pour préférer la vue de mon déjeuner sur la table.
— Je ne parlais pas de mon visage...— Les aisselles ? J’imagine que c’est la mode de nos j... Aaaaaah je vois.
Un petit rire du bout de la table. Ces céréales me semblaient de plus en plus fascinantes tout d’un coup.
— Ne t’inquiète pas mon cœur, fille ou garçon, on passe tous par-là. S’il t’en prend, le courage, n’hésite pas à utiliser mon rasoir le temps que tu t’en achètes un. Ce n’est pas vraiment idéal, mais au moins, cela te donnerait une idée du genre de rasoir qui pourrait t’aller le mieux avant de te t’en procurer un.— Merci maman, j’y penserais...
À nouveau un silence gênant, même si vu le ton léger employé par ma mère, je semblais être le seul à y voir raison de trouver gêne. Les quelques bruits de l’horloge marquant chaque seconde étaient, depuis près d’une minute, les seuls sons qui emplissaient la pièce lorsque j’entendis ma mère à nouveau.
— Tu sais, si l’idée ne te gêne pas trop, je pourrais te montrer. Je ne me suis jamais rasé au visage, mais les parties intimes, je connais bien. Je ne serais pas nécessairement une experte et l’internet sera probablement meilleur enseignant, mais au moins les bases quoi...— Euh... Je sais pas trop, comment tu ferais cela ? Si c’est juste pour me montrer les mouvements, alors oui, une vidéo ferait pareil.
— Je pourrais te raser directement, au moins le pubis.
Je levais les yeux, estomaqué par la proposition, m’attendant à voir un sourire sur son visage trahissant ce qui devait être évidemment une blague. À la place, je vis ma mère, l’air le plus sérieux du monde, me regardant droit dans les yeux puis haussant légèrement les épaules comme pour signifier ’’pourquoi pas ?’’.
Aucune femme ne m’avait jamais touché ni même vu complètement nu et là, ma mère me proposait de carrément me raser l’entrejambe. C’était une belle femme et là était tout le problème, j’avais l’âge où l’on part au quart de tour et où le peu suffit pour monter une belle tente. Avant que je n’aie le temps de répondre, ma mère se leva et, prise d’une nouvelle énergie, m’annonça toute fière:
— C’est décidé! Il n’y a aucune gêne à avoir, tu es mon grand garçon et je t’ai vu sous toutes tes formes, je compte bien t’aider à ce tournant de ta vie. Je file dans la salle de bain tout préparer, rejoins-moi dans quinze minutes.
Ce à quoi elle fila à toute allure de la salle à manger, me laissant stupéfait devant mon repas. Je n’avais aucune idée de quoi penser, un côté de moi était follement gêné et avait envie de la poursuivre pour lui dire de laisser tomber, mais d’un autre côté...
Je finis mon repas rapidement, me levai pour aller porter mon assiette et une fois au comptoir, une inquiétude me gagna. Je n’avais pas pris de douche depuis hier et une nuit ainsi qu’un matin entier s’était écoulé. Je descendis mon pantalon et vérifiai que tout allait niveau odeur.
— Pas de quoi s’inquiéter, je crois...
Je devais être bien amusant à voir, la bite en l’air dans la cuisine, vérifiant que mon hygiène était acceptable pour aller me faire raser le sexe par ma mère. J’entendis alors la voix de ma mère me parvenir de la salle de bain.
— Sebastien, viens je suis prête !
Le pantalon s’envola jusqu’à mes hanches et lentement, je fis demi-tour sur moi-même et entrepris la direction des toilettes. Chaque pas me rapprochant vers ma mère augmentait l’intensité des papillons me tiraillant le ventre. Lorsque j’arrivais, cela me prit un effort fou pour cogner.
— Entre mon grand !
J’ouvris la porte pour apercevoir ma mère, debout devant la cuvette sur laquelle il y avait une serviette étendue à côté de quoi se trouvaient rasoir et crème. Dans le lavabo, un débit d’eau léger remplissait l’évier.
— Viens viens ! Enlève ton pantalon et ton slip et assieds-toi.
Je m’approchai pour me retrouver à quelques centimètres d’elle dans notre petite salle de bain, plein d’hésitation et hésitant à me dénuder.
— Tu devrais aussi enlever ton chandail, sinon le bas pourrait se retrouver avec de la crème.
Elle tendit la main pour éteindre le robinet puis resta là, face à moi à quelques centimètres, alors que je commençais à retirer mon t-shirt. Je le lançais à l’entrée puis entamai le bas. J’étais tellement perturbé qu’il me fallut trois essais pour réussir à déboutonner mon jeans et finalement commencer à descendre le tout. Les mouvements étaient assez compliqués, entre la cuvette et elle, je n’avais pas beaucoup de places pour me dénuder et le fait que j’évitais de la toucher par gêne rendait la manoeuvre encore plus délicate. Comme un idiot en plus de tout cela, je n’avais pas enlevé le slip en même temps par gêne, et dus recommencer les mêmes contorsions à nouveau. J’étais désormais dénudé face à ma mère, le pantalon et mon slip aux chevilles et une chaleur folle semblable à une fièvre m’emplissant la tête.
— Assieds-toi, je me remonte les manches et on commence. S’il y a quoi que ce soit ; douleur, inconfort ou gêne, n’hésite pas à me dire, je suis là pour t’aider.— D’accord, je te dirais.
Je m’assis et ma mère prit place face à moi, une serviette pliée sous les genoux pour éviter l’inconfort. Je ne sais pas si c’était le stress, mais j’étais heureux de ne pas avoir d’érection pour l’instant. Un ’’Psssht’’ se fit entendre de la bouteille et de la crème recouvrit les doigts de ma mère. Elle se rapprocha encore de moi et je pris une meilleure position pour lui donner accès. Sa main rejoignit sans gêne mon pubis et elle commença à étendre la crème à raser. Sa main ne fit aucun contact avec mon sexe et seul mon pubis se vit recouvert.
Une fois fini, elle commença à raser. Elle n’hésitait pas à tirer la peau avec sa main gauche et lorsqu’elle finissait avec une zone, elle passait avec une lingette mouiller pour essuyer la crème à rasage. Je n’avais jamais connu la sensation d’un rasoir et j’étais surpris que cela fasse si peu mal, mis à part un peu de tiraillement, cela était presque agréable. Ma mère n’hésita pas à raser le poil dans plusieurs sens et ainsi je la vis s’atteler sur mon pubis dans son entièreté plusieurs fois. À ce niveau de l’expérience, mon sexe commençait à prendre légèrement d’ampleur et parfois celui-ci venait frotter contre la main de ma mère qui ne sembla pas y porter attention. Après seulement une minute ou deux, elle eut fini et alors que je pris peur que tout s’arrête maintenant, elle me demanda:
— Tu veux que je continue ? Tout va bien pour l’instant, je pourrais en profiter pour faire le haut des cuisses puis si vraiment tu es confortable, on pourrait envisager les testicules, je crois pouvoir m’en sortir.— Oui !
Ma mère s’esclaffa. Le volume de ma réponse m’avait surpris aussi et s’il y avait eu doutes sur mon appréciation du moment dans sa tête, celui-ci s’était évanoui pour de bon. Elle se leva pour rincer le rasoir dans l’évier puis revint se placer face à moi, les doigts recouverts de crèmes, prête à badigeonner le haut et l’intérieur de mes cuisses.
Elle commença à étaler et lorsqu’elle descendit vers l’intérieur, le dos de ses mains entra en contact avec mes testicules, ce qui m’envoya une décharge d’enfer et en quelques secondes, une trique folle me gagna. Elle se leva pour rincer et reprit place devant moi avec le rasoir. Je n’osais la regarder, mais il était certain qu’elle ne pouvait manquer mon sexe qui pointait, fièrement érigé devant elle. Je n’entendis aucun mot et sentis le rasoir commencer son parcours sur mes cuisses. Lorsque je levai les yeux, ma mère était concentrée sur son travail, s’attelant à doucement me raser avec mon sexe à quelques centimètres d’elle.
Je n’avais jamais eu de désirs sexuels à son égard, mais face à cette situation et la légèreté avec laquelle elle prenait, tout cela fut naître en moi immensément d’envie en cet instant. Mon pubis tout juste rasé me donna envie de me gratter, ce qui fit balancer mon sexe de gauche à droite sous son nez. Mon gland perlait légèrement et je devais tout donner pour ne pas commencer à me masturber. Au moment où celle-ci commença à entamer la zone rapprochée de mes testicules, j’entendis à nouveau sa voix.
— Seb, tu veux bien prendre le tout et les coller contre ton autre cuisse que j’ai un meilleur accès ?— Bien sûr Maman !— Merci mon chéri.
C’est ainsi que je me retrouvais avec l’entièreté de mon appareil génital entre les mains, la main de ma mère à quelques millimètres s’attelant à ma cuisse. Je ne pus résister à la tentation et pendant que celle-ci travaillait, ma main bougeait lentement de haut en bas, caressant mon sexe tout doucement. Malheureusement, cela ne prit que quelques secondes avant qu’elle n’ait fini et change de cuisse, ce à quoi je dus relâcher mon sexe. Cependant, lorsque celle-ci en arriva à la même étape de l’autre côté, je pris rapidement la situation à nouveau en main et recommençai mes caresses. J’étais certain que j’allais exploser, incapable d’arrêter mes légers mouvements lorsque celle-ci se leva, m’annonçant que les cuisses étaient terminées. Elle se leva et alla à nouveau rincer le rasoir.
— Toujours partant pour l’autre partie ? Je n’ai jamais fait cela et je ne te promets pas que ce sera sans douleur, mais tant que tu me communiques tout devrait bien aller.— Je te fais 100% confiance maman.— Bien.
Ma mère allait carrément me caresser l’entrejambe. Ses mains allaient aller encore et encore contre la peau de mes testicules. Il me prenait une peur au ventre, peur d’orgasmer devant elle alors que celle-ci s’occupait de mon entrejambe. Que pourrais-je bien lui dire après cela ? Au moment où je me pris de courage pour lui dire d’arrêter, je la vis se replacer entre mes jambes, la main gauche recouverte de crème, le regard rivé sur mes couilles. Les paroles ne réussirent à sortir de ma bouche et seule l’excitation me gagna à nouveau. Sa main s’approcha alors de moi, et avec une légère pudeur, elle étala la crème doucement, évitant les contacts entre nos deux peaux. Cependant, pour atteindre le bas et les côtés, elle fut obligée de bouger le tout et alors sa main vint directement se coller contre mes testicules. Je sentis alors la main refroidie par l’eau et la crème de ma mère m’empoigner et étaler dans tous les recoins, désormais sans pudeur, la crème à raser.
Elle commença alors à me raser tout doucement, commençant par le bas, n’hésitant point à utiliser les doigts de sa main gauche pour étirer la peau. Chaque contact me faisait perdre la tête et j’avais l’impression de faire quarante de fièvre.
Vint alors le moment où elle atteignit le haut, là où se dressait mon sexe, plus enflé que jamais, comme un garde au piquet l’empêchant d’aller plus loin. Je crus qu’elle allait me demander de prendre mon sexe pour le bouger du chemin, mais alors que j’approchais ma main, je vis la sienne m’empoigner entièrement de sa main gauche, l’air de rien, et manipuler mon sexe à sa guise pour ouvrir le chemin du haut de mes testicules. Les muscles entiers de mes cuisses se crispèrent sous sa caresse. Mêlé de la crème à raser, accentuer des légers mouvements de droite à gauche permettant l’accès à différents endroits, j’éjaculai puissamment, recouvrant mon bas-ventre de grands et longs jets. Mon sexe battait la chamade au rythme de mon cœur sous sa paume et, la tête renversée à l’arrière, je tentais de reprendre mon souffle. Une fois les idées à nouveau en place, je me redressais rapidement, mes yeux cherchant ceux de ma mère après réalisation de ce qui venait d’arriver.
Je la vis alors, un sourire aux lèvres, mon sexe encore en mains. Elle l’approcha alors de son visage, déposa un baiser sur le bout de mon gland encore perlant puis se leva.
— Voilà, j’ai fini mon grand. Je ne crois pas t’avoir fait mal et même qu’au contraire, tu sembles avoir apprécié l’expérience.
Ce sur quoi elle me fit un clin d’œil, une légère goutte de sperme sur sa lèvre supérieure coiffant un sourire radieux. Elle déposa le rasoir, passa ses mains sous l’eau, puis me laissa penaud sur la cuvette des toilettes.
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